Un Divin crash {PV Lorenzaccio}

La jeune déesse semblait apprécier de se retrouver dans une grotte à la merci d’un fauve qu’elle avait eut l’arrogance de provoquer pour qu’il la fasse couiner et gémir de plaisir. Ophélie avait tous ce qu’il aimait chez les femmes. Un corps de rêve aux courbes généreuses, des manières d’allumeuses, un côté joueur et câlin, une expérience considérable en matière de débauche et des airs de soumise aimant lui obéir et se blottir dans ses bras pour qu’il la protège. Elle n’avait pas l’air très sûre d’elle malgré ses petites provocations et semblait un peu maladroite pour une déesse de la mort.

Quand la belle lui tira la langue pour jouer avec lui le lion réalisa qu’elle ne jouait pas la comédie en faisant semblait d’être une adolescente une peu folle, ce qui ne faisait quand même pas très sérieux pour une divinité. Elle semblait avoir des millénaires d’expérience mais aussi une grande naïveté qui l’empêchait de se comporter comme une vraie immortelle sensée impressionner les bouseux. La chacal ne dégageait aucune puissance et ressemblait à une petite délurée ordinaire dont les mâles aiment profiter et c’est ce qu’il trouvait intéressant chez elle.

Pour avoir fréquenté des femmes puissantes souvent sévères et profiteuses, le mage semblait être pour une fois tombé sur une fille en galère ayant besoin de lui. Cela faisait un bail qu’il n’avait plus eut affaire à une jouvencelle soumise à ses désirs dont il pourrait profiter autant qu’il voudrait, pour une fois c’était sa partenaire qui avait un grand besoin de lui et non une femme qui l’utilisait comme un étalon, une peluche et un jouet sexuel. Dans le cas présent c’était plus lui qui profitait d’une déesse paumée et un peu nymphomane pour avoir si rapidement succombé aux charmes du félin qui jouait avec elle comme si elle avait tout de suite eut envie de lui obéir et de se faire diriger par un lion carnassier qui s’apprêtait à lui bourrer les fesses. 

Lorsque l’adorable déesse s’allongea et ouvrit largement les cuisses en lui lançant des regards coquins, le mage eut du mal à retenir ses pulsions et s’allongea devant la ribaude pour caresser l’intimidée déjà bien mouillées de la donzelle qui couinait et ronronnait de plaisir aussi fort qu’une lionne se faisant casser l’échine par son mâle dominant. Si elle continuait de l’allumer de la sorte il allait vraiment lui dévorer l’abricot jusqu’à ce qu’elle le supplie de la prendre, joueur il commença à la titiller en lui donnant quelques grands coup de langues en s’arrêtant à chaque fois pour la faire languir. Rentrant ses griffes il alla même enfiler deux doigts dans le fondement de la coquine pour la préparer à toutes sortes de plaisir en souriant.

- Moins sensible que toi ma jolie, tu as bien mérité de te faire tringler dans tous les sens et je parie que tu vas adorer servir de pâture à un lion affamé. Quand j’en aurais fini avec toi, tu ne pourras plus marcher droit, tu le sais ça ?

Amusé le félin commença à faire un sort à l’entrejambe divin de sa partenaire. Elle l’avait taquiné sur ses performances sexuelles et il comptait bien la satisfaire pleinement pour qu’elle ne soit plus qu’une petite chienne soumise à son lion. Il n’avait jamais pu résister aux provocations des jolies filles l’invitant à les monter sauvagement. Après plusieurs minutes de caresses anales et autres léchouilles passionnés. Le mâle n’y tient plus et finit par pénétrer l’intimidée inondée d’Ophélie qui semblait bien impatiente de se faire prendre. Lorenzo s’allongea sur la déesse et commença à lui faire sensuellement l’amour en léchant le ventre et l’arrogante poitrine de sa partenaire, décidé à ne pas précipiter les choses pour qu’elle ait le temps de s’habituer à la belle taille de son engin tout en lui disant des cochonneries ...

