Un achat bien particulier (PV The Chanceler)

Crescentia avait enfin réussi à trouver le fameux centre commercial. Elle pourrait acheter de nouvelles affaires. Il faut dire que sa tenue n'était plus très présentable, elle était salit et présentait des trous un peu partout. Cela faisait un mois qu'elle c'était libérée du joug de ces parents. Elle n'avais pas changée de vêtement depuis tous ce temps.

Elle se guida via son odorat. Chaque chose avait une odeur bien particulière, le sol sentait le produit de nettoyage, le mur avait une odeur de peinture fraiche et chaque magasins avait une odeur distincte, elle passa devant une boulangerie, à ce moment son ventre cria famine. Elle attendit dans la file d'attente prit un sandwich et paya avec ces maigres économies. Elle pouvait savoir ce qu'il y avait dedans, mais le fait de n'avoir plus le sens du goût gâchait le plaisir.

Si on demandait à la demoiselle combien de femme était parfumées dans un rayon de cinq mètres, elle vous aurait répondu sans la  moindre hésitation, les parfum agressaient sont odorat sensible, elle aimait les odeur naturelles. Elle prit le temps de manger et partie à la recherche d'un magasin de vêtement, mais il y avait tellement de vibration autour d'elle, du au bavardage et aux pas des autre personnes au alentour, qu'elle se déplaça à taton, ces mains légèrement en avant. Elle fut reconnaissante envers les personnes qui s'écartaient de son chemin. Elle sentit enfin l'odeur du coton et autre constituant de vêtement. Une  caissière la voyant approcher vint la voir et prit précautionneusement son bras droit.

- Vous voulez que je vous aide ?

Crescentia eut un sursaut de surprise, puis sentit les mains douces de la caissière. L'avatar parla avec des signes voulant dire.

J'aimerais aller dans votre boutique acheter des habits.

- Mais avec plaisir. Suivez moi.

La caissière la fit entrer dans le magasin, il n'y avait pas beaucoup de monde, donc peut de vibration, la fille put se guider toute seule. Elle passa devant des robes sophistiquées, sentit leurs odeur et toucha pour ce faire une idée des robes. La caissière demanda si elle voulait de l'aide et Crescentia répondis qu'elle n'en avait pas besoin pour l'instant..

Il y avait une robe rouge avec un une grande ouverture au niveau de la poitrine, elle le mit de côté avec une robe très complexe qui mixait traditionnel et moderne. Cette dernière allait d'un gris clair au noir. Elle alla vers la caisse et écrivit sur un bout de papier, où se trouvait les cabines d'essayages. La caissière lui indiqua le chemin et il y avait dans sa voix une pointe d'inquiétude, sans doute se demandait-elle comment un fille étant aveugle pourrait se changer et savoir si les robes lui allait bien. Mais Crescentia avait apprise toute seule à se débrouiller dans ce genre de situation. Elle se dirigea vers les cabine quand elle percuta quelque chose, elle tomba sur les fesses et  bougea ces lèvre pour dire un Désolée. Elle n'attendit pas la réponse et alla dans la cabine n°1. Elle avait sentit une odeur fort agréable, cela devait venir d'une femme, mais elle n'était pas sur. Elle chassa l'incident de ces pensées et commença à retirer sa robe.

Ce que faisait une dryade dans une boutique de vêtements ? On pouvait se le demander. D'autant plus que The Chanceler n'était pas une fanatique de vêtements. En encore moins de vêtements fermés. Cependant, il se trouvait au milieu de cette galerie The Chanceler, errant à travers les rayons d'habits, contemplant les étagères. La fleur qui poussait lentement sur sa tête émettait un doux parfum, une odeur printanière reposante et rafraichissante, laquelle témoignait de l'état psychologique de The Chanceler ; Et effectivement, elle allait très bien.

Ses yeux noirs observaient cette gigantesque fourmilière humaine, observant tant bien les hommes que les femmes. Mais surtout les femmes. The Chanceler n'était pas une créature dotée d'une grande affectivité, mais il lui arrivait d'être intéressée par une personne. Ses sens détectaient toutes sortes de vibrations. Mais en un centre commercial, l'air était parfois lourd. Et The Chanceler avait quelque peut soif. Il n'empêchait pas sa fleurs rouge-violette d'émettre de magnifiques parfums.

