La peur la rendait maladroite, et elle n'avait pas assez de force pour faire reculer son prédateur. Celui-ci, ayant fini sa cigarette, jeta le mégot dans une poubelle proche. Finit de jouer maintenant.
Un peu déçu, il avançait lentement vers la Fouine. Il en avait un peu assez qu'elle ait peur de lui. C'est vrai qu'il faisait peur, qu'il était totalement cinglé, mais il lui avait pourtant affirmer qu'il ne la tuerait pas. Et malgré ça, elle continuait de trembler de peur.
Dans ces yeux rouges se reflétaient désormais la folie sans faux semblant. Ce qui était peut être plus rassurant, vu qu'au moins on savait ce qui nous attendait.
" J'ai dis que je te rendrais service. Pas que j'arrêterais de te courir après. "
Immédiatement après avoir fini de parler, le JYL attrapa la jeune femme par la main, effectua une nouvelle valse qui les conduisirent tous deux dans une cabine de déshabillage, dont il verrouilla la porte et bloqua le passage. Plaçant la jeune Fouine dos à lui, les bras bloqués dans le dos, il cala sa tête sur l'épaule gauche de celle-ci, et de sa main libre parcourait l'avant de son corps; les seins, le ventre, la cuisse... Remontée, frôlement de l'entrejambe, remontée, encore, sur l'autre sein. Il prenait un certain plaisir à attarder ses paluches sur les parties féminines qu'on a pas besoin de préciser, prenant plaisir de la moindre réaction de la jeune fille, et appréhendant avec impatience le moment où il lui volera sa virginité, et ce faisant l'initiera aux plaisirs de la chair.
" C'est bien l'enseignement chrétien ça... Laisser une jeune fille, pure et innocente, aller dans cette grande jungle qu'est la vie, sans même lui apprendre à écouter et connaître son propre corps... Décidément, quels cons... "
En parlant de con, le membre viril de Daclusia commençait à vibrer d'excitation, se frottant au derrière de la Fouine, et, de temps en temps, la touchant jusque dans l'entre-jambe.
Le haut n'était pas inactif pour autant, car les manches de caoutchouc maintenant le maillot en place commençaient, pour l'une, à être basculée sur le bras par une main de l'homme, tandis que l'autre devait subir les coups de dents pointues et aiguisées de celui-ci.
De temps en temps, stoppant le lent déshabillant de cette innocente qui bientôt ne le serait plus, la main venait passer, danser, caresser la poitrine menue et bien moulée de la demoiselle.
Et ils en étaient à peine au commencement...