Des cours particulier [Myumi Ichtora]

Il allait falloir qu’Elia s’habitue à cette tenue, ainsi qu’à cette position. Elle ne serait parfaitement une neko que quand la professeur insérerait dans ses fesses cette queue qu’elle tenait dans sa main. Tant que ce ne serait pas fait, elle resterait encore à un stade intermédiaire : celui de la formation. Myumi comptait l’entraîner, et elle s’était remise face à elle, attendant de la voir obéir. La soumission, de manière générale, était quelque chose qui, aux yeux de Myumi, avait une grande importance. Elle était l’un des aspects indissociables du sexe, qu’elle avait toujours vu comme un mélange de plusieurs sentiments, tournant tous autour du pouvoir. Un rapport sexuel était un rapport de domination ou de soumission, où il n’y avait jamais une égalité parfaite. Dans l’acte, il y avait toujours l’un des deux partenaires qui prenait le dessus sur l’autre. C’était une loi logique et immuable, et Myumi avait globalement toujours le rôle de dominatrice, celle qui guidait et orchestrait la séance. En même temps, ses amants étant généralement ses élèves, il y avait une certaine logique dans cette attribution. La femme aimait ça. Elle aimait éduquer ses élèves, leur apprendre ce qu’était vraiment la vie. Elle ne se voyait pas réduire son rôle de professeur à l’acquisition de connaissances intellectuelles. L’école était là pour leur apprendre à vivre, et la société était fondamentalement régie par le sexe. Il était donc normal que son enseignement s’applique en conséquence.

Elia, lentement, se mit à miauler, acquérant un peu d’endurance. Elle semblait avoir du mal à y croire, du mal à se dire qu’elle vivait réellement cette scène, qu’elle était réellement en train de miauler devant sa professeur, et qu’elles allaient faire l’amour. La situation semblait tellement invraisemblable que Myumi comprenait ce point de vue. Pour autant, c’était bel et bien ce qui se passait. Les deux allaient faire l’amour, Elia allait perdre sa virginité, si elle l’avait encore. Elles ne se connaissaient quasiment pas, mais ça ne dérangeait absolument pas Myu’. Y avait-il une autre manière de se connaître que le sexe, de toute manière ? C’était le plus beau et le plus honnête des CV. En amour, en amour sexuel, on ne mentait pas. Les corps s’exprimaient, et, à partir de là, les véritables mentalités apparaissaient. Tout le reste n’était qu’un masque, une façade, mais, quand les corps parlaient, on ne mentait plus. On se mettait à nu, et on se dévoilait. Elia ne cherchait même pas à se défendre. Elle n’avait même pas posé de lapins à Myu’, ni même exprimer un sentiment contraire. Elle obéissait fidèlement.

C’est ce qui amena un sourire sur les lèvres tendres et raffinées de sa Maîtresse. Elle avait croisé les jambes, et joignait ses mains entre elles, ressemblant presque à une méchante dans un mauvais film d’espionnage. Il ne manquait plus qu’un chat à côté d’elle pour qu’elle soit une version sexy de Cruella ou des reines maléfiques dans les films d’animation de Disney.

« Ton miaulement manque d’un peu de force, ma belle... Mais tu apprendras à devenir une bonne petite chatte avec le temps, et à bien miauler. »

Elle laissa planer quelques secondes d’hésitation, s’humectant les lèvres, puis reprit :

« Rapproche-toi, Elia... À quatre pattes, bien sûr, et viens lécher mes pieds. »

Des exercices faciles, pour le moment, car Myumi ne voulait pas brusquer les choses.

Ma maitresse me fait des remarques, comme quoi je manque encore de convictions et que ce n'est pas très bien du coup. En même temps c'est normal, car je viens juste d'être attachée! Il faut que j'ai le temps de m'habituer au changement et je dois bien avouée que ce n'est pas facile de marcher avec les jambes replier comme ça ! Mais qu'importe. Je baisse la tête face à ma maitresse et la voila qui me donne un ordre à présent. Je relève la tête et je miaule mieux qu'avant. 

-Meow ! 

