Toute nouvelle, toute chaude [hentaï libre]

Un grand sourire se forma sur le visage de la lycéenne en entendant sa nouvelle connaissance répondre à sa question. Visiblement elle avait perdue toute timidité, sa voix était même assurée comme si la perversité était entrée d'un coup en elle. La journée promet d'être très plaisante pour l'informaticienne qui ne pu s'empêcher de lécher la nuque de son interlocutrice avant de s'écarter d'elle, afin de passer devant elle.

-Hum tu crois vraiment?" dit elle en souriant.

Elle attrapa sa culotte posée au sol puis se mit à genoux devant Anaé. Elle mouillait vraiment, Ata avait beau réfléchir elle n'arrivait pas à se souvenir d'une fille mouillant autant. Elle se mit à lécher le tissus trempé, histoire d'exciter encore plus sa partenaire.

-Miam j'adore. Donc nous disions: la culotte...

Elle posa ses mains sur les hanches d'Anaé, lui enleva doucement le vêtement. Cette intimité lui était offerte et honnetement elle n'avait pas du tout envie de la cacher à nouveau...

-Dis moi? Tu ne préfère pas plutôt rester comme ça? Il y a tellement de choses à faire quand on est nue..." dit elle en efleurant le sexe de la jeune fille avec son index.

Lorsque Ata lui lécha la nuque, Anaé tressaillit et trempa encore un peu plus l'intérieur de sa culotte. Et lorsque la jeune femme la lui baissa, son sexe nageait littéralement dans la cyprine, qui dégorgea en filets poisseux lorsque le sous-vêtement quitta la peau douce et tendre de son bassin. Son vagin salivait comme un pervers devant une nymphette.
Lorsque Ata effleura sa petite chatte, Anaé trembla à nouveau et son vagin expulsa un peu plus de mouille, lui maculant les doigts.

"Ces doigts, tu les veux sur les lèvres de ta chatte, dans ta chatte, à envahir tes chairs intimes, remontant au plus loin, s'agitant en toi, tu veux la voir enfoncer un doigt, deux doigts, trois doigts..."

Anaé tenta de chasser la tentation, mais les doigts d'Ata frôlèrent son clitoris et le feu intérieur s'embrasa.

-C'est que...j'ai peur de mouiller partout...Il faudrait essuyer ça ou éponger ça...avec ta culotte ou...avec ce que tu veux...

Elle ponctua sa phrase avec une nuance entre incertitude et perversité cachée, avec une voix qui aurait fait bander un eunuque ou fondre une frigide...

-Avec se que je veux? Tout se que je veux? Donc ça veux dire que je peux utiliser ma main..."

Ata se mit à caresser le sexe trempé d'Anaé, sa main était applatie dessus pour pouvoir avoir le maximum de contact, peau contre peau. C'était chaud, Anaé plaisait vraiment à la geek qui allait s'en donner à coeur joie, devinant que sa partenaire allait couiner plutôt facilement, chose qu'elle aime tout particulièrement.

-... ou avec mes doigts."

Cette fois ci, elle ne laissa que son majeur et son index de dressés afin de caresser un peu plus fermement l'intimité de son amie, laissant même un doigt entrer l'espace d'un instant avant de ressortir presque instentanement.

-Mais j'ai bien envie de te nettoyer avec autre chose..." à peine elle termina sa phrase qu'elle lêcha le sexe d'Anaé, laissant sa langue se promener à l'exterieur, récoletant le maximum de cyprine tout en faisant du bien à la jeune femme. Ses mains étaient elle parties malaxer les fesses de la nouvelle arrivée au lycée.

Lorsque les doigts d'Ata glissèrent sur sa fente, un nouveau flot de désir abonda entre les cuisses d'Anaé et des gouttes filèrent de son entrejambe le long de l'intérieur de ses gambettes. Sa cyprine était chaude et parfumée, et son clitoris se dressa pour accueillir les caresses de plus en plus précises d'Ata. Anaé gémit lorsqu'un doigt pénétra son antre intime en un bruit humide et vulgaire, qui aurait du la faire rougir et s'enfuir, honteuse, mais quelque chose avait changé en elle.
Et quand Ata s'agenouilla devant elle pour poser sa langue sur son sexe devenu une véritable fontaine de plaisir, s'agrippant à ses fesses, Anaé n'était plus elle-même.