Maladroite pour une déesse de la mort ? Oh, ben, c'était ce qui caractérisait Ophélie : la seule Déesse de la mort à ne pouvoir ni donner la mort, ni faire les choses correctement par son côté maladroit et totalement inoffensif. Parce que, oui, une Déesse de la Mort inoffensive, c'était très particulier. En plus de n'avoir aucun aura magique, en plus de ne ressembler qu'à une esclave enfuie, en plus de n'avoir aucune expérience et en plus de toujours découvrir le monde. Oui, ça faisait beaucoup pour la même et unique personne, Déesse de surcroit. Et plus encore, une Déesse dominée qui aimait se faire dominer. En gros, c'était la divinité parfaite pour tout mal dominateur qui cherchait à avoir une Déesse à ses côtés. Tant qu'il restait un minimum sympathique, Ophélie était du genre à s'accrocher à une personne et à avoir confiance en elle sans raison. Pratique pour Lorenzo, qui ne devait pas avoir trop de mauvaises intentions. Elle eut un léger sourire, dévoilant quelques crocs. Son dos était bien collé au sol, épousant les aspérités de la grotte, sa tête elle-aussi posée sur le sol, ses longues oreilles noires bougeant un peu par moment, prises parfois de frissons.

Son ronronnement quoique sonore était régulier à l'inverse de ses gémissements et couinements félins, ses griffes s'enfonça dans la couverture posée sur le sol pendant qu'elle tricotait de plaisir, miaulant quand les coups de langues du Lion se faisaient trop pressants, quand il touchait de cette langue rappeuse sa boule de plaisir, la titillant avec finesse. Son petit sourire en coin ne disparaissait pas encore, jusqu'à ce qu'elle sente les doigts du grand mage Léonin venir s'apposer sur son œillet encore sensible. Miaulant plus faiblement, alors qu'elle bouger un peu son ventre, elle cambra doucement quand il pénétra son cul avec deux de ses doigts, lui arrachant de nouveau des couinements sensibles, des couinements un peu rauques. Elle ferma à demi ses yeux rouges, lui jetant un regard fiévreux.

Il n'avait pas tort, mais elle n'allait tout de même pas lui donner si facilement raison ! Elle devait être bien des fois plus sensibles que lui, mais la chacal n'en dit rien, passant sa langue sur ses babines lors d'un nouveau gémissement. Elle haussa doucement ses épaules, l'air de dire que de ne plus marcher du tout ne lui faisait pas peur, ne remettant pas en question le fait qu'elle adorait déjà être la pâture de ce lion. Dans un miaulement, elle cambra un peu plus sous les caresses passionnés de cet amant félin. Elle attrapa son museau au passage quand il la pénétra enfin, blottissant ses hanches contre celles du Lion, leurs pelages se frottant alors qu'elle prit d'assaut de nouveau sa langue.

" - Ah .. Je veux de..venir ta féline .."[/i] Elle reprenait sans le savoir les pensée du mâle passant ses mains autour du cou du Lion, couinant plus encore alors qu'il commençait des va-et-vient.

Son membre était d'une taille très très respectable, assez étonnante, celle d'un Lion. Elle emprisonna la langue du Lion dans sa bouche, l'embrassant langoureusement, mordillant un instant cette langue, venant ensuite laper un peu le cou du mage, mordillant le lobe d'une de ses oreilles, se collant au corps musculeux de Lorenzo, pressant sa poitrine contre le torse du Lion.

Les bourses du lion claquaient coutre le cul délicieusement rebondis de la jeune chacal qui semblait adorer ça, le bruit pervers de la luxure à laquelle elle s’adonnait avec joie comme si elle avait perdu des millénaires à s’ennuyer d’être une déesse modèle sur son nuage. A l’instar des nobles dames qu’il avait connu, Ophélie devait surement apprécier de se compromettre avec un mâle de rang inférieur, surtout que le lion ne manquait pas de talent en matière de caresses et autres petits jeux intimes.

