étrange rencontre [PV :Jethro Van Storm]

L'eau me faisais du bien, et l'odeur de la nourriture entrain de cuire ravissait mes narines tout en rappelant cruellement à mon estomac dans qu'elle état de famine nous étions. Je laissais l'eau couler un temps sur ma peau puis l'arrêta, je tira le rideau les yeux toujours fermés quand j'entendis

« Alors t’as bientôt fini, la pizza est prête. Et c’est meilleur chaud "

Hiiiiiiiiiiiiiiiii Y'a faute monsieur l'arbite, bitre! Je cachais ma virilité de mes deux mains, droite puis gauche alors qu'elle gonflait soudain par la surprise, je la regardais écarlate.

> Ainsi donc cela s'appelle une Pizza.

...Nuuuuuuuuul Jethro tu pue. Je la regardais en rigolant un instant, ah la coquine était doué, elle savait me titiller  et elle remportait cette manche. Je tirais lentement le rideau de douche devant moi en tirant une tête monstrueusement gêné. OUI BRAVO LIEUTENANT. Je perdais le pied contre elle et à part passer à l'acte, je voyais mal comment ne plus avoir aussi peur de me faire croquer.. Où suis-je tomber?

> Tu es sortie?

N'entendant pas de réponse mais me méfiant tout de même, je cherchais à tâtons la pile de vêtement. Fichtre, cette demoiselle me faisais réellement de l'effet, ça en devenait compliqué. J'adorerai lâcher prise et lui demander de faire l'amour mais.. je ne sais pas.. j'ai peur qu'elle se serve de moi et qu'elle ne m'aide uniquement pour me soutirer des informations.. comme l'autre... je soupirais et attrapais enfin le tricot de peau que j'enfilais, je sorti en fermant les yeux, réfléchissant à un moyen de rentrer chez moi et attrapa le pantalon que j'enfilais aussi

> J'arrives

> Ainsi donc cela s'appelle une Pizza.

Et ben dis donc il n’était pas bien dégourdit celui-là, la jeune femme lui lançait des perche mais il était complètement à côté de la plaque. Peut-être que finalement elle n’était pas à son gout. Il est vrai qu’elle aimait charmer subtilement mais de là à lui sauté dessus comme une affamée, il y avait un monde. Et la jeune femme savait se tenir, elle avait des principes. Visiblement il en avait plus qu'elle.
« Oui c’est ça une pizza, c’est italien, mais je suppose que ça ne veut rien dire pour toi. L’Italie est un pays en forme de botte en Europe, c’est genre super loin d’ici tu vois. Mais qu’est-ce que j’aimerais y aller. La vie là-bas à l’air plus douce plus chaleureuse,  et les villes sont tellement romantiques aaahh… »

Elle était retournée au salon avec son verre à la main, elle s’était resservie d’ailleurs. Elle ne pensait pas vraiment à ce qu’elle disait, à vrai dire c’est vrai qu’elle aimait l’Italie mais son monologue avait plus pour but de ne pas faire intervenir le silence qu’autre chose. Et vue qu’il n’était finalement pas si  réceptif que ça à ses « avance » elle se sentait quelque peu mal à l’aise.
> Tu es sortie?
« oui ! oui ! Je suis à table »

C’est vrai qu’au début elle voulait l’attendrir, le charmé pour pouvoir lui soutiré des informations sur son véhicule, mais petit à petit ça commençait à se transformé en défit. Et d’ailleurs peu importe si elle ne lui plaisait pas plus que ça. Elle allait le faire devenir fou d’elle. Elle but son verre cul sec alors qu’il était à moitié plein. Elle s’enhardit.
> J’arrive

Il était sortie de la salle de bain les cheveux encore mouillés, lui aussi perdu dans ses pensées. Les vêtements de hiro lui allaient plutôt bien finalement. Mais surtout avec ses cheveux mouillés il risquerait d’attraper froid. Alors elle le prit par la main et attrapa une serviette.
« Viens par-là ! Tu vas attraper froid avec tes cheveux trempés ! »

Elle l’assit sur le lit et se pose derrière lui pour sécher sa chevelure avec sa serviette. Elle restait silencieuse, l’alcool commençait à faire ses effets. Elle n’avait pas l’habitude de boire et elle commençait à avoir chaud. Elle n’avait pas du tout conscience qu’avec cette chaleur il n’allait pas attraper froid de sitôt et que du coup son idée était totalement stupide.