Je m'avance avec difficulté vers les pieds de Myu et une fois arriver à leurs hauteurs je penche ma tête vers le bas pour presque toucher son pied! Sauf que bien évidemment ce n'est pas le cas. Je n'ai plus qu'a venir lécher avec ma langue et faire des petits mouvement histoire de lui nettoyer le pied droit!   Puis une fois finie je me redresse difficilement, car je manque de tomber sur le coté et je  me change de position. Je marche à quatre patte très lentement je lâche un autre miaulement pour lui montrer ma dévotion!

-Miaouw ! 

Puis je  penche ma tête sur son pied gauche qui subit le même sort! Ma langue s'agite pour nettoyer  le pied de ma maitresse et je continue jusqu'à ce qu'elle me dise de faire autre chose!  C'est pas facile de le faire comme ça, mais ça m'empêche pas de bien le faire et d'y prendre mon pied! Je continue de lécher son pied en espérant qu'elle se lève du bon pied à mon égard.   Je ferme les yeux et profite de cet instant particulier. Car pour bien m'habituer à faire les choses il faut s'immerger complètement dans la neko. 

C’était une petite chatte prometteuse. Un de ces quatre, Myu’ devrait se fonder un club de nekos... Comme elle. Elle se voyait presque comme la vieille grand-mère aimant vivre entourée de chats, sauf que les siens étaient de petites chattes en latex, de véritables humaines qu’elle humiliait et rabaissait, afin d’en faire des poupées de latex. La poupée en question se rapprocha d’elle, léchant ses pieds, après un nouveau miaulement, sans aucun doute destiné à lui montrer le plaisir qu’elle ressentait à être dans cette position, à être soumise à cette femme, à lui obéir, et à faire scrupuleusement ce que sa Maîtresse lui ordonnerait.

*Et bien, sache que c’est réciproque... Avoir une petite chatte salope à mon service, c’est tout ce que je souhaite, surtout quand c’est l’une de mes élèves.*

Elle l’observa sans rien dire pendant quelques minutes. Le silence n’était rompu que par le glissement de la langue d’Elia sur ses bottes en latex, et par les gémissements que la femme poussait. Elle s’y faisait progressivement, sans aucune hostilité, sans aucune contestation. Myumi la laissait faire, et frottait la tête de la femme avec son autre jambe. Elle les croisa, soulevant son autre jambe par-dessus la sienne, et le bout de son pied alla frotter la tête d’Elia, entre ses deux oreilles de chattes. Elle remua ensuite un peu, et son talon glissa sur le menton de la femme, s’appuyant dessus. Un sourire amusé et vicieux éclairait les lèvres de la senseï. La Maîtresse se faisait plaisir, et ses mains continuaient à serrer la queue de neko qu’il fallait encore lui mettre.

Au bout de plusieurs minutes, elle finit par retirer ses pieds.

« Parfait, ma chérie. Parfait ! Tu es une bien belle neko... Je vais maintenant achever ta transformation. »

Myumi se releva, le corps légèrement frissonnant. Elle n’en était pas encore au point de mouiller, mais ça se rapprochait. Elle se rapprocha d’Elia, et alla dans son dos. Elle se déplaça à côté d’elle, Elia restant à quatre pattes, les mains gantées de Myumi glissant le long de son corps. Elle commença par lui caresser les cheveux, et glissa vers le bas de son corps, vers ses fesses et son fondement, à l’air libre. Tout son corps était, sous les morceaux en latex, recouvert d’une sorte de long combinaison collante et moulante, qui avait pour effet de protéger la peau d’Elia contre l’irritation, et d’absorber la sueur. Son petit cul, lui, était à l’air libre, et Myumi, en se glissant dans son dos, alla généreusement le presser, posant chacune de ses mains sur ses fesses.

« Hum... Tu as un délicieux cul, ma petite chatte... » la complimenta-t-elle en continuant à le malaxer.

Ses doigts pincèrent ses fesses, glissant sur sa chair. Elle les écartait progressivement l’une de l’autre avec ses pouces, dévoilant ainsi sa petite rondelle, un trou étroit et rose. Après quelques minutes à lui peloter ainsi le cul, elle approcha sa bouche, et lécha son trou, fourrant sa langue contre elle, essayant de percer, avec le bout de sa langue, sa rondelle. Avant de lui mettre sa queue, Myu’ comptait préparer la jeune femme à ce contact oppressant et lourd.

Faire la bonne Maîtresse, en somme.

