l'appel de l'horizon [Don]

Aussi doux qu'une peau de bébé...Don eut un sourire mesquin alors qu'il posait ses mains sur la poitrine de Lilura, il ne s'attendait pas a une telle douceur. Comme elle était une guerrière, il s'attendait a un poil plus dur, revèche, qui refleterais l'entrainement martial de Lilura, mais sa surprise fut que ce ne fut pas le cas. Don exultait. Le prix de Lilura devenait de plus en plus élevé alors qu'il la découvrait. La terranide allait faire tourner des têtes, et il avait hate de la voir a son service monter sur la scène et la domestiquer jusqu'a ce qu'elle soit au gout des nobles, après tout, tout était dans l'interêt de Lilura...C'était ça...Ou un sort bien pire que la mort. En attendant Don était appliqué a faire de la situation de la Terranide un véritable supplice de désir, c'était ce qu'il préférait:le dressage, une fois qu'il aurait sapé toute la volonté de Lilura et qu'il l'aurait mise devant l'inéluctabilité de son plaisir face a la situation où elle était elle le suivrait comme un petit chien. Et il n'aurait qu'a claquer des doigts pour être obéis, le rêve de tout homme que l'époque et les circonstance méttait a portée de main.

Don eut un petit rire narquois devant les menaces de mort de Lilura qu'il ne prenait de toute manière pas au serieux. Elle n'était pas en l'état, et bientôt elle oublierais jusqu'a son nom, pas a cause de la drogue, mais a cause de ce qu'il allait lui faire. Don répondit a ses menaces

"Tu ne me tuera pas, parce que si tu me tue, qui pourra te procurer le plaisir que je te donne en ce moment?Tes frères et ton pères pourront me chercher tu sais, ils ne me trouveront pas, et si jamais ils me trouvent. Eh bien..."

Don dégaina un des MAgnums dans ses poches et tira sur un rocher dans lequel la balle se ficha en le fendillant de part en part, le calibre lourd que portait Don était adapté a sa taille et a son poid, un gabarit plus léger avec cette arme en main se déboiterais l'épaule en tirant sous le recul, il tourna a nouveau son visage vers Lilura

"Je les exterminerais."

Fit il avant de ranger son arme et de lécher la joue de la terranide tandis que sa main agripait le sein plus violement, le tordant, pinçant le mamelon, sa bouche descendit jusqu'a l'autre sein et se mit a le sucer, a le mordiller doucement

"Alors?"

Toute ses certitudes s'effritait une a une.
L'honneur du combat bafoué par des drogues qui l'avais paralysé. La courtoisie des gens civilisé remplacé par la manipulation et l'asservissement. La souffrance de la torture provoquant en elle un désire charnel insoutenable, mais répugnant.

Lilura ne pue retenir un crie, tant elle feue terrorisé par le vacarme de cette arme inconnue.
Et soudait dans son esprit tout s'emboita a nouveaux. Autan de violence l'avait elle rendu folle?
Elle n'avais qu'une certitude a present mais il lui etait impossible d'agir pour l'instant, et la langue de Don aspirant et mordant ses petit tetons rose pale, ne fesait que confirmé ses idées.
Elle ne pouvait que pleuré a chaude larmes, retenant des hurlements de rage derrière des soubresauts gémissant.

Elle découvrait peu a peu que tout son corps pouvait pleuré. Ses yeux déversait de grosse larmes dégringolant de ses joues. Une odeur suave émanait de son corps en sudation. Sa bouche était pleine de salive, comme devant un repas appétissant. Et son entrejambe ruisselait jusqu'entre ses fesses, imbibant le drap de bure.
Elle tortillait des reins, unique moyen de se debatre. Mais ce mouvement la fesait bruller de l'interieure. Horrible choix que de subir les caresses du marchand, ou ce plaisir répugnant mais tellement délicieux.