Le beau mage semblait s’appliquer à donner bien du plaisir à sa partenaire également, bien que lui-même prenait son pied à besogner une si jolie chienne qui couinait et ronronnait sous des assauts. Tandis qu’elle l’embrassait lui en profitait pour malaxer les tétons de la donzelle aux longs cheveux blanc d’un main tandis que l’autre continuait à fouiller la petite porte de l’amusante déesse pour la préparer à la suite du programme. Lorenzo aimait tous particulièrement élargir le cul des bombes sexuelles jusqu’à ce qu’elles se mettent à brailler des encouragements au fauve qui les sodomisait. Il n’allait pas la ménager après qu’elle ait haussé les épaules en souriant quand il lui avait annoncé qu’il avait l’intention de lui casser l’échine …

Après un long échange de baiser langoureux, sucrés et chauds le lion mordilla à son tour les oreilles de sa partenaire. Chez les félins c’était une manière courante d’exprimer son désir dans le feu de l’action. Lorenzo finit par ressortir à contrecœur de l’intimité accueillante de la belle et retourna sa partenaire sur le ventre pour aller se planter dans le fondement serré de la divinité … . Le puissant mandrin du lion se fraya lentement mais surement un chemin dans le popotin d’Ophélie avant de reprendre les vas et vient, ses coups de reins se faire plus insistant alors qu’il la sodomisait en levrette.

- Han que tu es bonne ma déesse, prends ça dans tes fesses. Je vais montrer comment je calme les ardeurs des petites allumeuses dans ton genre … Tu es as moi douce féline et ça te fais du bien, pas vrai ?

Dézopal donna plusieurs petites tapes sur la croupe de son amante pour qu’elle se sente animal et remplie par le prédateur. Lui-même commençait à sentir la chaleur que produisait son corps tout entier employé à posséder la magnifique croupe de sa nouvelle partenaire qui couinait de plus en plus fort sous les attaques du fauve qui lui bourrait les fesses. Elle était d’ailleurs de plus en plus mouillée preuve qu’elle aimait la sodomie la petite Ophélie ...

Sous ses airs de fille naïve se cachait une déesse salope qui devait avoir fait les pires trucs depuis le temps qu’elle devait se taper des mortels et le lion prenait bien le temps de lui arracher des cris de jouissance. Il adorait les ronronnements de plaisir de cette coquine et allait tout faire pour la rendre heureuse de l’avoir rencontré car il n'était pas du genre à enchainer les coups d'un soir.

Si elle adorait ça ? Terriblement. Mais elle ne considérait pas le Lion comme un mâle inférieur. C'était sans doute parce qu'elle n'avait rien de très supérieur, mais en tout cas, elle le trouvait tel un mâle comme un autre. C'est gentil de sa part, hein ? Dites leeeee. Elle ne se compromettait pas, qui plus est que Lorenzo était un mage, ce qui rajoutait pour la Jeune Déesse de quoi admirait, même plus adorait avec ce caractère typiquement enfantin, le Lion. Et c'était vrai qu'il était très expérimenté et talentueux dans la matière. Pour un quelconque voyeur qui aurait regardé ou entendu la scène, les gémissements d'Ophélie et les assauts du mâle paraissait bien assez explicites pour dire que les deux furrys s'entendait très bien. Ophélie cambrait doucement quand elle sentait les mains du mâle venaient titiller ses tétons bien levés vers le ciel, comme toujours en quêtes d'affections, alors que c'était des frissons que lui arrachait Lorenzo lorsqu'il la préparait à la suite, suite qui semblait être des plus agréables, soit dit en passant.

