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La louve et l'agneau? [avec Salomée]

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Salomée

Créature

Re : La louve et l'agneau? [avec Salomée]

Réponse 15 vendredi 18 juillet 2014, 13:09:29

L'extase l'habillait ardemment.

Les lèvres du dieu échouées contre ses seins pâles lui ravirent plusieurs gémissements de plaisir. Sa voix mélodieuse composait de nombreuses onomatopées indécentes, visant à exciter leurs sens. Le geignement se métamorphosa en cri de supplication lorsqu'il avait conquis son petit clitoris brûlant. Des salves de chaleurs l'embrasaient à chaque mouvement qu'il exerçait sur cette perle sensible.

Avant d'interrompre momentanément la chevauchée furieuse qu'elle avait lancé sur le chibre divin, la belle s'imposa encore deux ou trois coups appuyés : histoire de se remplir douloureusement l'intérieur. Ensuite, elle changea de position, toujours perchée sur la table. Elle s'installa à quatre pattes, balançant sensuellement sa croupe d'avant en arrière afin de mettre en valeur sa chatte humide, rougie et satinée. Les cuisses bien écartées, elle implora Vehk de la prendre, car dans ces instants elle était un objet libre, mais objet tout de même et s'en satisfaisait grandement.

« Viens me dévorer de l'intérieur, Vehk...je veux que ton foutre déborde encore en moi. »

Et elle avait encore tant de désirs. Salomée souhaitait qu'il l'épuise, qu'il éteigne ce brasier en elle, qu'il la rassisse – elle qui avait tellement faim de sa queue.

Usant de ses atouts primaires dont la nature l'avait doté, la belle aurait sans doute gain de cause. Elle s'imaginait déjà cette trique précédemment avalée qui la perforait de nouveau : abusant de l'étroitesse de sa chatte excitée. Sous le choc de cette pensée, elle se mordit la lèvre en gémissant longuement. Et ces coups de reins qui s'abattraient sur son fessier ferme et rebondi lui arrachaient déjà des hurlements terriblement excitants.

« N'ai...n'aie pas peur de me faire mal. Les femmes libres encaissent bien plus que les vulgaires esclaves », chuchota-t-elle assez fort pour qu'il l'entende et se délecte de cette information.

Sa propre main avait déjà remplacé celle de Vehk et pressait son clitoris trempé, s'arrogeant un plaisir solitaire.  Dans son esprit, ses fantasmes poursuivaient leur cours, découvrant sa longue chevelure noire enroulée autour de l'avant-bras du dieu qui en usait comme d'une corde afin de la cambrer. Son visage présenté ainsi au ciel supplierait de nouveau tandis que sous les assauts vulgaires du guerrier, elle prendrait encore et encore – comblée à ras-bord.

« Vehk ! » s'exclama-t-elle quand il accéda enfin à son intimité. Et de nombreux autres Vehk furent vomis de sa bouche désirable, prononcé avec hargne ou sensualité – selon qu'il s'enfonçait ou qu'il se retirait.

« Je....a...arrête-toi qu'une fois que je ne saurais plus marcher....han... »

Qu'il lui brise les reins qu'elle avait pourtant solides. Cela en vaudrait le coup. Elle n'était pas de ces femmes qui entreprenaient les choses à moitié. Toute nouvelle intrusion entre ses cuisses était ponctué d'un « encore » enragé ou d'un « plus fort » lorsqu'il fallait varier. La demoiselle s'avérait expressive et démonstrative tout comme son corps : De ses joues rougies à sa fente mouillée en passant par ses seins aux pointes durcies. Les sorcières étaient ainsi : dans l'extrême. Elles charmaient sensuellement, puis réclamait une bestialité sans pareille pour être satisfaites. Il n'y avait aucun tabou, aucun limite. Salomée, comme tant d'autres, avaient été préparées à recevoir des centaines de chibres : de natures différentes Certaines verges, l'avaient-on averti, pourraient la blesser mais elle n'en mourrait pas.

« Vehk....Vehk....Vehk ! Je...han ! Je deviens folle... »


Finalement, elle pourrait difficilement se passer de cet amant. Elle n'en aurait jamais assez et il fallait bien un dieu aux pouvoirs illimités pour contenter son appétit sexuel. Et pour couronner le tout, elle ne jouirait pas tout de suite – ayant l'envie de prolonger ce moment jusqu'à l'épuisement complet : brisant son corps, franchissant ses limites.