Son petit ventre tendre, trahissant une respiration hors de contrôle. Qui se fessait plus forte au fur et a mesure quelle gigotait pour s'extirpé.
Appartement une racine sous sa robe s'était logé a l'épicentre se son plaisir.


 

Don esquissa un large sourire en voyant l'effet qu'il provoquait sur Lilura, il n'aurait pas été étonnant que celle ci en soit a son premier rapport. D'ailleurs il ne l'était pas, il avait déjà établi ce fait il y a quelques minutes de ça. Le marchand d'esclave quand a lui s'appliquait a lécher la poitrine de la Terranide avec le plus grand des interêts. Sa langue rapeuse passait sur les collines de chair et de fourrure de la jeune femme et soulevait légèrement ce bout rosé du bout de a langue, avant d'y planter légèrement les dents dans le plus grand des plaisirs. Don était content, il avait fait une bonne chasse. Il allait pouvoir se régaler ce soir, il n'aurait pu rêver de meilleur prise pour lui, car Lilura montrait déjà des signes de plaisir évident et au vu de la manière dont elle les montrait ça serait très facile de la domestiquer. Si il ne se trompait pas le dressage devrait avancer vite et Lilura comprendrais sa place. Les terranides étaient en regle générale, facile a vivre de toute façon, rares étaient ceux prêts a lutter jusqu'a la mort, la plupart se soumettaient et acceptaient leur nouveau statut, c'était pour ça qu'ils étaient de si bons esclaves

"Est ce que c'est moi où tu es contente de me voir?Tu pleures de joie a l'idée d'avoir a servir un maître tel que moi?Tu as de la chance tu sais, la plupart les fouettent, les éborgnent ou encore leur coupent des membres, moi je ne suis pas violent. Tant que tu obeis..."

Lança le marchand d'esclave alors qu'il regardait le pagne trempé de Lilura, il eut un petit sourire de triomphe et porta la main sur celui ci

"Tu vois?Tes vetements deviennent une gène, ton cerveau est formaté, il a été formaté pour obeir a une logique absurde, ton corps sait ce qui est bon pour lui."

Fit Don alors qu'il aggripait le pagne et l'arrachait d'une main sans plus de cérémonie

"Tu n'aura plus jamais besoin de vetements non plus."

Le marchand d'esclave s'empressa alors de faire descendre sa main le long de son ventre pour caresser doucement l'entrejambe

"Ca te plait hein?Ne resiste pas...Tu es déjà a moi."

Elle était a présent complètement nue et offerte devant cet inconnu .
Le liquide chaud que Lilura prenait pour de la salive formait des filaments transparent entre son sexe et la main de Don. La terradienne mouillait abondamment.
Les yeux clos, tremblante et gémissante, elle ne retenait plus les mouvements du marchand.
N'osant s'avouer quelle provoquait elle même son plaisir en avançant légèrement son bassin pour que Don puisse pleinement exploré son inimitée.

Elle avait découvert son point faible. Mais se refusait encore secrètement a une vie de certitude, planifiant son évasion ou le meurtre de sang froid de Don au moment ou il s'y attendrai le moins.

Retrouvant peu a peu l'usage de ses bras Lilura voulue se jeter a la gorge de Don mais elle savait pertinemment que la drogue mettrait un long moment a s'évaporer. Et que ce dernier pourrait la maitriser d'un seul doigt.
Elle releva la tête, croisa le regard du marchand et l'adossa a l'arbre mort. Une expression de dégout et de honte sur son visage en larmes.
Elle releva lentement les bras et les replia sur sa poitrine, posant ses poignet sur ses mamelons en manque de contact, a la vue de Don.

Les genoux encore l'un contre l'autre elle étudiait et se délectait de cette délicieuse torture.

"Jamais une vie a servir... mais comment pourrais je me passer de tan de plaisir. Suis-je a lui a tout jamais? Je ne veux pas mourir et je ne peux pas fuir, une vie de caresses aussi exquise serait elle vivable? Non pas dans la certitude!" pensa elle.