La caissière l'observait d'un air étrange. The Chanceler pouvait tout a fait comprendre : qu'est ce qu'une femme étrange, a moitié nue avec une fleur sur la tête et des yeux noirs, pouvait bien faire dans un magasin, d'autant plus qu'elle était la depuis près de trois heures. The Chanceler sourit. Il était possible pour elle que cette jolie caissière ne deviennent autre que sa nourriture.

Mais la dryade décidé de jouer le jeu. Elle pris un ensemble de lingerie fine et se dirigea vers la cabine d'essayage. Et par lingerie fine c'était lingerie extra-fine. Elle se dirigeait lentement vers la cabine d'essayage lorsqu'elle se figea. Quelque chose n'était pas normal dans l'air. Elle continua simplement, ignorant ce petit elle-se-savait-quoi qui l'embêtait. Finalement, ce que sa rêverie lui apporta, c'est de rentrer dans une fille, qui tomba. The Chanceler recula à cause du choc, mais son corps était assez résistant pour ne pas tomber. La jeune fille murmura un "Désolé", puis s'en alla s'enfermer dans la cabine n°1, sans attendre l'éventuelle réponse de Chanceler. Mais la dryade avait senti quelque chose au contact. Elle se passa la langue sur les lèvres et s'enferma dans la cabine N°2.

L'esprit des forêts -on peut considérer les dryades comme tel- n'était pas nécessairement tranquille. Aussi son parfums varia t-il et embauma l'air. C'était un parfum doux, mais en même temps étrange. Comme un vent de mystère, agréable, attirant. The Chanceler se changea puis regarda la clotûre qui la séparait de la jeune fille qu'elle venait de cogner. C'était pour elle comme si les deux jeunes femmes étaient face à face. Elle avait besoin de savoir qui était cette fille, c'était par instinct, par nature.

Crescentia avais posée sa main sur une des clôture et sentit qu'il y avait une personne à côté, la fille haussa les épaules et retira son soutien-gorge, elle n'avait pas beaucoup de poitrine, mais jugeait que la robe rouge serait plus doux à porter sans un quelconque haut. Elle enfila la robe et sentit le contact de la soie sur son corps, elle bougea un peu et se sentit très à l'aise dedans. L'ouverture sur sa poitrine faisait ressortir une impression de douceur et d'innocence. Elle allait le retirer quand la caissière toqua à sa porte. Crescentia ouvrit la porte.

- Tu n'as pas de problème ?

L'avatar hocha négativement de la tête. La caissière se gratta la tête.

- C'est dommage que tu ne puisses pas parler. Si tu veux que je t'aide fait moi signe et n'embête pas la clientèle, déjà que j'en ai peu.

Crescentia bougea ces lèvre pour mimer une phrase et sourit.

Oui, j'ai comprit, merci .

- Si tous le monde était un ange comme toi, je n'aurais pas temps de soucie. Bon je te laisse.

La fille referma la porte, mais sans la verrouiller. Elle fit enfin attention à une odeur bizarre, on  aurait dit deux senteur se mélangeant de manière presque homogène avec des variation. L'avatar se focalisa sur son odorat et put savoir que l'odeur était très proche. Elle était tellement intrigué qu'elle monta sur la chaise et suivit l'odeur.

D'un coup elle perdit l'équilibre et tomba dans la cabine N°2, à côté de The Chandeler, qui devait trouver comique de voir une demoiselle tomber près d'elle. L'avatar était tombé à plat ventre et la robe avait remontée jusqu'à sa culote rose. Crescentia n'avait pas encore réalisée qu'elle avait changée de cabine, ce qui la mit la puce à l'oreille fut déjà la concentration de l'odeur et ensuite la lingerie qu'elle touchait avec sa mains gauche, elle était trop neuve et douce pour être à l'avatar.

Elle se releva vite, redescendit la robe avec une mine un peu honteuse et s'excusa dans le langage des sourds. Crescentia espéra que son interlocutrice comprendrait ce qu'elle voulait dire. Elle resta figée un moment en attendant la réponse de la cliente qu'elle avait dérangée. Elle mima d'écrire, pour savoir si elle avait de quoi écrire et se faire comprendre.

The Chanceler venait de se changer, mais ce n'était pas pour cela qu'elle était très habillée. Elle était en sous-vêtements très fins. Et quand on dis "fins", on parle en terme de ficelles avec quelques papillons bien placés pouvant éventuellement jouer le rôle de censure. Tandis qu'elle diffusait allègrement son parfum dans l'air, une jeune fille tomba juste en face d'elle : la jeune fille qu'elle avait heurté par inadvertance quelque minutes plus tôt.

