Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Conduire en état d'ébriété, c'est mauvais pour le permis [Nathan Joyce]

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Nathan Joyce

E.S.P.er

L’incorruptible policier pénétrait la délinquante contre la vitre. Entre alcooliques, on se comprenait, et Nathan ne regrettait rien. Ici, elle ne tuerait personne, si ce n’est son sexe après toute une nuit de plaisir. Son membre remuait en elle, suivant la même litanie, le même mouvement en deux temps : avancer, se reculer, s’enfoncer, puis se retirer, pour mieux s’enfoncer. Le sexe n’avait rien de bien compliqué quand on le voyait ainsi. Peu importe la manière dont on commençait les béats, on se retrouvait toujours là, emboîtés l’un contre l’autre. Deux corps ne faisant alors plus qu’un, reliés par d’intimes organes, pour perpétuer, à nouveau, une danse universelle. Il la pénétrait contre la vitre, et il aimait ça. Non, il l’adorait. Il soupirait, grognait, se pressait contre elle, faisant ployer la vitre. Une chance que cette dernière soit solide, car, plus le temps passait, et plus notre homme la pénétrait avec vigueur, s’enfonçant rudement en elle, ressortant, puis revenant. Ils n’avaient même pas pris la peine d’enlever leurs vêtements, non. Tout avait été rapide, vite, précipité, comme s’ils étaient deux amants en manque... Ce que, dans le fond, ils étaient. Si elle n’avait pas eu l’occasion de s’épandre avec un homme depuis longtemps, Nathan, lui, avait dans son corps la libido monstrueuse et disproportionnée d’une créature antique venant des profondeurs de l’espace, un monstre qui avait envie de violer n’importe quelle fille dans la rue, pour peu qu’elle porte une minijupe. Ce faisant, Nathan était assez souvent en manque, une situation pénible qu’il comblait à l’aide de la boisson... Alors, quand il avait enfin l’occasion de se soulager de sa souffrance auprès d’une véritable femme, magnifique de surcroît, il ne comptait pas la laisser filer.

Catalina n’avait pas froid aux yeux, et il aimait ça. Ensemble, les deux amants se laissaient aller, les coups de reins de Nathan étant bercés par les soupirs et par les gémissements de la belle femme devant lui. Nathan ne lâchait rien, et sentit la femme se serrer contre lui avec l’aide de ses jambes. Elle portait toujours sa belle robe de soirée, les paillettes luisant contre son corps. Sa main se tenait sur la nuque de Catalina, afin d’éviter que sa tête ne se fasse mal en heurtant la vitre. Elle ne pouvait pas le voir, mais, le long de sa main, une fine membrane noire était sortie, se collant à la vitre. C’était son symbiote, c’était une petite manifestation inconsciente de la Bête, qui, ce faisant, maintenait le bras contre la vitre, évitant des mouvements qui auraient été susceptibles de la blesser. À a manière, la Bête pouvait faire preuve d’une certaine forme de galanterie.

Nathan jouit un peu en même temps que Catalina. Par principe, il se refusait à se vider avant qu’une femme n’atteigne l’osmose, car, une fois qu’un homme tirait son coup, recharger les batteries demandait un certain temps. La Bête la sentit jouir, avide de sa mouille, cette délicieuse cyprine qui roulait contre le membre de Nathan, glissant ensuite entre leurs jambes, la gravité l’appelant pour la faire tomber sur le sol. Elle jouit contre lui, continuant à faire tremper son membre dans ce bassin de nectar intime. C’était très agréable d’être comme ça, comme se retrouver à flotter dans le liquide amniotique. Son chibre était au chaud, et il continua encore à donner des coups, les fesses de Catalina rebondissant contre la vitre.

« Hunnn... !! »

Il finit par jouir, et ce fut délicieux. Nathan eut un bel orgasme, et s’abandonna généreusement en elle, balançant des chapelets de sperme. Il ne pensa alors plus à rien pendant quelques infimes secondes, son visage se crispant par une indéchiffrable expression de plaisir. Ils venaient de faire l’amour debout, en étant encore partiellement habillés, et, à travers le haut de son uniforme, il sentait les longs et magnifiques ongles de Catalina se transformer en griffes acérées, se crispant sous l’effet névralgique du plaisir, qui explosait en eux.

Nathan se calma progressivement. Il avait joui en elle, exactement comme il l’aimait, et il se décolla un peu... Pas au point de la laisser reposer ses pieds sur le sol, mais suffisamment pour pouvoir la voir. La main tenant la nuque de Catalian se retira d’elle, le symbiote rentra dans sa peau, et il retourna dans l’appartement, avant de l’embrasser, et de la relâcher, la laissant poser pied à terre.

« Je dois admettre que c’est un superbe prélude », glissa-t-il après leur baiser.

Son sexe restait à l’air libre, et il regardait cette femme, les yeux brûlant de désir. Il avait encore sur ses lèvres le goût de sa bouche, et sur son corps le sien. Tout d’un coup, il ne voulait plus de cette robe devant lui, il la voulait, elle, et ses mains glissaient sur la robe de paillettes, cherchant un moyen de la retirer. Ses mains vinrent ainsi à glisser sur ses seins, qu’il se mit à pétrir, avant de l’embrasser à nouveau, voracement, l’envoyant heurter son bar américain. Nathan agissait uniquement par instinct, guidé par les élans de son sexe, par le désir qui brûlait en lui, et qui était en train de croître et de vouloir exploser comme un volcan.

Impossible de réfréner cet élan.
DC d’Alice Korvander.

Consultez ce topic pour une présentation détaillée de mes personnages.

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Catalina Taylor

Humain(e)

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  • Messages: 709


  • FicheChalant

    Description
    Riche veuve, par treize fois, qui s'est exilée à Seïkusu et qui investit dans différents secteurs d'économie de la ville.
    Peu farouche quand elle trouve quelqu'un à son goût, mais secrète quant à son passé.
L'esprit totalement ailleurs, Catalina se remettait lentement de cet orgasme foudroyant. Elle sentait les endorphines que son corps sécretait provoquer une douce langueur. Accrochée à Nathan, comme une naufragée, elle souriait pourtant. Ses yeux embrumés de plaisir se plantèrent dans ceux du flic, et elle se mordit la lèvre, résistant à l'envie de venir l'embrasser avec fougue.

Il sauta le pas de lui-même, après être rentré dans l'appartement. La brune ne se fit pas prier pour faire danser sa langue avec passion contre celle de son amant, et ses doigts gardèrent une prise ferme sur ses épaules. Comme ses cuisses autour de lui.

Puis, un pied au sol, le second toujours enroulé autour d'une jambe du mâle, elle pencha la tête en arrière. Un sourire coquin agrémentait ses lèvres rouges comme les cerises, et faisait pétiller son regard émeraude de malice.

« Je dois admettre que c’est un superbe prélude »

Elle acquiesça, encore un peu trop sonnée par le plaisir pour pouvoir répondre correctement. Au lieu de ça, elle aida le policier à retirer la robe qui cachait encore son corps svelte, essuyant partiellement par ce geste la cyprine et le sperme qui coulaient doucement entre ses jambes.

Catalina apprécia la douceur de ces mains sur sa poitrine, et en même la puissance retenue qui s'en dégageait. Elle s'arquait contre lui, soupirant à nouveau. A peine redescendue sur Terre, voilà qu'elle s'envolait de nouveau. Elle aimait son contact, son souffle, son sexe. Elle répondit ardemment au baiser, suivant les mouvements qu'il lui imposait, se retrouvant bien vite le dos contre le bar. Un petit rire lui échappa quand elle se cogna contre le bar, et elle en profita pour s'agripper un peu plus au policier afin d'échanger les positions, en profitant de l'élan qu'il lui avait donné.

Il se retrouvait alors dos au bar. Elle enleva tout ce qui lui restait de vêtement, par des gestes légèrement saccadés, et les envoya rejoindre sa robe qui gisait au sol un peu plus loin. A présent nue, devant lui, elle vint l'embrasser à nouveau, en se collant contre lui.

Et elle entama, dans de douces ondulations de son corps, une descente pour finir à genoux. Pile à la hauteur qu'elle désirait. Face à ce membre toujours dressé, et encore humide de sperme et de cyprine.

Malicieuse, joueuse et curieuse, elle le saisit entre deux doigts pour venir lécher la verge tendue. Un air gourmand sur le visage, elle la nettoya superficiellement, et ses mains vinrent caresser les joyaux qui étaient délaissés, et taquiner ce petit point sensible d'un homme, entre la verge et les testicules. Ce petit bout de peau tout doux...