Pendant que je lui lèche ses pieds il  y a Myu qui ne reste pas inactive! Je sens ses jambes passer de pa en par sur ma tête et ça ne peut que me faire plaisir de voir une sensei active!   Je  sens qu'elle passe prêt de mes fausses oreilles de chat, puis pendant un moment elle passe même prêt de mon menton avec son talon à aiguille.  Seulement sous cette posture je ne vois pas qu'elle sourit de manière machiavélique, mais elle a surement un plan en tête! D'ailleurs je dois faire attention... Si elle me fouette je dois faire en sorte que mon pouvoir ne renvoie pas le fouet ou autres, car sinon ma couverture peut-être grillé et ça s'annonce mal pour moi. Je me contente de ronronner face à ses caresses je verrai ce qu'elle a prévue en tant voulu.  Elle finit par me complimenter en retirant ses pieds de ma langue et je me redresse alors face à elle et je miaule pour la remercier! 

-Meow. 

Soudain la voila qui passe derrière moi, mais le hic c'est que je ne puis plus voir ce qui se passe, car à cause du collier que j'ai je peu difficilement tourner ma tête. Je ne peux regarder que devant moi. Dans un sens c'est pas plus mal, car c'est la surprise de ce qui m'attend, mais un détail me chiffonne encore. Achever ma transformation en neko ? Comment ça ? Fait-elle référence à cette queue noire qu'elle tient dans sa main ? Elle compte me la mettre entre les fesses si je comprend bien ? Pour ressembler vraiment à une Neko ?   Peut-être que la technologie de Terra me permettrait de faire ça, mais bon.   Pour l'heure je sens la sensei passer ses mains sur mon corps, puis descendre vers mes fesses pour venir les empoigner et me les malaxer. ça a tendance à me faire gémir, puis elle parle encore  pour complimenté mon corps.  Je miaule encore pour me  faire comprendre et lui dire merci.

-Miaouw. 

Je pousse un petit gémissement, car je la sens pincer mes fesses!  Cela a pour effet de me faire avancer, mais vu que je suis attaché ça fait juste rebondir mes gros seins dans la tenue moulante que ma donner la professeur Myu.  Pendant quelques minutes elle me les tripotes et profite bien du spectacle, mais moi je rougis comme une psychopate et je pousse des petits gémissements à chaque fois qu'elle finie une série de massage.  C'est un signe pour dire que j'aime bien ça, car  y a pas à dire. Elle sait s'y faire avec ses nekos. De plus je serai ravie de faire des activités érotiques avec elle histoire d'apprendre d'avantages de choses.   Puis je sens sa langue entrer en moi dans mon trou et ça me fait rougir encore plus et gémir surtout.  Je suis figée sur place attaché dos à elle, mais il semble qu'elle y prenne un malin plaisir à me voir comme ça. Je dois avouer que moi aussi j'y prend plaisir....  Quand je serai une neko  je lui proposerai surement d'en devenir une complètement si ça me plait bien, mais pour l'instant je test! Même si ça me plait bien. 

Il fallait préparer cet endroit avant d’y glisser la queue. Myumi savait y faire, et léchait plus activement, savourant ça. Elle sentait le corps d’Elia se mettre à flancher, tremblant sous l’effet du plaisir qu’elle ressentait en elle. Autant dire qu’elle appréciait plutôt bien cette sodomie, et qu’elle ne pourrait qu’adorer le reste. Les minutes s’écoulaient lentement, rythmées par les gémissements de la neko et par les bruits de succion de la langue de Myu’.La Maîtresse agissait avec talent, continuant à remuer, à titiller ce trou, et, quand elle l’estima suffisamment lubrifié, elle y glissa un doigt, le remuant lentement, décrivant des cercles à l’intérieur, l’écartant suffisamment pour y glisser un second, continuant à remuer. Elle pouvait sentir cette femme en train de mouiller, sous l’effet croissant du plaisir qui explosait en elle. Un sourire amusé éclairait les belles lèvres de la professeur, qui, après plusieurs minutes de ce traitement, avança son autre main, et flatta l’intimité d’Elia, la tripotant.

« Tout ça m’a l’air bien mouillé ici... » commenta-t-elle.

Elle retira ensuite ses mains, puis récupéra la queue noirâtre.

