Vente d'esclaves[Fiela]

La place publique, le marché aux esclaves, où trouver un homme libre et pauvre était aussi rare que de trouver de l'or en se levant le matin et en fouillant sous l'oreiller. Ici il y avait trois types de personnes: Les nobles, les marchands, et les esclaves présents ou futurs. Il n'y avait que comme ça que le roi des marchands d'esclave voyait l'empire humain. Il avait mis la main sur des marchandises aussi diverses et variées au cours de sa vie, petite paysannes a la beauté exceptionnelles, créatures chimérique aux formes envoutantes, même le sang bleu n'y coupait pas court, il y a deux semaines de ça une jeune duchesse avait trouvé de bon gout de l'éclabousser avec son carosse expressement, aujourd'hui elle défilait sur l'estrade avec les autres prises, présentée en tant que tel, et sa famille présente dans l'assemblée faisait monter les enchères a un point incroyable pour récupérer leur fille. Néanmoins ils finiraient par l'abandonner quand ils remarqueraient qu'ils ne pourraient plus la marier...Ah les nobles, tellement...Prévisibles. C'en était tellement amusant. Il avait pris beaucoup de plaisir a domestiquer cette petite jeune qui se pensait supérieure par tout le droit que sa naissance lui donnait. Comme c'était drôle...

Don était connu de tous, et pourtant ignoré, tout le monde connaissait le nom du prince des marchands d'esclaves de Nexus. Néanmoins personne n'avait jamais vu son vsage, comme ses esclaves restaient silencieuses a ce sujet et que ses ventes étaient menées par un bonimenteur, le meilleur de tout Nexus, qui ventait sa marchandise comme on vante la bonne croupe d'une vache laitière. Don n'avait pas peur de l'avouer :il était meilleur que lui dans ce domaine, c'était pourquoi il lui répartissait le travail. Lui, se trouvait comme d'habitude en train de boire une bière a l'auberge tout en regardant de là où il se trouvait, la vente des esclaves. Les nobles étaient réunis devant une estrade, assis sur des bancs alors que de nombreux gardes encerclaient la scène pour empecher, les importuns d'enquiquiner la noblesse et les esclaves de fuir, celles ci auraient bien du mal, avec de lourdes chaines leur reliant a toutes les pieds, a moins de toutes courir au même rythme dans la même direction, ce qui était impossible, elles trébucheraient où seraient rattrapée par les gardes, un regard vide sur le visage, les esclaves avançaient dans la queue, un collier au cou celui ci passé dans les anneaux de leurs menottes.

Quel spectacle agréable a ses yeux, il connaissait chacune d'entre elle, et il les avait toutes dressée, certaines avaient résisté, d'autre avaient cédé a la soumission, mais au final toutes avaient autant souffer. Car Don voulait faire des esclaves dociles, pas des esclaves qui font semblant de l'être.

Rien n'allait gacher cette journée, n'est ce pas?

Fiela avait eut une mission pour le moins spécial. Un client avait demandé à elle, en tant que rélais de trouver une duchesse lors de la vente d'aujourd'hui. Le prix n'était pas non plus négligeable. Deux mille pièce, de quoi subvenir à ces besoin pendant un certain temps. Elle alla d'estrade en estrade et vit son client, elle se faufila et se plaça à côté de  ce dernier.

- Votre fille est ici.

Le noble fut surprit et continua les enchère tout en lui murmurant.

- Oui mais je ne pourrais pas la récupérer par la vente, les prix commencent à être trop élevé, de plus ce vendeur protège bien sa marchandise.

- Il me faut trente minute après profité de la débandade pour filer avec votre fille, je resterait en retrait pour vous couvrir et les retenir.

Fiela sortie de la foule. Nul doute qu'il y aurait des espion dans le tas où aux alentour, histoire de prévenir tout tentative de fuite. Aussi alla-t-elle vers une ruelle sombre et conditionna son corps pour l'escalade. Les tuyaux d'évacuation de pluie sont très pratique pour monter sur les toits. Elle se cacha et continua son avancer. Une fois derrière le stand elle se fit tomber avec douceur. Les quelques garde eurent le droit de dormir. Mayu parla dans sa tête.

Tu es trop gentille.

J'aime pas tuer.

Ce fut la seule réponse. L'humaine sortie de sa sacoche des petite bombe, de quoi faire du bruit mais sans que cela ne puisse blesser quiconque. Elle les plaça et attendit les trente minutes. Les bombe explosèrent créant une cohue, certain garde voulut récupérer les esclave, mais Fiela intervint pour les stopper, il y a aurait du monde à l'hôpital ce soir, elle pratiqua une de ces techniques pour couper toutes les chaines en même temps.

Fiela se planqua dans une ruelle, un garde l'avait blessée aux côte et elle saignais, elle prit un linge propre et pansa sa plaie, elle mit sur elle une cape pour masquer sa blessure, cela n'allait bien sur servir à rien si il y avait une fouille rigoureuse. Elle se fondit dans la foule et fut heureuse de voir le père et la fille réunit. Elle n'entendit pas la voix de Mayu qui lui murmurait dans sont esprit de faire attention aux événements proche et percuta sans faire exprès un colosse, la fillette se retrouva le cu par terre. Sa cape n'avait pas découvert la blessure à la vue de ce géant.