Elle finit par laisser la virilité s'engouffrer entre ses lèvres, venant finir d' "astiquer" le manche, le rendant propre, et de nouveau lubrifié. Elle était gourmande et joueuse. Elle en redemandait, voyant qu'il était à même de lui offrir une nuit entière de plaisir.

« Allons-y pour la suite alors..., dit-elle en ôtant sa grosse sucette d'entre ses lèvres. »

Elle se redressa, venant se frotter contre lui à la manière d'un félin qui marque son odeur sur son entourage, et revint l'embrasser. Elle mourrait d'envie de le sentir à nouveau en elle, et son intimité lubrifiée n'en était qu'un des indices. A cela, s'ajoutaient aussi la pointe érigée de ses seins, ses joues rougies et ses yeux pétillants.

« Prêt pour le second Round, Nathan ? »
« Modifié: samedi 22 novembre 2014, 16:33:29 par Catalina Taylor »
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RPs & Idées.

Evangile selon Sainte Cata 28:11 : "Venez à moi, vous tous qui avez envie de RP, on va s'enjailler grave j'm'en bats les couilles j'vous prends tous"
Evangile selon Sainte Cata 28:12 : "Vous trouverez du repos pour vos âmes en mon sein, à condition que vous soyez un mâle bien membré et prêts à me casser le bassin"

"Elle attire les bites comme le miel attire les abeilles" - Destin.

<3 <3

2eab41 - Paroles de Catalina.

Nathan Joyce

E.S.P.er

Elle le chauffait à blanc, quelque chose de terrible et de jouissif. Il l’avait dans la peau, et elle était fébrile, se déshabillant contre lui, avant de le retourner. Son corps heurta le bar américain, et il la maintint par les cheveux, la laissant se mettre à poil. Délicieusement nu devant lui, Catalina se mit à descendre, glissant le long du corps de l’homme, jusqu’à se mettre à genoux. Le policier eut un frisson d’impatience quand il comprit la cible recherchée par Catalina, et il s’en pinça les lèvres. Elle se mit à lécher son sexe, sa langue joueuse filant sur sa peau chaude et tendue, ses doigts venant caresser ses testicules. Nathan la laissait faire, sans rien dire, son uniforme le serrant de plus en plus. Comme elle, il avait envie d’être nu, et de retourner lui faire l’amour, toute la nuit, toute la foutue nuit. Le policier se laissait aller sous les mouvements de la bouche de la femme, qui l’avala, et lui offrit une fellation aussi courte que jouissive.

Son intention était juste de l’exciter, de s’assurer qu’il ne perde pas son ardeur et sa vigueur. Elle le voulait au top, et il ne pouvait que la comprendre. Lui-même se voulait au top pour elle. Elle le méritait, elle était tellement belle… Ses longs cheveux remuaient contre son corps de déesse, et il les caressait, les empoignant, de brefs soupirs rauques s’échappant de sa gorge. Nathan écartait légèrement les jambes, facilitant ainsi les mouvements de la femme contre sa verge tendue. Le beau Nathan était excité, et Catalina préféra rapidement s’arrêter, probablement pour éviter que le policier ne se retienne plus .Sensuellement, elle se redressa, se frottant contre l’homme, et l’embrassa à nouveau, tendrement, se serrant contre lui. Tout en elle transpirait le désir et le sexe, seul un aveugle ne l’aurait pas vu. Nathan n’avait même pas besoin de la voix murmurante de la Bête pour le sentir, il lui suffisait de la toucher. Elle était chaude, excitée à cause de lui. Pour Nathan, c’était une dose de fierté supplémentaire.

Elle lui demanda s’il était prêt pour le second round, et il répondit en avançant une main insolente, la plaçant sur ses belles fesses, en pressant une, tout en penchant la tête pour embrasser son délicieux cou. S’il était prêt ? Son sexe tendu n’était-il pas une réponse suffisante ? Nathan lui mordilla la peau, appréciant le contact de cette femme, proche de son corps.

« Ma belle, j’espère que tu n’as pas prévu de te reposer ce soir... » commença-t-il.

Il se rapprocha de son oreille, et la suça légèrement, en la mordillant. Ah, la sensation de ces seins contre son torse ! Superbe ! Tout simplement superbe ! Il n’en demandait pas plus pour être heureux, et sa main pelotait allégrement son derrière, pressant sa peau, ses ongles se rapprochant de sa croupe. Une délicieuse annonce pour le reste du programme à venir.

« ...Car je vais te baiser sévèrement. »

Nathan la repoussa alors. Il commença par poser chacune de ses mains sur ses seins, les pétrissant... Puis il les empoigna, les serra, et s’en servit pour la pousser sur le sol, ses fesses venant heurter son tapis. Devant elle, Nathan entreprit alors de se déshabiller à son tour.

« Tu comprends, la vie d’un policier est dure... On est là pour protéger les gens, mais ces derniers font preuve d’une telle ingratitude qu’il y a en nous une dose de frustration qui s’accumule, et qui s’accumule... Sans parler de tous ces avocats hargneux qui s’empressent de nous pourrir la vie en soulignant tous les défauts mineurs des dossiers... Bref, ma chérie, quand un agent comme moi a l’occasion de tomber sur une délinquante comme toi, tu peux être sûr qu’il ne la relâche pas avant de l’avoir sévèrement tringlé, et de lui avoir appris qu’il faut toujours rester intimement proche de ceux qui sont du bon côté de la loi. »

Totalement nu, Nathan se dressait devant elle, avec sa verge tendue.

« Et j’apprécie que Madame entende si bien se soumettre à la loi... Elle va même s’y soumettre si bien qu’elle va se mettre à quatre pattes... Afin que j’inspecte son dos, m’assurer qu’elle soit clean, et tout ça. »

Il voulait la voir en position de chienne.

Disons que c’était son fantasme.
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Catalina Taylor

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    Description
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    Peu farouche quand elle trouve quelqu'un à son goût, mais secrète quant à son passé.
Collée contre lui, ressentant sa main contre ses fesses, et sa virilité contre ses cuisses, Catalina était rayonnante. La luxure la rendait encore plus belle. Plus désirable. Elle n'était plus qu'une simple humaine. Elle était une adepte de l'acte charnelle. Une idôle qui ne demandait qu'à être bénie par un autre adepte. Mais pas n'importe lequel. Elle voulait Nathan, et pas un autre. Le flic était lui aussi éminement désirable. Elle en mouillerait sa culotte, si elle l'avait encore, rien qu'en l'observant dans toute sa splendeur.

« Ma belle, j’espère que tu n’as pas prévu de te reposer ce soir... » commença-t-il.

D'abord ses lèvres dans son cou, et maintenant, ce mordillement délicat de son lobe... Catalina fondait sous les caresses dont il la gratifiait. En soupirant, elle se laissa aller contre lui, totalement abandonnée. Elle avait encore le goût de son sexe contre ses lèvres. De son sperme. Mais aussi son goût à elle. Un mélange troublant.

« ...Car je vais te baiser sévèrement. »

Et ses paroles ne faisait rien de moins que l'exciter encore plus. Elle adorait ces instants, où seul le plaisir comptait. Au diable la retenue, et la bonne tenue. Rien ne valait ces mots crus, et cette tension qui habitait son corps. Une tension sexuelle forte, et franchement délicieuse. Elle se voyait salope, dans ces moments-là, et elle aimait ça. Oh oui, elle adorait même.

Que Nathan prenne les choses en main l'excita de plus belle. Repoussée loin de son corps, elle se satisfaisait néanmoins du contact rude de ses mains sur sa poitrine. Soudainement poussée contre le sol, elle posa ses mains derrière elle, bombant ainsi le torse, et observa l'homme se déshabiller. Mordillant sa lèvre inférieure, elle imaginait mille et un scénarios pour la suite, et ça l'émoustillait encore plus.

« Tu comprends, la vie d’un policier est dure... On est là pour protéger les gens, mais ces derniers font preuve d’une telle ingratitude qu’il y a en nous une dose de frustration qui s’accumule, et qui s’accumule... Sans parler de tous ces avocats hargneux qui s’empressent de nous pourrir la vie en soulignant tous les défauts mineurs des dossiers... Bref, ma chérie, quand un agent comme moi a l’occasion de tomber sur une délinquante comme toi, tu peux être sûr qu’il ne la relâche pas avant de l’avoir sévèrement tringlé, et de lui avoir appris qu’il faut toujours rester intimement proche de ceux qui sont du bon côté de la loi. »

Ses paroles lui mettait l'eau à la bouche. Elle serra les cuisses, contenant son excitation, mais la pointe tendue de ses seins, tendue comme l'érection qu'elle avait devant les yeux, ne pouvait pas le tromper. Ses lèvres se desserrèrent, et elle y passa le bout de sa langue.

