Allongée sur le lit, Miranda s’amusait à palper le fessier de Kara. Elle aurait aussi pu s’attaquer à ses seins, ou à tout le reste de son corps... Mais elle avait choisi de se concentrer sur son beau petit cul. Sa beauté était tout simplement... Parfaite. Elle était l’illustration de cette théorie selon laquelle les gènes, plutôt que de décliner, s’affinent et s’améliorent de génération en génération. Elle avait sucé son doigt avec une sensualité telle qu’elle aurait tout à fait pu être l’actrice-vendette des shows sexuels télévisés sponsorisés par GeoWeapon Corp. Kara réalisait-elle à quel point son héritage était immense ? GeoWeapon Corp. était un terrifiant empire commercial, dont le chiffre d’affaires annuel écrabouillait le PNB de bien des États. C’était une firme tentaculaire, avec de multiples branches : GeoSex, GeoWeapon, GeoMedias, GeoLaw, etc... Il n’y avait pas un domaine que GWC n’avait pas marqué de son logo à Tekhos. Le lit d’une Forge accueillait des Sénatrices, d’autres femmes d’affaires, des souverains, quantité de femmes puissantes qui venaient réclamer son aide, car GWC, par son influence, avait le pouvoir de défaire ou de faire une région. Ses plans économiques, ses stratégies, étaient ainsi autant de politiques économiques qui avaient autant d’impact que ceux que le Sénat édictait. Il existait des régions entières qui n’existaient que grâce aux usines de GWC, ou à ses laboratoires, et, même si la production était à perte, GeoWeapon Corp. les maintenait. Nul se souciait des frasques sexuelles de Miranda, ou des expérimentations génétiques de la firme, du moment qu’elle continuait à fournir de l’emploi, et à lutter contre le chômage. C’était une leçon que Miranda avait retenu : elle offrait autant d’emploi que possible, car tout cela était rentable. Le salaire que sa firme fournissait à ses employés était récupéré sur leurs biens de consommation, la nourriture, la fourniture énergétique... Voilà tout ce que Kara allait miroiter, tout l’Empire qu’elle allait pouvoir contrôler. GWC avait accès à tout, et sa base de données était aussi vaste que les registres militaires. Chaque employé de la firme avait un dossier informatique, et la firme empiétait volontiers sur la vie privée de ses employés pour obtenir le plus grand nombre de données possibles. Voilà... Voilà l’héritage des Forge.
Et il commençait là, par une séance de sexe, par une belle bouche en cœur qui suçait un doigt, et par des mains venant se crisper sur un postérieur. Kara se pencha alors vers le corps de Miranda, et elles s’embrassèrent tendrement, la femme venant se courber vers elle, permettant à Miranda de pouvoir mieux malaxer ses fesses. Chacune de ses mains s’appuyait sur son postérieur, et elle remuait ce cul, écartant les fesses de Kara l’une de l’autre, simplement pour l’exciter... Et la femme se mit à parler, disant qu’elle comptait la frustrer, car c’était quelque chose qu’elle adorait.
*Oh, je le sais, j’ai vu les vidéos de sécurité de tes ébats sexuels avec tes collègues, Kara...*
Miranda considérait le sexe comme une chose très importante, sans doute encore plus que les capacités économiques ou sociétales. À Tekhos, le sexe était une valeur fondamentale, quelque chose qui permettait de s’élever socialement, et Miranda avait donc été ravie de mouiller à chaque fois qu’elle voyait Kara faire l’amour. Sa fille était tout simplement parfaite, et elle se regardait souvent chacune de ses prestations... Elle était donc ravie de pouvoir enfin l’embrasser, la palper, et tout son corps en frémissait de plaisir, ses seins venant se durcir, ses tétons pointant, le désir éclatant en elle comme rarement auparavant.
« Hmmm... Ouiii... »
Soupirant de plaisir, Miranda sentit la bouche de Kara s’attaquer à son cou, venant la mordiller. Une chose que Kara aimait bien faire, et qu’elle fit d’ailleurs à plusieurs reprises, alternant entre mordillements et lèchements, s’attaquant ainsi au corps de Miranda, faisant trembler cette dernière. Ses mains remontèrent pour griffer et caresser son dos, jouant avec ses longs cheveux, fourrant ses doigts dedans. Tout en elle était beau, magnifique, sensuel, attirant, excitant... Ah ! Comment ne pas aimer cette petite ? Comment ne pas ressentir un amour terrible en présence d’elle ?
Après avoir joué avec le lobe de son oreille, Kara se rapprocha de ses lèvres, lui glissant que, pour elle, elle serait sa « petite chatte », avant d’aller goulûment l’embrasser, un baiser auquel Miranda goûta sans hésitation, en soupirant de plaisir, la bouche contre celle de la femme. Un bref baiser... Avant de passer à la suite.
« Ohhh, ma chérie... »
La « chatte » justifia son surnom en grattant ses flancs avec ses beaux ongles, tout en se déplaçant. Coucher avec Miranda Forge... Pour Kara, ce devait être un rêve, la promesse d’une élévation sociale qui allait sûrement faire des envieuses d’un bout à l’autre de la société. Miranda avait couché avec des centaines d’employées, et elle n’avait encore jamais rencontré une seule femme de la firme n’ayant pas envie de faire l’amour avec elle. Ce n’était pas surprenant, après tout, car elle était Miranda Forge, la puissante PDG, et elle comprenait donc tout à fait que Kara se sente gonflée de fierté.
Bien décidée à lui prouver que toutes les parties de son corps lui faisaient envie, Kara se déplaça entre ses jambes, puis ôta les chaussures de Miranda, et souleva ses pieds, avant d’en approcher un de ses lèvres. Miranda se laissa faire, et déplaça l’autre, venant le poser en appui sur sa cuisse, un sourire sur les lèvres, répondant ainsi à celui de son amante. Kara approcha alors sa bouche, et entreprit de lécher ce pied, ce beau pied que, comme tout le reste de son corps, Miranda entretenait. Elle le lécha à hauteur de la plante, remontant ensuite jusqu’à ses doigts de pied, en faisant frissonner la femme blonde.
Le fétichisme... Un art qu’elle avait toujours su apprécier à sa juste valeur, quelque chose d’exquis et de magique. Elle remua ses doigts de pied, et, entre-temps, se servit de son autre pied pour caresser le corps de Kara, le redressant lentement, prudemment, et s’en servit pour caresser et frotter ses hanches.
« Hmmmm... Oh oui, ma belle, lèche bien... Suçote mes pieds, suçote les pieds de ta patronne, montre-lui à quel point tu la trouves belle et magnifique, et à quel point tu aimerais être comme elle... »
L’excitation était forte, très forte... Pour autant, il fallait que Miranda se calme, car, en aucun cas, elle ne devait avouer à Kara quel était leur secret. C’était une chose que sa fille devrait découvrir d’elle-même. Pour l’heure, il fallait juste qu’elles fassent l’amour, et que Miranda se contente de rattraper le temps perdu... Chose qu’elle faisait en l’occurrence à la perfection. Telle mère, telle fille, comme le disait le proverbe, et, en ce moment, il se justifiait à la perfection !