Un miaulement langoureux et un peu rauque s'échappa de la gorge d'Ophélie quand il ressortit de son intimité chaude et humides, un miaulement qui exprimait sur le moment le mécontentement égoïste de la Jeune Déesse qui se tint doucement à quatre pattes, pour laisser ses fesses libres à l'attaque du membre dur et long de son mâle. Un long gémissement. La chacal gémissait face à cette sodomie un peu douloureuse mais ô combien plaisante, alors que les coups de reins de Lorenzo étaient vigoureux et rapides. Elle se laissa tomber sur ses avants-bras, son cul tout offerts aux tapes du Lion, son intimité dégoulinant de mouille le long du duvet sur ses cuisses, ses griffes s'enfonçant dans la couverture en dessous d'elle et sa gorge un peu serrée par son ronronnement qui se transformait pas intermittence en légers cris.

" - AAaaah ! O-..oui ! Je suis à toi .. Totale-..lement !"

Sa voix était cassée par l'effort et le plaisir alors qu'elle couinait comme une véritable catin en proie à un plaisir sans borne, ses gémissements se faisant encore plus insistants alors que le Lion la prenait en levrette, sa poitrine un peu pressée sur le sol dans la position où elle s'était mise. Mais ce n'était pas vrai ! Elle n'avait jamais fait les pires choses, ou pas encore ou qu'à moitié et sa perversité avait encore des limites. Je vous promets. En tout cas, il apparaissait très bien que le Lion prenait un grand plaisir à arracher à la jolie déesse des cris de plus en plus aigus et qui suaient le plaisir par tous les pores. S'il continuait comme ça, il n'avait strictement plus aucun soucis à se faire, Ophélie allait lui revenir pieds et mains liés par le plaisir et par l'affection qu'elle arrivait à porter aux gens qui prenaient si bien soin d'elle. Un nouveau miaulement se fit entendre alors que la jolie fantôme (vous vous en rappeliez pas, hein ?) se sentait très près de jouir, sa queue étant parcourues de frissons plus visibles, ses miaulements devenant de plus en plus explicites.

Le lion se déchainait sur la divine croupe de la donzelle. Chaque puissant coup de rein semblait lui élargir un peu plus els fesses pour cogner au plus profond du fondement d’Ophélie, ressortant rapidement pour s’y replonger avec fougue dans une danse bestiale. Le mage aimait la douce musique des cris de plaisir de sa nouvelle compagne et ne se gênait pas de bien lui bourrer les fesses pour qu’elle devienne accro au chibre qui la rendait folle de plaisir. Qu’il était bon d’affronter une jument en chaleur aussi bonne à monter qu’elle, un vrai délice et un plaisir divin.

Le lion était en train de remporter cette partie de jambe en l’air. Sa proie remuait les fesses pour bien le sentir en elle et lui ne se gênait pas de lui claquer le cul pour la faire râler comme une bête. Avec une bestialité étrangement sensuelle, il ramonait en force la petite porte de cette allumeuse qui semblait n’avoir attendu que ça au vu des gémissements sonores qui résonnait dans la grotte. Si lui transpirait, le corps de la pauvre chacal était déjà couvert de sueur, de mouille et bientôt de sperme !

Alors ma jolie, elle est passée ou ta dignité ? Je vais rem-..plir ton joli cul de déesse … Han !

La belle chienne ne devait pas être habitué à se faire montre par un fauve aussi puissant qui la pilonnait joyeusement en lui caressant la nuque et les épaules pour la rendre encore plus chaude. L’endurant lion pourrait la baiser pendant de longues minutes encore de manière à ce que l’arrière train de la belle se souvienne de lui. Il voulait la défoncer pour qu’à l’avenir elle frissonne de désir et d’appréhension à la simple vue de son gros mandrin. Le lion la sentait perdre pieds, et prenait un plaisir pervers à enfoncer aussi profond que possible sa trique alors qu’elle tentait de reprendre son souffle.