« Bien... Cet appareil est une queue un peu spéciale, tu le verras par toi-même. »

C’était en réalité un instrument magique, enchanté par sa mère, qui constituerait presque une véritable queue pour Elia, c’est-à-dire qu’elle la sentirait comme un organe de son corps, pouvant la faire remuer. Myumi l’enfonça lentement en elle, forçant le passage. Les parois internes d’Elia étaient certes lubrifiées, elles résistèrent malgré tout. C’était comme lui enfoncer un gros gode dans le cul, mais Myu’ réussit à le faire. Un sourire épanoui éclairait continuellement ses lèvres. Elle se les mordilla même quand elle réussit à enfoncer son gode, gratifiant ensuite le geste par une petite tape sur les fesses de l’intéressée.

La queue était bien mise, et Elia allait vite comprendre qu’elle pouvait la remuer. Myu’ se replaça devant elle, reprenant sa place sur son fauteuil, reprenant son apparence de grande méchante issue d’un film de James Bond.

« Apprends à manipuler ta queue, Elia, et pénètre-toi avec... »

C’était une bonne manière de lui apprendre à s’en servir, non ?

Pendant que la prof me fait une sodomie je reste bloquée sur cette position à cause du bondage, mais quelque chose me dit que je suis pas prête de la quitter. Donc je profite comme il ce doit de la sodomie offerte par ma maitresse avec sa langue et j'apprécie grandement ce qu'elle me fait.  Quand soudain elle se mêt à tripoter mon intimité qui à pour  cause de me faire gémir encore plus de plaisir quand elle vient me murmurer quelque chose que je confirme d'un miaulement. 

-Meow.   

Puis elle prend enfin cette queue noiratre de son autre main. Elle va en faire quoi ? Me la mettre ? Me flageller avec ? Tout est possible venant de Myu, mais quelque chose me dit que je n'allais pas tarder à le savoir. Mais si elle veut me transformer en neko elle est sur la bonne voie. Je l'écoute parler, mais je ne dis rien cette fois et je la laisse faire, car je ne veux pas l'interrompre. Je me mis alors a pousser un gémissement quand je sens qu'elle me la met entre les fesses, mais quelque chose de bizarre émane de cette queue on dirait de la magie. Alors elle aussi possède des dons ?  Parce que pour possédé ce genre d'objet  ce n'est pas donné à tout le monde. 

-Miaou. 

Je commence à bouger ma queue et son fonctionnement n'est pas très compliqué et voila qu'elle m'ordonne de me doigter avec l’entre jambe. J'ai déjà répondue un miaulement affectueux tout à l'heure en guise de réponse et je commence alors à me pénétrer avec cette queue afin de me procurer pleins de plaisir sexuel  je commence bien sur doucement au début, mais  plus ça va plus je mouille. Peut-être plus tard pourquoi pas devenir une vraie neko ? C'est si plaisant de se doigter avec une queue et je continue d'offrir du spectacle à ma maitresse alors que celle ci est revenue sur son fauteuil pour observer la scène. Je lui offre un spectacle monumentale et  j'espère qu'elle apprécie. Toutefois je me demande ce que c'est que cette boule rouge à mon cou.  Mais la n'est pas la question et je me pénètre avec cette queue sans grande difficulté et ça m'excite bien je dois l'avouée.

Un sourire coquin sur le coin des lèvres, Myumi regardait Elia se pénétrer elle-même, manipulant sa queue avec un talent indiscutable. Elle n’était pas la première femme avec laquelle Myu’ jouait à la transformer en neko, et elle fut donc étonnée, dans le sens positif du terme, en la voyant utiliser sa queue de neko sans problème, parvenant à la glisser dans son vagin sans problème, et à se pénétrer avec. Myu’ s’en pinça les lèvres, salivant devant ce spectacle délicieux. Il fallait bien avouer que c’était particulièrement joli à voir. La femme mouillait sur place, la cyprine tombant sur le sol, excitant les sens de Myumi, qui la laissait faire sans rien dire, s’humectant les lèvres.

Encore une fois, les minutes se mirent à défiler, la femme laissant Elia agir. Elle contrôlait très bien sa queue, et Myumi leva son pied, venant caresser la tête de la femme, souriant délicatement.