« Et j’apprécie que Madame entende si bien se soumettre à la loi... Elle va même s’y soumettre si bien qu’elle va se mettre à quatre pattes... Afin que j’inspecte son dos, m’assurer qu’elle soit clean, et tout ça. »

Un rictus amusé passa sur ses lèvres. Catalina émit un léger soupir.

« Bien entendu, Monsieur l'agent de police. Je m'en voudrais d'entraver une procédure légale, et risquer de menacer la sécurité du pays... »

Le jeu de rôle continuait, pour son plus grand plaisir. Elle se mit à genoux, langoureuse, avant de se retourner. Posant ses mains contre le tapis aux longs poils synthétiques, elle s'avança, féline, venant se caler plutôt confortablement. Elle lui offrait une vue imprenable sur son intimité trempée de désir. Son corps cambré possédait une grâce attribuable aux bienfaits du sexe, mais pas seulement. Elle se savait belle, et elle en jouait. Elle s'amusait, à tout de rôle, à prendre des expression faciales et corporelles d'innocente, de salope et ou de barbie fragile. Là, c'était un mélange d'une innocence candide, et d'une faim de sexe insatiable.

« Comme cela, Agent Joyce ? »

Une petite voix douce, et légèrement sensuelle. Elle attisait le désir de l'homme en le poussant à révéler ses bas instincts. Elle aimait ça, et il ne pourrait pas infirmer la chose.
« Modifié: samedi 22 novembre 2014, 16:33:41 par Catalina Taylor »
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2eab41 - Paroles de Catalina.

Nathan Joyce

E.S.P.er

La sécurité du pays… Hum, ouais, il n’aurait clairement pas dit mieux ! La sécurité du pays, c’était tout à fait ça. La sécurité de son trône, même ! Elle se mit à quatre pattes devant lui, toute en courbe et en beauté.

*Ooooooooooooh, Nathan !! s’exclama la voix de la Bête dans sa tête. Il n’y a pas à dire, ce n’est pas le beau sexe pour rien !*

La Bête, qui n’aimait guère la frustration sexuelle, cette sensation typiquement humaine, s’agitait dans son corps en voyant Catalina se mettre à quatre pattes devant lui, creusant son dos, bombant ses fesses, tournant sa tête, alternant entre des sourires connivents, ou des expressions timides, tout un ensemble fait pour exciter son amant. Le policier sentit son sexe lui faire de plus en plus mal, et il ne put s’empêcher de se masturber. Son membre était tout simplement trop impatient pour continuer à se sentir seul, et il le serra entre ses doigts, poussant un léger soupir. Oui, elle était belle… Magnifique, même ! Une femme de toute beauté qui s’offrait à lui sans la moindre gêne, avec la seule envie de se faire baiser. Un rêve éveillé. Rien de plus.

Il l’observait jouer, le tenter. Cette petite jouait avec le feu, prenant des risques, et le policier soupira à nouveau, se rapprochant lentement d’elle. Sa petite voix douce et chaude se mit à lui parler, désirant savoir si elle faisait bien comme il fallait. Le policier ne se faisait aucun doute là-dessus : elle savait très bien qu’elle l’excitait, mais elle voulait jouer… Une autre chose que la Bête ne pouvait pas comprendre. Ce monstre avait les capacités de raisonnement d’un Néanderthalien. Un sauvage qui ne voyait dans le sexe qu’un simple rapport physique, sans les enjolivements autour, des artifices qu’il trouvait vains et inutiles. Ce n’était évidemment pas le point de vue de Nathan, puisqu’il prenait part à ce jeu, mais l’incompréhension de la Bête se ressentait sur sa frustration, et, partant de là, sur son agressivité, qui bouillonnait en lui, montant en flèche. Il serrait les poings en observant ce corps offert, ce corps langoureux, et se rapprocha lentement.

Ses mains se redressèrent, et il les tendit vers le corps de Catalina, les posant sur sa peau, caressant son bassin, commençant par le creux de son dos.

« Parfait.. Parfait ! » répéta-t-il.

Il l’observait avec une lueur de désir manifeste dans les yeux, et ses doigts s’attardèrent sur sa croupe, glissant sur cette partie de son anatomie. Ce n’était pas la première fois qu’il explorait ainsi son derrière, mais, cette fois, il le faisait sans intermédiaire, il le faisait en voyant directement l’objet de son désir…. Et c’était beau à voir. Cette femme était indéniablement d’une grande beauté, redoutable. Il savourait ce corps aux proportions parfaites. Elle avait tout à fait le droit de se trouver belle ; elle l’était. Sans aucun doute possible. Celui qui prétendrait le contraire était un parfait idiot.

Les mains de Nathan glissaient sur cette masse de chair, les pétrissant, serrant ses fesses, insistant dessus. Il n’y avait aucune explication logique au plaisir indicible qu’il éprouvait en les malaxant ainsi. Son érection lancinante continuait à l’élancer, mais il n’y pensait plus, songeant juste à ce corps parfait.

« Tout ça me semble en règle… Mais je ne voudrais pas qu’on m’accuse de ne pas être professionnel. Un contrôle se doit d’être complet. »

Il parlait sur un ton de plus en plus lourd, au fur et à mesure que le plaisir croissait en lui, un plaisir dominant, qui le prenait peu à peu, l’empêchant de réfléchir consciemment. Sa verge était impatiente, la frustration continuant à grimper, et il finit par se rapprocher d’elle. La Bête hurlait en lui, et, dans le dos de Nathan, des plaques noires avec des crêtes recommencèrent à se former.

*Baise-LÀ, bordel !! Qu’est-ce que tu attends ?! BAISE-LÀ !!*

C’était une voix impériale, furieuse, dont les hurlements se transformaient en borborygmes inaudibles, mais Nathan y obéit. Il saisit sa verge, et l’enfonça dans le corps de Catalina. Ses mains se crispèrent ensuite sur son bassin, s’enfonçant dans sa chair.

« Haaaaaaaaaaaaaaaaaa !!! Putain, ma beeeeelle !! »

Il le pensait sincèrement, et commença à remuer son corps, d’avant en arrière, pénétrant cette femme sans la moindre difficulté.
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Catalina Taylor

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« Parfait.. Parfait ! »

Même après un orgasme, tout récent, la jeune veuve en redemandait. Il était vraiment son type d'homme. Imposant. Persuasif. Sexy. Diablement doué. Elle avait plus qu'apprécié leur petit jeu, et le continuer ne lui posait aucun problème. Elle aimait jouer des rôles. En l'occurrence, celui d'innocente petite citoyenne se soumettant à la loi, à une loi passionnante et impitoyable, ça lui convenait très bien.

Le sentir caresser sa peau, le savoir être en train de l'admirer, tout ça la flattait. L'excitait plus encore. Catalina n'était pas prête d'oublier cette soirée. Surtout si elle se continuait dans la même direction. Elle sentait déjà son bas-ventre se contracter à nouveau, brûlant de désir, d'impatience. Sentir ses doigts contre sa peau, ça n'aidait pas à se calmer, par ailleurs.

« Tout ça me semble en règle… Mais je ne voudrais pas qu’on m’accuse de ne pas être professionnel. Un contrôle se doit d’être complet. »

Elle répondit par un soupir appuyé, langoureux. Elle cambra son dos, ses reins. Elle s'offrait à lui, sans retenue. Catalina était sur une autre planète, ou même dans les étoiles, mais une chose était sûre : Elle n'avait plus les pieds sur terre. Elle se fichait du lieux où ils se trouvaient. C'était chez elle, mais ça aurait très bien pu être un ascenseur, ou encore, un local à poubelle. Ç'aurait été pareille. Elle aurait été captivée par son amant. Son délicieux et entreprenant amant.

Entendre, dans sa voix, l'excitation qu'elle lui inspirait, ça titilla la jeune femme. Elle était fière d'elle. De sa capacité à ériger le désir d'un homme. De l'attiser, de le préserver. Elle n'aurait voulu échanger ça pour rien au monde.

Finalement, elle le sentit encore plus proche. Elle tourna légèrement la tête, juste pour l'avoir dans son champs de vision. Oh, dieu qu'elle aimait ça, ces préludes à une chevauchée encore plus intense que la précédente... Et sa voix... Elle éveillait un écho en elle. Elle se sentait toute chose. Comme beaucoup de femmes, Catalina était sensible à la voix d'un mâle. Si elle était grave, rauque et profonde, instinctivement, elle se sentait attiré par l'homme. Et l'entendre de nouveau, cette voix, ça lui provoqua des petits papillons dans le ventre. Des petites décharges de plaisir, avant même qu'il ne revienne la remplir de son imposante présence.

