Haruna eu beaucoup de mal à se calmer et a ses détendre. Après tout, les seuls fois où elle avait couchée avec d'autres personne, cela lui avait toujours fait atrocement mal. Habituée aux viols, elle était donc naturellement stressée, tendue, et Mélinda choisit donc de commencer doucement, par un doux baisé, y allant tendrement. Lentement, son corps se détendit, se décrispa et elle entrouvrit les lèvres au bout de quelques minutes. Son amante en profita alors pour glisser sa langue entre les lèvres et caresser la sienne avec, l'embrassant plus langoureusement, plus sensuellement. Haruna gémis durant le baisé, laissant échapper un bref couinement de surprise lorsque Mélinda posa ses mains sur ses gros seins blanc pour les malaxer avec tendresse. C'était... C'était différent de d'habitude... Il n'y avait aucune douleur dans cet échange, uniquement du plaisir dans un tendre câlin. Si c'était ça, les ébats entres filles, son orientation sexuelle allait d’avantage pencher vers les relations lesbiennes, bien plus agréables qu'avec des garçons...
Mélinda finit par se retirer, un fin filet de salive les reliant un bref moment. Haruna regardait son amante le regard brillant et humide, alors qu'elle haletait doucement, ces tétons durs et de la mouille glissant doucement sur ses cuisses. Pour la première fois, elle avait de savoir ce que ça faisait de le faire avec une autre filles, sans pénis pour lui faire du mal... Mais apparemment, ce ne fut pas l'idée première de Mélinda.
- Ne t’inquiète pas, Haruna... Entre mes mains, tu vas jouir... Mais il ne faut pas hurler trop fort... Je ne voudrais pas que nos amies s’inquiètent... Et, de fait, nous ne pouvons pas rester trop longtemps, où elles vont finir par se poser des questions. Observe l’un de mes secrets, Haruna...
Baissant légèrement le regard, elle observa donc l'intimité de Mélinda, se demandant ce dont elle voulait parler... Et écarquilla les yeux en voyant un chibre plus imposant que ce qui l'avait violés par le passé, en sortir, luisant de sa liqueur d'amour.
- Tadaa !
Dans sa tête, Haruna revoyait la scène de viol qui l'avait profondément traumatisée. Tout son corps tremblait, non pas de plaisir et d'impatience, mais au contraire de terreur. Son débit sanguin s'accéléra et de la sueur froide coula dans sa nuque, alors que ce sexe approchait dangereusement de son intimité.
N...Non... J... Je v... Je veux p-pas.... p-p-pas ç-ça.... N... P...
Elle releva le regard vers Mélinda et son expression lui fit très peur. Si bien que son regard se mis à briller d'un léger bleu clair et que ses pouvoirs psy entrèrent en action. D'abords, Mélinda cessa net de bouger, pas même le petit doigts, comme si elle était entravée. Puis, la peur montant d'un cran, elle lui envoya un Choc Mental, envoyant Mélinda se plaquer contre le plafond de la cabine, toujours sans pouvoir bouger, alors que Haruna se précipita vers le verrous, tentant fébrilement de l'ouvrir, toujours paniquée. Sous le coup du stress, elle envoya dans la tête de Mélinda un fragment de son passé...
Il faisait sombre, humide et l'air puait le sexe et les déjections. Cela faisait tellement longtemps qu'elle n'avait plus vue la lumière du jour, qu'elle ne savait pas depuis combien de temps elle était là. Son corps était amaigrit, et du sperme séché maculait son corps. Haruna était entravée à des barres transversales, un gode épais vibrant intensivement dans chacun de ses orifices, maintenu par du gros scotch, alors que deux pinces étaient accrochés à ses tétons. Elle n'avait pas les yeux bandés, ceci afin qu'elle puisse voir ses tortionnaires. En revanche, un anneau maintenait sa bouche ouverte, depuis tellement longtemps qu'elle en avait mal. D'après ce qu'il y'avait autour d'elle, Haruna était certaine qu'elle se trouvait dans la remise du gymnase. Les portes finirent d'ailleurs par s'ouvrir et laissèrent un groupe d'une demi-douzaine d'élèves, d'après leur corpulence, entrer dans la remise. Ils étaient nus et cagoulés, et était plus grands qu'elle. L'un d'eux avait une caméra dans sa main, la même que depuis qu'elle était séquestrée ici...
La vision, qui avait durée à peine une demi dizaine de secondes, avait pris fin, en même temps que Mélinda reprenait le contrôle de ses mouvements. La porte des toilettes était grande ouverte, et on pouvait entendre des pas précipités dans les escaliers. Haruna courait vers sa chambres pour s'y enfermer, morte de peur et des larmes coulant sur son visage...