Collés [Pv Akira E.]

Le soleil se couchait à peine en cette journée d’hiver. Kenza attendait seule dans une classe. Elle venait d’être collée pour la première fois de sa vie, car elle avait oublié de rendre un devoir important. Sa corvée était de faire le ménage dans cette salle. Balais en main et habillée dans un tablier par-dessus son uniforme de lycéenne, elle avait commencé à nettoyer sans grande conviction, soupirant par moment, voulant pleurer à d’autres.

De plus, elle ne savait pas faire le ménage. Cette salle de cours était immense et ma foi, un peu sale. Sûrement trop sale pour qu’elle, une simple petite fille de bourgeois, puisse y faire quelque chose. Elle déposa son balais et s’accorda une pause. Fronçant les sourcils, elle leva son regard au plafond pour se plaindre :

« J en arriverai jamais, si seulement d’autres étaient collés pour m’aider aussi… »

S’essuyant le front d’un geste de la main, elle fit le tour de la classe, s’ennuyant. Elle n’avait pas du tout envie de reprendre son ménage.

Le crépuscule apparut bien tôt en cette soirée. Akira avait pour mission de nettoyer une salle de classe, car il avait oublié ses vêtements de sport, et la professeur l'avait donc collé. Le lycéen se balada dans les couloirs avant d'aller à une buanderie pour récupérer un balai. Le garçon chétif était simplement habillé de son uniforme, et il posa sa main sur la poignée dorée de la porte, et l'ouvrit calmement.

Quand il entendit une personne se plaindre avec une voix féminine, la peau du garçon vira au rouge écarlate, car il pensait qu'il serait seul pour sa punition. Le garçon se cacha derrière la porte puis décida à entrer pour faire connaissance avec la blonde qui était collée aussi.

" Bonjour...mademoiselle...vous...êtes...collées...aussi...?"

Le garçon cacha ce qu'il pouvait avec son manche, pour éviter de regarder dans les yeux de sa compagnon de travail. Le lycéen attendit sa réponse patiemment en entremêlant ses doigts.

En entendant la porte s’ouvrir, Kenza se retourna immédiatement et sourit. Le ciel avait entendu ses prières, heureusement qu’elle n’était pas super active sinon, elle lui aurait sauté dans les bras. Satisfaite de cette arrivée, elle pencha sa tête sur le côté en admirant le jeune homme.

« Euh…oui. Malheureusement. »

Il était poli, et elle en était étonnée. Finalement, c’était mieux que ce qu’elle pensait. Elle se dépêcha de reprendre son balais pour ne pas qu’il croit qu’elle glandait et se retourna à nouveau vers lui.

« A deux, ça sera plus rapide. »

" Oui...j'espère...bien..."

Le garçon exécuta ses gestes pour nettoyer la salle. Vu que son appartement était très grand, il avait l'habitude de nettoyer les grands espaces. Quand la sulfureuse lycéenne jeta un œil sur son visage, ses yeux se fermèrent, comme pour exprimer de la peur. Le garçon fit des montées et des descendances et finit de nettoyer la moitié de la salle en un temps record, alors que la blonde semblait avoir quelques problèmes.

" Vous...voulez...de...l'aide...?"

Le garçon nettoya la partie de la lycéenne puis s'assit sur le banc, en haletant pour montrer sa fatigue. Son balai tomba sur le sol, alors que sa main partit chercher le manche, alors que ses yeux aperçurent la culotte de sa compagnon ce qui lui donna une érection, assez rapide.

" Mademoiselle...vous...vous...appelez...comment...?"

Enfin à deux, elle aura plutôt du dire « à toi tout seule », car elle s’était à peine mise au travail que lui enchaînait frénétiquement les allers et retours. La salle fut bientôt propre si on omettait la partie de Kenza qui s’acharnait sur son bout de sol. Le jeune homme vint rapidement l’aider et pour le remercier elle ne put que lui envoyer un regard désolée.

Elle avait honte de ne pas avoir pu se montrer plus utile et le suivit du regard alors qu’il s’asseyait sur un des bancs. Il avait l’air fatigué, assis ainsi. Elle se rapprocha pour lui tenir compagnie et le remercier de sa bonté. D’ailleurs, au moment au le balais du garçon tomba au sol, elle s’était penchée pour on ne savait quelles raisons faisant remonter sa petite jupe plissée.

Sans se soucier de la vue qu’il aurait, elle se redressa en ramassant le balais au passage. Puis, elle s’assit près de lui, et souffla également de soulagement.