Le corps à corps furieux prenait des airs de délicieux supplice pour la chacal, tandis qu’il remuait en elle a bon rythme. En le provocant comme elle l’avait fait, la déesse avait aiguisé appétit du lion et elle ne semblait pas le regretter pour autant malgré la violence de l’accouplement. Malgré le plaisir qu’il prenait à la sodomiser, le mâle n’était toujours pas satisfait et la tringlerait tant qu’elle n’aurait pas joui bruyamment. Joueur il lui chuchotait des cochonneries à l’oreille pour la provoquer.

- Dis-le qu’il y en a pas deux comme moi salope ! Cries ta joie ma belle !

Pour achever sa proie, le lion se mit à lui caresser son intimité avec sa queue en plumeau pour la faire jouir bruyamment et la faire hurler de se faire autant bien sauter par un grand fauve pervers ... Lui savourait sa victoire en sachant qu’à ce rythme il allait bientôt jouir lui aussi à force de bander comme un âne …

Devenir accro à ce membre qui la défonçait comme jamais, c'était presque chose faite pour la Déesse de la Mort, qui semblait de ne plus jamais retrouver son souffle entre ses ronronnements sonores et ses miaulements criards. Ophélie, haletante et pantelante, était presque à bout de force, acculée par le chibre de Lorenzo, dans sa position affaissée. Bonté Divine, il était bien de tomber ainsi du ciel sur des amants pareils ! Elle réussit à murmurer une parole tout de suite surpassée par un cri de plaisir de la demoiselle qui miaula longuement de plaisir, bougeant effectivement par moment, ses fesses pour mieux ressentir le membre dur et volumineux de son amant la pénétrant avec une violence sensuelle, et plaisante. A chaque claque sur son arrière-train qui aurait été un peu rougi si son pelage ne cachait pas sa peau, Ophélie grognait plus encore. Son pelage chaud et soyeux était dans tous ses états, démontrant l'état actuel de la Jeune Déesse qui sentait nombres de frissons venir parcourir tout son corps frêle, lui arrachant même d'autres miaulements sensuels, ses griffes se plantant toujours dans la couverture sous son corps nu. Ses seins étaient écrasés sous le poids de son corps, écrasés contre le sol couvert du léger drap, laissant la chacal dans une position pour le moins … dominée.

Sa dignité ? Perdue quand elle avait gouté aux lèvres de son Lion. Elle eut un nouveau gémissement, juste à la pensée d'idées lubriques que les paroles du mâle provoquaient chez elle. Elle savait qu'il allait bientôt arriver à son but, se sentait si près de jouir face aux mouvements rapides et vigoureux de cet amant. Effectivement, elle n'avait pas eu de tels amants tous les jours et le Lion gagnait beaucoup de points avec ses attentions sur sa nuque et ses épaules auxquelles le pelage d'Ophélie répondait par des hérissements ponctuels. Il était joueur, il était terriblement joueur et sur le moment Ophélie en mourrait de plaisir, miaulant à en perdre la voix, cherchant à retrouver son souffle à chaque nouveau de reins de Lorenzo. Son cœur tapait contre ses côtes comme pour s'en allait très loin, elle fermait les yeux en savourant ce délice.

" - Je .. AAAAH !"

A peine allait-elle rajouter quelque chose, obéir à ses provocations savoureuses, que la Jeune Déesse au corps de chacal ne put plus retenir son plaisir et sa jouissance, suite à une ou deux caresses sur son intimité déjà bien sensible. Son cri résonna dans la grotte alors qu'une partie de son excitation retombée, son ronronnement continuant sans accroc. Murmurant un léger et presqu'inaudible " y'en..y'en a pas deux comme .. Toi !", Ophélie jouit au moment d'une nouvelle caresse de la queue en plumeau de Lorenzo sur son intimité maintenant trempée et d'où la mouille coulait par léger à coup, le long des cuisses de la Chacal, dans son pelage et sur la couverture, alors qu'Ophélie laissait tomber sa tête sur le sol, entre ses deux bras. Son ventre se relevait à une vitesse très rapide, alors que son souffle déjà haletant reprenait à peine un rythme plus régulier. Ses cris s'étaient légèrement calmés, même si elle savait qu'ils allaient reprendre rapidement.