- Excusez moi je voulais fuir cet explosion, vous devriez faire de même, le stand peut s'écrouler sur vous.

une seconde plus tard le stand s'écroula sur lui même, réduisant à néant plus de douze heures de boulot et une réputation parfaite. Fiela se releva et épouseta sa cape, comme une habitante de cette ville l'aurait fait. Autant se passer pour quelqu'un de la ville, cela passe mieux inaperçu et ces vêtement ne gênerais en rien, cela donnait juste une touche d'originalité. Mayu étais caché dans son dos et on ne pouvait le discerner sous la cape.

Alors que la vente touchait a la fin et que les nobles allaient récupérer leur prix durement gagnés Don se leva pour aller vers le stand, c'était la procédure habituelle, il était toujours là au comptage des pieces, parce qu'il ne voulait être entubé par personne, surtout pas les gens de son coté, car il ne les connaissait que trop bien, ils étaient des loups prêts a le mordre a la moindre occasion, et il ne leur en voulait pas pour ça, il était pareil qu'eux, dès qu'il l'insatisferaient ils se retrouveraient avec la tête éclatée contre le mur. Don n'avait aucune envie de discuter quand deux des choses qu 'il cherissait le plus était en danger :les esclaves, et l'argent. Don s'avança donc tranquillement au moment ou une explosion fit vibrer toute la place de Nexus, des gens levèrent des yeux ronds comme des soucoupes alors que Don levait les siens ahuris depuis son stand.

Des bombes.

De la poudre.

Ce fut aussitôt la panique dans tout Nexus, l'utilisation de la poudre a canon, interdite sur le marché, faisait de la personne qui avait provoqué l'assaut une hors la loi qui méritait la peine de mort selon la loi de Nexus non seulement, mais également d'Ashnard. Et Don dont les yeux exorbités commençaient a se parcourir de veines rouges alors que les siennes battaient sur ses tempes serra les poings. Si la garde ne tuait pas le responsable, il le ferait de ses propres mains. Courrant vers son stand, bousculant les badauds qui trainaient sur son chemin avec une force telle qu'ils renversèrent certains établis d'autre vendeurs d'esclaves. il se précipita sur les lieux ou son bonimenteur était en train de rassurer les nobles, qui se précipitaient en dehors de la foule. Mais bizarrement, un seul noble semblait ne pas se presser. Don plissa les yeux. Bien sur, il aurait du s'en douter arrivant parmi les nombreux badauds qui observaient l'affaire, Don se mit dos a un mur et lança au bonimenteur

"Charles, engage des assassins et dégomme moi cet homme. Je veux sa tête sur mon bureau d'ici demain matin ainsi que celle de sa femme et de tous les membres de sa famille qui ne sont pas rentables, fait marcher les reseaux de mendiant pour savoir qui a de la poudre dans la ville et va dire au mercenaire de me les emmener devant moi, je les veux en même temps que la tête de ce vieux porc. Ainsi que sa fille, intacte."

-Ce sera fait maître

Don fit claquer sa cape et se retira. Aucun echange de regard des mouvements de lèvres imperceptibles, aucun moyen de prouver qu'ils étaient de mèche. Charles ne l'appellait pas maître car il était son esclave, Don était maître esclavagiste de Nexus. Le defier, c'était défier un des hommes les plus riches et influent de la capitale. L'argent est souverain a Nexus, ca faisait longtemps que Don était un client fidèle de toutes les entreprises criminelles ayant jamais existé dans la région. Les guildes de voleurs et d'assassins étaient a ses bottes et attendaient ses contributions avec impatience. Personne ne le trahirait car il avait assez d'argent pour surenchérir sur n'importe quelle demande d'assassinat et tout ceux qui s'y étaient risqués avaient vu leur tête déposée sur son bureau. Personne n'osait l'attaquer également. L'ignorante qui avait fait celà ne savait pas a quel point elle se trouvait dans la mouise jusqu'au cou. Car il n'y avait pas plus grande insulte pour lui qu'un assaut frontal. Dans très peu de temps, ca ne serait pas seulement lui, mais tout le Nexus de l'ombre qui la chercherais. Il n'avait pas trop d'inquiétude pour ses esclaves, bien qu'elles se soient échappées contre toute attente, ce qui lui laissait dire que son adversaire n'était pas ordinaire: même si elles avaient été libérées au niveau des pieds, elles étaient toujours menotées et possédaient toujours le collier autour du cou, on verrait rapidement qu'elles étaient a lui et il faisait confiance a la garde pour les lui ramener, il la payait assez cher pour ça

Quand a la Duchesse, il la retrouverais d'ici demain, ramenée par les assassins. Et si elle s'était enfuie, alors son entrainement n'était pas encore assez performant, elle en pleurerais d'ici la soirée. Les esclaves de Don, quand ils étaient libérés, ne fuyaient pas. Ils avaient bien trop peur de leur maître si jamais il venait a les rattraper, mais il avait surement été laxiste sur sa dernière fournée. Il ferait en sorte que celà ne se reproduise jamais. Jamais plus. Il commencerait par la première qu'il récupérerais et ensuite...

Alors que son esprit était absorbé par ses idées de vengeance il rentra dans quelqu'un qui s'excusa, devant elle, une très belle femme, mais autre chose lui tapa a l'oeil, ou plutôt au nez, cette femme portait l'odeur de la poudre, odeur qu'on a sur soi que lorsqu'on a transporté de tels explosifs.

Le Faciès de Don se déchira en un horrible rictus qu'il fit passer pour un sourire bienveilalnt alors qu'il aidait galament Fiela a se relever.