« Haaaaaaaaaaaaaaaaaa !!! Putain, ma beeeeelle !! »

Oh, il s'occupait d'elle avec tant de vigueur... Et ça rentrait si facilement en elle... Elle en gémit de plus belle, de plus en plus fort, de plus en plus aigu. Elle arquait son corps pour donner de l'amplitude aux coups de reins, pour donner plus de puissance. Il était un mâle alpha, à cet instant, et elle était sa femelle. Elle se livrait corps et âme. Elle répondait à ses cris par d'autres. Et si, lui, plantait ses doigts sur ses hanches, pour assurer sa prise, elle assura sa stabilité en attrapant une pleine poignée de poils du tapis, redressant la tête vers l'arrière, perdant de vue son amant mais en le ressentant malgré tout pleinement.

Il glissait tout seul en elle. Ça n'empêchait toutefois pas de le ressentir, à chaque coup de rein. Il était imposant, en elle. Il raclait les bords, titillait des zones sensibles, et faisait exploser une myriades de sensations délicieuses en elle.

« Ouiiii... Nathan ! »

Au diable les politesses. Elle reprit la familiarité, ne se sentant pas la force de persévérer plus longtemps dans le jeu. Ne se sentant pas le courage. Elle préférait l'action, franche et brute. C'était si bon. Si... Puissant. Elle voyait des étoiles dans le coin de ses paupières fermées. Elle criait à s'en casser la voix, en ondulant de concert avec lui. Elle s'attendait à avoir beaucoup de courbatures, le surlendemain.

« Nathan, oui... Oh oui, comme ça ! »

Elle haletait. Elle criait. Elle transpirait. Elle avait même un peu mal. Mais elle aimait ça. Elle se trouvait très ouverte d'esprit, ce soir. Elle se sentait salope. Elle se sentait entreprenante. Elle se sentait libérée des ennuis quotidiens. Oui, elle était un peu salope ce soir. Mais à n'en pas douter, c'était pour le plus grand bonheur de son amant.

« J'aime ça, han ! Continues... »
« Modifié: samedi 22 novembre 2014, 16:33:55 par Catalina Taylor »
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2eab41 - Paroles de Catalina.

Nathan Joyce

E.S.P.er

Quand on sortait le grand jeu, les mots se taisaient, la source de leur fleuve se tarissait, et on se laissait porter. Nathan connaissait ça. Le sexe était libérateur pour lui... Non seulement d’un strict point de vue physique, mais aussi parce que, quand il couchait avec une fille, et qu’il en était à l’acte sexuel proprement dit, la Bête se taisait, enfin satisfaite. Pendant d’infimes et précieuses secondes, il n’entendait plus cette voix insupportable, autoritaire et sauvage, qui essayait constamment de le contrôler. Là, il se sentait libre, sain, et il la pénétrait, remuant en elle, serrant ses hanches, les hurlements de la femme le guidant, le motivant, l’endurcissant. Comment se lasser ? Elle était belle, magnifique, et il la pénétrait comme une chienne, dans cette position si exquise pour lui, dans cette position qui, inconsciemment, lui rappelait des schémas comportementaux antiques, préhistoriens.

Il soupirait, grognant légèrement, ses mains serrées sur ses hanches, s’appuyant dessus. D’avant en arrière, il y allait, sentant son sexe taper contre son clitoris, déformant son intimité, s’enfonçant en elle, filant d’avant en arrière, se gorgeant de son nectar intime. Avant. Arrière. Avant. Arrière. C’était simple, enfantin, une litanie sempiternelle, une danse en deux temps, mais dont on ne parvenait jamais à se lasser. Les paroles n’étaient que des hurlements et des répétitions frénétiques, qui vous cassaient les pieds, et la musique se résumait à entendre un bruit spongieux, résultant du frottement entre la verge de l’homme et les parois intimes de la femme. Pour autant, cette partition était délicieuse, meilleure que n’importe quelle chanson qui puisse exister.

« Hummm !! Catalina, huuunnn !! »

Ses mains se crispaient, il soupirait, la sueur s’écoulant le long de son corps. Que savait-il sur cette femme ? Rien, absolument rien, et, pourtant, il était en train de la prendre, de la faire hurler à ses pieds. Une telle situation était presque surréaliste, tant elle était incroyable. Nathan faisait l’amour à une parfaite inconnue, une femme qu’il avait rencontré lors d’un contrôle routier. Dans le genre romance ridicule, il battait tous les records ici. Ils avaient littéralement enfoncé les préliminaires pour passer directement aux choses sérieuses... Et il ne couchait pas avec une morue, ça non. Catalina était terriblement belle. C’était donc à croire qu’il était vraiment sexy... Comme quoi, les anciens agents du SWAT avaient toujours des possibilités de reconversion dans l’industrie pornographique.

Le policier la saillait encore et encore, haletant et grognant, s’écrasant sur elle, de plus en plus assoiffé, sa queue de plus en plus douloureuse. Le sexe, ce n’était pas que du plaisir. Si on croyait ça, alors on ne savait pas ce que c’était que la baise. Non, le sexe, ce n’était qu’une culture de la souffrance, que ce soit au niveau des préliminaires, avec le sentiment de frustration sexuelle qui allait en grandissant, ou durant l’acte lui-même. Une pénétration était douloureuse, et Nathan aimait à croire que c’était le cas pour les deux parties. Pour lui, s’enfoncer dans un trou si étroit était en soi douloureux, mais prendre une femme, la pénétrer en remuant sa queue, était un exerce physique particulièrement épuisant, qu’il endurait par l’effet enivrant de l’adrénaline qui pulsait dans ses veines. Le plaisir, lui, était l’étape ultime de cette échelle pyramidale de la souffrance... Et ce plaisir-là était sans comparaison aucune. Il n’y avait rien qui ne soit aussi intense que ces quelques petites secondes où tout le corps se lâchait, et où tous les sens disparaissaient. Un sentiment d’aveuglement exquis et inexplicable, qui dépassait les mots... Et, sur ce point, il pensait que c’était encore plus fort pour les femmes. Ce n’est pas pour rien si on parlait de « petite mort » pour désigner leur orgasme, après tout.

Catalina était fébrile, de plus en plus excitée, hurlement comme une truie, et, plus le plaisir montait, et moins Nathan se sentait civilisé. Le mâle prenait le pas sur l’homme, ce mâle sauvage et prédateur, ce Préhistorien brutal et dominateur qui ne pensait qu’à son propre plaisir.

« Hunn !! Tu es si étroite... Hunn !! Tu l’aimes comme ça, HEIN ? HEIN ?! Tu aimes, hein, HEIN ?! HAAAA bordel, ce que t’es bonne, PUUUTAAIIINN !! »

Finalement, les mots arrivaient à sortir.

Il suffisait juste de se motiver un peu, et parler, en définitive, ça faisait du bien. Comme quoi, les mots avaient toujours leur puissance. Et ses mains continuaient à palper les fesses de Catalina, les tapant parfois légèrement... Oh, il ne lui donnait pas de grosses claques, non, simplement de légères gifles, des petites tapes pour mieux se motiver, et pour sentir la rage et le plaisir se mélanger ensemble, formant un cocktail savoureux et magnifique.

Rien n’arrêterait le flic dans sa tâche. Il allait continuer à la baiser.
DC d’Alice Korvander.

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Catalina Taylor

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    Description
    Riche veuve, par treize fois, qui s'est exilée à Seïkusu et qui investit dans différents secteurs d'économie de la ville.
    Peu farouche quand elle trouve quelqu'un à son goût, mais secrète quant à son passé.
« Hummm !! Catalina, huuunnn !! »

Tant de plaisir... Catalina en tremblait sur ses appuis. Ses bras menaçaient de flancher, et ses cuisses n'étaient pas au mieux. Pourtant, endurante, elle s'arquait encore plus, criant maintenant son bonheur, son bien-être. Elle renverse la tête en arrière, jusqu'à se faire mal au cou. Mais c'était si bon... Pour rien au monde, elle ne changerait quoi que ce soit à cette soirée. Elle avait vraiment eu de la chance de tomber sur lui. Un américain, comme elle. Séduisant. Fort. Rassurant. Électrisant. Et si doué. Il savait exciter ses sens. La toucher aux endroits qui l'emmenaient voir les portes du paradis.

Elle hurlait son nom, elle en redemandait. Plus fort. Plus vite. C'était tellement délicieux ! Elle perdait la tête. Incapable de réfléchir clairement. C'était son instinct qui prenait le dessus. Ses bas-instincts. Elle sentait la chaleur en elle devenir insupportable. Elle exsudait la luxure, mais elle était également bouillante. Brûlante de désir. Trempée. Infiniment comblée.

