Nom: Todomo
Prenom: Heiko
Surnom: ...
Age : environ 139 ans
Sexe : femelle
Race :Vampire
Orientation sexuelle: bisexuelle
Description physique :
Comment avoir l’air inoffensive ? Il suffit d’ouvrir un peu les yeux, de sourire, de se montrer polie. Laissez vos cheveux à l’air libre, mais entretenez-les avec attention. Beaucoup d’hommes se figurent que, par ce qu’une femme à l’air d’une cruche, elle l’est forcément. Les cheveux noirs encadrant son visage donnent, à tort, une expression de douceur et de gentillesse à Heiko. Egalement, ses yeux, bruns et de taille surréaliste la font passer pour craintive, douce, sensible et gênée, c’est au choix. Sa véritable expression est inconnue des mortels. Ou ceux qui l’ont aperçue ne peuvent plus en parler. Lorsqu’elle met son visage à jour, ses yeux reflètent le mal, quoi qu’elle fasse. Sa bouche est toujours relevé en un sourire soit suggestif, soit sadique, jamais bienveillant en tout cas. Contrairement à ce que racontent ces stupides croyances populaires, les vampires ne possèdent pas de crocs sanguinolents, mais des dents aiguisées. Heiko avait tout d’une jeune femme normale : cheveux longs, bien entretenus et soyeux, peau lisse, légèrement plus pâle qu’un teint de peau humain, mais de manière nuancée, un air fier sur le visage et un corps bien proportionné, en accord avec son physique de jeune étudiante. Le mystère reste entier quant à son origine. Personne, pas vampire ne peut savoir pourquoi Heiko, pourtant dnuée d'âme est parvenue jusqu'à l'âge de 23 ans, de manièe naturelle, alors qu'elle avait été mordue dès sa naissance. Certains pensent que c'est justement par ce qu'elle était trop jeune pour assimilé le don que lui avait fait son créateur qu'elle la développé durant 23 ans avant que le processus d'assimilation prenne fin et qu'elle arrête de vieillir.
Caractère :
Elle avait toujours été d'un sadisme effrayant. Son physique, plutôt attirant tranchait avec sa véritable nature de femme autoritaire et mauvaise. Elle aimait faire attendre les gens, se montrait impossible avec les membres des nombreuses communauté desquels elle faisait partie. Elle aimait jouer vec les nerfs des gens, les asticoter méchamment. Avec ses victimes, elle s'amusait à les faire poireauter, fin qu'ils prennent conscience que la mort n'était plus qu'une question de minutes, qu'ils pleurent et supplient.
Heiko n'accorde jamais la vie, elle tue toujours sans se poser de question. Parfois, notamment lorsqu'elle était jeune, la jeune femme tuait pour le plaisir, mais elle s'est calmée pour cause de discrétion, et ne tue que pour se nourrir, ou si on a chercher à la taquiner, ce qu'elle déteste par dessus tout. Elle est froide, et ne se montre jamais gentille ou serviable sans une idée derrière la tête. Manipulatrice, elle n'a jamais de remords quant à jouer avec les hommes, les femmes et même les enfants, qu'elle déteste au plus haut point. Elle est pourtant appréciée des humains, surtout des hommes, qui voient en elle une possible dominatrice. Heiko s'en amuse, elle les trouve juste stupide et crédule. Les vampires ont plus de mal à la supporter, car elle est très arrogante quant à ses capacités, et jalose ceux qui sont plus fort qu'elle.