Mais toute ces questions fures chassé alors quelle découvrait que son corps pouvait être la voie du paradis.
Ses bras fessant des mouvement de bas en haut, massant ses tétons encore mouillé.

Lilura n'arrivait plus a contenir sa propre jouissance et se tordait sous ses doigts experts comme une poupée de chair, combien d'esclave avait t'il dressé?Il ne les comptait plus, Lilura n'était pas la première ni la dernière, si elle pensait resister a la tentation alors que le plaisir était moindre, elle ne résisterais surement pas quand il approfondirait son acte et se montrerait de moins en moins réticente a passer a l'acte. Don bénit les terranides, ces êtres aux corps si receptifs et si beaux, si dociles et si prompt a obeir selon leur nature d'animaux, ils n'étaient bon que pour être domestiqués par les hommes, elle le savait au fond d'elle. Elle l'avait juste oubliée et Don allait le lui rappeller en tête, lui rappeller que quitter sa famille et son clan étaient la meilleure chose qu'elle ait jamais faite. De toute façon, Don épargnait bien des souffrances a Lilura, car si elle s'était baladée dans cet accoutrement plus longtemps, elle aurait pu tomber sur d'autres marchands d'esclaves, ils se seraient peut être faits tuer par elle, mais quand ils auraient organisé une battue pour l'avoir elle serait morte. Morte avant d'avoir pu servir.

Quel gachis!

Don remarqua que la terranide pouvait a présent bouger, il n'avait pas a s'inquieter, il faudrait bien une heure pour qu'elle reprenne toutes ses capacités physique, d'ici là il l'aurait droguée a nouveau et pourrait encore abuser d'elle pendant tout le trajet. Pas de précipitation, le marchand d'esclave en profita pour enchainer

"Tu t'amuse bien?Ton corps a déjà refusé le contact comme tu le vois, tu préfère suivre la voie de ton corps plutôt que celle de ta tête, tu es née esclave ma petite Lilura, il n'y a que comme ça que tu t'exaltera, tu n'es pas convaincue?"

Fit Don alors qu'il saisissait sa queue, une zone érogène chez les Terranide et se mit a la caresser doucement, puis a rebrousse poil

"Alors laisse moi te présenter a l'objet de ton désir."

Don baissa son pantalon, présentant un objet oblong et grand a Lilura, souriant, le marchand d'esclave colla son extrémité contre la joue de la terranide

"Allez, lèche moi ça."

Lilura ne s'étonna te voir ou fe trouvait la queue chez les humains.
Mais les caresse a rebrousse poil que Don exerçait sur la sienne lui donnait des frissons dans le dos.
Elle fie la grimasse quand il colla se membre quelle senti brulant sur sa joue.
Elle donna un coup de langue rapide a son extrémité et fixa aussi tôt le visage de Don pour voir sa réaction d'une mine craintive.

L'inexpérience etit flagrante chez elle. Elle apprenais de son corps et de celui de Don. Ce quelle ressentait l'enivrait, les choses du sexe étant inexistante dans sa tribu a par pour la procréation.
Son instinct sauvage lui dictant de désobéir.

Lilura ne faisait rien pour aider le marchand d'esclave dans sa démarche mais bientôt elle allait craquer, il le savait, elle avait regardé son sexe d'un air plein de curiosité et Don sourit alors qu'elle donnait une lampée sur ce sexe et le regardait craintivement. Don sourit doucereusement alors qu'il se baissait pour saisir Lilura par le menton du bout de ses deux doigt et lui sussurait a une de ses grandes oreilles avec plaisir

"Rester muette ne te sauvera pas du désir, laisse toi aller, tu verras, ça sera beaucoup mieux. Laisse toi aller car je ne te ferais aucun mal, je n'ai pas raison de t'en faire, tu ne connais pas les règles. Quand tu les saura il faudra m'obeir."