"Je vous en prie je m'apprétait a le faire en effet. "

En saisissantla main de Fiela, son pouvoir fit immédiatement action, supprimant tout pouvoir que Fiela pourrait avoir pendant une durée égale en minute au nombres de secondes du contact. En l'occurence deux, néanmoins si Fiela n'utilisait pas son pouvoir (Si elle en avait un) elle ne se rendrais pas compte de la supercherie. Don avait répondu avec naturel et élégance malgré tout, son jeu d'acteur reprenant le dessus. Il savait que c'était le seul moyen de pieger une personne qui pourrait s'avérer être une mercenaire, plusieurs pierres tombèrent derrière lui, il s'empressa de saisir la main de Fiela et lança

"Venez, ne restons pas là"

Fit il en la tirant derrière lui, se rendant du coup très soudainement galant et aimable, préocupé du sort de Fiela quand a cette horrible explosion...En réalité il utilisait surtout celà comme prétexte pour prolonger le contact physique au maximum et drainer son pouvoir si elle en avait un pour le plus de temps possible. Lorsqu'ils furent une rue après celà, il la libéra

"Voilà, je crois qu'on ne risque plus rien ici."

Don sourit, il avait l'air d'un géant pacifique et plutôt aimable, en réalité derrière son sourire, ses dents se frottaient comme des folles, de rage contenue.

"Je suis Dorian Garan, ravi de vous rencontrer."

Fiela fut surprit de la puissance de ces petits pétard. Le marchand lui avait dit qu'ils étaient pas puissante, ce sera la dernière fois qu'elle achètera quelque chose chez lui. Don agrippa sa main et l'emmena plus loin, puis il se présenta.

- Excusez moi de ne pas m'être présentée. Fiela, je suis exorciste, je traquait un esprit quand l'explosion à eut lieu. C'est gênant car il est faible mais très farceur et je dois le renvoyer avant qu'il ne fasse d'autre bêtise.

Elle avait prit une attitude un peu gamine, mais elle ne devait pas rester trop longtemps prêt de l'accident, cela aurait attiré beaucoup de soupçon. Elle salua  et partie, l'ennuie fut la mauvaise impression d'être suivit et pire, observé. Mayu susurra dans l'esprit de l'humaine.

Tu le sent aussi cet sensation que le monde te cherche, je ne sais pas à qui était ce stand mais il semble avoir de l'argent et surtout du pouvoir.

Comme pour confirmer ces dire un assassin apparut en face de Fiela. Cette dernière n'eut pas le choix, elle devait combattre et tuer si nécessaire. Elle dégaina Mayu, qui brilla de son éclat maléfique, et fit tomber sa cape, dévoilant sa blessure et montrant à son adversaire qu'elle allait se battre avec un minimum de respect.

- C'est dommage ! Une si jolie jeune fille comme toi gâcher sa vie de cette …

Il ne put finir sa phrase, Fiela était concentrée pour ce battre, le plus dangereux quand on combat un humain, c'est de le sous-estimer. L'assassin faisait les frais de cette erreur. Un coup frôla sa tête et un revers lui coupa net le poignet gauche. Elle répéta ce que Mayu lui disait.

- Arrête tous de suite, tu ne peus pas battre un démon, alors comment penses-tu me battre. Je te laisserai partir, même si cela ne va que retarder ta mort, libre à toi de savoir si tu veux mourir de ma lame ou celle de ton supérieur, sachant que ce dernier te donnera une mort plus rapide.

Fiela connaissait les règles des assassins, tous les différentes confréries étaient enseigné à l'école. L'assassin partie dans l'ombre et ce fut à ce moment que son corps lui rappela qu'elle n'avait pas prit les précaution nécessaire, son bras droit était paralysé et il faudrait attendre trente minutes pour le restaurer, elle crachat aussi du sang, assez de quoi l'obliger à s'accouder sur un mur, elle concentra son ki sur ces blessure pour les soigner, mais rien ne se passa, comme-ci son corps n'avait plus assezde ki. Quelque chose n'allait pas, son ki ne pouvait pas être partie aussi vite, après une seule technique. Elle pensa à toute les éventualité, elle aurait put respirer une poudre, la lame du garde pouvait avoir aussi un rapport, Dorian ... non elle le saurait si il y avait une personne capable par le simple toucher d'anihiler le ki.

- Mayu je voudrait que tu me donnes ton énergie le temps que cela revienne.
- Tu sais je commence à avoir faim.
- Quand j'aurais retrouver mon ki je te donnerais ton du.
- Ok, ça marche.

Fiela ressentit la puissance de Mayu s'insinuer dans ces veines et donner juste de quoi permettre aux cellule de vivre, elle ne pourrait pas utiliser ces techniqes. elle devait trouver un endroit où se soigner, sa plaie continuait de couler et elle n'avait plus que sa main gauche pour combattre de possibles adversaire, sans compter que si il y avait un assassin, il n'y avait aucune raison que son client soit aussi une cible potentiel.