« Je m'appelle Kenza et toi ?Ton aide a été…précieuse. Malheureusement je dois rester ici jusqu’à la fin des deux heures. »

Son visage pâtissait d’une expression triste. Elle retira son tablier dévoilant son chemisier blanc et assez transparent pour mouler les bords de son soutien-gorge pourpre. Elle passa une main dans ses cheveux.

Sa compagnon de travail sembla triste à l'idée de donner tout le travail à Akira, mais fallait pas qu'elle s'en fasse pour ça. Quand elle se rapprocha, le doigt du garçon chétif se logea dans son nœud de cravate, pour le défaire, et qu'il dissipe la chaleur de son corps.

" Je...m'appelle...Erikawa...Akira...! Je...dois...aussi...rester...ici...en...votre...compagnie..."

Le lycéen fut terriblement gêner de mater le corps de la belle, qui semblait totalement en nage. La chemise blanche lui donnait un aperçu sur son soutien gorge, alors que elle passa sa main avec un geste rempli de sensualité. Le garçon eut sa érection plus intense, en regardant la poitrine de la jeune femme.

" Vous...semblez...avoir...chaud...!"

Le garçon déboutonna les premiers boutons du haut de sa chemise pour avoir moins chaud, alors que ses lunettes se remplissaient de buée au fur et à mesure.

« Chaud ? » répéta-t-elle, interrogative.

Elle lui jeta un regard et arqua les sourcils. Il avait l’air troublé, en y réfléchissant c’était vrai qu’ils avaient monté le chauffage en ces temps hivernaux. Décidant de suivre l’exemple de son camarade pour ne pas tomber malade, elle déboutonna naïvement le haut de sa chemise. La naissance de sa poitrine apparut bientôt, mais elle n’y fait pas attention.

« Tu as raison Akira-kun. »

Elle releva un peu sa jupe aussi, à la limite du raisonnable dévoilant ainsi la bordure de sa petite culotte rose pâle. Elle souriait à présent et se pencha vers lui. On aurait pu croire qu’elle comptait l’embrasser, mais en réalité, elle attrapa juste une bouteille d’eau posée à côté de lui. Elle en but maladroitement, en faisant tomber sur elle quelques gouttes.

Elle répéta sa fin de phrase avant d'approuver son idée. Quand elle déboutonna les boutons de sa chemise, le garçon n'y croyait pas du tout. Le garçon effaça la buée sur ses lunettes pour mieux regarder le décolleté que Kenza lui montrait accidentellement. Quand elle releva sa jupe, là c'était l'apocalypse car le garçon saignait de tout son sang, et prit un mouchoir pour essuyer les taches vermeils.

" Ben...c'est...surtout...pour...votre...confort..."

 Akira vit la jeune femme se pencher vers lui, ce qui lui donna un bel aperçu de sa poitrine, et cette situation l'excitait beaucoup, mais quand on est chétif, on pense jamais à réussir ce qu'on veut au niveau sexuel. Le lycéen regarda avec attention la soie blanche devenir transparente, sous l'impact des gouttes d'eau qui en coulait accidentellement.

" Que...allons...nous...faire...en...attendant...?"

"Que faire ?" se surprit-elle à dire.

Elle tenait toujours la bouteille, dans un geste négligeant, elle laissa son contenu se renverser sur son chemisier qui fut trempé. Ne répondant pas à la question du jeune homme dont la réponse était évidente, elle sursauta et se dépêcha de retirer sa chemise, totalement paniquée.

"Je...pense que nous devrions attendre !" fit-elle en se rappelant qu'elle devait répondre.

Elle se redressa et se dépêcha vers le radiateur. Elle se pencha pour y étendre sa chemise, donnant ainsi à la vue d'Akira tout le loisir d'admirer sa croupe recouverte de sa petit culotte. Ken-chan revint ensuite près de lui, mais alors qu'elle se rapprochait, elle trébucha sur un des balais et partit de l'avant. Elle se rattrapa de justesse en tombant sur les genoux du jeune garçon, à califourchon. Elle en rougit.

La bouteille échappa des mains de l'adolescente, trempant ainsi son chemisier, et lui donna un aperçu très joli. Quand elle la retira, le garçon plongea son regard dans la vue, alors qu'il continua à bander comme un petit fou. La jeune blonde se pencha pour lui donner l'aperçu qu'il voulait, sa jolie ficelle qui cachait son sexe était découverte devant ses yeux. Si le garçon n'avait pas cette fichue timidité, il serait déjà en train d'accomplir l'acte.