Elle se mit à caresser les cheveux de cette douce amie et la pressa contre son intimité, la forçant à la boire jusqu'à l'étouffement. Puis, elle se pencha athlétiquement par-dessus Ata, goulûment coincée entre ses cuisses, et s'empara du haut du tanga noir et pourpre de son amante. Anaé le crocheta du doigt, le saisit et tira, faisant rentrer le sous-vêtement dans la raie culière et dans la fente du sexe d'Ata. Au gémissement qu'elle en tira et à l'accélération de sa langue, cette caresse n'était pas désagréable à Ata, loin de là...

-Ata, je crois que tu es en train de souiller ma culotte...et j'adore ça...

-Huum, je vois ça...hum...tires un peu plus sur ma culotte...et tires aussi de gauche à droite...continues à me dire des choses perverses..j'adore les entendre avec ta voix..." dit elle avant de continuer son travail buccale.

Ata mit encore plus d'ardeur en sentant le tissus lui faire du bien, c'était pas énorme mais suffisamment pour l’exciter d'avantage. Effectivement le rythme auquel sa langue bougeait était de plus en plus rapide, signe qu'elle aimait ça. La lycéenne se releva au bout de 2 ou 3 minutes, ses yeux emplis de lubricité. Elle alla embrasser passionnément Anaé, lui faisant partager le goût de sa propre cyprine. Sa langue dansait avec celle de sa partenaire un balais sensuel pendant que ses doigts étaient retournés caresser l'intimité trempée d'Anaé. Ata la collait contre son corps, ses gémissements étaient étouffées par les baisers qui s’enchaînaient...Car l'informaticienne n'y allait pas doucement, elle masturbait son amie, faisant entrer et sortir ses doigts à un rythme croissant...

Aux conseils d'Ata, Anaé intensifia ses caresses, nouant un peu plus la culotte à son doigt et la faisant bouger davantage. A chaque mouvement latéral, elle sentait le coton et la dentelle frotter et s'accrocher aux lèvres intimes trempées de son amie, et à chaque fois qu'elle tirait un peu, un bruit humide accompagnait le coup de langue soudain plus intense d'Ata. La respiration de sa petite léchouilleuse de minette accélérait, se faisait plus profonde, et Anaé en mouillait davantage, inondant sûrement les lèvres d'Ata de son jus intime.

-Je sens que tu aimes ça, Ata...que tu es une petite perverse et que tu as...l'habitude de bouffer des petites chattes... Fais-moi goûter mon jus de petite...cochonne et vas-y plus...fort !

Elle ponctua ses déclarations salaces en tirant un bon coup sur la culotte, Ata gémit et se redressa avec les yeux suintant le désir comme ses lèvres coulaient de cyprine. Elles s'embrassèrent sans retenue, leurs langues s'accrochant, se découvrant, dansant ensemble dans un flot de salive et de cyprine, leurs souffles gémissants, leurs yeux à moitié fermés par l'intensité. Leurs soutien-gorges se cognaient, se collaient, et Ata laissa sa main glisser entre elles pour enfoncer un doigt, et très vite deux, en Anaé. Elle la masturbait avec appétit, presque violence, et les petits jets de cyprine qui arrosaient son poignet à chaque aller-retour témoignaient aussi bien que les gémissements d'Anaé du plaisir qu'elle lui offrait...

-Petite...salope...perverse...!

Soudain, Anaé se sentit changer, son sourire grandit et elle saisit d'une main le poignet trempé qui la masturbait. Elle la retira de son antre secrète d'un geste impérieux et porta les doigts dégoulinants à sa bouche, les suçant sans lâcher Ata du regard.

-Tu veux des choses perverses ? A toi, maintenant !

D'un mouvement puissant, Anaé fit pivoter Ata sans lâcher son poignet et se retrouva dos à elle, tout contre elle. Ata devait sentir même à travers le soutien-gorge les tétons d'Anaé qui pointaient furieusement contre son dos. La petite élève timide et sage venait de devenir une tigresse. Elle guida la main prisonnière d'Ata jusqu'à son pubis couvert d'un tanga trempé, dont le pourpre s'assombrissait au niveau d'une fente bien trop moulée pour être décente. Anaé la mena doucement à se masturber, en guidant ses gestes de sa main, pendant qu'elle léchait lentement le cou et l'oreille d'Ata. De son autre main, elle flattait les jolies fesses de l'informaticienne, et jouait de son pied pour ramasser sa propre culotte trempée.

Ata semblait apprécier cette masturbation plus ou moins forcée et commençait à gémir de plus en plus fort. Soudain, Anaé mordilla son oreille :

-Tu es bruyante, mon Ata... Si tu aimes à ce point ma mouille, tu aimeras ton bâillon...