Si Ophélie avait pu penser normalement, elle aurait dit qu'elle venait de se trouver l'amant à garder, et qu'elle ne regrettait pas du tout d'être tombée sur lui. En tout cas, la violence de leur accouplement avait eu de quoi satisfaire la perversité de la Déesse qui, fatiguée par tant de sport, eut un léger sourire.

" - Aaa..Tu es le meilleur .." Susurra-t-elle difficilement.

La jeune déesse devait probablement un peu regretter de l’avoir provoqué à force de se faire sauvagement sodomiser. On pouvait dire qu’elle l’avait cherché avec ses vêtements s’esclave bien aguicheurs et ses sourires coquins. La donzelle devait avoir sous-estimé la vigueur du fauve pour oser lui faire du rentre dedans sans trop s’inquiéter de ce qui allait lui arrivait si elle le chauffait. L’arrogante chacal n’en menait désormais pas large à se faire enculer et fesser à la fois, en matière de chevauchées torrides peu de femmes étaient capable de rivaliser avec un fauve affamé et Ophélie se retrouvait coincée par son amant qui la plaquait au sol et lui ramonait les fesses en souriant.
 
Les ronronnements et les gémissements lascifs de la donzelle indiquaient au mage combien elle prenait plaisir à se faire empaler par derrière par son nouveau partenaire qui ne se privait pas de lui montrer sa puissance et son coté joueur. Le félin ne se privait pas de couvrir la petite allumeuse de caresses tandis qu’il lui bourrait furieusement les fesses menant la déesse vers un orgasme sonore qui pour Lorenzo était la plus belle des victoires. Jamais il n’aurait jamais espéré obtenir pareil faveur d’une divinité mais il fallait avoir que cette déesse était bien plus maladroite que ses collègues au point de devenir une femme abordable pour un mortel. Qu’il était délicieux de la voir se tortiller sous ses assauts comme pour tenter d’échapper à la délicieuse torture qu’il lui infligeait, cette fille le rendait fou et le fauve se laissait clairement aller. D’habitude il n’était pas aussi sauvage sous les draps pour ménager ses conquêtes mais la plantureuse déesse avait osé le traiter de prétentieux, ce qui lui avait donné l’envie de se défouler sur elle.

Ophélie semblait être dans tous ces états comme s’il lui faisait perdre la tête à force de s’amuser à la faire couiner par le sexe et les caresses. Lui-même se sentait terriblement excité par l’orgasme de sa partenaire et du faire des efforts pour la faire couiner encore quelques minutes avant de rugir et lui remplir les fesses d’un important flot de foutre chaud. La saillie avait dû être éprouvante pour la coquine qui gisait sur le sol, vaincue et tremblante. Du sperme s’écoulait de son anus élargis par la sodomie et elle aurait probablement du mal à trouver la force de se relever avant un moment. Satisfait le lion se retira enfin dans un bruit obscène avant de se déplacer pour venir présenter son mandrin souillé par l’orgasme à son amante pour qu’elle suce la verge qui l’avait fait hurler.

- Aaaah … quel pied. Pas trop fatiguée coquine ? Fais un effort et nettoies-moi tout ce foutre. Ensuite je te ferais un bon massage pour te détendre …

Le sourire comblée de la chacal en disait long sur le plaisir qu’elle avait pris à se faire saillir comme une pouliche, une complicité semblait être en train de se tisser entre les nouveaux amants. Désormais qu’elle savait de quoi il était capable, la charmante déesse aurait certainement envie de rester un moment avec lui afin d’assouvir tous ses désirs pervers. Elle devait surement être aux anges qu’il ait daignée lui faire plaisir en la troussant comme la chaudasse qu’elle était. Le lion espérait que cette rencontre torride déboucherait sur une relation d’au moins quelques années. Cela lui ferait du bien d’oublier son dernier amour pénible entre les bras de la belle Ophélie.