« Hunn !! Tu es si étroite... Hunn !! Tu l’aimes comme ça, HEIN ? HEIN ?! Tu aimes, hein, HEIN ?! HAAAA bordel, ce que t’es bonne, PUUUTAAIIINN !! »

Oh oui. Elle aimait. Elle adorait. Elle se crispa un instant, ses muscles comprimant la virilité de Nathan en elle. Elle gémit sourdement, appréciant le claquement sur ses fesses. Elle ne se souvenait pas avoir prit un tel pied dans toute sa vie sexuelle. Mouvementée, cette vie, d'ailleurs. Mais là, à ce moment précis, avec ce partenaire en particulier... Elle cria de nouveau le nom du policier.

« Oh oui ! Nathan ! J'aime ça... Encore... Ooooh ! Plus fort hmm ! »

Finalement, alors qu'elle se cabrait violemment, un frisson électrique la traversa. Elle hurla de nouveau. Un son plus profond. Plus vibrant. Elle ferma les yeux, par peur de les révulser, et se mordit férocement la lèvre inférieure. Son corps se tendit, comme un arc, et elle laissa le plaisir l'envahir à nouveau, griffant le tapis. Ses bras tremblaient de plus belle, prêts à la lâcher. Elle se resserra intimement autour du policier, son plaisir lubrifiant de plus belle son antre chaleureuse. Elle haleta, voyant des petites étoiles au coin de ses yeux.

Bientôt, ses bras flanchèrent. Le front appuyé sur ses avants bras, en sueur comme Nathan, Catalina gémissait toujours.

« Nathan... Hmm... »

Ses cheveux retombèrent de part et d'autre de son visages. Collés, trempés. Elle replia ses doigts, un peu rouges. Cette soirée était la meilleure qu'elle ait eut, et ce, depuis bien longtemps.
« Modifié: samedi 22 novembre 2014, 16:34:13 par Catalina Taylor »
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"Elle attire les bites comme le miel attire les abeilles" - Destin.

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2eab41 - Paroles de Catalina.

Nathan Joyce

E.S.P.er

Elle hurlait son nom. Magnifique. C’était magnifique ! Il ne pouvait qu’aimer ça, et il continuait à la baiser, à la tringler sévère, s’appuyant sur son corps. La gifler lui faisait du bien, gonflant son excitation, faisant croître son plaisir... Mais ce ne fut rien par rapport au moment où elle s’abandonna en lui, où elle atteignit le point névralgique du plaisir. Si Nathan était aveuglé par son désir, la Bête, elle, sentit la verge de Nathan s’humecter de mouille. Aucun des deux amants ne pouvait le voir, mais la verge de Nathan avait grossi. Elle se recouvrait d’une fine excroissance noirâtre, qui faisait donc, logiquement, grossir son sexe. La Bête savourait la mouille, et, quand la cyprine de cette femme éclata dans son intimité, l’excroissance noirâtre grossit un peu en avalant la mouille, en aspirant une partie. Elle jouit avec bonheur, et la Bête se calma, gorgée par le nectar intime de la jeune femme.

Cet orgasme ne signifiait nullement qu’il allait s’arrêter là. Nathan était excité, traversé par de multiples frissons qui remontaient le long de son corps. Ses mains se serraient sur le corps de la femme, sur cette douce peau chaude. Elle peinait à se maintenir ainsi, en position de chienne. Il aurait volontiers continué à la baiser comme ça, mais, malgré ce que la situation pouvait laisser entendre, Nathan restait relativement galant. Le jeune homme tenait à ce que cette femme prenne autant son pied que lui, et c’est ce qui l’amena à retirer son sexe de son corps.

Même si la Bête avait avalé de la cyprine, la mouille tomba en bonne partie sur le sol, recouvrant le sexe de Nathan. Il usa de sa force pour retourner Catalina, l’allongeant sur le dos, puis il s’étala sur elle, et la pénétra à nouveau, l’assaillant une nouvelle fois avec son sexe.

« Haaa !! » soupira-t-il.

Ses mains serrèrent celles de Catalina, et il l’embrassa voracement. Le corps de la belle hôte était étalée sur son tapis, et il remuait d’avant en arrière, ses lèvres posées sur les siennes, scellées dans un long baiser. Sa langue fonça dans la bouche de Catalina, caressant la sienne. Lorsqu’il rompit le baiser, un fin filet de salive les relia, que Nathan balaya avec sa langue, avant de poser sa main sur l’un des seins de Catalina, le pressant solidement. Son autre main s’appuya sur le tapis, puis glissa pour agripper la nuque de la femme, empoignant ses cheveux. Il tira légèrement dessus, l’embrassa dans la nuque, remuant son corps d’avant en arrière.

Toujours la même danse. Toujours la même litanie. Le plaisir, lui, était là, sa verge noyée dans le jus de cette femme.

« Catalina, hunnn !! »

Il soupirait aussi, de profonds soupirs caverneux sous l’effort physique demandé pour la pénétrer. Elle était prise contre son tapis, et Nathan continuait à la pénétrer, sans relâche.

« Si bonne... Hummm... Je pourrais... Te baiser toute... Toute la foutue nuit, Cataliiina... »

Et il ne fanfaronnait qu’à moitié en disant cela.
DC d’Alice Korvander.

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Catalina Taylor

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Catalina haletait. Elle donnait tout ce qu'elle pouvait pour se maintenir sur ses bras, mais le plaisir était trop grand, et elle tremblait comme jamais. Elle était si bien, malgré le frottement sur tapis sur ses genoux...

Il lui sembla un instant que Nathan prenait plus de place en elle. Elle redoubla ses cris, ses gémissements. Ce n'était pas douloureux. Ou peut-être un peu. Mais le plaisir dominait, et la pointe de souffrance qu'elle ressentait se mêlait si étroitement avec que ce n'en était que meilleur.

Après la jouissance qui dévasta ses sens, elle sentir soudain un vide en elle. Il n'était plus en elle. L'air frais la fit frissonner, mais heureusement, ça ne dura qu'un instant. Roulant sur le côté, suivant les gestes du policier, elle écarta de nouveau ses cuisses, s'offrant toute entière à son mâle. A cet instant, elle se sentait comme une femelle animale. Elle ne voulait que son mâle, elle ne voulait que le plus fort. Et il l'était Nathan. Il ressemblait à cet idéal qu'elle avait. Il lui faisait ressentir ce qu'elle voulait refouler.

Oh, oui. Ce soir, elle se sentait chienne. Elle était chienne. Ce soir, elle était à lui.

« Haaa !! »

Elle gémit en retour, appréciant son imposante présence à nouveau en elle. Il n'avait pas quitté son fourreau de chair longtemps, mais ça a suffit à ce que les parois se resserrent un peu. Et de nouveau, il l'écartait avec passion. Un frémissement orgasmique revint la titiller, et elle se cambra comte lui.

Elle n'eut pas le loisir de crier à nouveau, le son étant étouffé par les lèvres de l'homme qui se plaquèrent contre les siennes. Elle participa activement. C'était érotique. Pornographique. Pourtant, c'était aussi extrêmement plaisant.

Quand il commença à saisir sa nuque, ses longs cheveux, elle ferma à nouveau les yeux. Elle remontait aux temps anciens, où la femelle se soumettait au mâle le plus fort. Elle l'accueillait en elle avec chaleur, avec passion.

« Catalina, hunnn !! »

Elle répondit ardemment, gémissant en retour. Ses jambes se glissèrent contre le corps du mâle, le serrant entre elles.

« Si bonne... Hummm... Je pourrais... Te baiser toute... Toute la foutue nuit, Cataliiina... »

Elle cria encore, éperdue de plaisir. Elle ne savait plus où elle était, mais elle y était bien. Elle serra une nouvelle fois ses muscles, emprisonnant la raideur virile en elle, comme pour ne plus le laisser repartir.

« Aaaah, Nathan, oui ! »

Elle criait à s'en casser la voix. Une nouvelle fois, peu de temps après le précédent, un autre orgasme vint et lui donna l'impression de brûler de l'intérieur. C'était aussi douloureux que c'en était bon. Dans le feu de l'action, la veuve griffa le dos de son amant, se forçant contre lui, contre son bassin. Elle était plus affamée, à mesure que le temps passait. Comme si se faire prendre ainsi, par ce presque inconnu, devenait une drogue.

« Nathan ! hurla-t-elle tandis que son dos se souleva du sol, cambrée. »

Si ça ne tenait qu'à elle, elle n'arrêterait jamais. Mais déjà, toute la nuit, ce serait très bien. Elle n'en pourrait plus le lendemain. Mais elle aurait de tels souvenirs...
« Modifié: samedi 22 novembre 2014, 16:34:23 par Catalina Taylor »
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2eab41 - Paroles de Catalina.