The Chanceler regarda perplexe la jeune fille dans une position ridicule, sa chute ayant dévoilée sa petite culotte ; Elle avait visiblement attirée par le parfum de The Chanceler. Il fallait par ailleurs ajouter que la main de la jeune fille était entrée en contact avec le corps de la dryade, dans sa chute. The Chanceler affichait une expression d'immense perplexitude.

Puis la jeune fille se mit à s'exprimer par gestes. Un immense point d'interrogation apparut sur la tête de The Chanceler. Elle était un esprit des forêts, et n'avait pas spécialement l'habitude du vocabulaire des sourds. Elle comprit grosso-modo ce que la jeune fille désirait lui dire, mais la dryade avait maintenant trois points d'interrogations sur la tête. Puis la jeune fille lui mima le fait d'écrire. The Chanceler était tombée apparemment sur une muette ... Elle n'avais pas grand chose pour écrire, mais elle savait comment s'en procurer. Et il n'y avais pas besoin d'aller loin. Il s'agissait de trouver de quoi écrire.

The Chanceler s'en alla prendre le bloc-note et le stylo de la caissière. Dans un magasin, le client est roi, surtout s'il a les moyens de payer. Et The Chanceler avait parfaitement les moyens. Il arrivait qu'elle ne laisse pas sa nourriture libre et vivante, mais plutôt libre et morte, auquel cas elle prenait ce dont elle avait besoin. Elle retourna donc auprès de la jeune fille, et s'excusa de l'avoir faite attendre. La voix de The Chanceler était douce et mélodieuse, elle accordait ses cordes vocales spécialement quand elle se mélait aux humains. Mais elle ne savait pas si la jeune fille l'entendait. Elle donna le bloc note a la jeune fille et pris sa main pour "écrire" sur sa paume. Elle traça les lettres lentement, pour former avec une infinie douceur :

"Je suis Hollow Chanceler. Tu ne t'es pas faite mal en tombant ?"

The Chanceler, Hollow, Chanceler, tout ces noms lui appartenaient. Elle utilisait "Hollow" en prénom, dans le monde humain. Mais le monde de la nature la connaissait sous le nom de "The Chanceler". Le parfums de The Chanceler devenait très doux, d'une telle douceur que l'on se serait endormie dans ses bras. Elle n'était pas disposée a chasser en plein centre commercial. Mais il fallait admettre que la jeune fille, comme la caissière, étaient remarquablement intéressantes. Mais elle gardait une impression étrange. The Chanceler sourit a la jeune fille. C'était un sourire amical.

Crescentia sentit les vibrations des pas de Chandeler, elle n'attendit pas longtemps pour que la dryade revienne. Cette dernière voulut dire quelque chose à l'avatar, mais elle ne fit pas assez attention pour savoir quoi, puis elle sentit l'odeur du crayon grattant le papier. Elle plaça son index sur la feuille et le passa sur chaque lettres, elle eut un petit sourire. Elle prit le crayon et marqua la chose suivante.

Je n'ai rien, juste une petite douleur au ventre, mais cela va passer. Vous pouvez me parler, même si je ne vois rien et suis sourde, votre voix est une vibration que mon corps peut retransmettre en son dans ma tête. Je suis désolée de vous avoir gênée, j'avais sentit une odeur qui m'intriguait.

L'avatar se plaqua contre la clôture, ce contact la rassurait. Elle ne savait rien de Hollow, était-elle comme ces parents, des personnes profitant de la moindre occasion pour humilier les autres ? Elle n'en savait rien, elle devait suivre la voie que Vae lui avait imposé, mais cela était dure pour elle. Crescentia se calma rapidement, une voix aussi douce ne pouvait pas forcément dire qu'elle était méchante. Elle rajouta sur le bloc note.

Vous n'allez pas me punir hein ?

Il aurait été très facile de s'amuser avec elle dans cette espace réduit, de plus personne n'aurait réagit du fait qu'elle ne pouvait pas crier. L'odeur la calma et la rendit un peu endormit, cette femme dégageait quelque chose qui donnait envie de se blottir contre elle, mais l'avatar était assez disciplinée pour ne pas faire ce que ces envies lui dictait.

L'inconnue expliqua son mode de perception sonore a The Chanceler. C'était un concept nouveau pour la dryade. Elle semblait aller bien. Juste une douleur au ventre. La jeune fille s'adossa a la clotûre de la salle d'essayage. Elle sembla cependant changer d'attitude assez vite.