« Oui c’est ça une pizza, c’est italien, mais je suppose que ça ne veut rien dire pour toi. L’Italie est un pays en forme de botte en Europe, c’est genre super loin d’ici tu vois. Mais qu’est-ce que j’aimerais y aller. La vie là-bas à l’air plus douce plus chaleureuse,  et les villes sont tellement romantiques aaahh… »


> Je puis t'y emmener à bord de ma navette quand elle sera réparé, mais il faudra que tu m'aide à le faire

Je rigolais légèrement, me disant que ça lui ferait plaisir, et de plus ça m'obligeais à rester plus longtemps ici, à Seikusudanlarégiondekyoto. J'avais en effet les cheveux humide et j'apprécié l'attention... Bon Jethro, je penses que tu as assez fais poireauté la demoiselle, tu vois pas les signaux qu'elle t'envois? Non? Si? Ah bah tout de même, je m'assis sur le lit comme elle me le demandais et profitais du séchage de cheveux.

> Je t'ai dis que tu sentais très bon?

Elle sentait en effet très bon, j'aimais cette odeur, elle m'apaisait mais en même temps....


Elle m'excitait et la bosse du pantalon trahissait mon envie, je lui dit.

> Tu es certaines de vouloir manger tout de suite?

Je me retournais et lui faisais face, tant pis pour mes manières, mon envie ne partira pas sans rien.

> Ou puis-je abuser de ton hospitalité et te proposé un programme plus amusant?

J'approchais mon visage avec délicatesse du sien, mon regard remplit d'une malice certaines, d'une envie puissante, et d'une barrière de peur et de timidité qu'elle avait brisé

> Je puis t'y emmener à bord de ma navette quand elle sera réparée, mais il faudra que tu m'aide à le faire

Effectivement à la base elle avait accepté tout ça pour qu’il lui montre comment fonctionne sa machine. D’ailleurs se rend-t-il compte de la distance qu’il y entre le japon et l’Italie et qu’il était surement impossible de faire le trajet dans un aussi petit appareil ? Non évidemment comment aurait-il pu le savoir. Lui qui venait d’un tout autre monde. Elle était toujours en train de lui sécher les cheveux.
« Oui, ça pourrais être sympas ! Mais d’abord il faudrait que tu te rétablisses et qu’on trouve un autre endroit où te loger avant lundi, car le patron sera de retour et il n’aimerait pas vraiment qu’un étranger dorme ici, surtout seul avec moi »

Il est vrai que Takamura était très protecteur avec la jeune femme, comme un père. Et tout le monde sais que tous les papas n’aiment pas quand  un jeune fougueux tourne autour de sa progéniture. Surtout il n’était pas du genre à héberger n’importe qui. Il y avait aussi Hiro, Rosario savait qu’il était toujours amoureux d’elle. La jeune femme ne voulait pas lui faire du mal, c’était un gentil garçon. Elle aimer ces deux hommes plus que tout c’était sa famille, alors elle ne voulait surtout pas créer de tension, pour un type débarqué de nulle part, aussi mignon et gentil qu’il pouvait être.
> Je t'ai dit que tu sentais très bon?

Enfin il parlait c’était pas trop tôt, elle  le voyait bien la regarder depuis tout à l’heure. Cependant il n’avait pas agi et là même si c’est encore timide il passait enfin à l’action. Il faut dire que rosario commençait quelque peu à désespérer. Elle avait alors posé sa tête sur la sienne.
« eh bien ton odeur n’est pas repoussante non plus je dois dire. »
> Tu es certaine de vouloir manger tout de suite?