Salomée

Créature

Re : La louve et l'agneau? [avec Salomée]

Réponse 16 mercredi 23 juillet 2014, 03:06:30

Elle avait eu son dû, chèrement réclamé : coûtant l'orgueil et la fierté. Mais quelle exquise sensation que celle d'un chibre raclant impitoyablement sa chair intérieure. Bouche entrouverte, elle exprimait tout haut le plaisir grossier qu'elle trouvait à être ramonée, tirée, choquée, poussée. Le dieu tenait ses promesses et sa réputation en lui offrant de nombreuses meurtrissures charnelles. De la marque de ses mains possessives sur les bras menus qu'il ramenait en arrière aux rougeurs qui parcouraient indécemment son entrecuisse, la sorcière était salie à jamais et pour toujours de leur appétit sexuel.


« C'est...han...c'est très bon, Vehk ! » cria-t-elle, le corps secoué, les pattes arrière sur le point d'être brisée. Du moins, elle le sentait ainsi. Elle, mortelle et à demi-humaine, lui divin et empressé : le rapport de force scellait leur coït bestial.

Il y avait de l'amour sans doute, un soupçon d'attirance, beaucoup d'excitation mais avant tout l'instinct de ces deux créatures primait sur tout le reste. Sinon, pourquoi écarterait-elle les jambes afin de mieux présenter sa croupe pâle ? Elle avait beau être une femme élégante et séductrice, écrasée par les coups de butoir : elle n'en demeurait pas moins fragile, suant à petites gouttes, évoquant bruyamment son extase.

« Je vais....je vais jouir... » halète-t-elle dans un murmure. Ses cordes vocales sont affaiblies après avoir été sollicitées pour générer de nombreux cris.

Elle ne mentit pas. Lors d'une énième et profonde pénétration, alors que la trique divine perçait sèchement son con trempé, elle implosa. Ses muscles venaient de se raidir relâchant au creux de ses veines une jouissance sans pareille qui lui ravit le restant de sa force. Sitôt frappée par l'orgasme, elle échoua contre la table : face la première. Son cul toujours en l'air, maintenu par la prise que Vehk avait sur elle.

A son habitude, le dieu accompagna sa maîtresse au septième ciel, semant aux confins de son intimité défoncée des giclées de semence presque bouillante. Elle n'en perdit pas la moindre goutte  bien qu'un surplus de sperme fut recraché entre ses jolies jambes alliant la sueur et la cyprine. Il avait été dur en elle, raclant sa peau délicate jusqu'à faire apparaître ci et là de timides ecchymoses. La douleur succédait aux vestiges orgasmiques et la promesse s'était accomplie. Au moindre mouvement de jambes, Salomée ressentait un vif élancement. Et son corps délabré puait encore l'érotisme si l'on admirait sa chevelure défaite, sa peau rougie par endroit, son maquillage coulant et ses grands yeux de biches qui venaient couronner le spectacle. Elle était semblable à n'importe quelle catin après usage, au plus près de sa véritable féminité. Cela n'enlevait pourtant rien à sa prestance.

D'ailleurs, étendue sur le dos, elle récolta au bout de ses doigts une quantité de sperme crémeux qu'elle mena à sa bouche : goûtant, léchant, avalant l'offrande virile comme elle savourerait un bol de lait.

Stimulée par le nectar divin, elle se hâta de se retourner avec difficulté pour laisser tomber son visage contre l'entrejambe de Vehk. Ses lèvres embrassèrent la longueur de cette verge à laquelle elle était aliénée et elle ne tarda pas à diriger une fellation en règle : suçant franchement son amant hors du commun. Elle aspirait à grands coups, gourmande et insatiable. Explorer les limites de la perversion l'excitait. D'un battement de cil, elle leva sur lui un regard sulfureux et brillant.

Et elle ne cessa qu'une fois sa bouche débordante d'un foutre qui macula indécemment son sourire.


Une heure plus tard, la belle mijotait dans un bain mérité. Point de pensées pour se débarrasser de la souillure blanche et fertile. Elle avait insisté afin de bénéficier du confort d'un bain chaud, mousseux, relaxant. Après s'être délassée, elle erra dans le dressing à la recherche d'une tenue adaptée aux festivités prévues. Elle élut la couleur pourpre en référence à ses lèvres sanguines ; et  se vêtit d'une robe légère aux riches motifs. Elle agrémenta l'ensemble d'une parure de rubis, moins éclatante que ses yeux cela dit.

Apprêtée pour la suite des événements, elle rejoignit Vehk, resplendissante. Elle avait une certaine hâte à se mêler aux Dunmers. La curiosité l'emportait car contrairement au guerrier-poète, elle n'était pas une déesse ; elle ne serait pas inaccessible et jouirait d'un contact privilégié avec les mortels qui partageaient sa condition éphémère.