Regretter ? Mais pourquoi ? Bon sang, il faudrait être bien bête, immature, pour regretter quelque chose qu'on a désirée ardemment, comme Ophélie avait en fin de compte désiré cet partie de jambes-en-l'air, toute sauvage et brutale et animale qu'elle soit ! Elle l'avait méritée, demandée, cherchée, et elle sans le regretter, elle pouvait tout de même avouer en toute bonne foi et en toute réalité qu'elle n'avait oser espérer, voir juste penser, en arriver à une telle intensité sexuelle. Elle l'avait bien chauffée, quand même, et la récompense à cette entrava à sa timidité naturelle était tout de même à la hauteur, il aurait été cruel et faux de dire l'inverse. Le mot "violence" aurait tout de même pu très bien décrire la scène qui se passait actuellement dans cette sombre grotte fermée, où la tempête essayait toujours de rentrer, rencontrant la magie du Lion affamé qui faisait d'une Déesse naïve, une maîtresse morte de fatigue. Les ronronnements avaient fait place à des gémissements qui résonnaient et à des grognements étouffés par leur propriétaire qui miaulait par moment, son pelage noir trempé par la sueur. La Chacal, plaquée au sol comme une poupée de chiffon, n'en pouvait plus.

Maladroite ? Abordable pour un mortel ? Mais elle était une femme comme les autres ! Elle était d'abord une femme, une terranide humaine, avant tout. Elle n'était pas inabordable, elle n'était pas une divinité, elle était une terranide un peu plus maladroite que pleins d'autres, un peu plus con sur les bords que les autres et un peu plus malchanceuse, tout ça en étant une Déesse des Morts, une Mère des Morts-Vivants, joueuse et inoffensive. Elle l'avait traité de prétentieux et avait bien fait ! Il méritait sa réputation, bien sûr, mais il avait été peu modeste, ce mage Léonin. Les miaulements de la demoiselle  faisaient aussi comprendre qu'elle était actuellement en train de n'en plus pouvoir, elle aurait voulus se cacher loin pour ne plus endurer une telle violence sensuelle et plaisante. Elle allait avoir du mal à retrouver ses esprits après tout ça.. Le rugissement de son partenaire la ramena à sa conscience actuelle.

Pas français ? Je sais. J'vous merde. Bref, la jouissance du Lion n'était pas du genre silencieuse, 'voyez ? Ophélie se laissa doucement glisser sur le sol, haletant, ne cherchant même plus sou souffle qui s'était enfui depuis longtemps. Elle releva le museau en sentant son amant revenir vers elle. Hochant doucement la tête, elle recula un peu, tremblotante comme une feuille morte en train de tomber de son arbre, fermant à demi ses yeux rouges. Elle passa doucement sa langue sur le vit que lui proposait Lorenzo, en se mettant de nouveau à quatre pattes pour continuer de léchouiller le chibre de son amant. Elle passa une patte sur la garde qu'elle ne comptait pas atteindre avec sa langue ou sa bouche, trop fatiguée. Elle continua quelques longues secondes, reprenant un peu ses esprit et son souffle.

" - Maaou.." Acquiesça-t-elle, trop fatiguée pour parler réellement. " - Tu m'as épuisée ..." finit-elle par lui avouer dans un souffle, avalant sans sourciller le foutre qui colorait la queue de son amant.