Enfin !! Apparemment cette douche l’avait réveillé ! Elle n’était pourtant pas le genre de femme à sauter sur le premier venu, mais il n’était plutôt pas mal, visiblement pas dangereux, mais surtout elle avait besoin de décompresser un peu, qu’on prenne soin d’elle. Et ce mec une fois repartie dans son mon elle ne le verrait surement plus jamais de sa vie. C’était ça le plus excitant finalement.
« ah vrai dire, c’est surtout pour toi que j’ai fait à manger, moi je peux encore patienter un moment »

Il s’était alors retourné vers moi, quelque chose avait changé dans son regard. Il c’était enhardit et sa détermination se faisait ressentir. Il allait-il enfin lui montrer que c’était bien un homme ?
> Ou puis-je abuser de ton hospitalité et te proposé un programme plus amusant?

Elle recula un peu de lui, sourire aux lèvres, croisait ses jambes et posa ses mains sur le lit comme si elle l’avait défiée.
« je t’écoute, je suis toute ouie !! »

Mon cerveau à l'instant fourmillait de milles inventions délicieuses à lui faire gouter, un homme? Oh j'en étais un et un qui n'avait rien à envier a ses congénères plus musclés ou plus "viril". Non.. je n'avais rien à envier, mais elle, elle allait faire des envieuses, je voulais la marqué au plus profond de son être par le désir et l'envie

> Tu m'écoutes? J'en suis fort aise.

Je pris l'une de ces mains et je la pressais contre mes lèvres avant de remonter le long de son bras, puis j'arrivais à son cou, j'y déposa quelques baisers doux avant de reprendre ma position initiale

> Le reste du programme t'intéresses, on peu en.. discuter?

[HRP] J'ai posé la question à Rosario en HRP pour être certains que son personnage aurait cette réaction[/HRP]

Elle se laissait faire, magnifique. Je me pencha sur elle collant doucement mes lèvres aux siennes.. ce gout.. c'est délicieux.. Pourquoi me suis-je privé si bêtement toute ces années des lèvres des femmes? A cause de Cassandra? Cette espionne? Certes.. Mais aujourd’hui, je constatais mon erreur, je la pressa contre moi, mon bras mécanique sur  ses jolie fesses. Mes gestes étaient, certes un peu maladroit, mais ils étaient sûr de ce qu'il voulaient faire. Alors que ma main mécanique donc était posé sur sa fesses droite, je chercha a la pousser délicatement sur le dos, ma main droite, encore d'os et de chair, elle, dégageait pour l'instant quelques cheveux sur son visage tendis que mes lèvres dansaient avec les siennes. Je sentais une douce chaleur m'envahir petit à petit, et mon junior cognait contre les parois de sa prison de tissu. Quand je fus enfin couché sur elle, ma main droite abandonné ses cheveux pour caressé sa taille puise se poser sur le sein de la jeune femme.. quel sensation enivrante.. Je sentais chaque parcelle de son corps collé au miens, elle pouvait sentir chaque parcelle du miens. Sa chair, ses os, la fermeté de ses seins collés contre mon torse et ma main. Je quittais ses lèvres pour l'embrasser dans le cou, partant de la base de son menton, juste au dessous des lèvres, descendant par des baisers doux qui avaient pour but de la faire frissonner. J'arrivais a son cou, petit et chaud, doux. Je fit se déposer à nouveau quelques baisers avant de me redresser, pas sans l'avoir embrasser au passage, et je retire mon haut, laissant apparaître mon torse finement ciselé, mes quelques cicatrices, notamment deux impactes de balles sur mes abdominaux, souvenirs malheureux d'un pilleur de mine et voleur d'Esclave. Je la serra a nouveau contre moi.

> Pour l'autre endroit où me loger, tu penses qu'on peut s'arranger pour que je vive chez toi un temps?

Je l'embrassais à nouveau, ma main mécanique dont la température était plutôt tiède à cause du reste autour d'elle plutôt chaud, la collait contre moi tendis que mon autre main caressait sa joue du pouce.