« Oui, oui... Tu t’en sors vraiment bien, Elia... Une belle petite neko... »

Belle, et très douée. Myumi ne pouvait que l’admettre, ce qui laissait entendre de bonnes choses à venir. Cette queue caudale enfoncée en elle ne se retirerait pas, et lui donnerait l’impression d’être une sodomie constante. Myu’ était surprise de voir qu’Elia supportait si bien ce contact. Elle continua à lui caresser la tête, puis se releva encore, se dressant face à sa partenaire.

« Bon... Je crois qu’il est temps de passer à la suite des évènements. »

Sa jupe était le prolongement de son bustier, et elle se rapprocha de la femme, écartant ses jambes à gauche et à droite de la tête d’Elia et de ses oreilles triangulaires. Le plaisir continuait à monter dans le corps de Myu’, et leur séance devenait de plus en plus sexuelle et perverse. Maintenant, Elia comprenait pourquoi Myumi ne pouvait pas la former simplement en salle de cours. Elle avait besoin de tout un équipement, et de beaucoup de temps.

« Bien, bien... Redresse-toi, maintenant, et viens lécher la culotte de ta Maîtresse... Tout en continuant à te pénétrer avec ta queue, bien entendu. »

Myu me laisse faire ainsi pendant une bonne dizaine de minutes ou je me fais du bien avec cette queue enchantée, mais quand j'en aurai l'occasion je lui demanderai d'où ça vient, car ce genre d'objet est introuvable sur terre. De  plus la voila qui se met à me caresser le visage avec son pied et à me complimenter pour mon talent à diriger cette queue en je ne sais pas quoi.   Je miaule pour remercier ma maitresse de son compliment et voila qu'elle  continue de me caresser la tête  avec son pied. 

-Meow.

Je la vois qui se lève alors de son fauteuil en faisant des allusions bizarres! Enfin bizarre je pense que je ne peux plus dire ça maintenant. Cette situation est tout sauf normale. Je lève les yeux vers ma maitresse intriguée par la suite des évènement et je la vois alors lever ses jambes à gauche et à droite de ma tête, mais du coup je suis au milieu et j'ai une magnifique vue sur son entre jambe, mais il y a sa culotte qui me cache la vue alors du coup je ne peux rien voir, mais de toute manières vu la posture je  pense qu'elle va me donner l'ordre de lui enlever. C'est  alors qu'elle me l'ordonne différemment. Je dois lécher la culotte de ma maitresse.   

-Miaouw.

Fais-je en m'approchant difficilement de son entre  jambe pour pouvoir interagir avec sa culotte.  Je penche ma tête vers l'avant de toute façon je ne peux faire que ça et une fois bien contre je sors mon petit bout rose qui me sert de langue et je fais des gestes frénétiques comme si je léchais une glace, mais sur la culotte de Myu sensei!  Je passe ma langue en essayant de m'appliquer pour ne pas la décevoir et je pense que sa libido doit être particulièrement élevée.  De ce fait je fait à présent des va et vient du bas vers le haut, puis un peu sur les cotés de temps à autres et je m'applique pour satisfaire ma maitresse. On dirait une grosse chienne n'empêche ce que je suis en train de faire, mais cet argument ne tiens pas puisque je suis une néko! Enfin... Aux yeux de Myu quoi. Je reste une esper à proprement parler.

Sous sa robe noire, Myumi portait une fine culotte noire brodée à dentelles, avec un papillon à l’arrière. La tête d’Elia fila sous sa jupe, et alla lécher sa culotte. Myumi tendit sa main, et caressa la tête de la femme. Elia se débrouillait très bien, et elle s’évertua à le prouver en léchant la culotte de sa Maîtresse, sans hésitation, sa petite langue filant le long de cette dernière. Myu’ aurait pu lui demander de la lui retirer tout de suite, mais elle préférait prendre son temps, et explorer les éventuelles tendances fétichistes de sa nouvelle élève. Elia n’était pas la première que Myu’ formait, et elle avait presque fondé son propre petit club, au lycée, en initiant les élèves de ses différentes classes au sexe. Pour elle, c’était naturel, une fonction normale de son statut de professeur, et elle s’y appliquait avec plaisir et envie, se dévouant totalement dans sa tâche.