Puis la jeune fille griffonna quelque chose sur le papier. Elle lut la phrase. La jeune fille demanda si The Chanceler n'allait pas la punir. C'était une phrase a consonnance inquiète. Le regard de The Chanceler se contracta. La punir ? C'était une idée qui se défendait, et qui aurait été envisageable si The Chanceler était dans la forêt et que la jeune fille avait pénétré son territoire. Mais elle ne voyait pas pourquoi. De plus, elle trouvait la jeune fille plutôt mignonne. Elle s'approcha lentement de la jeune fille et parla de sa voix douce :

"Te punir ?"

Elle s'approcha de la jeune fille. Les deux jeunes femmes étaient au contact, baignées du parfum envoûtant de la dryade lorsque celle-ci poursuivit sa phrase :

"De quel droit te punirai-je ? Tu ne m'as pas attaquée, que je sache."

Pour The Chanceler, le contact n'était pas une chose anormale, voire déplaisante. Elle savait qu'elle était seule avec cette jeune fille aveugle. Mais elle n'en profiterais pas sans son consentement. Le parfum se mis a emplir la salle, petit à petit. C'était un parfum qui s'insinuait lentement dans le moindre interstice des coeurs, comme un poison, pour y déposer la paix, la somnolence, le désir ... The Chanceler était une maîtresse en matière de parfums.

"Je devrais plutôt m'excuser ... Ce parfum est le mien. Mon corps produit naturellement ce parfum. Et bien d'autres. S'il y a une senteur que tu désires, demandes la moi. Je t'offrirais le délice d'une mer, ou d'un vent de printemps, la mélancolie de l'automne ..."

Elle baissa sa voix en un murmure et la rendis cristalline, aussi pure que la neige.

"... Ou le doux silence de l'hiver ..."

The Chanceler ferma les yeux.

"Naturellement, mon parfum est infiniment plus fort que cela, mais je suis restée en ce lieu plusieurs heures. Mon corps est quelque peu déshydraté. Si tu avais de l'eau, ou quelque liquide que ce soit, Hollow Chanceler t'en serais infiniment reconnaissante."

Elle lui sourit.

"Comment t'appelles-tu ?"

Crescentia eut une mine plus joyeuse quand elle entendit la dryade dire qu'elle ne la punirait pas, ce n'était pas une femme comme sa mère. Elle prêta attention à ce que Hollow disait et eut une mine surprise. La femme pouvait produire des odeurs très variées. Elle entendit ensuite la demande de The Chandeler et le demande de son nom, elle frissona quand le corps de la dryade fut en contact avec elle. Elle était très sensible au toucher et à l'odorat et les deux était très solicités.

L'avatar prit le bloc note et marqua avec une certaine hésitation. Crescentia avait apprit à ne pas mentir sous peine de se faire punir, même si ces parents ne sont plus de se monde, elle gardait  cette mauvaise manie.

Mon nom est Vae et mon prénom Crescentia. Je suis la descendante du cinquième chevalier de l'apocalypse Vae, voulant dire Malheur en latin. J'ai ce qu'il faut faut dans ma cabine je vais vous le chercher, par contre vous devrez le boire par petite gorgée, si vous buviez la bouteille d'une traite vous aurez les même effets qu'un aphrodisiaque et un autre effets secondaire, mais cela désaltère comme pas deux.

Crescentia donna le bloc note et alla chercher la bouteille. Ce fut facile elle prit appui sur la chaise se trouva jambe écarté sur la clôture séparant les deux cabine, ce mit la tête en bas, récupéra la bouteille et se redressa, puis enfin elle se laissa tomber avec grâce dans la cabine de Hollow. Un vrais spectacle de gymnaste.

Elle avait profité de venir dans sa cabine pour prendre son autre robe. Elle voulait l'essayer et cela ne l'aurait pas trop  gênée de se changer devant une femme. Elle regarda hollow et sourit. Elle avait un peu chaud avec cet exercice, mais ne voulait se changer, la dryade l'aurait peut être mal prise et c'est pour cela qu'elle resta dans la robe rouge en faisant un mouvement avec sa main pour la rafraichir un peu, elle tendit à Hollow la bouteille. On pouvait voir sur la notice.

Liqueur de démone :
Peut être utiliser pour apporter de quoi vivre sans apport nutritif pendant deux jour. Il peut aussi servir à apporter l'eau ou l'élément liquide nécessaire au corps de la créature le buvant
Attention une trop forte dose crée un état de dépendance au sexe.

Crescentia mit une main derrière sa tête et fit un mimique de rire forcé. La dryade n'allait peut être pas apprécié ce geste qui n'avait rien de sous-entendu, mais c'était le geste qui comptait.