Don n'allait certainement pas laisser une proie aussi farouche lui filer entre les mains. C'était la première fois qu'une de ses proies faisait autant de dégats dans ses rangs et tant qu'il n'aurait pas récupéré il ne pourrait pas se montrer a nouveau tête haute parmi les nobles de son espèce. Il sentait ses tripes se serrer rien que de penser a cette donzelle qui l'avait mis en peril et il avait plus qu'envie de faire justice soi-même, il pris donc le parti de suivre discrètement la jeune femme, profitant du mouvement de foule pour se fondre dedans, enfin, fondre n'était pas vraiment le bon mot car Don faisait facilement deux têtes de plus que tout le monde et dominait ainsi la foule moyen-ageuse a ses pieds, si elle le remarquait il pouvait pretexter qu'il allait dans la même direction où qu'il voulait l'aider a retrouver ce sois disant démon, il fallait s'écorcher la gorge a en rire quand il y repensa et se calma, il aurait largement le temps de réfléchir a différents moyens de punir cette impertinente lorsqu'il l'aurais capturée et ramenée au campement. Il avait hate. il avait vraiment hate. Mais comme tout professionel il savait se pondérer et rester calme, l'exitation et l'expectation de voir cette jeune femme rejoindre ses prisons ne devait pas l'empecher de faire ce qu'il aurait a faire au moment crucial.

Surgit alors un assassin devant Fiela ce qui mine de rien, enseigna enormement de choses a Don en très peu de temps. La première était qu'il y avait déjà des gens qui la recherchaient avant qu'il ait posté son avis de recherche, car Charles n'aurait jamais pu aller aussi rapidement contacter ne serais ce que la première des guildes d'assassin de Nexus, même si il avait chargé plusieurs messagers de s'en occuper il n'aurait jamais pu avoir un assassin aussi rapidement, car il fallait traiter la demande, fournir de la documentation sur la cible, négocier du prix avec les chefs de guilde, aucun assassin n'aurait pu être aussi rapide. Par conséquent il s'agissait de quelqu'un qui la poursuivait depuis un moment. Le second indice était que cet assassin était de toute évidence un amateur, car un véritable assassin n'apparaissait a sa cible qu'au moment où il était trop tard. En provoquant le combat de face, cet assassin était sur d'être si ce n'est tué, blessé et repéré par d'autres personnes, ce qui criait avec la voie habituelle de l'assassin et Don savait qu'il ne payait que les meilleurs pour faire leur travail. La troisième chose qu'il apprit était qu'une confrontation de face avec sa cible serait perdue d'avance vu l'aisance avec laquelle elle découpait cet homme.

C'était du suicide de vouloir l'attaquer de face, d'autant plus lorsque la jeune femme lança qu'elle était un démon. Il etait effectivement peu indiqué d'affronter un tel ennemi grâce a des moyens conventionels, un démon ça n'était pas rien, même si elle ne possédait pas son pouvoir elle en restait redoutable, tout comme il l'imaginait. Mais elle sembla se rendre compte que sa magie n'était pas accessible et a celà Don vit qu'il devait agir vite. Il avait déjà un plan. Pour l'instant les pouvoirs de Fiela ne voulaient pas fonctionner, mais ça pouvait également passer pour un manque de concentration du a la douleur lancinente Don débarqua donc sur les lieux du combat et regarda Fiela avec un faux étonnement, avant de se précipiter

"Mon dieu, vous vous êtes fait attaquer?Vous allez bien?"

Fit il tout en se penchant vers fiela, l'air réellement inquiet

"Ca a l'air grâve, vous pouvez bouger?Venez chez moi, j'ai de quoi vous remettre d'attaque."

Fit le marchand d'esclave avant de la prendre entre ses bras pour la porter délicatement, n'attendant pas sa réponse pour se diriger vers son "chez lui", profitant également du contact pour neutraliser son pouvoir encore plus longtemps que permis.

Fiela fut surprit de voir don apparaître comme par magie. Il s'inquieta de l'état de l'exorciste, cette dernière répondit à toute ces question.

- Ce n'est rien ! Juste une petite égratignure causée par le petit démon farceur.

A vrais dire Fiela avait du, dans le passé, tuer un membre éminent du cercle des assassins pour renvoyer un démon fort puissant dans les limbes. Du coup elle se trouve avec une grande majorité de guilde d'assassin sur le dos.

- Je vais bien …

Don la prit dans ces bras et ce fut à ce moment que Mayu discuta dans la tête de Fiela.

Il est vraiment serviable, mais ne te laisse pas ramollir, rien ne dit qu'il est  vraiment gentil.

Il ne peut pas être méchant, sinon il aurait profiter de ma faiblesse.

En tous cas écarte toi de lui le plus possible, je ne l'aime pas.

Bon si tu veus, je vais un peu m'écarter, mais si il est gentil tu fais un croix sur ta ration.

Mayu ne dit plus rien, elle n'aimait pas quand sa ration de sang était en jeu, autant ne pas insister. Fiela, quand à elle, mit pied à terre en disant au colosse. Puis elle remit Mayu sur son dos.

- Je peus encore marcher, c'est gentil de votre part de vouloir me porter, mais si je ne m'endurcis pas maintenant , je ne le ferais jamais.

Le ton ne permettait pas d'avoir une quelconque réflexion sur son choix. Elle avait toujours agit ainsi, c'est quand on est faible que le corps s'endurcit le plus. Elle peinait à faire un pas après l'autre, mais elle suivait quand même, sa force d'esprit était trop forte pour que des blessures l'arrête, elle pouvait même monter des escaliers. Bon il était sur que si il y avait un fauve dans le coin, il n'aurait nullement  du mal à suivre la trainée de sang qui s'échappait de ces plaies. Seule sa faiblesse permettrait à Don de la plier sous sa volonté et encore c'était peu probable au vue de sa force psychologique.