Elia n’était pas vraiment une neko, mais, en l’état, ça n’avait aucune importance. Ses miaulements étaient délicieux, et, tandis qu’elle s’effectuait, Myumi continua à former Elia. La main ne caressant pas le visage de la belle alla chercher une cravache, et elle l’abattit sur le dos de la femme.

« Je vais te former au sexe, Elia, au sexe dans toute sa splendeur..., disait-elle alors. Quand j’en aurais fini avec toi, tu seras la plus parfaite des perverses, une petite chatte entièrement habituée au vice et à la luxure. »

Un sourire pervers éclairait le visage de la femme à cette idée, qui s’en lécha les lèvres, et continua à la battre pendant quelques secondes, sa cravache claquant sur sa tenue et sur son uniforme. Elia était sa petite chatte maintenant, et cette idée la faisait mouiller. Sa cyprine coulait hors de sa culotte, au fur et à mesure qu’Elia la léchait, rapidement, avec appétit, sa langue filant tout le long de la surface de son sous-vêtement.

« C’est très bien, ma puce... »

Myumi ne voyait pas son visage, enfoui sous sa culotte, et s’imaginait déjà dans son bureau, assise sur son fauteuil, écoutant des parents parler de leurs enfants, tandis qu’Elia serait sous le bureau, léchant son sexe. C’était le genre de défis que Myumi adorait tout particulièrement. Le sexe en public était une excellente manière de briser les liens entre la sphère privée et la sphère publique, une excellente façon d’encourager la luxure, la lubricité, et la perversion. Myu’ adorait ça, et formait ses élèves dans ce sens, pour qu’ils deviennent des exhibitionnistes, pour qu’ils viennent la voir, tout sourire, en leur disant qu’ils venaient de se faire l’amour dans une rame de métro, au parc, ce genre de choses... Pour Myu’, entendre ces aveux était toujours très excitant. Il ne fallait pas oublier qu’elle était une demie-succube, et que ses instincts de succube se couplaient à perfection avec sa semi-nature d’humaine.

« Retire ma culotte, maintenant... Tire avec tes dents, ma petite traînée. Il faut commencer par l’arrière. »

Le meilleur moyen de la retirer était en effet de s’attaquer au papillon à hauteur de ses fesses, car c’est là qu’on trouvait le nœud permettant de retenir son sous-vêtement. C’était donc lui qu’il fallait dénouer. Pour la motiver, Myumi donna quelques coups de cravaches supplémentaires, en tapant les fesses de sa partenaire.

La culotte papillon noire de ma professeur me fait doucement sourire malgré le fait que je suis en train de bien humidifier cette dernière en donnant des coups de langues en m'appliquant. C'était un peu bizarre de ne pas pouvoir voir la réaction que je lui procurai, car sa jupe nous sépare visuellement et je ne peux que me contenter d'analyser moi même et d’interpréter la situation. Toutefois vu comment elle me laisse faire et me complimente j'ai une vague idée de sa tête la haut. Puis cette dernière se lève de son bureau pour aller chercher un objet, mais j'ignore lequel ! De toute manière je le su aussitôt après puisqu'une cravache  s’abat sur mon dos. Cela me fait lâcher un petit gémissement et aller légèrement vers l'avant.  La voila qui vient me dire qu'elle allait me former pour que je devienne une vraie perverse au sain du lycée !?  Je lâche un petit miaulement approbateur puisque je ne puis faire que cela dans l'état actuel des choses.  

-Meow !  

Dis-je alors que celle-ci enchaine les coups de cravaches sur mon corps. Je suis trop déconcentrée pour être occuper à renvoyer les coups avec mon pouvoir. C'est donc une chance qu'elle ne le remarque pas maintenant, mais plus tard je pourrai bien en faire l'erreur et je ne sais pas comment elle pourrait réagir à cela. Par conséquent je me dois d'y faire attention à ce que je fais. Je lâche des petits gémissement à chaque coup de cravache qu'elle me donne, puis me complimente comme quoi je lèche bien sa culotte.  

-Meow.  

Je lâche un  miaulement en guise de remerciement  et la voila qui donne ses instructions cette fois. Elle veut que je retire sa culotte avec mes dents. Cela ne va pas être facile dans l'état actuel des choses, mais je relève le défis et je m'avance donc à l'arrière alors que celle-ci me donne des coups de cravaches pour que je m'active. Je miaule, puis je passe derrière elle  lentement, puis après avoir analyser le noeud je donne quelques coups de dents dessus et je tire pour le défaire en me reculant légèrement. Je tire sur le rubans noir avec mes dents et je le laisse tomber par terre une fois dénoué.  