Et elle lui posa sa propre culotte, celle-là même qu'Ata lui avait prêtée, sur la bouche de l'informaticienne, attendant qu'elle accepte ce bâillon trempé...

Entendre ce genre de chose ne pouvait qu'exciter encore plus la jeune Ata, Inori n'avait pas l'habitude de dire des choses aussi cochonnes alors que sa chérie adorait ça. Une fois retournée, la geek senti les tétons de son amie pointer comme pas possible, les siens devaient sûrement être dans le même état mais elle ne le voyait pas pour le moment. Ses yeux étaient fermés, elle profitait de cette masturbation forcée que lui offrait Anaé : c'était bon, vraiment bon. Ata gémissait à chaque fois qu'elle sentait sa main bouger contre elle, qu'elle sentait sa chatte caressée et ses fesses malaxées par la jeune femme. Au final elle a bien fait de se planter de chambre, cette fille est tellement chaude qu'elle était sûre qu'il y avait plein de jeux intéressants à faire pour s'amuser !

-haaaaaan A...Anaé...tu t'y prends...v...vraiment bien...continues !

Il restait sa main gauche qui n'avait rien à faire, en conséquence elle se massa son propre sein pour se faire encore plus de bien. Au bout d'un moment elle put sentir quelque chose contre sa bouche : le fameux bâillon c'était la culotte d'Anaé. Elle était trempée : génial, Ata n'avait encore jamais fais ça, et pourtant elle en avait fait des expériences de toutes sortes. Elle l'accepta  donc avec grand plaisir et referma sa bouche afin que la nouvelle élève le lui attache.  Désormais ses gémissements étaient étouffés par ce bâillon humide, saturé par la cyprine d'Anaé.
C'est à ce moment là que le duo put entendre quelqu'un frapper à la porte…

Anaé sentait la moiteur gagner la culotte d'Ata et son plaisir monter. Elle mordait dans son bâillon de coton et de dentelle et elle en salivait tant qu'un filet de salive avait glissé depuis la commissure de ses lèvres jusqu'à son menton. En plus, Ata avait fait jaillir un de ses seins de son soutien-gorge et en caressait la rondeur, agaçant au passage son téton dressé. La langue d'Anaé dansait dans le creux de son oreille et elle allait lui chuchoter d'autres mots pervers lorsqu'on frappa à la porte.

Immédiatement, Anaé se raidit, plaquant involontairement sa main entre les cuisses d'Ata, assez puissamment pour sentir un son humide et ressentir à quel point elle était trempée. Un instant, Anaé paniqua : et si Ata avait déjà quelqu'un dans sa vie ? Anaé interrogea la jeune fille du regard, mais les yeux d'Ata étaient embrumés de plaisir et ne semblaient vouloir qu'une chose : qu'Anaé continue.

L'ambiance fut soudain pesante, alors que les deux jeunes femmes étaient en plein ébat, toute cette situation excitante fut mise en suspend par cette personne qui toquait à la porte.
-Euh...Ata ça va? J'ai entendu des cris et je voudrais savoir si...enfin...si tout va bien." dit la voix masculine qui était derrière.

Le duo put reconnaître la voix du jeune homme qui occupe la chambre d'à coté. C'était assez logique, si Anaé a put entendre Ata s’énerver quand elle était chez lui il y avait de grandes chances pour que ce dernier ai entendu les deux demoiselles en train de s'amuser.
Ata enleva son bâillon pour chuchoter à son amie:
-v...va lui ouvrir...plus vite il part...plus vite on peut re...recommencer. Mais j'aimerais bien qu'il vienne avec nous...

Anaé se tendit en entendant la voix du garçon de toute à l'heure, un certain...elle ne savait plus...Tout ce qu'elle savait, c'est qu'elle avait les doigts humides de ce qui avait transpiré de la culotte d'Ata et qu'elle devait relâcher le téton dressé coincé entre ses dents mordillant doucement. Ata venait de retirer son bâillon empli d'odeurs de sexe et de salive, et Anaé lui prit des mains pour s'en habiller.
La culotte était incroyablement poisseuse et chaque pas vers la porte faisait glisser de nouvelles gouttes d'un mélange érotique entre ses cuisses brûlantes. Elle sentait que la culotte avait roulé entre ses fesses et qu'elle devait même découvrir les bords des lèvres de son sexe, comme si celles-ci avaient gonflé, s'étaient épanouies. Même Ata devait se demander comment elle n'avait pas pu voir un fessier aussi magnifique ou une poitrine aussi développée. On aurait dit qu'Anaé était...autre.
Comme un pantin silencieux, Anaé entrouvrit sa porte, juste assez pour dévoiler son visage, un de ses seins nus et tendus, un bout de sa culotte luisante de salive et de cyprine, et une cuisse sillonnée de gouttes de jus intime. Elle regarda de haut en bas le garçon, s'arrêtant un instant sur son sexe à demi-tendu dans son pantalon. S'était-il masturbé en les entendant ? Ou était-elle déjà bien belle au repos ?