Crescentia se présenta totalement a The Chanceler. C'était la descente du chevalier de l'apocalypse représentant le malheur. La dryade se sentit tout de suite moins rassurée. Elle étalait sa nature ainsi, c'est qu'elle devait soit être puissante, soit être spéciale. Quoi qu'il en était, elle lui proposa a boire. La dryade décida quand même de boire. Puis elle fut prévenue que l'éffet contraire était un puissant aphrodisiaque. The Chanceler eût un sourire particulier. Peut-être cette descendante allait pouvoir lui offrir de la nourriture, étant donné que quelle que soie la substance, son corps demanderait des protéines ...

Dans une magnifique danse aérienne, Crescentia Vae ramena cet extraordinaire substance nutritive, et ses habits. Elle donna la bouteille a The Chanceler et parut un peu gênée. Elle eut un rire forcé. Après avoir consulter l'inscription, The Chanceler se décida à boire. Elle ne buvait jamais par petite gorgée car elle ne buvait jamais par la bouche. Sa bouche lui servait à d'autre choses. The Chanceler sourit a Crescentia.

"Merci Beaucoup, Crescentia. Je t'en suis vraiment reconnaissante. Je t'en prie, met toi à l'aise. E si tu désires quoi que ce soit, surtout, dis le moi."

The Chanceler avait pour nature de considérer ceux qui lui donnaient a boire comme des proches. Elle déboucha la bouteille, mais versa le liquide à ses pieds. Toutes personnes aurait pu trouver la méthode impolie, mais l'air satisfait de The Chanceler affirmait que ce n'était pas pour rien. Lentement, le liquide commença à disparaître. Les pieds nus de The Chanceler l'absorbaient a la manière des racines de plantes. D'ailleurs elle était elle même une plante. Une chaleur montait dans son corps jusque dans son cerveau. Une chaleur prenante. Peut-être était-ce la l'effet aphrodisiaque ? Toujours est-il que le parfum de The Chanceler changea en conséquence. C'était devenu une odeur fraîche, attirante, prenante, qui provoquait le désir, l'envie ... Tel était le parfum de désir de The Chanceler. Lorsqu'elle était excitée par un aphrodisiaque, son parfum devenait aphrodisiaque de puissance plus ou moins égale. Sauf que The Chanceler n'avait pas forcément prévu qu'une substance pareille agirait sur elle. Ceci dit, son corps désaltéré, son parfum avait retrouvé sa pleine puissance.

"Eh bien ... Quelle boisson !"

rescentia fut ravie d'entendre hollow lui dire de se mettre à l'aise, aussi s'assit-elle les jambe sous ces fesses, comme une position de salue. L'avatar aimait cette position car c'était la seule que ces ex-parents la permettait de prendre, on ne peut pas effacer rapidement dix ans d'habitude. Elle sentit une goute de la liqueur toucher son visage, le liquide coulait par terre. Au début étonnée elle fut surprit de sentir le liquide refluer dans le corps de la dryade. Crescentia se posa la question suivante.

Chandeler était-elle humaine ?

Une sensation familière donna à l'avatar le réflexe de couper sa respiration. Elle posa aussi ces mains sur son nez. Hollow semblait reproduire les même effets que la liqueur et en plus puissant. Crescentia n'était pas habituée à arrêter de respirer et la reprit de manière vive, l'ennui c'est que les effets continuait d'agir à chaque bouffée d'air. Elle se releva tous de même et vit que sa robe commençait à être humide, elle avait chaud et cela était provoqué par l'odeur que Hollow émettait. Cette dernière semblait avoir appréciée le liquide.

Crescentia prit le bloc note avec difficulté, tous ces membres tremblaient sous l'effet de l'aphrodisiaque. Elle voulut marquer quelque chose mais ces mains tremblaient trop pour pouvoir faire ne serais-ce qu'une lettre. Crescentia n'aimait pas l'effet de l'odeur, cela la rappelait son passée où ces parent le faisait boire tous les soir une bouteille entière pour s'amuser à la voir se tortiller et tenter de ce rafraichir. Elle avait l'esprit qui commençait à s'embrouiller et se mordit l'index pour rester maître de son corps.