« J'espère que tout est prêt. »

Salomée

Créature

Re : La louve et l'agneau? [avec Salomée]

Réponse 17 mercredi 30 juillet 2014, 07:29:26

Comme dans un rêve, Salomée fut conduite à la base de la Tour afin de profiter d'une fête qu'elle-même avait capricieusement exigé.  Contre Vehk, elle ne se rendit pas compte du trajet, ni du temps qu'il leur fallut pour l'accomplir. A ses pieds et dans son sillage, les ourlets de sa robe pourpre traînaient avec légèreté. Elle ressemblait à une poupée gracieuse : les pommettes rehaussées par un fard discret, les cils longs et foncés, les lèvres sanguines et brillantes. Ses prunelles lumineuses se posaient partout et nulle part à la fois, admirant pour mieux snober l'environnement.

Elle n'avait pas remarqué le dieu rompre leur étreinte, émerveillée par le rythme des musiques et les voix qui s'élevaient au-delà de la sortie. Le décor était splendide selon elle, et elle avait pressé le pas pour emboîter celui du guerrier-poète. Alors ils avaient émergé au beau milieu des festivités, dans une ambiance qui était totalement étrangère à la sorcière – terriblement habituée aux confins de sa forteresse grise et glaciale. Elle avait participé, au cours de sa vie, à quelques soirées mondaines à Nexus par pure nécessité. Ce fut en battant des cils et les lèvres entrouvertes qu'elle témoigna des prières adressées à Vehk. Elle oubliait trop souvent l'essence divine qui le composait.

Voilà un peuple qui lui semblait soumis en tout point, prêt à boire ses paroles, voire bien plus, sans remettre en question une ligne de sa philosophie. Cette croyance aveugle arracha un sourire moqueur à Salomée. Quand vint son tour, elle élagua l'introduction pour en venir aux faits. Elle aurait adoré se jouer d'eux en exposant clairement sa position auprès de Vehk, pour se reparaître de leurs mines déconfites, haineuses ou méfiantes. Mais, elle privilégia la tempérance :

« Je suis....une humble émissaire diplomatique envoyée auprès de votre divinité pour....connaître votre culture et faire prospérer cette dernière. »

Ses yeux cherchèrent une coupe de vin sur la table leur étant dédiée : sitôt trouvée, tout de suite capturée. Elle leva le verre bien haut pour que le geste n'échappe à aucun d'entre eux.

« Santé ! »  s'exclama-t-elle en guise de signal à la reprise des activités.

La musique surgit de nouveau, étouffant les murmures de curiosités. Et elle s'empressa de boire une longue gorgée – sans prendre la peine de s'asseoir, avant de quitter le dais en quatrième vitesse pour rejoindre le parterre festif. Elle bouscula quelques gardes au passage, renversant un peu de vin et se dirigea vers la foule. Beaucoup se retournèrent à son passage. Elle ne faisait pas l'unanimité ; une majorité de mâles la trouvaient étrange – peu habitués aux étrangères. Seuls les guerriers – ayant voyagé durant les campagnes, pouvaient encore apprécier la beauté de l'humaine. Les nobles femmes se contentaient de soupirs dédaigneux, mais Salomée n'en fut que renforcée et s'immisça entre les buffets et l'aire de danse. Elle n'avait pas explicitement demandé à Vehk de la rejoindre, mais espérait qu'il comprendrait de lui-même et qu'il se lierait ainsi à son peuple.

Alors qu'elle souhaitait faire demi-tour afin d'explorer une autre partie des festivités, elle se heurta à la silhouette de Golandos Braviros, commandant en chef des armées de Vivec ; ou de sa garde. Le sourire rogue, la main tendue galamment vers elle – il l'invitait visiblement à lui tenir compagnie. La belle hésita au moment de souder leurs paumes et fut entraînée près d'une table sous les regards courroucés de plusieurs femelles.
La poigne de l'officier s'empara soudainement des hanches de la sorcière pour la plaquer contre le meuble sur lequel trônaient de nombreux mets. Elle hoqueta de surprise et lâcha sa coupe de vin qui alla s'écraser au sol. Profitant de sa confusion, le Dunmer jeta ses lèvres sur l'oreille de la brune en murmurant – leurs corps collés :

« Je sais que tu n'es pas diplomate. Je t'ai vue avec les Inquisiteurs, enchaînée comme une chienne. J'ai foi en notre dieu, mais toi....je t'ai à l'oeil, ma belle. »

Elle tenta de s'en défaire, furieuse. Cependant la force du guerrier surpassait la sienne. Elle n'osait pas utiliser ses pouvoirs au milieu des invités, au risque d'en blesser involontairement. Aussi, se laissa-t-elle faire amèrement lorsqu'il la retourna sèchement pour cogner son ventre contre la table sous les rires étouffés de quelques spectatrices. Et il l'abandonna dans cette posture, allant rejoindre ses soldats à qui il beugla des ordres. Salomée reprit ses esprit et rabattit ses longues mèches noires derrière ses oreilles. Son coeur battait à vive allure. Ses doigts fébriles agrippèrent un verre de cristal qu'elle plongea dans un bassin d'alcool. Elle s'abreuva plusieurs fois afin d'assurer sa tranquillité d'esprit, puis revint à la fête.