"Peu importe, c'est une queue, un sexe, un pénis, une bite, et tu la veux en toi et en elle, et vous crierez à trois..."

Sans dire un mot, elle saisit le garçon par la main alors qu'il tentait de bredouiller quelque chose et l'attira violemment à l'intérieur, avant de fermer la porte derrière lui. Elle le plaqua contre le mur, lui posa un doigt odorant sur les lèvres et s'en alla retrouver Ata, qu'elle saisit par la nuque et embrassa profondément, si profondément qu'on aurait pu croire que sa langue avait doublé de taille...

-Wouaaaa...vous êtes vraiment canon toutes les deux..." ne put s’empêcher de dire le seul homme de la pièce.

Il était difficile de douter de son sexe vu la grosse bosse qu'il avait au niveau de l'entrejambe. Ata ne pouvait pas réellement voir la différence de fessier d'Anaé car elle est un peu trop occupée avec la jeune fille, cependant elle senti bien que sa langue allait plus loin, comme si elle était devenue plus longue. Mais honnêtement elle s'en foutait: elle prenait son pied, voilà tout ce qui lui importe. Elle glissa à nouveau ses doigts sous la culotte de son amie afin de la faire gémir.

-Les filles...je peux avoir ma part aussi?" demanda le garçon qui avait des étoiles dans les yeux.
-Baisses moi ce pantalon..." dit Ata en approchant de lui tout en tirant Anaé avec elle. Une fois près du garçon, maintenant sans pantalon, le duo put voir que la taille de son membre était tout à fait honnête sans être énorme.

L'informaticienne se mit à genoux, et commença à le sucer, comme pour le soulager d'une attente trop longue. Ses soupirs montraient qu'il aimait ça...
-Wouaa...Ata...tu mérites ta réputation...tu suces super bien..." dit il en caressant les cheveux de la geek. Son regard se tourna ensuite vers Anaé:

-Tu veux essayer mes doigts ma jolie?" dit il en offrant un clin d'oeil à la jeune femme transformée.

Anaé ne se reconnaissait plus. Tel un automate, elle suivit Ata jusqu'au garçon dont le sexe bandé se maintenait en l'air comme le mat d'un navire. Visiblement, Ata avait l'habitude et avait même une réputation de suceuse. Elle comprenait pourquoi, c'était beau de la voir lécher, embrasser, gober ce pénis tout en caressant la hampe et les testicules, avant de pointer sa langue contre le gland rougissant.

Le garçon lui dit quelques mots, ponctua son discours d'un clin d'oeil libidineux, mais Anaé n'avait rien écouté, toute à la fellation d'Ata, en experte. Soudain, une main se glissa dans sa culotte et le garçon gémit quelque chose comme "mais t'es trempée !". En réalité, Anaé ne réagit qu'en sentant des doigts s'introduire en elle et tourna alors ses yeux vers le garçon, dont les yeux menaçaient de sortir de ses orbites. Il venait d'enfoncer trois doigts en elle, et le sexe d'Anaé semblait chercher à les engloutir par une succion perverse. Un ruisseau de cyprine glissait depuis sa culotte - encore présente malgré son inutilité - jusqu'à ses pieds. Il attira Anaé jusqu'à lui avec un élan viril et propriétaire, et il l'embrassa.

Anaé soupira. Oui, il embrassait bien, et lui aussi semblait apprécier l'habileté de cette langue, au point qu'ils ne descellaient pas leurs lèvres sauf pour reprendre un peu d'air et laisser couler un peu de salive. Le garçon faisait jouer sa main dans la culotte d'Anaé, en tirant des bruits humides. Elle était si trempée que la matière ne tiendrait plus bien longtemps. Anaé, d'une main libre, caressa la nuque d'Ata, toute à sa fellation et appuya doucement, lui empalant la bouche sur le membre. Le garçon relâcha ses baisers en gémissant, et Anaé en profita pour l'embrasser dans le cou...