Fiela refusa de se faire porter entre ses bras mais celà, loin d'arrêter Don, le fit sourire aimablement. Il avait encore d'autres cordes a son arc, le marchand d'esclave lança avec une admiration palpable tandis qu'elle se levait

"Vous êtes vraiment courageuse, mais vous ne devriez pas vous pousser autant, tout le monde a ses limites!J'admire votre bravoure, mais si cet homme n'était pas seul vous aurez du mal a lutter et l'endurcicement que vous pronez ne pourra jamais servir, allons, laissez moi vous tenir la main, ainsi nous irons plus vite et nous pourrons les semer."

Lança Don avec ferveur. Non seulement le contact de la main avec celle de Fiela allait activer son pouvoir et donc drainer le sien pour un peu plus de temps, mais en plus en la tirant sur de longs passages il l'épuiserait plus vite, et c'était bien ce qu'il comptait faire, car de ses repères, il n'y en avait qu'un seul qui correspondait a ce qu'il voulait. Don possédait plusieurs planques dans Nexus, il allait là lorsqu'il récupérait une jeune fille comme Fiela et qu'il ne pouvait pas se permettre de la trainer jusqu'a ses prisons avant de l'avoir affaiblie. Et le repère, qui évoquerais une demeure plutôt riche, se trouvait a l'autre bout de la ville, en y allant, il allait considérablement épuiser Fiela qui allait se vider de son sang. Si elle ne finissait pas dans ses bras avant la moitié du trajet, c'était un véritable miracle. Don était quelqu'un de patient, très patient. il allait attendre que sa proie ne puisse plus se défendre et frapper au moment où elle baisserais sa garde, il fallait juste attendre le bon moment, et le bon moment allait arriver.

Deux bonnes heures plus tard, ils arrivèrent devant la demeure de Don, c'était un riche petit manoir qui pouvait appartenir a un petit bourgeois, mais pas a quelqu'un de trop riche, ce qui correspondait avec ce quoi Don ressemblait pour le moment, il la fit monter au premier étage dans son bureau personnel, et la laissa s'allonger sur le canapé tandis qu'il ouvrait une armoire.

"Je vais désinfecter la blessure et la traiter."

Fit Don alors qu'il ouvrait l'armoire et sortait divers medicaments de l'époque, il descendit et revint avec un fer porté au rouge.

Il s'agissait de medecine du moyen âge, rien de bien impressionant, il allait refermer les plaies a l'ancienne, et ça jouait totalement dans son sens, puisque si Fiela savait qu'il connaissait le monde exterieur, elle se mefierais de lui, qui plus est, lui faire croire qu'il était medecin, expliquerais pourquoi il vivait dans une telle opulence?

Mais pourquoi soigner Fiela?Eh bien pour une bonne raison, le processus de soin était extrèmement douloureux, tellement que même les guerriers les plus robustes finissaient par perdre connaissance au contact du fer au rouge ainsi que de l'aiguille et du fil. Il esperait que Fiela perde connaissance pendant la procédure. Si elle venait a garder conscience, elle n'en serait que plus faible.

QUoi qu'il en soit il frapperais après ça

Fiela fut surprit quand Don lui prit la main et pressa le pas. A ce moment là Mayu reprit sa conversation psychique avec l'humaine.

(petite rire) Il n'est pas si gentil que ça ton Don à te forcer. Je continue à dire qu'il nous cache quelque chose. Reste sur tes gardes petite, sinon le méchant loup va te gober.

L'exorciste ne répondit pas à la remarque, elle était trop occupée à tenir le rythme. De sa main valide elle arracha sa chemise verte pour s'en faire un garrot, cela la permettrait de tenir plus longtemps. Même si elle était faible, elle enregistra tous le parcourt. Deux heures ne suffirent pas à l'affaiblir assez, les combats répétitif contre Larnur étaient beaucoup plus dure physiquement et psychologiquement, faite une bataille avec une démone qui s'amuse à s'insinuer dans votre esprit et vous verrez si vous avez ou non l'envie de la sortir de votre tête. Quoi qu'il en soit après cette balade dans la ville ils arrivèrent devant une maison fort banal. Une ville de bourgeois, enfin de jeune bourgeois, tout à l'image de son acquéreur. Don fit monter Fiela au premier et la laissa s'installer sur un canapé.

L'humaine entendit son interlocuter dire qu'il allait désinfecter, aussi l'exorciste défit son garrot avec précaution, retira son haut blanc, dévoilant sa poitrine, il y avait un bandage qui faisait office de soutien-gorge. Elle n'était pas pudique, car elle avait eut beaucoup de combat où elle finissait en petite tenue. Elle regarda l'éclat de Lehihu, son collier, et vit une couleur normal pour un humain, mais il y avait une teinte de la couleur d'un démon.

En entendant Don revenir elle le planqua vite fait sous ces affaires. Fiela le vit avec un fer chauffé, cela ne la surprit guère, les ancienne méthodes étaient toujours les meilleurs. Elle prit la parole, mais cela se voyait, déjà sur son visage pâle et ces yeux mi-clos qu'elle était proche de sa limite.

- Je suis prête.

L'humaine prit son katana sortie la lame et mit la partie non tranchante dans sa bouche en serrant les dents, elle se détendit et ralentit sa respiration, pour diminuer l'activité cérébrale et donc ralentir la propagation de la douleur. Tout était dans la technique. Elle réprima un crie de douleur quand il commença son travail. Il fallait beaucoup de temps pour bien faire ce genre d'opération, mais Fiela résista pendant toute la manipulation. Elle était crevée, mais avait quand même assez de force pour bouger rapidement si le besoin s'en faisait sentir.