L'avatar ne put cela dit pas empêcher sa jambe de se prendre dans le pied de la chaise et de s'affaisser sur la dryade. Crescentia sentit le contact et le choc, sa tête sur la poitrine de la dryade. Elle voulut se relever mais les effets de l'aphrodisiaque l'en empêchait, tous son corps tremblait et était perlé de goutes de sueur. L'avatar ne semblait plus tellement vouloir résister à l'envie qu'elle refoulais, elle sourit et fit avec ces lèvre le mot désolée et elle eut un sourire complice. Dans on état normal elle aurait résister, mais les effets de l'aphrodisiaque était beaucoup plus forte que celle habituel, son corps ne pouvait pas endiguer l'effet de l'odeur.

[HRP]C'est Chanceler et non pas Chandeler X'D[/HRP]

The Chanceler respirait assez fort. Non seulement elle subissait l'effet de sa boisson, mais en plus subissait-elle l'effet de son parfum. Elle n'avais pas encore développé "d'anti-corps" pour qu'elle ne subisse pas les effets de cet aphrodisiaque. Mais elle le conserverait en mémoire et pourrait toujours en produire. L'esprit embrumé, elle choisit néanmoins un nom pour ce nouveau parfum. Elle l'appela <<Appel de la Succube>>. Dans sa rêverie et son état d'excitation elle ne remarqua que peu l'état dans lequel elle avait mis Crescentia.

Celle-ci semblait se battre pour lutter contre l'effet aphrodisiaque. The Chanceler aurait voulu l'aider, mais ... L'aide qu'elle lui apporterais dans un tel état n'était pas de couper l'aphrodisiaque qu'elle exsudait depuis sa fleur, mais de refroidir son corps échauffé par le désir. Crescentia tenta d'écrire quelque chose, mais cela semblait être au delà de ses forces. Chanceler évitait de bouger. Elle ne savait pas trop quel mouvements son instinct pouvait l'amener à faire.

Subitement, Crescentia tomba sur elle, tête contre la poitrine de la dryade. Elle esquissa un "désolé" avec ses lèvres, le corps tremblant, couvert de sueur. Elle ne pouvait apparemment plus se continir. The Chanceler sourit douceureusement. Un sourire rassurant, le genre de sourire que fait une grande-soeur face à une petite soeur qui aurait cassé un vase et changea le timbre de sa voix. Sa voix était devenue aussi belle qu'une symphonie, dotée de plusieurs son, d'un écho.

"Ce n'est rien ... Tu m'as donnée à boire ... Je vais avoir l'honneur et le plaisir de t'aider en retour ..."

Et aussi de manger. Dans l'état d'excitation intense dans lequel était Crescentia, il n'était pas difficile d'imaginer que son intimité avait déjà commencé activement la production de cyprine. Et c'était justement de cyprine que Hollow se nourrissait (avec les femmes).

Hollow mis doucement Crescentia sur le dos, et retira son ensemble déjà fin. Nue, elle se mis à doucement lécher le cou de Crescentia, puis remontait vers son visage. Enfin, elle embrassa Crescentia, lui faisant profiter de sa salive au goût de miel. Il s'agissait d'emmener un peu plus Crescentia sur les rives du désir, de la relation portée au paroxysme du plaisir. Elle caressait lentement le corps de la jeune fille. The Chanceler savait que la douceur pouvait procurer beaucoup de plaisir -et donc plus d'excitation, et donc plus de cyprine, et donc plus de nourriture- d'autant plus que la jeune Crescentia ne semblait pas avoir souvent connu la douceur. Elle s'étendit sur Crescentia, de manière a lui laisser une marge de manoeuvre tout en étant dominante. The Chanceler s'y connaissait en positions. Elle lui dis de sa symphonique voix :

"Désires-tu que nous allions beaucoup plus loin ?"

HS- Pardon, je ne sait pas pourquoi je me suis trompée.HS-

Crescentia sentit les vêtements de la dryade tomber à terre. Dès cet instant l'avatar se laissa faire, sans la moindre résistance. Elle eut d'abord un petit sursaut au moment où la langue de Hollow parcourut son cou, mais elle y prit vite plaisir. L'avatar, ayant un sens du toucher très développé, pouvait sentir les moindres aspérités de la langue de la dryade. Le plus enivrant fut quand Hollow embrassa les lèvres de Crescentia, il y eut une odeur de miel et la texture semblait pareille. Même si l'avatar n'avait plus le sens du goût cela la faisait réagir, elle était plus excitée et semblait avoir moins chaud.

Elle entendis Hollow lui demander si elle voulait aller plus loin. Crescentia eut une larme, jamais personne ne lui avait laisser ce choix, elle pouvait pour une fois avoir un grappin sur cette destinée qu'elle n'avais pas voulut.