La pièce sentait le sexe à plein nez, la température était montée très vite. Ata était poussée par Anaé, l'obligeant à approfondir sa fellation, chose qu'elle fit avec plaisir. L'informaticienne alla à faire une bonne gorge profonde, arrachant un soupir rauque au garçon qui profitait bien de la situation. Il posa sa main dans les cheveux d'Ata, et y serra le poing comme pour affirmer son autorité, la soumettre à son rythme et à celui d'Anaé. 

-Oh putain...oh ouai..." il se mit à bouger lui même son bassin, de plus en plus, comme si il baisait la bouche de la lycéenne, comme si elle n'était qu'un mouchoir dans lequel il se branlait.

Les baisers qu'il avait dans le cou lui plaisaient mais ils ne suffirent rapidement plus, tellement son envie, son désir de sexe, grandissait. Il sortit son sexe de la bouche d'Ata, histoire de lui laisser du repos mais, surtout, pour changer de position et passer à du plus lourd.
-Tu as un joli lit dis moi, ça serait dommage de pas en profiter...surtout que tu pourrais toi aussi en tirer profit ma belle..." dit il avec une voix qui indiquait très clairement son état d'excitation.

En disant ça, il accéléra soudainement la vitesse de ses doigts dans l'intimité trempée d'Anaé, pendant ce temps, Ata a changé de cible et est parti sucer les tétons de sa nouvelle amie...

La pièce s'emplissait des bruits du sexe, entre paroles perverses et explosions humides. Le nouveau-venu avait pleinement pris possession de ses moyens et considérait désormais les deux jeunes femmes comme acquises. Ses doigts glissaient entre les cuisses d'Anaé sans la moindre hésitation, et bientôt, seul son pouce émergeait du vagin trempé, déformant sa culotte devenu poisseuse. Les bruits qui en sortaient étaient profondément salaces, auraient presque choqué Ata et leur amant s'ils n'avaient été aussi excités.

Ata s'attaqua aux tétons d'Anaé après avoir rapidement essuyé sa salive dégoulinant du membre gonflé de l'amant. Non seulement les seins d'Anaé semblaient plus gros et plus ronds qu'au début, mais ses tétons étaient devenus de vrais pointes dures et chaudes qu'elle agrippa de ses dents, avant de lécher sauvagement. Ana se contentait de gémir à ses caresses et ne se calma que lorsque le garçon retira sa main luisante de son entrejambe, la portant à la lumière pour contempler la quantité de fluides intimes qui maculait ses doigts.

Alors, elle décrocha Ata de ses seins pour l'embrasser à pleine bouche, sa langue, soudain plus langue, s'enroulant tel un serpent autour de la sienne. Quand leur baiser cessa, une étrange lueur brillait dans les pupilles d'Anaé.


"Viens là, ma petite Ata, vient goûter à mon plaisir !"

Le corps d'Anaé recula sous l'impulsion de Selena, s'allongea sur le lit, les pieds au sol, et écarta les cuisses. Sa culotte n'était plus qu'un rempart illusoire, devenu translucide sous les fluides intimes. Et le regard étrange d'Anaé s'arrondissait sur le sexe tendu du mâle de la pièce.

-Avec grand plaisir...salope."

La lycéenne adorait parler comme ça, l'ambiance était géniale. Ata ne tarda pas à rejoindre Anaé, s'agenouillant au pied du lit, ainsi elle avait une superbe vue sur le sexe de la jeune femme. Tout d'abord elle lui ôta la culotte qui ne servait plus à rien et qui était bonne pour passer à la machine à laver. Ainsi elle avait un accès libre et sans obstacle vers la source de jus intime d'Anaé.

-Décidément, t'es bien excitée Anaé, est-ce que ce sont les doigts du beau mec à coté qui t'ont mit dans cet état? Écarte les cuisses, je vais te lécher comme on t'a jamais léché!"

Cela dit, elle débuta son travail buccale: pour commencer elle se servit de sa langue pour lécher l’extérieur du sexe d'Anaé, le goût lui empli la bouche, le goût de cyprine dont elle avait l'habitude. Puis, après plusieurs allers-retours, elle fit entrer sa langue dans le l'intimité trempée et chaude qui lui était offerte.

A coté, le jeune homme était assis sur le lit et se branlait en observant la scène, n'hésitant pas à tripoter Anaé par pure perversité.