Histoire :
Une légère pluie fine aspergeait les pavés, les murs et les gens d’une humidité qui aurait pu être rafraîchissante sans ce sentiment de lourdeur qui pesait sur l’ensemble de la ville. Kyoto était subissait des changements météorologiques atroces, et personne ne voulait plus quitter son chez-soi. A chaque pas dehors, on prévoyait des bottes, un chapeau et un parapluie. Nous étions en 1870, et déjà, ce mois de mai était répertorié comme l’un des plus terrible de l’histoire de l’île. Alors que partout, des piétons fuyaient le mauvais temps, dans une ruelle mal éclairée, une femme, trempée, au ventre rond, criait à n’en plus pouvoir. Une douleur affreuse lui transperçait le ventre et les os, elle s’était assise contre un mur insalubre et mousseux, se tenant les entrailles et appelant à l’aide. Elle était bien plus jeune de près, les traits déformés par une atroce souffrance. Soudain, un homme de taille moyenne s’approcha d’elle. Elle se détendit un peu, pensant qu’il lui venait en aide. Mais au lieu de l’aider à se relever, l’homme la mordit, il lui mordit l’épaule avec tellement de ferveur, d’appétit, que la femme en resta muette. Puis, lentement, sous cette pluie, elle perdit connaissance, puis la vie. Le tueur griffa son ventre, partant de dessous sa poitrine jusqu’à son bas ventre. Un seul ongle parvient à réduire la peau et la chaire à néant. Il extirpa avec une délicatesse doucereuse l’enfant, qui poussa un cri. Pour le faire taire, l’homme le mordit, mais la lumière d’un phare le surprit et il dût s’interrompre, emportant le nouveau-né sous son bras, bouchant l’hémorragie du bout de son doigt.
23 ans plus tard, même lieu. Il n’avait plus été question de tempête à Kyoto depuis bien longtemps. Une jeune femme marchait d’un pas gracieux dans une ruelle. Elle ne semblait pas craindre un éventuel danger. Son regard était sûr de lui, confiant. Soudain, un homme arriva sur sa gauche. Plus grand qu’elle. Il lui demanda une cigarette, elle lui répondit d’une voix polie et ferme qu’elle ne fumait pas. L’autre se pencha vers elle et passa sa main sur sa jupe. Pour le plaisir, elle le laissa faire. Jouer à la victime la faisait toujours bien rire. Il profita de la situation pour passer son main grasse sous le chemisier de sa « victime », aussitôt, il sentit un objet aiguisé, pareil à la lame d’un couteau contre son cou. La voix était bien plus menaçante, et surtout, résonnait d’un accent froid, sans émotion. Il était allé trop loin, déclarait cette voix à peine humaine. S’il ne lâchait pas le sein qu’il tenait en main, et s’il ne retirait pas sa main fissa, il allait mourir. Il s’exécuta rapidement. Deux secondes plus tard, l’objet se plantait violemment dans sa peau, et il tombait à terre, dans un bruit sourd. Un rire cristallin lui apprit qu’il avait un sang excellent, puis des bruits de pas l’abandonnèrent.
Elle ne savait pas exactement pourquoi elle avait grandit près d’un vampire. Ni pourquoi elle-même l’était. Mais cela la faisait rire, aussi, elle supportait bien sa malédiction, et tuait à l’occasion deux ou trois mortels pour le plaisir de les voir tous puissants réduits à supplier, alors qu’ils ont déjà un pied dans la tombe, et qu’il suffit qu’elle les pousse pour qu’ils ne disent jamais rien.
Elle avait physiquement l’âge parfait pour passer pour une stagiaire. Ce jour-là, elle allait à son entretien d’embauche pour un lycée public de la ville de Kyoto. Elle avait besoin de ce job si elle ne voulait se faire virer de son appartement, et également pour passer inaperçue.
Elle avança jusqu’à l’établissement. Elle avait répété plusieurs fois son premier jour, toutes les nuits depuis un mois. Bien sûr, son futur employeur n’en savait rien, mais elle était décidée à faire une excellente impression.
Embauchée ! Elle allait fêter ça avec deux trois passants, dont un enfant, qui aurait le sang plus chaud. Elle avait tout simplement répéter son rôle à la perfection. Démarche stable, dialogue sans anicroche, sourire et attitude discrète. Elle avait même fait bonne impression aux élèves. Diplômes ? Maîtrise d’anglais, d’histoire de l’art et de science politique. Elle n’avait jamais aimé les maths, avait-elle confié au directeur, qui avait rit. Elle était dès à présent la nouvelle professeur en éthique. Il lui faudrait faire preuve de prudence durant trois mois, puis elle pourrait enfin assouvir sa soif. Patience et longueur de temps font mieux que violence et brutalité, n’est-ce pas ?
Situation de départ : Bien sûr quelle avait essayer de coucher avec des hommes. Des vampires, comme elle, qui avaient été compétents.
Autres : laissez moi boire votre sang...
Comment avez vous connu le forum: by chiboard
Avez vous des moyens de faire connaître le site autour de vous?Si oui lesquels:
Je peux bien en parler autour de moi =)