Fiela avait bien plus d'endurance qu'il ne le pensait, ça commençait a l'enerver serieusement. Il aimait avoir de la résistance, certes, mais pas au point que celle ci résiste a ce point, il n'allait pas avoir d'autre choix que de la droguer, c'était ça ou lui coller une droite pendant qu'elle était concentrée ailleurs pour la mettre Ko dans cet état de faiblesse providentiel. Elle avait une endurance...Demoniaque, lui qui l'avait prise pour une jeune peronelle se retrouvait devant un morceau de viande qui, si il ne le machait pas avec précautions, finirait par l'étouffer. Mais le marchand d'esclave était habitué a ce genre de traitement. Il avait donc deux choix, soit la tasse de thé dans laquelle il aurait versé une de ces drogues inodore et incolore, qui n'avait aucun gout et qui la plongerais dans un état comateux pour quelques heures, soit lui mettre carrement un gnon et risquer d'abimer la marchandise. Malgré son exaspération sa manière calme d'analyser la situation faisait de Don l'ennemi le plus redoutable que beaucoup avaient jamais rencontré, et quand on savait qu'il ne savait ni se battre, a peine tirer, mais était surtout costaud et utilisait sa force pour dominer les autres une fois qu'il les avait roulé dans la farine.

La vérité c'était que Don détestait avoir a se salir les mains lui même, et était loin d'être du genre a affronter de face dans un duel plein d'honneur et de droiture ses proies. Pour l'instant Fiela ne se doutait pas de qui il était. Il avait donc le choix de briser sa couverture ici et maintenant en la mettant KO au moment où elle s'attendait le moins a l'être, ou bien continuer a jouer le jeu et prendre le risque qu'elle soit une démone, et que la drogue n'aie pas d'effet sur son organisme. Néanmoins si Fiela était humaine, la dose serait plus que suffisante. Don avait traité la plaie avec soin. Il savait s'occuper de ce genre de choses proprement, quand on était blessé au beau milieu d'un monde moyen-ageux, ça aide, il pouvait donc sans crainte se faire passer pour un medecin de l'époque, ses connaissances étant bien supérieures a celles de ces charlatans. Il recousut donc la plaie avant de la cauteriser avec le feu d'une manière très professionelle. Bientôt cette blessure ne serait plus qu'une cicatrice. Autre chose qu'il avait appris: Fiela ne se souçiait pas d'abimer sa lame avec ses dents, un travail d'artisant comme celui ci était plutôt fragile et la machoire humaine pouvait arracher de la chair quand celle ci était motivée par de la douleur, c'était pour ça qu'on choisissait un objet solide a mordre.

Par conséquent cette épée était magique. Car capable de résister a l'usure. Il devrais lui ôter.

Au final il décida de prendre le plan sophistiqué, car après tout, si il usait de la force ici et maintenant celà rentrerais en contradiction avec son plan de tout avoir par la douceur...Si il utilisait sa force il prouvait a Fiela que son cerveau n'était pas capable d'imaginer d'autres solutions pour la retenir avec lui. Il lui montra donc le bureau où tronnaient deux tasses.

"Pourquoi ne pas nous remettre de nos emotions avec une bonne tasse de thé?"

Fit il en s'asseyant a sa place

"Et peut être pourriez vous me parler un peu de ce démon que vous poursuivez?"

15 secondes après avoir bu sa coupe de thé Fiela se retrouverais dans un état tel qu'elle ne pourrait pas manier son épée. Mais elle resterais consciente...

Et c'était ça le meilleur.

Don finit le travail et amena Fiela à un bureau. L'humain avait laissée remit le collier autour de son cou et prit Mayu avec elle. La salle était chaude et donc l'exorciste n'éprouva pas le besoin de remettre un haut convenable. Elle ne refusa pas un bon thé et expliqua l'histoire imaginaire du démon, en fait, pour paraître crédible elle prit une de ces expériences passées.

- Il s'agit d'un fantôme de classe B, il n'est pas méchant, mais comme ils ont la possibilité de faire bouger des objets léger, cela peu causer des ennuies. Il s'appelait Farbrusse, il c'est suicidé il y a bientôt cinq ans et a prit une forme assez inoffensive, il aurait put tout aussi bien devenir un spectre vengeur donc de classe E, il ne …

C'est à ce  moment là que Mayu intervenu, encore.

Dit tu m'écoutes oui ou merde, cela fait des plombe que j'esai de te parler. Tu vas rester longtemps chez ce type, j'ai bien vu ton regard sur Lehihu et cela ne semble pas te suffire en plus de mon pressentiment. Je te donne ce conseil : Jusqu'à que tu sois en forme n'accepte rien de lui, cela pourrait être un mouchard ou pire un tueur.

Ok ,ok . Je peux au moins boire ce thé.

Tu veus te ramasser un coup ?

T'es chiante !

Moi aussi je t'aime.

Fiela avais lancée un regard d'agacement sur Mayu et reprit sa phrase comme-ci de rien n'était.

- Comme je le disais il ne fut pas très dure de le renvoyer, seulement il n'était pas consentent et m'a un peu blessé. C'est à ce moment là que vous êtes venu.

L'humaine regarda l'horloge et fit semblant de s'étonner.

- Ho ! Vous avez vue l'heure ? Je dois  me dépêcher de partir, mon client dois se faire un sang d'encre de savoir si j'ai réussit ou non.

Elle voulut se lever, Mayu dans sa main gauche, mais ces forces le manquèrent. Fiela prit alors appui sur la table et força sur ces bras, en se concentrant sur chacune de ces actions. Elle ne faisait plus du tous attention à Don. Ce dernier aurait put prendre la tasse et la faire ingurgitée de force sa drogue. Mayu le surveillais du coin de l'oeil, mais ne pourrait que prévenir trop tard des action du colosse.