Fit il alors qu'il étalait son sexe entre les deux seins de lilura et utilisait les deux mains de la Terranide pour enserer son extremité entre ses mamelons avant de baisser la tête de Lilura contre son membre

"Tu va me masser et me prendre en bouche maintenant, ne t'en fais pas, tu verras, le plaisir continuera"

Don fit une moue

"A moins que tu veuille toujours que j'arrête?"

Sans attendre la réponse de Lilura il profita du moment où elle ouvrit la bouche pour s'enfoncer dans celle ci sans crier gare

"Eh bien tu vois."

Fit il alors qu'il maintenant la tête de Lilura pour imbriquer un mouvement de va et vien, la forçant a le garder en bouche

Cet sexe énorme allai et venait violament d'entre ses seins jusqu'à sa glotte .
Don ensserait les poignets de Lilura et appuyait ses main sur les coté de sa poitrine, etraignant dans la douceur la moitié de son pénis et ses testicules. Son gland s'imposant dans la bouche de la petite terradienne, inondé de salive.
La contradiction fie encore son apparition alors quelle tentait de repoussé le membre de sa langue.
Produisant une pression sur le bout de ce sexe du plat de sa langue, mais elle glissait a chaque reprise jusqu'à la base de son gland.
Les coups de reins de Don entre ses seins lui fesait tourné la tête, alors quelle se massait elle même la poitrine, ses petit tétons toujours aussi réceptif. Inconsciemment la pression quelle exerçait sur ces derniers devenait de plus en plus forte et incontrôlé, sans quelle ne s'en rende compte, c'est elle qui caressait le sexe entre ses seins. Le plaisir prenant encore une fois le dessus sur sa sauvagerie.

Sa tête était bloqué par le membre assis dur que l'acier logé dans sa bouche, et elle cherchait a nouveaux le moyen de l'extirper maladroitement. Sa langue donnant de puissante caresses sur toute la surface du gland. Elle tenta d'ouvrir la bouche mais la salive abondante dégoulina sur le sexe jusqu'entre ses seins. Ce dernier était si gros par rapport a la petite bouche de Lilura qu'a chaque respiration, l'aspirait plus profond dans sa gorge. Et il lui était impossible d'inspiré sans avaler tout liquide dans sa bouche.

Elle contemplait le visage de Don les yeux quasi revulcé par le plaisir.

Don exultait, le plaisir déferlait en lui par vague electrique qui le faisait se tendre, son sexe gagnait de la taille dans la bouche de la Terranide alors que le marchant d'esclave poussait un râle d'effort, tout celà était si bon. Don se sentait petit a petit de plus en plus a l'aise avec sa position et finit par lacher Lilura qui faisait de toute manière très bien le travail toute seule. L'esclavagiste lui lança avec un peu de sarcasme

"Je ne te force plus a rien maintenant, va tu continuer?

Apparement oui, elle faisait très bien son travail d'ailleurs. La pression de la poitrine de Lilura sur lui ainsi que la salive de celle ci l'humectant et le léchant lui faisait beaucoup d'effet, autant qu'une bonne Terranide pouvait en procurer, Don sourit, ces animaux sauvages avaient vraiment le sexe dans le sang, pas étonnant qu'ils étaient une marchandise si appreciée, on eut jamais dit que Lilura était une débutante. Et il allait d'ailleurs récompenser la terranide de ses efforts.

Comment?Eh bien en se deversant en elle, il voulait se réserver pour la pénétration, mais il semblerait bien qu'il arrivait a ses limites, c'était trop bon, il ne voulait pas se retirer. Alors d'un seul coup, Don se relacha, innondant la gorge de Lilura alors qu'il lui remontait le menton

"Fait bien attention a tout avaler, esclave."

Fit Don en forçant la semance dans la gorge de Lilura, une fois ça fait il lui lança

"Alors?Qu'as tu as dire a ton maître pour le remercier de ce qu'il t'a donné?"