Fiction des aventures de Katerine Dvordoubinski un de mes dc se passant dans le monde de Eldar Scroll V Skyrim.
Jour 1 :
Je me réveille dans une charrette… je suis attachée au poignet par une corde bien solide. Autour de moi et mise à part le conducteur en armure lourde il y’a trois autres prisonniers. Quand je me tourne davantage afin d’observer l’environnement je remarque qu’en vérité c’est un convois… Un convoi de plusieurs damnés prêts pour la mise a mort. Je me fiche de ce que disent les autres prisonnier entre eux je cherche surtout un plan pour me sortir du pétrin dans laquelle je suis. Les gardes qui nous transportent sont lourdement armée… une fuite me serait préjudiciable. Il me faut attendre pour le moment. Nous arrivons à Helgen, un petit village de pierre entourée par des solides murailles. Ainsi vais-je mourir dans un lieu si éloignée de mon chez moi.
Je m’approche du Billot… Même le faite de dire que je suis Katrine Dvordoubinsky ne change rien à ma situation. Pour une fois que mon nom m’offre le même destin qu’un troufion de paysan…. Aaarrh… Ils viennent de couper la tête d’un des autres prisonniers, sa tête se dirige dans un panier d’osier servant jadis à la récolte des fraises. Ça va être mon tour, je me penche je souris à la mort qui pose sa main froide sur mon épaule. D’un coup ! Un dragon surgit de nulle part bravant le ciel d’un bleu marin pour instaurer l’enfer sur nos têtes. Je suis saine et sauve, je cours hors du billot pour m’abriter avec quelques malheureux dans une tour de garde. Après quelques cabrioles, je parviens à sauter sur le toit d’une ancienne taverne puis à sortir dans la coure secondaire de Helgen. Sans le savoir je suis un impériaux mais dès que l’occasion se propose je me décide de suivre un sombrage. Je n’ai pas oubliée que les impériaux voulaient ma tête et pour le coup j’aurais la leurs !
Me voilà dans les sous terrain de Helgen, à fuir une ville qui m’est étrangère comme un rat. Je parviens dans ses tunnels sombre à éliminer quelques impériaux. Mes premiers d’une longue série, je le pense fortement. Vers la fin du tunnel je parviens à tuer un ours à l’arc, se dernier faisait office de gardien de la sortie il fait maintenant office de couverture pour la nuit. Nous sommes enfin sortie, je suis un homme charmant du nom de Ralof. J’espère vraiment pouvoir avoir une aventure avec lui, je vais lui apprendre à devenir un homme un vrai. Je remarque qu’il observe mon derrière se trémousser au grès des pavés de la route. Une attaque de loup, ses pauvres bêtes se sont habituées au goût de la chaire humaine à cause des nombreuses guerres dans le pays…. Par chance mon Ralof me sauve du péril en faisant barrière avec ses muscles d’acier.
Nous arrivons à Rivebois, un chouette village qui ne demande que d’être en paix. Ralof décide de me présenter à sa sœur Gerdur son beau frère Hod et son neveu Frodnar. C’est un rapide, il veut déjà me faire connaître sa belle famille et il semblerait qu’ils m’apprécient beaucoup. Ma belle famille m’invite à souper et à dormir aussi longtemps que je le souhaite. Hum quel bon repas avec ma belle famille, je ne regrette absolument pas je pense rester quelques jours à Rivebois.
Jour 2 :
J’ai passée une très bonne nuit, je regrette seulement que Ralof ne m’ai point rejointe dans le lit. Peut-être a-t-il peur que ça aille trop vite. Je décide d’aller vendre les équipements que j’ai récupérés la veille lors de la fuite de Helgen. Malheureusement je tombe en pleine engueulade entre le vendeur et sa fille. J’ai l’air de déranger, je reste donc muette pendant quelques secondes. Après coup il me propose de l’aider à retrouver une griffe doré, chose que j’accepte non sans crainte de devoir affronter plusieurs bandits. Je me retrouve donc à grimper le tertre des chutes tourmentées à la recherche du dit objet.
En chemin, je rencontre une tour remplie de bandit. Trois personnes pour être exacte. Je découvre le premier appuyé sur un arbre guettant le moindre adversaire, je parviens à lui tirer une flèche dans le cœur ce qui l’envois directement dans l’autre monde. Le suivant meurt d’une façon similaire, le dernier en revanche part dans un combat glorieux aux armes de fer. Une fois la zone parfaitement nettoyée je décide de continuer ma route jusqu’au Tertre. Je découvre une petite résistance devant le Tertre mais rien de bien méchant. Les bandits au nombre de quatre partent pour l’autre monde en moins de temps que les précédents. J’éprouve actuellement une certaine fierté en mes compétences dans l’art du duel.