Je me dirige à présent vers l'avant pour revenir entre ses jambes et je me saisi de l'extrémité pour la baisser et tirer sensuellement vers le bas, mais plus je descends plus ma posture me fait mal. Et si je tombe je vais avoir du mal à me relever. Alors je fais attention jusqu'en bas et lui retire complètement sa culotte.   Une fois mon ordre effectuer je miaule en face d'elle pour lui signaler que j'ai terminé. Bien que la suite parait claire comme de l'eau de roche.  

-Meow

Myumi continuait à former Elia. C’était ce qu’elle aimait faire, ce qu’elle adorait faire, même. Si elle était devenue professeur au lycée, c’était avant tout dans le but de former et de dresser de jeunes lycéens, de leur enseigner la voie du sexe, et de les entraîner. Pour Myu’, ça n’avait rien de profondément immoral. La puberté était en train de se développer chez ces jeunes corps. Ils avaient conservé la beauté de leur jeunesse, tout en laissant pointer celle du corps adulte. C’était le meilleur âge possible pour le sexe, celui où le corps humain était le plus beau qui soit. La senseï formait donc ses élèves, et Elia était la prochaine sur la liste... Et elle était très prometteuse. Soumise, elle avait une queue caudale plantée dans les fesses, qui pilonnait  son petit cul, et elle recevait ses ordres, miaulant lentement, se plaisant dans son rôle de chatte soumise.

Elia se déplaça lentement, se glissant dans le dos de sa Maîtresse. Myumi avait eu le temps de la cravacher, de la battre, et elle ne l’avait pas encore pénétré... En somme, tout était encore à faire. Elia se glissa dans le dos de la femme, et s’attaqua à sa culotte, défaisant le lacet avec ses dents. Myu’ se mit à gémir, se pinçant les lèvres, des frissons traversant sur tout son corps. Ses seins se mettaient à lui faire mal, ses tétons pointant le long de sa robe. L’odeur du latex suintait dans toute la pièce, formant un délicieux background sensoriel. Elle s’appuya contre le bureau, aidant ainsi Elia à agir, à défaire le nœud de sa culotte.

« Haaaa... Bien, bien, ma petite pute... »

Elia revint ensuite devant Myumi, et s’attaqua à sa culotte, venant tirer dessus, en couinant et en se tortillant. Myumi s’appuya encore contre son bureau, facilitant la tâche de sa belle chatte en écartant les jambes, afin que la culotte glisse plus facilement. La professeur ne pouvait décemment pas le cacher : ce spectacle l’excitait énormément. Elia tira sur la culotte, et, lentement, très lentement, Myumi sentit cette dernière se décoller de son corps, tirant sur sa peau, avant de se désolidariser de cette dernière, et de glisser lentement sur ses jambes. La culotte tombe progressivement sur le sol, Elia peinant un peu à s’agenouiller. Myu’ aurait pu l’aider, bien entendu, mais elle préférait la laisser faire, et se contenta juste de relever les jambes quand Elia eut terminée.

La femme se redressa ensuite, toute contente, et poussa un miaulement satisfait. La main de Myu’ se tendit alors, et caressa la tête d’Elia, pila entre ses oreilles pointues.

« Brave petit chaton... Elia va avoir droit à sa récompense... »

Myumi ferma les yeux, se concentra un peu... Et la magie rose parla. Elle en avait naturellement hérité de la part de sa mère, et, si Myumi n’était pas une praticienne de la magie, elle savait instinctivement utiliser certains sorts fondamentaux, propres aux succubes. Quelque chose se forma dans son intimité, et, au bout de quelques secondes, dans un long soupir de la vampire, un phallus ne tarda pas à jaillir, bondissant en formant une pointe de chair, crachant de la mouille, qui atterrit notamment sur le nez d’Elia.

« Haaa... Viens me lécher, Elia... Hummm... Montre-moi tous les talents de ta bouche... »

Le sexe qui venait d’apparaître était un véritable membre, avec une verge et des testicules. Tendu et gonflé, il attendait qu’Elia se rapproche pour s’occuper de lui...