Fiela vint prendre le thé comme il l'avait prévu et expliqua cette histoire de démon pendant que Don l'écoutait, naturellement il l'observa de manière courtoise pendant tout le réçit et se focalisa sur ses rétines, en voyant dans quelle direction ses yeux allaient c'est a dire, vers la droite, il voyait qu'elle faisait appel a sa mémoire, et que donc son histoire n'était pas la vérité, mais il le savait, il n'avait pas besoin qu'elle vienne le lui confirmer. Lorsqu'elle porta le thé a la bouche, il savait qu'il avait déjà gagné. Et que la lutte pour obtenir que cette petite idiote soit punie était finie, bientôt elle tronnerais au milieu de sa collection d'été avec la fille de cet imbécile de duc qui serait mort d'ici ce soir. Croisant les bras il écouta l'histoire et lança naïvement

"Je ne comprend pas très bien, je n'ai jamais vraiment été confronté a des fantomes, mais ce que vous me dites est surprenant, quel courage!"

Elle allait en avoir besoin de son courage...Et dans une periode imminente. Elle mentit encore une fois a propos du démon qui l'avait blessé et Don acquiesca, cette fois, pas de doute possible, elle prétexta de filler et Don voulut se lever pour la retenir, puisque visiblement sa drogue n'avait pas fait effet, néanmoins elle s'effondra et s'appuya sur la table.

C'était gagné.

Don se précipita vers Fiela de manière naturelle et la soutint par l'épaule

"Mon dieu, vous allez bien?Vous êtes encore fai..."

Il ne finit jamais sa phrase et abbatit son poing en plein ventre de la jeune femme tandis qu'il l'envoyait au tapis, il arracha l'épée et la balança dans un coin de la piece.

Le marchand d'esclave fronça les sourcils.

"Profite bien de tes derniers mensonges, petite idiote. Personne ne défie Don et reste impuni."

Et sur ce il la saisit par les cheveux et la traina en dehors du cabinet.

Fiela allait le remercier quand un coup dans le ventre coupa son souffle et la fit écarquiller ces yeux de surprise. Mayu ne put rien faire, elle avait voulut dire à l'humaine de faire attention à ces moindres gestes, mais le coup l'avait elle aussi surprit de plus le contact avec la paume de Don avait affaiblit l'artefact, cette dernière ne pouvait pas prendre son apparence spirituel. Fiela , quand à elle cracha un peu de sang, pendant que Don la tirait par les cheveux, elle réussit à articuler.

- Art du dragon : Fouet dorsale.

Elle réussi à faire décoller ces pied du sol, avec la force du désespoir et à frapper la colonne vertébrale du colosse, mais le choc était insignifiant. Ce qui étonna l'exorciste.

- Qu'est-ce que tu m'as fait boire, je ne sent plus mes muscles, ils sont faible.

Une idée perça son esprit et si c'était un poison ou un paralysant puissant. Son corps commença à trembler à cette idée, elle essaya de parler par pensée à Mayu et sa voix était pleine de peur.

Mayu ! Mayu ! Aide moi ! Je ne veux pas mourir ! AIDE MOI MAYU !

La voix du katana semblait épuisé.

Malheureusement princesse ce type a un pouvoir qui m'a vannée, je pourrais te suivre discrètement, mais je ne pourrais agir que d'ici deux trois minutes, pendant ce temps détend toi, si le liquide était un poison il t'aurait laissée crever à petit feux, dès que j'ai suffisamment de puissance je t'aiderais, tous ce que je te demande c'est de rester calme, sinon tu ne pourras pas reprendre la situation en main.

J'ai comprit. Mais fais vite.

Je ne laisserais pas ma servante dans les mains d'un gorille.

Le visage de Fiela arbora un sourire, Mayu savait calmer l'humaine quand la situation était dangereuse. Fiela coupa le contact et examina le parcourt que Don lui faisait prendre, cela serait utile quand elle s'échappera.

Dès qu'il ressentit l'attaque Don écrasa la tête de Fiela contre le mur avant de la soulever contre lui par la gorge, au point de l'étrangler. Le marchand d'esclave avait perdu toute avenance sur son visage et on ne pouvait y lire que du mépris et de la haine. Mais également un sourire revenchard alors que Don lui lançait avec un ton meilleux

"Tu sais, normalement je met un point d'honneur a ne pas abimer la marchandise."

Il leva la tête de Fiela et sourit avec douceur

"Je vais faire une exception pour toi."

Et sans plus attendre il la balança dans les escaliers, il en avait certes déjà descendu la moitié, mais la chute allait peut être accentuer encore plus la douleur. Don, le sabre de Fiela toujours en main descendit les marches avec patience et s'accroupit en face d'elle en lui souriant

"Première règle: Si tu ne veux pas souffrir, tu obeis, et si tu pense avoir connu pire dans ta vie crois moi ce que je t'ai fait n'est que le début, et si tu fanfaronne encore dans quelques semaines ton esprit sera aussi brisé que ton corps et me suppliera clémence."

Il saisit a nouveau Fiela par les cheveux et la traina derrière lui.

" Le fait que tu sois un démon, ou quoi que tu sois ne m'impressione pas, toute puissante que tu es tu es toujours tombée dans mon piege."