Ça fait maintenant 4 heures que je suis partit de Rivebois, je m’autorise un petit repas dans le tertre tout en bûchant sur une énigme que je ne parviens à résoudre qu’une fois le fromage arrivé. J’avance toujours dans le Tertre en quête de cette fameuse griffe, je m’en voudrait d’échouer. J’entre dans une salle bien différente des précédentes. Des toiles d’araignées couvre les murs et le plafond, je ne sais pas si il y’a plusieurs araignées de petite taille ou une seule de taille énorme. Cette histoire m’inquiète au plus haut point et je ne sais si j’aimerais la réponse. Oh mon dieu ! C’est horrible… c’est une immense araignées qui surgit du plafond et qui se jette sur moi comme un chien se jette sur os. Je n’ai le temps que de sortir mes lames pour pouvoir l’attaquer ou du moins avoir une chance. Je parviens à la vaincre non sans peine… Je suis presque mourante tant les blessures que j’ai sont conséquente. Une fois le combat terminé je remarque qu’un homme gigote dans une des toiles. Je m’approche pour m’enquérir de son histoire et pour possiblement avoir des remerciements. Rien, pas le moindre remerciement, ni la moindre piécette et en plus il à une odeur ignoble sur lui, l’odeur du mensonge. Je décide de le libérer à contre-cœur… C’est une grave erreur que de faire confiance à quelqu’un comme lui. A peine à t’il posé le pas sur le sol que le voila entrain de courir comme un lapin devant un chasseur. Je sors instinctivement mon arc et j’abrège la honte qu’il met sur ses ancêtres. J’ai enfin la griffe mais le cœur me dit de continuer dans le Tertre.
Il est 3 heures de l’après midi, voilà un moment que je suis dans le Tertre… Mais je dois continuer. Je rencontre enfin un Daugr, créature immonde ni morte ni vivante qui ne mérite que d’être exterminé jusqu’au dernier. Dieu m’est témoin j’ai essayée de marchander avec des créatures comme ça en vain. Ça n’a que l’aspect belliqueux dans le crâne et bien puisque je ne puis faire autre chose que faire la guerre avec eux autant la gagner. Il doit être 4 heures quand je quitte le Tertre pour m’enfoncer dans une série de caverne souterraine, j’espère que toute cette quête ne va pas être vaine. L’heure tourne vite… Il est approximativement 5 heures, je découvre que la griffe est en faite une clé. J’approche du but bien que je ne sache encore qu’es que c’est. Enfin ! Je découvre une pierre de dragon, il va faire bien accroché au salon de Ralof. Je peux dé lors rapporter la griffe au marchand et aller me coucher.
Jour 3 :
Je me suis levée au aurore, le matin est plutôt frais mais ensoleillé c’est agréable. Ralof n’est pas venu me rejoindre cette nuit. Je commence à croire qu’il n’aime pas ma présence. Je vais commencer mon voyage pour Blancherive comme me l’a demandée ma belle sœur. Sur place je préviendrais le Jarl de l’attaque du dragon. La route pour blancherive est toute pavée de pierre bien blanche ce qui empêche toute personne de se perdre. Sur la route je croise un Elan et un Lapin mon repas du soir est déjà au menu.
Plus tard sur cette même route je surprend des bandits attaquer une tour de Blancherive. Je fonce les aider et bien que je n’ai aucun remerciement à la clé j’épargne aussi leurs vies. En remontant le long du chemin de blancherive je parviens même à trouver le camp de bandit et à les éliminer sans trop de peine. Une nouvelle fois je me félicite de mes compétences guerrières.
Il est midi quand j’arrive aux portes de Blancherive, qu’elle ne fut pas ma surprise de découvrir que la ville maintient ses portes clause. En tout cas fier de ma persuasion et sans doute de mon charme féminin je parviens à pénétrer dans l’enceinte de la ville. Une fois dans la ville je commence à discuter avec Adrianne Avenicci, une charmante dame qui m’apprend l’art du tannage et qui devient par la force des choses une très bonne amie. Adrianne m’offre une magnifique tenue en cuir que je prends bien soin d’améliorer pour la rendre bien confortable. On va dire entre nous, adaptée à ma poitrine de princesse.
Il est 3 heures de l’après midi quand je rentre enfin dan la chatellerie de Blancherive. Je remarque alors qu’une elfe sombre, sans doute l’huscarl du Jarl s’approche de moi en tenant fermement son épée. Je suis certaine que si je n’avais pas donnée la raison de ma présence elle me l’aurait mise dans le crâne. Je parviens à donner mon message au Jarl par la suite. Le Jarl me récompense avec une armure de son forgeron royal… j’aurais préférée quelque chose de sonnant et trébuchant mais on ne peut pas tout avoir. Suite à ça le Jarl m’envoie voir son premier larbin le druide Farengar qui voudrait récupérer la pierre de dragon que je voulais offrir à mon Ralof…. Je cède quand je voie la tristesse dans ses yeux… Je ne voulais pas être la cause de sa dépression et de son possible suicide. Je trouverais un autre cadeau à mon Ralof.
Lorsque je réclame ma récompense j’ai le malheur de découvrir que je dois aller abattre du dragon… Je n’ai pas que ça à faire mais bon je m’en voudrais de finir dans les geôles de Blancherive pour avoir refusée un ordre du chef. Je me précipite avec Irileth vers la porte de la ville, il y’a deux heures elle voulait me mettre son épée dans le visage et maintenant je dois protéger son cul et elle le miens… ça va vite dans cette époque de barbare. Après deux heures de bataille, le dragon Mirmulnir tombe d’une de mes flèches qui l’atteint dans le creux d’une écaille. Je passe pour l’héroïne du jour dommage que Irileth par sa jalousie casse toute cette effusion de compliment. Décidément je déteste cette femme… Elle me confie la mission de raconter notre victoire au Jarl Balgruf mais je repousse cette mission à demain car il est déjà 10 heures du soir et que je suis fatiguée.