Nathan Joyce

E.S.P.er

C’était une chance qu’ils soient jeunes. Il y avait certes le tapis, mais ils étaient à même le sol. Et ils remuaient violemment dessus, mettant le dos de la belle Catalina à rude épreuve. Nathan, en effet, n’y allait pas par le dos de la cuiller, la prenant avec une fougue renversante. Son sexe tendu lui faisait mal, un mal de chien, une souffrance qui avait cependant quelque chose de libératoire et de jouissive. Tout en la prenant, tout en souffrant, il se libérait aussi. Il la baisait, encore et encore, s’enfonçant en elle, se serrant contre sa peau, son corps collé à cet ensemble de courbes, de chaleur, de douceur et de tendresse. Catalina lui évoquait tout ça, mélangée à une sorte de perversion intense et forte entre les deux amants. Il la baisait, et, plus il le faisait, plus il sentait le plaisir monter en lui, explosant graduellement. Il la baisait, et cette situation renforçait la Bête, unissant Nathan à la créature, envoyant Nathan dans les schémas primitifs de sa psyché. Il la baisait, et il adorait sentir Catalina soupirer contre lui, se presser contre son corps.

Le temps se diluait sous ses coups de reins. Elle le griffait, elle hurlait son nom... Oh, que c’était magnifique ! Il était au Paradis, entre ses cuisses. Nathan la prenait sans relâche. En avant, en arrière, puis s’enfonçant à nouveau, avant de se retirer, et de s’enfoncer encore. À aucun moment, le policier ne se retirait de son intimité, son sexe s’écartant, mais sans en sortir. Il s’enfonçait ensuite, filant de plus en plus facilement dans son corps, ses parois étant maintenant très lubrifiées. Son sexe s’enfonçait dans cet espace chaud et tendre, gluant et liquide. Comment avoir envie d’en sortir ? Il se sentait si bien, là, contre elle, s’étalant contre son corps, la serrant fermement, comme pour qu’elle ne s’envole pas.

*Oui, Nattie-boy, glissait la voix de la Bête en elle, tu comprends pourquoi je ne peux pas me lasser d’elles, maintenant... Le sexe féminin, porteuse du monde, incarnation de la beauté et de la sensualité...*

Oh oui, oui, oui, il comprenait, maintenant, il comprenait même très bien. Se sentir en elle, c’était... Et bien, il n’y avait pas de mots pour le décrire. C’était quelque chose à vivre, quelque chose à ressentir, quelque chose qui défiait tout ce qu’il connaissait. Un plaisir féroce. Il l’embrassait, parfois. Des baisers rapides, sauvages, appuyés, sa langue se fourrant en elle. Son dos commençait à ruisseler de sueur, se couvrant d’une intense humidité au fur et à mesure qu’il la prenait. Il n’allait pas la laisser partir si facilement. Son corps tressautait contre le sien, leurs chairs claquaient, la sueur les collant ensemble. Quand il se relevait, elle le suivait, avant de s’abaisser lourdement, inondant son tapis de sa sueur, ainsi que de leurs liquides intimes.

La Bête sentait les orgasmes, et, quand Catalina en eut un second, Nathan ne tarda pas avant de s’abandonner en elle. C’était tout ce que son corps réclamait, et, même s’il savait qu’il lui incombait de ne pas se laisser aller trop vite, afin de lui faire plaisir, afin que le plaisir reste intense pour elle (car un homme devait savoir se sacrifier pour sa belle), il ne put repousser la vague. Elle déferla en elle, aspergeant son intimité, la remplissant généreusement. La Bête jouit à l’unisson avec lui, dans un cri guttural, tout son corps s’écrasant sur celui de Catalina, la serrant comme une poupée de chiffon entre ses bras puissants et ses solides pectoraux.

Après son orgasme, Nathan s’affala contre elle, ralentissant le rythme pendant quelques secondes, sa tête enfouie contre ses seins. Il était en sueur, notre brave policier, respirant lourdement, emmêlé contre elle. Ses sens étaient perdus, il était désorienté, savourant la chaleur et la douceur de ce corps. Il revint à lui quand il constata que sa salive commençait à s’échapper de son corps. Il ne voulait pas salir cette déesse, pas plus que nécessaire, et il lécha sa peau, la nettoyant, avant de se relever, s’appuyant sur ses bras. Ses articulations gémirent, et il l’embrassa fugacement, comme pour reprendre son souffle.

« J’espère que je n’ai pas broyé ton dos... Je ne voudrais pas que tu me poursuives pour brutalité policière... »

Il parvenait encore à faire de l’humour.

C’était sans doute la preuve qu’il n’était pas aussi fatigué que ça. La Bête continuait à bouillonner en lui.
« Modifié: mercredi 06 août 2014, 01:47:02 par Nathan Joyce »
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    Peu farouche quand elle trouve quelqu'un à son goût, mais secrète quant à son passé.
Tant de plaisir qui submergeait la pauvre femme, tant d'émotions... Elle avait les yeux clos, des étoiles étincelant derrière ses paupières fermées, à mesure que les impulsions électriques qui chatouillait chaque parcelle de son corps la faisait tressaillir. La douleur n'était qu'en arrière plan. C'était une intense fatigue, et des muscles endoloris. Mais elle s'en fichait. Pour le moment, Catalina ne sentait que la présence imposante de Nathan en elle. Elle ne tenait compte que de son sexe qui s'enfonçait entre ses cuisses, écartant sa chair pour se frayer un passage. Elle n'était consciente que du plaisir qu'elle en retirait, et de la rafale de sensations qui dévastait son être dès qu'elle resserrait ses muscles autour de son intrusion bienvenue. Elle hurlait, à s'en casser la voix. Heureusement qu'elle n'avait pas de voisins...

Finalement, alors qu'elle planait encore dans les brumes de plaisir qui avaient été provoquées par ce second et dévastateur orgasme, elle ressentit pleinement Nathan s'abandonner en elle, la remplir de sa semence. Elle s'agrippait autant qu'elle le pouvait à cet homme, ce policier qui était en train de transformer son ennui précédent, lors du gala, en une soirée absolument inoubliable.

Répondant à ses baisers, elle se perdait dans les limbes du désir, du plaisir, de l'orgasme.

Elle appréciait la puissance qu'elle sentait. Il s'accrochait aussi à elle, comme à une bouée. Comme un naufragé. Elle aimait ça. Catalina n'avait jamais connu pareil abandon. Elle plaçait toute sa confiance dans Nathan. Elle se laissait aller avec lui, alors même qu'elle ne le connaissait que de ce soir, avec une inébranlable certitude. C'était l'amant de ses rêves. Brusque, tendre, sauvage et passionné. Un cocktail d'attitude, de sensation, détonnant. Attachant. Parfait.

Alors qu'il s'abandonnait contre elle, à bout de souffle et en sueur, elle s'autorisa à relâcher la tension de ses muscles. Elle s'autorisa à poser, elle aussi, la tête contre un appui. Contre le tapis. Ses cheveux étaient emmêlés. Un peu collants. Elle avait également abondamment transpiré. Haletante, encore, elle glissa une main sur la nuque du policier, ses doigts jouant machinalement avec les mèches qu'ils trouvaient, tandis qu'elle reprenait son souffle. Elle souriait imperceptiblement alors qu'il avait la tête contre sa poitrine, entre ses seins.

Lorsqu'il la releva, sa tête, et qu'il lapa sa peau, elle se sentit frissonner, encore sensible de partout après ces deux orgasmes fulgurants. Jamais elle n'en avait eu autant en une seule fois. En un seul "acte". Et en une soirée, c'était la première fois également. Ses précédents amants n'étaient pas à la hauteur.

Il se redressa, la soulageant de son poids. Même si elle aimait ressentir la puissance de son être contre elle, elle respira un peu mieux. Un sourire fugace effleura ses lèvres rougies.

« J’espère que je n’ai pas broyé ton dos... Je ne voudrais pas que tu me poursuives pour brutalité policière... »

Un petit rire lui échappa. Ses joues étaient rouges. Ses yeux, quand elle les ouvrit, brillaient de satisfaction. De bien-être. Elle secoua doucement la tête.

« Mon dos va bien. Je te remercie. Je promets de ne pas porter plainte pour brutalité policière. Pas plus que pour abus de plaisir. »

D'une main, elle essaya de dégager ses cheveux de son dos. Ils se répandirent autour de sa tête, alors qu'elle se redressait doucement, venant déposer des baisers légers sur l'épaule du policier qui était à sa hauteur.

« Par contre, je ne serais pas contre... Une petite douche. Dès qu'on aura un peu récupéré... »

Un sourire taquin étira ses lèvres alors qu'elle reposait la tête au sol, gardant ses jambes entremêlées à celles de Nathan, se lovant contre lui.