Si avec Ophélie on ne pouvait jamais être sûr sur sa fidélité ou sa capacité à rester avec un même homme pendant même une année, il était sûr qu'elle appréciait tout particulièrement le Lion et après avoir finit sa fellation improvisée, elle vint se blottir contre le torse tout doux de cet amant animal qui lui ressemblait tant. Elle enfouie son museau encore un peu tremblant dans le creux du cou du mage léonin, jetant un regard à l'extérieur. Ils étaient encore bloqués, mais la tempête se calmait et ils pourraient bientôt bouger...Si la Déesse avait la force de se mettre debout.

" - Ma tempête a durée exactement le temps de nos ébats.."

Elle eut un léger rire amusé et se laissa doucement bercer par le souffle de son amant, mordillant le lobe de son oreille, le suçotant sans même le faire exprès.

Le lion s’était bien amusé à chevaucher la jeune donzelle qui semblait avoir eu du mal à tenir le rythme alors qu’il l’enculait sans douceur. Elle l’avait un peu cherché en le provoquant et lui avait envie de l’impressionner pour lui donner envie de rester, il n’aimait pas n’être qu’un simple coup d’un soir pour ses amantes. Cela lui laissait la désagréable impression qu’il n’avait pas sur les charmer pour qu’elle ait envie de le garder pour qu’il les rendent heureuses. C’était probablement son côté possessif de mâle lion qui voulait ça, il n’appréciait pas de servir de simple amuse-gueule ou de chien qu’on pouvait siffler. La chacal avait bien trinqué et ses fesses étaient rougies par leur ébats au point que le lion se demandait s’il ne lui avait pas fait un peu peur à la tringler si bestialement.

- Hum désolé … Je suis peut-être allé un peu fort, cela faisait un mois que je n’avais plus batifolé. Je sors d’une rupture assez douloureuse avec une elfe …

Lorenzo se maudit de lui avoir si vite parlé de son ex mais au moins c’était dit et désormais elle savait qu’il n’avait personne et qu’il était libre de la câliner, à vrai dire il craignait un peu qu’elle lui dise qu’elle sortait avec un beau dieu mais si c’était le cas elle n’avait pas l’air très portée sur la fidélité vu comment elle lui avait fait du rentre dedans sans parler de ses habits d’allumeuse au regard lubrique. Lui-même avait du mal à tenir une relation durable avec une femme car il était un lion aimant voyager et il avait toujours peur de tomber sur une profiteuse qui voudrait lui passer le collier pour le priver de liberté.

Le mage sourit en voyant sa partenaire si épuisée par la violence de ses assauts. À vrai dire il avait un peu triché avec les bracelets de vigueur qu’il portait qui améliorait encore son endurance hors du commun qui impressionnait toujours les filles avec qui il couchait. Il avait aussi des potions pour éliminer la fatigue dans son sac mais il appréciait trop de la sentir se blottir contre lui. Lorenzo était souvent protecteur envers ses maitresses et adorait quand elle se laissait aller à se faire câliner entre ses bras. D’un geste doux il caressa le dos de la chacal épuisée pour qu’elle se sente bien et quand elle lui

- Héhé tu étais trop occupée à forniquer et trop fatiguée pour maintenir le sort. C’était bien agréable, je pourrais rester des jours au lit à câliner une déesse comme toi … Restes avec moi Ophélie, je prendrais soin de toi et j’ai surement plein de choses à t’apprendre. Commençons par une bonne douche, ça te fera du bien !

Joueur le félin embrassa la déesse sur la joue et passa la main dans ses long cheveux trempé de sueur, il aimait la voir porter ainsi son odeur mais il aurait surement été égoïste de la laisser sentir la débauche comme une catin. Le mage se leva et lança un sort de pluie dans un des coins de la grotte pour créer une sorte de douche improvisée puis il aida sa maitresse fatiguée à y rentrer. L’eau était tiède et rafraichissante pour les deux félins tranquillement assis sous la pluie, le lion commença à frotter sensuellement les épaules et les seins de sa partenaire qui ronronnait encore de plaisir.