La musique, les chants, les bruits vivants bourdonnaient à ses oreilles et elle progressait entre les danseurs, les musiciens, les bavards, les jongleurs : s 'émerveillant du spectacle, surprenant d'étranges conversations jusqu'à ce que Vehk la retrouve parmi cette foule dense.

Salomée

Créature

Re : La louve et l'agneau? [avec Salomée]

Réponse 18 jeudi 07 août 2014, 11:05:22

Au milieu des convives alors qu'elle prenait mesure des chants et de la danse, Salomée aperçut la silhouette de son protecteur. Elle lui dédia un sourire ravissant, immobile dans cette foule d'action et de liesse.  En remarquant que l'attention divine était dirigée vers elle, les Dunmers s'étaient écartés de son passage pour former un couloir. Elle aurait souhaité lui confesser à quel point la fête était somptueuse et répondait à ses attentes, mais il fut plus véloce en exposant son baise-main qui la fit faiblement frémir.

« Euh...oui bien sûr j'a... » Il l'avait déjà entraîné sur le carré dansant au rythme d'une musique effrénée.

Salomée eut le réflexe de sonder les alentours : et son peuple ? Que dirait-il s'il apercevait la diplomate si serrée contre leur égérie religieuse ? A sa grande surprise, les uns et les autres s'étaient tout simplement détournés, s'abandonnant au plaisir gourmand du buffet, à la danse ou aux palabres vaniteux. La première question du dieu, discrètement murmurée, la tira de sa distraction.

« Qui... » répéta-t-elle, incertaine de comprendre.

Puis, elle s'efforçait de suivre les pas et faisait preuve d'une rare concentration afin de ne pas s'emmêler les pieds au risque de paraître ridicule. Et il continuait d'exiger une identité sans qu'elle saisisse où il souhaitait en venir. Une note les éloigna, une autre les rapprocha. Elle tournait autour de lui, parfois devait se presser contre sa musculature avant de s'éloigner dans une ondulation gracieuse. Sa chevelure légère virevoltait à la merci du déplacement d'air créé par leurs mouvements. Elle s'écrasait sur son visage ou s'agitait dans son sillage à l'image des ourlets de sa robe.

« Je... » commença-t-elle, essoufflée, « Tu parles...de cet homme qui m'a... »

Elle s'interrompit brusquement en état d'alerte lorsqu'un cri lointain parvint à ses oreilles.

« Tu as entendu ?! »

La musique s'adoucit et la danse nécessitait désormais des nuances plus sensuelles. L'expression encore marquée par l'effort précédent, elle sourit une nouvelle fois à Vehk tandis que leurs corps s'arrimaient. L'étreinte lui permit d'oublier un temps l'étrange cri perçu et les interrogations violentes du seigneur des lieux. Le second hurlement la sortit d'un début de léthargie et elle hoqueta, pleine d'appréhension – cherchant des yeux les causes de tant d'agitation.

Elle fronça les sourcils lorsqu'il passa une main sur son ventre. Et soudainement, ses préoccupations changèrent. Etait-il en train de songer à une éventuelle grossesse ? Elle s'en mordit les lèvres rien qu'à l'idée. Le silence du dieu avait cédé la gloire aux musiques nouvelles, aux rires alentours, aux mots prononcés plus hauts que d'autres, aux aboiements des chiens. Sa tête commençait à tourner sévèrement, et elle plaqua une main lâche contre son front pâle.

« Je ne sais pas qui c'était, je ne le connais pas... » murmura-t-elle en se remémorant l'attitude grossière et menaçante de ce Dunmer armuré. « Un soldat...sans doute. »

Pour le reste, elle fit défaut de réponse. La probabilité d'enfanter une descendance semi-divine lui plaisait à moitié, mais elle devait composer avec. Le foutre divin était fait pour rester et résister : elle en avait conscience. Elle ne pourrait ingurgiter trop de décoctions contraceptives sans être victime d'effets néfastes ; ni se plier à des rituels obscurs d'avortement. En réalité, elle ne connaissait même pas la manière dont les Dunmers se reproduisaient : le temps de fécondation, de gestation. Et pour un dieu ?

Elle se détacha lentement de l'étreinte pour regagner le dais où elle fut saluée par les hauts dignitaires religieux. Prenant place sur un siège façonné à la gauche de Vehk, elle se laissa choir. Elle était tendue mais conservait une allure impériale, droite sur sa chaise, le menton relevé, le front haut. Ses iris aux teintes surréelles naviguaient sur la population présente et le reflet des flammes festives éclatait au fond de ses prunelles claires. Elle refusa d'une main polie les mets qu'on lui présenta ; prétextant qu'elle n'avait pas faim. Toutefois, elle réclama volontiers un rafraîchissement alcoolisé.


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