" Oui...mais...en...attendant,...car...1h50...ça...semble...long...à...attendre."

Quand la blonde tomba sur ses genoux, le garçon avait une mine étonnée à la place de celle timide. Kenza en rougit, vu comment elle était positionné face à lui, alors que les yeux vitreux du garçon fixaient sa poitrine qu'il voulait caresser, mais il eut un blocage.

" Ah...désolé...mademoiselle...mais...votre...poitrine...semble...m'hypnotiser...tellement...qu'elle...est...magnifique..."

Le garçon tendit sa main vers le décolleté, avant de la retirer brusquement, de peur qu'elle le prenne mal.

" Désolé..."

Il n’avait pas tort, une heure cinquante c’était très long, mais pour l’instant elle était bloquée sur lui. En réalité, elle ne détestait pas le fait d’être assise aussi vulgairement sur lui, présentant ainsi sa poitrine. Elle remarqua également qu’il était bloqué sur sa poitrine, et elle rougit d’autant plus, flattée. Sa remarque lui confirma que c’était bien ces deux seins généreux qui le troublaient.

« Ah…merci, » sourit-elle face au compliment.

Kenza le vit tendre sa main et elle se mordit la lèvre prête à subir le contact, mais il s’avisa d’y toucher.

« Ne sois pas désolée. Et puis, je dois au moins te remercier pour ce que tu as fait. »

Elle lui attrapa délicatement la main et la posa sur sa poitrine. Se penchant davantage, elle ondula une fois son bassin pour sentir le membre de son compagnon se frotter contre elle. Il bandait déjà pas mal, et elle pressa main contre sa poitrine. Une heure cinquante hein ? C’était largement suffisant.

Elle sourit à son compliment, alors que les deux personnes dans la situation embarrassante commencèrent à rougir. Quand elle mordilla sa lèvre inférieure, le garçon comprit qu'elle aimait beaucoup cette scène . Quand elle lui parla de le remercier, le garçon ne comprit rien car il avait fait rien d'agréable sauf nettoyer sa part mais c'était par sympathie.

" Me...remercier...mais...je...n'ai...rien...fais...d'extraordinaire...! Si...vous...voulez...me...remercier...du..nettoyage...ne..Le...faites...pas...car...c'est...par...gentillesse...!"

Quand Kenza lui attrapa la main, pour la poser contre son sein, le garçon profita en malaxant légèrement sa poitrine. Akira savait qu'elle insista sur le rapport sexuel en remuant comme ça sur ses jambes, pour avoir un contact avec le sexe du gamin. Le garçon approcha ses lèvres de sa partenaire pour els effleurer une fois, puis il glissa sa langue sur ses lèvres pour l'exciter davantage.

Elle fut un instant surprise, puis sourit : « Mais si voyons, j’y tiens. »
Kenza ne réfléchit ensuite plus aux conséquences de ses actes, elle laissait son corps aux commandes et son corps réclamait. De plus, elle était une gentille fille et n’avait pas à les priver tous les deux d’un certain plaisir. Alors qu’elle sentait qu’il prenait de l’assurance en massant sa poitrine, elle descendit ses mains pour déboutonner son pantalon.

Passant sa main dans le sous-vêtement du jeune homme, elle fit sortir sa verge et la masturba un peu pour qu’elle se dresse d’autant plus. Fière du résultat, la belle se plaça juste au-dessus et écartant la ficelle de sa culotte jouant à embrassant le gland des lèvres de son intimité.

« Akira…kun… » soupira-t-elle en se tenant à lui.

Les mains douces de sa partenaire n'hésitèrent pas à déboutonner le pantalon en soie pour sortir le pénis du lycéen qui était ravi de se faire masturber par les mains de la blonde. Lui continua se caresser la poitrine puis faufila sa main dans la main du soutien gorge pour caresser les tétons de sa partenaire qui pointait tellement qu'elle était excitée. Quand elle se plaça juste au dessus de lui pour caresser les lèvres de Kenza, le garçon prit son pénis avec sa main droite pour la caresser avec son gland.

" Kenza-Chan...vous...avez...un...corps...qui...me...donne...envie...de...m'occuper...de...vous...!"

Le garçon commença à mettre son nez dans les deux ballons de chair pour y glisser des baisers afin de embrasser cette poitrine si provocante. Akira remonta ses lèvres vers celle de la femme pour y embrasser à nouveau les lèvres pulpeuses de sa partenaire, qui semblait vouloir encore plus de plaisir charnel.