Que dois-je choisir ?

Elle se posait cette question, une question où elle savait la réponse et son corps réagit en s'avançant vers Hollow et déposa un baiser plein de tendresse sur les lèvres de la dryade, elle y avait mit tous son cœur et sa joie dans ce baiser. Une autre larme coula le long de la joue de Crescentia. Si elle pouvait parler elle aurait dit merci. Elle se recula et laissa son corps à Hollow. Elle n'avait pas peur du tous et avait la même confiance que deux sœurs auraient l'une envers l'autre.

Crescentia semblait émue par la demande de The Chanceler. Elle resta quelque instant en hésitation, puis elle embrassa tendrement la dryade, quelque larmes coulantes sur ses joues, puis elle s'offrit littéralement à Chanceler, confiante. La Dryade eût un tendre sourire, et lécha lentement les lèvres de Crescentia. La beauté de la jeune fille s'était pleinement concentrée dans cette tristesse magnifique, divine ... Puis elle pris la jeune fille dans ses bras et la releva quelque peu. Elle murmura :

"Tu es ... Magnifique ..."

The Chanceler recommença a caresser le corps de Crescentia. Elle le caressait d'autant plus amoureusement. Elle recommença a lécher/sucer le cou de Crescentia. Lentement, elle enleva la robe de la jeune fille, découvrant son corps petit a petit. Le parfum de la dryade était devenu plus puissant, d'autant plus que Crescentia était au contact de la dryade. Cependant, il était maintenant comme un nuage sur lesquelles étaient les deux jeunes filles. Doux, paisible ... Elle enleva lentement tout habit de la jeune Crescentia, tout en lèchant et caressant chaque partie du corps qu'elle découvrait. Finalement, après avoir défloré (au sens d'enlever tout les vêtements, comme une rose et ses pétales) Crescentia, elle se mit a jouer avec sa poitrine ; Il fallait qu'elle soie apte a s'offrir pleinement, excitée et désireuse, comme l'était Chanceler.

The Chanceler développa son habilité sur la poitrine de Crescentia. Jouant avec têtons, léchant ses seins, suçant les extremités, embrassant celles-ci ... Elle coucha de nouveau Crescentia, de manière à pleinement disposer de sa poitrine. Puis elle descendit encore plus lentement, léchant son ventre, faisant pénètrer sa langue dans son nombril, remontant pour embrasser Crescentia ... Puis elle descendit devant le saint du saint. Les parties intîmes de Crescentia. The Chanceler avait décidée de procéder méthodiquement.

Elle commença à lécher le mon de vénus, puis, se doutant de l'hypersensibilité de la jeune fille, caressa de sa langue la petite boule rose (clitoris) qui était le summum des parties sensibles. Avec ses doigts elle caressait les deux lèvres encore fermée, mais humide de Crescentia. Puis elle les écarta doucement avec ces doigts, découvrant la chair d'un rose bonbon qui ruisselait, et avait une odeur fortement attirante. The Chanceler sourit.

"Plus je découvre ton corps, plus j'en suis persuadée ... Tu es vraiment magnifique ..."

Elle fit pénétrer doucement sa langue entre les parois, et se mit a caresser les parois activement. The Chanceler avait relevé le bassin de Crescentia, le tenant surélevé par rapport au reste du corps, et s'occupant d'envoyer celle-ci au septième ciel avec sa langue. Sa langue absorbait la cyprine et rendait la dryade plus résistante, intérieurement. Finalement, elle quitta la "serrure" de Crescentia et s'en alla l'embrasser. Bientôt, le temps de la pénétration viendrait.

L'avatar frissona quand elle sentit les bras, douce est impregnée d'une chaleur bienfaisante,de Hollow la relecer. Crescentia frissona aussi quand elle reçu des caresse très douce.Elle eut du plaisir en sentant la langue de la dryade lecher sont cou, elle fut surprit quand The Chanceler lui suca le cou. Quand les mains de la dryade entreprirent de déshabillé sa victime, elle se laissa faire appréciant la moindre caresse, le moindre cou de langue, ce qui excita d'autant plus Crescentia.

The chanceler s'amusa avec la petite poitrine de Crescentia qui fermit les yeux est pencha sa tête en arrière, chaque action de Hollow procurait un bien fou à l'avatar qui l'exprimait par une expiration remplit de plaisir.