Don accrocha les poignets de Fiela a des menottes de fer suspendues au plafond tandis qu'il s'avançait jusqu'a elle

"Crois moi, je vais te faire payer ce que tu as fait, je vais te faire payer comme personne n'a jamais payé. N'aie pas peur, car je ne te tuerais pas, mais tu regrettera que ça ne soit pas le cas."

Et sans plus attendre Don saisit le haut de Fiela et le déchira sans autre forme de procès avant de saisir les bandes retenant sa poitrine et de les arracher également

-Hj-Tu peux décrire tes vetements, enfin ce qu'il en reste XD-Hj-

Fiela eut l'honneur de goûter à la dureté du mur et après à la poigne de Don, elle aurait certes criée de douleur, si l'instinct de survie ne lui dicte de retenir un maximum sa respiration pour éviter de suffoquer. Elle entendit ce que le colosse dit et sentit à se moment qu'il la balançais dans l'escalier, elle utilisa toute sa force mental pour réussir à bouger ces bras et protéger sa nuque, les bras furent douloureux et écharper de  toutes part, l'escalier étant vieux, il y avais des endroits où le bois était coupant. Fiela était trop occuper à tenter de se retenir de crier qu'elle n'avait pas peur et regardais le plafond.

L'humaine essaya de parler avec Mayu, mais elle n'entendait que son souffle saccadé, comme si l'âme souffrait. Fiela sentit son dos être arrêté par une poutre, son visage se crispa de douleur, mais elle laissa deux larmes couler en murmurant le prénom de l'arme, elle tenait à cette âme comme si elle était une sœur, voir une mère.

Elle entendit la soi disant première règle de Don et sourit, elle sentit ces cheveux être prit par la poigne du colosse et se fit trainer et entendant Don se vanter d'avoir eut Fiela dans son piège aussi puissante soit-elle.

Elle fut attaché et Don s'affaira à lui retirer son haut et son bandage. Elle avait toujours son ruban noir dans ces cheveux, ainsi que sa jupe verte et, en dessous, une culotte bleu marine et avait son collier autour du cou, ce dernier émettait la couleur de l'humain et divers tâche de couleur représentant, la haine, l'esprit démoniaque de l'humain et une âme sur le point de disparaitre

Fiela réessaya de contacter Mayu et n'entendit qu'un souffle presque mourant venant l'âme du katana, à ce moment elle eut une mine effrayé et elle paniqua, c'était impossible que Mayu meurt, elle avait vécu trop longtemps avec l'humaine pour s'en aller comme ça. Elle se rappela de ce que Mayu avait dit à propos d'un possible  pouvoir dans les mains de Don, elle cria vers le colosse, sa voix était submergée de peur, celle de perdre quelqu'un de cher à ces yeux.

- LÂCHEZ CE KATANA ! L'ÂME A L'INTÉRIEUR EST SUR LE POINT DE MOURIR, LAISSEZ LA VIVRE !

Fiela pleurait et priait Don de rompre le contact avec le katana. Elle ne voulait pas que sa première amies et sa confidente meurt et la laisse tous seul en ce bas monde, elle se sentirait à demi-morte si cela devait arriver.

Elle avait déjà vue une fois une de ces camarade mourir devant ces yeux, à l'époque elle ne savait pas soigner et la victime avait agonisé devant ces yeux avant de rendre son dernier soupir, Fiela ne voulait pas encore une fois voir ça et sentir ce sentiment d'avoir elle même tuée, quelqu'un qui aurait du vivre, de ces propre mains.

Don s'occupait de Fiela avec tout l'interêt qu'il pouvait lui procurer. Il fit craquer ses doigts, deux fois alors qu'il saisissait la beauté par le menton et la forçait a le regardait dans les yeux pour qu'elle puisse voir qui allait la briser, qui allait la soumettre a sa volonté. Don eut un petit rire nerveux alors qu'il était en train de passer en revue tous les moyens qu'il possédait de la faire craquer, autant de tortures raffinées que de sévices dont il avait le secret, tellement de choix, si peu de possibilité. Mais Don se rassura, il allait avoir tout le temps qu'il lui faudrais pour tout appliquer, Fiela allait en connaitre plus que les trente dernières esclaves qu'il avait formé. Don caressa du dos de sa main la joue de Fiela pour la dégouter un peu plus de sa défaite, tout en prenant un ton rassurant avant de glousser

"Alors, est ce que tu as retenu la leçon?Est ce que tu sais qu'il ne faut pas s'opposer a moi espèce d'insecte, de misérable mercenaire?"

Don allait poursuivre mais elle se mit a crier, sa voix était pleine de peur et suppliait la survie de son sabre. Don regardait l'objet qu'il tenait entre les mains. Alors comme ça c'était une arme magique, Don lança poliment

"Je ne savais pas que cette arme était magique, une raison de plus pour que je la détruise."

Fit il avec douceur tandis qu'il avançait près de sa "table de travail" parmi les différent objets de torture se trouvaient des fers portés au rouges plongés dans les braises, il suffirait de mettre le katana dans celles ci et de le frapper avec un marteau pour le rompre, Don saisit le katana et le porta aux flammes

"A moins que tu ne veuille te montrer coopérative, et peut être..."

Fit il en eloignant le katana des flammes alors qu'il s'approchait de Fiela et descendait la chaine pour que ses pieds touchent le sol, sa main suspendait le katana au dessus des braises alors que son autre main déboutonnait son pantalon et saisissait son membre impressionant, membre qu'il colla a la joue de Fiela

"Allez, occupe toi de ça, de ta réussite dépendra la survie de ton arme."