« Tu n'es pas d'accord ? »

La douche était à l'étage. Face à la chambre. On arrivait, par les escaliers, dans un petit "pallier". D'un côté, la salle de bain, de l'autre, la chambre. Les deux communiquaient aussi par une porte coulissante, de l'autre côté de la cage d'escalier. La chambre comportait un grand lit. Deux mètres cinquante par trois mètres. Sur mesure. Les draps noirs, en satin, étaient couverts par une grosse couette blanche aux motifs floraux, noirs, évoquant une époque où l'on retrouvait ces formes sur les grilles en fer forgées des grandes demeures, sur les papiers peints... Quatre oreillers couvraient le haut du lit. Un traversin, noir, et un gros oreiller en plume, confortable, de chaque côté. Une nuisette quasi transparente était posée sur la couette, attendant que sa propriétaire sorte de la salle de bain pour l'enfiler avant d'aller dormir.

Et la salle de bain, d'ailleurs. Immense. Spacieuse. Du côté où débouchait l'escalier, on trouvait une grande baignoire. Une mini-piscine, à demi-encastrée dans le sol. Des robinets se trouvaient aux quatre coins, et des petits jets parsemaient les parois, offrant l'option jacuzzi et massage. Au centre, un lavabo. Blanc, étincelant. Catalina n'était pas maniaque non. Elle aimait juste que tout soit clean.

Et un grand miroir couvrait tout le mur de la salle de bain. De l'autre côté, près de la porte communicante, une douche. Grande aussi. Large. Deux pommes de douches, et un jet au-dessus. Une paroi de verre encadrait le rectangle dédié à la douche. Le sol, à cet endroit, était légèrement incliné vers le mur miroir, de façon à ce que l'eau s'écoule sans déborder sur le carrelage parfaitement entretenu de la pièce. Des produits de beauté étaient alignés sur le bord. Shampoings, gels douches, produits de gommage, de massage. Soins pour la peau, soins capillaires... Catalina prenait grand soin d'elle. Et, un peu à l'écart, une bouteille de gel douche pour homme. Là depuis son emménagement, elle était pourtant neuve. Aucun homme n'était encore venu chez elle, à part Nathan. Elle la gardait juste, au cas où.

En pensant à la douche, Catalina soupira doucement.

« Je suis sûre que tu vas adorer ma salle de bain, souffla-t-elle à son amant, ses doigts jouant toujours avec ses cheveux. »
« Modifié: samedi 22 novembre 2014, 16:35:44 par Catalina Taylor »
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2eab41 - Paroles de Catalina.

Nathan Joyce

E.S.P.er

Il y avait de rares fois où Nathan appréciait la présence de la Bête en lui... De rares moments où il se disait que ce monstre avait, malgré tout, quelques avantages. C’était dans ce genre de moment, quand il se tenait au-dessus du corps d’une femme, d’une femme éreintée, et que lui, après avoir joui, se sentait toujours en pleine forme. Il était fatigué, certes, son corps était en sueur, sa respiration haletante, mais la Bête était une sorte de générateur à foutre insatiable, qui ne le harcelait pas quand il était avec une femme, en train de lui faire l’amour. La Bête aimait ça... Le sexe. Se répandre avec des femmes, s’unir avec elles, ne faire plus qu’un. Nathan pouvait réellement prétendre alors être heureux, non seulement à cause de l’acte charnel en lui-même, mais aussi grâce à ce que cet acte entraînait : une sorte de libération mentale, de délivrance heureuse et bienvenue. Le policier se sentait bien, en paix, serein, et il embrassait tendrement le visage de Catalina, ses lèvres, ses joues, son cou.

Nathan s’écarta ensuite d’elle, jetant quelques regards admiratifs sur son corps. Elle était vraiment belle, et elle vivait seule... Une chance à peine croyable. Elle semblait épuisée, et lui demanda s’il n’était pas contre l’idée de prendre une douche avec elle. Elle se blottit contre lui, et il posa sa main sur sa nuque, l’autre venant caresser son dos, glissant sur cette chair tendre et douce. Le corps d’une femme... Le délicieux corps d’une belle femme, son odeur, sa chaleur... Des sensations simples, mais ô combien agréables. Il enfouit son visage contre le cou de la femme, son nez glissant près de son oreille. Ils avaient couché sur le sol, comme deux amants en manque, et c’était exactement l’image que le policier donnait. Dès qu’il était entré dans cet immeuble, dès qu’il était dans cet ascenseur, il avait envie de cette femme. Il l’avait prise sur son balcon, sur son tapis, et maintenant dans la douche... Une soirée parfaite, le repos du guerrier.

Les doigts de Catalina jouaient sur ses cheveux, essayant de les libérer. Avec la sueur qui les collait, Nathan vit quelques épis, et lui sourit, avant de l’embrasser sur les lèvres, à nouveau. Son menton heurta celui de Catalina. Il s’était proprement rasé ce matin, mais quelques poils avaient déjà commencé à repousser, formant un léger duvet qui se frotta contre la peau imberbe de Catalina. Il avait évidemment noté qu’elle prenait soin de son corps ; une chose appréciable. Malgré son célibat, cette femme veillait à rester belle, à s’entretenir, à rester la belle fleur aux pétales magnifiques qu’elle était. En d’autres circonstances, l’instinct policier de Nathan aurait pu se réveiller pour lui souffler qu’il n’était peut-être pas normal qu’une femme aussi belle, et aussi jeune, puisse disposer d’un appartement aussi grand dans le centre-ville de Seikusu, mais l’instinct policier de notre homme était aux abonnés absents, pour ce soir. Seul comptait son plaisir sexuel. Sans s’en rendre compte, il obéissait instinctivement à la Bête, qui se moquait bien de savoir s’il couchait avec une sorcière ou avec une princesse.

« Je pense que je vais te faire confiance, Catalina... Et que tes muscles se reposeront bien mieux avec de l’eau coulant sur leur corps. Parole de policier. »

Il se releva alors, et prit la femme dans ses bras, presque comme s’ils étaient de jeunes mariés. Elle était aussi légère qu’une plume entre ses bras. Il en avait un sous ses jambes, et un autre contre sa tête, et la porta ainsi, en montant l’escalier menant vers sa chambre et vers sa salle de bains. Elle pouvait tout à fait l’embrasser en chemin, ça ne le dérangerait pas. Au contraire. Nathan grimpa sans problème, et prit la porte menant à la salle de bains. La chambre serait pour plus tard.

Nathan pénétra dans une grande pièce, qui respirait un luxe affolant. Encore une fois, l’instinct de flic tiqua en lui, mais il était aussi voyant qu’une petite souris au sein d’une manifestation de plusieurs milliers de personnes. Il n’y songea qu’une poussière de seconde, son regard se portant sur sa baignoire immense, presque une piscine intérieure, et sur sa grande cabine de douche.

« Je sens qu’on va se plaire ici... », ne put-il s’empêcher de commenter.

Son choix s’arrêta assez vite sur la douche, plus rapide à mettre en œuvre que le bain... Ça, il se le réservait pour plus tard. L’empressement ne devait pas le conduire à brûler les étapes ! Le policier relâcha Catalina, et ouvrit la porte de la douche. Sans crier gare, l’instinct de flic refit surface par une autre porte, alors qu’il se retournait vers la femme, toujours aussi nu, avec son sexe légèrement rouge, et dressé en l’air :

« Cette installation est limite légale... Je crois qu’il va falloir me convaincre énormément de votre... Hum... De votre respect envers la loi. »

Il se tenait au milieu de la douche, n’attendant plus que la belle y rentre.
DC d’Alice Korvander.

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Catalina Taylor

Humain(e)

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  • FicheChalant

    Description
    Riche veuve, par treize fois, qui s'est exilée à Seïkusu et qui investit dans différents secteurs d'économie de la ville.
    Peu farouche quand elle trouve quelqu'un à son goût, mais secrète quant à son passé.
« Je pense que je vais te faire confiance, Catalina... Et que tes muscles se reposeront bien mieux avec de l’eau coulant sur leur corps. Parole de policier. »

Un petit rire épuisé secoua doucement le corps de la jeune veuve, tandis qu'elle se laissait faire. Il la portait comme personne ne l'avait fait encore. Ce cliché de jeunes mariés, dans les films, qu'elle avait toujours secrètement voulu essayé. Elle enviait les couples heureux qu'elle voyait dans ces téléfilms américains à l'eau de rose. Mais elle ne se l'avouait pas. Elle refoulait cette pointe de jalousie tout au fond de son être, se contentant d'apprécier ce qu'elle avait déjà.