La langue de la dryade descendit inexorablemnt remontant de temps à autre. Si elle n'était pas muette elle aurait gémit, mais cela était  remplacé par une mimique de plaisir et une respiration saccadée. Quand elle sentit la langue de Hollow jouer un peu avec son clitoris, elle se cambra et se mordit gentiment l'index tout en accedant à un plaisir qui ne donnait que une envie, continuer. Crescentia se détendu$it quand elle sentit les doigts douce de Hollow manipuler les lèvre permettatn l'accée à son intimité. L'avatar continua d'avoir de plsu en plus de plaisir en sentat la  langue de  The Chanceler passer sur les parois.

Elle frissona quand elle sentit le baiser de la dryade, Crescentia pouvait sentir l'odeur de son liquide et sa consistance. L'avatar était sous le charme de la dryade. Elle tenta quelque chose, de sa mains droite elle caressa la cuisse gauche de Hollow.

Crescentia avait trouvée a son goût les caresses sensuelles de la dryade. Apparemment, elle allait parfaitement bien. Elle avait du plaisir, et ne cessait d'en demander plus. Crescentia caressa la jambe de The Chanceler. La dryade frémit de plaisir. Elle allongea Crescentia et se positionna sur elle, visage face à son bassin et à son intimité, son propre bassin en face de Crescentia. Elle lui demanda d'une voix amusée :

"Ne veux-tu pas me le faire aussi ?"

Elle savait très bien de quoi elle parlait. Lentement, The Chanceler se remit à lécher l'intérieur de l'intimité de Crescentia. Puis un bruit étrange se fit entendre. Ce bruit venait du dos de la dryade. C'était un bruit étrange, comme la croissance accélérée d'un arbre ... C'était un bruit de bois. Mais un bruit mon sec et cassant. Puis elles sortirent de son dos. D'abord deux, puis trois, puis sept, puis douze tentacules, dont l'extrêmité avait une sorte de bulbe ... The Chanceler expliqua deux-trois trucs a Crescentia :

"Je ne te l'avais pas encore dis ... Je suis une dryade. Un esprit des forêts ... Je suis une femme-fleur."

Faisant converger les tentacules vers le vagin de Crescentia, la bulbe révéla son utilisé ; de nombreuses minuscules tentacules sortirent de la bulbe et entourèrent le clitoris de la jeune fille. Ces mini-tentacules frétillaient, créant une vibration apportant de plus en plus de plaisir à Crescentia. D'autres petites tentacules frétillaient sur les parois des lèvres que The Chanceler maintenait écartée avec sa main. Une tentacule de taille normale convergea vers l'intimité et cracha un liquide étrange, odorant et jaune dessus. Il n'y avait vraiment à se poser de question : C'était l'aphrodisiaque qu'elle avait produit avec la liqueur de la démone, mais en liquide. Au contact des parties intimes, c'était singulièrement surexcitant. Puis prenant quelque secondes pour laisser l'aphrodisiaque surchauffer Crescentia, elle lui dis d'un voix très douce :

"Laisse moi venir en toi ..."

La tentacule ayant répandu le liquide pénétra doucement Crescentia, et se mis à faire des mouvements de va-et-vient. The Chanceler commençait à gémir. Ces tentacules étaient connectées a son réseau nerveux, et donc, étaient aussi sensible que des pénis. Elle pénétra Crescentia avec fougue et ardeur.

Crescentie sentit l'odeur de l'intimitée de Hollow, elle était assez envoutante. Puis son corps perçut des vibrations bizare. Dela ressemblait à ceus des arbres, mais en plus fort, en plus rapide. Puis The Chanceler expliqua se vrais nature et tout les évenenments prirent leurs sens. Crescentia avait put lire un livre sur ces créature. Ce sont à l'origine les gardienne des plante.

L'avatar eut un sursaut de surprise quand de petite tentacuels frémir près de son clitoris et sur les parois. Elle en eut une aussi quand Hollow utilisa l'aphrodisiaque, dès cet instant le corps de Crescentia semblat être dans une fournaise, elle était cinq fois plus sensible, au moindre frotement.

Crescentia se cambra quand la tentacule la pénétra, certes Hollow y allait en douceur, mais l'avatar avait prit l'habitude de se cambrer pour ne pas trop souffrir, encore un héritage laissé par ces maudit parents. Elle se détendit au bout du cinquième passage et  voulut donner un peu plus de plaisir à la dryade. Elle posa sa main sur une tentacule de libre et l'effleura ce qui eut comme effet de pouvoir la prendre et de la porter à sa bouche. Elle savait faire des fellations, mais elle ne savait pas si cela aurait de l'effet sur The Chanceler.