Alors qu'il montait les escaliers, elle faisait glisser ses lèvres contre le cou de son amant, contre ses clavicules, ses épaules... Elle mordillait parfois la peau tendre du mâle, entourant sa nuque de ses mains. Nue contre lui, nu également, elle se lovait contre lui avec envie. Avec bien-être.

Finalement, ils arrivèrent en haut, et Nathan bifurqua dans la salle de bain.

« Je sens qu’on va se plaire ici... »

Il la déposa alors par terre, sur le sol carrelé, frais. Elle le regarda se retourner pour ouvrir la porte de la douche, puis se retourna à nouveau vers elle. Elle eut du mal à ne pas s'attarder longtemps sur le sexe turgescent qui se dressait fièrement face à elle.

« Cette installation est limite légale... Je crois qu’il va falloir me convaincre énormément de votre... Hum... De votre respect envers la loi. »

Un petit sourire se logea au coin de ses lèvres rougies par les baisers. Elle le rejoignit en quelques pas légers, aériens, et ses doigts vinrent effleurer le torse chaud de son amant.

« Je ne vais pas manquer de vous montrer tout le... Respect que je voue à la loi... »

Se haussant sur la pointe des pieds, elle vint de nouveau embrasser le policier, chastement. Un baiser aussi léger qu'un battement d'aile de papillon. Elle glissa ensuite ses lèvres contre sa peau, venant contre le cou, puis sur les épaules, le torse. Elle s'arrêta un instant sur les muscles pectoraux pour venir agacer les tétons du bout de sa langue mutine. Elle reprit ensuite sa descente, après s'être attardée sur chacun des tétons, et sa langue glissa sur le sternum, venant ensuite chatouiller les abdominaux de l'homme. Elle embrassa doucement la peau chaude, chaque parcelle, puis descendit à nouveau, effleurant l'aine du bout des lèvres.

Catalina leva un regard mutin vers Nathan, et elle s'agenouilla finalement sur le sol frais de la douche, refermant la porte du bout du pied. Ses mains vinrent agripper les cuisses du policier, et ses lèvres effleurèrent alors la verge dressé. De haut en bas, d'abord, pour finalement remonter avec sa langue qui s'enroule parfois contre le membre érigé. Bientôt, ses lèvres se refermèrent sur le gland violacé, aspirant doucement la peau, le faisant pénétrer à peine plus loin. Elle suçota l'hameçon de chair, pressant ses lèvres autour du membre et jouant de sa langue contre la peau sensible du frein, se glissant en-dessous, au-dessus...

Elle finit par faire pénétrer la verge plus loin dans sa bouche, venant presque le faire cogner contre sa gorge. Elle réprima les sensations de haut-le-coeur qui lui venaient, réussissant à garder le membre au chaud entre ses lèvres un petit instant, respirant par le nez. Elle laissait échapper, de temps à autres, de petits gémissements approbateurs, preuve s'il en était besoin qu'elle aimait autant prodiguer une fellation que lui à la recevoir.

Normalement.

Levant les yeux vers Nathan, elle commença à faire coulisser le sexe entre ses lèvres, aspirant, et le laissant ressortir presque entièrement. Elle prit un rythme plutôt rapide, et son regard malicieux montrait qu'elle laissait à Nathan la possibilité, quand il le voulait, de prendre la main, d'imposer son rythme peut-être.
« Modifié: samedi 22 novembre 2014, 16:36:13 par Catalina Taylor »
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Evangile selon Sainte Cata 28:12 : "Vous trouverez du repos pour vos âmes en mon sein, à condition que vous soyez un mâle bien membré et prêts à me casser le bassin"

"Elle attire les bites comme le miel attire les abeilles" - Destin.

<3 <3

2eab41 - Paroles de Catalina.

Nathan Joyce

E.S.P.er

Elle le rejoignit, et elle l’embrassa tendrement, belle de beauté, pleine de volupté. Il la laissa faire, bien évidemment, caressant ses cheveux, son dos, la serrant contre lui. Encore un peu, et on aurait presque pu croire qu’ils étaient un couple en train de s’embrasser tendrement, le genre de personnes se connaissant depuis des années, et sachant tout l’un sur l’autre. Les pensées de la Bête impactaient inconsciemment sur Nathan, ce qui faisait qu’il avait du mal à déterminer l’origine de son attirance pour cette femme. Émanait-elle seulement de lui, seulement de la Bête ? Qui dominait le plus l’autre ? Nathan savait que, face aux belles femmes, la Bête ne se contrôlait plus, comme un mâle en rut désireux de fourrer sa queue le plus rapidement possible. Il était alors aisé de voir en la Bête un simple prédateur sexuel, mais la réalité était un peu plus nuancée. Ce que Nathan avait pu constater, c’est que, dans un certain sens, la Bête respectait le sexe féminin, mais considérait juste le sexe comme une manière de les honorer, de leur montrer l’intérêt qu’il avait pour eu. Les rares fois où Nathan arrivait à comprendre les pensées ancestrales de cette créature, il y voyait son incompréhension à comprendre ce monde, et à comprendre les rapports sociaux, notamment cette espèce d’ambivalence schizophrénique à l’égard du sexe, à la fois rejeté et loué, à la fois honni et pourtant nécessaire à la reproduction. La Bête ne comprenait pas Nathan pour ses hésitations envers le sexe. S’il trouvait une femme belle, pourquoi ne pas lui faire l’amour ? Quand Nathan lui disait que ce n’était pas correct, qu’il fallait avoir son accord, la Bête se gaussait de lui. N’était-il pas flic ? L’équivalent moderne des gardiens ancestraux ? Son rôle était de les protéger, il avait prouvé sa valeur, il méritait de coucher avec les femmes qu’il voulait. Pourquoi refuseraient-elles ? Le sexe était une chose saine et bonne. La Bête n’arrivait pas à comprendre cette logique, et Nathan n’arrivait pas à la comprendre... Mais, quand il faisait l’amour à une femme, alors leurs avis se rejoignaient... Si ce n’est que la Bête poussait toujours vers un peu plus d’action, vers du sexe intense et hardcore. Nathan, cependant, avait réussi (du moins, le pensait-il), à lui montrer les bienfaits de ce qu’il appelait le « sexe sophistiqué »... Autrement dit, une partie de sexe ne se résumant pas qu’à un coït, mais tenant compte de tous les éléments entourant la pénétration. La Bête, qui n’y avait vu initialement aucun intérêt, avait peu à peu admis que, somme toute, le sexe ne se résumait pas qu’à la simple reproduction animale.

C’était précisément ce qui se passait en ce moment. Catalina jouait avec lui, embrassant ses tétons, glissant lentement le long de son corps. Le policier savourait littéralement ce moment, dans tous les foutus sens du terme. Son excitation s’accrut, et la Bête gémit en lui, poussant de longs soupirs silencieux, persistants.

*Merde, ce qu’elle st bonne, cette nana ! T’as tiré le gros lot, Nathan ! Putain, ouais, la vache, wouhou !!*

La Bête fantasmait et s’extasiait, et Nathan atteignit un pic quand, après avoir délicieusement embrassé son aine, la femme se retrouva devant son sexe, le léchant et l’embrassant. Elle l lécha du haut vers le bas, revenant près de ses testicules, puis remontant, sa langue vicieuse filant à l’assaut de cet appendice de chair. Il en avait mal, et il soupira, posant une main sur les robinets de la douche, son dos heurtant le mur. Le pommeau de la douche s’enclencha au-dessus d’eux, déversant un jet d’eau froide qui éclata sur le dos de Nathan, éveillant tous ses sens. Catalina avait alors enfoncé sa verge dans sa bouche, et, quand l’eau frappa son dos, il posa l’une de ses mains sur la tête de la femme, comme appui, et donna un coup de reins, faisant tressauter son sexe dans sa bouche.

L’eau froide se réchauffa bientôt, et la porte de la douche se referma quand Nathan tendit sa main pour la fermer. Il baissa la tête, observant ce corps agenouillé, vautré à ses pieds, en train de lui prodiguer le plus grand des plaisirs. La fellation... Le genre d’ingéniosités humaines à laquelle la Bête n’avait jamais pensé, mais dont elle ne pouvait maintenant plus se passer. Comme quoi, tout n’était pas à jeter chez cette brave et pauvre humanité. Catalina remuait rapidement, tendrement, avec un talent trahissant encore son expérience.

Sa main caressait ses cheveux, et il se mit à remuer, d’avant en arrière, de plus en plus vite.

« Ah, Catalina... C’est si bon, ça ! »

Il posa son autre main, afin d’avoir une meilleure prise, et, peu à peu, à force de remuer, il finit par lui baiser la bouche, allant de plus en plus vite dans sa fellation, haletant et grognant, des frissons de plaisir traversant tout son corps.
DC d’Alice Korvander.

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Tags : policier erotique