Un cours sexuel pour une déesse [PV Opala]

La chambre était plutôt silencieuse ce matin là... Dehors, le soleil était à peine au dessus des dunes, débutant tout juste sa lente course. Les commerces ouvraient les uns après les autres, tandis que les servantes du palais œuvraient déjà à l'entretient de celui-ci, faisant couler le bain tiède pour leur reine, alors que les cuisiniers s'affairaient déjà au repas. Bastet observait tout cela grâce à son corps astral, pendant qu'elle-même caressait distraitement Sebastillion entre les oreilles, la panthère d'Opala. Après tout, la déesse avait également les félins dans ses attributions, et ce n'était en définitive un gros chat affectif.

Il y avait une excellente raison quant à sa présence en ces lieux. Car il faut savoir que, avant d'être cette jeune et appétissantes femme aux formes généreuses, Bastet n'était, il y a quelque jours encore, qu'une adolescente quelque peu insouciante et très gamine. Elle avait été ainsi durant des millénaires, se contentant la plupart du temps de veiller sur les femmes, les aidant lors de leurs accouchements, jouer avec les enfants en toute innocence, et danser sur la musique traditionnelle, tout cela en restant à l'intérieur de son domaine, un endroit où il était possible de côtoyer la déesse comme si cette dernière était une simple mortelle. Et puis, du jour au lendemain, Bastet c'était réveillée dans un corps plus adulte, avec un tempérament plus mature. Bien que ce phénomène c'était expliqué du fait que la déesse avait accumulée bien plus de fidèles qu'au temps de l'ancienne Egypte, elle avait tout de même été choquée par cette soudaine métamorphose, ainsi que ses prêtresses.

Mais au fils des jours qui suivirent, la déesse se rendit également compte qu'elle ressentait d'étranges fourmillements au bas ventre, chaque fois qu'elle voyait une belle femme ou passait près d'une de ses prêtresses. Loin d'être idiote, Bastet se doutait que ces phénomènes étaient dû à de l'attirance et de l'excitation sexuelle, qu'elle n'avait jamais ressentit jusqu'à présent. Et ne sachant pas trop comment gérer la chose, ne s'y étant jamais intéressée jusqu'à maintenant, elle avait décidée sur un coup de tête de se rendre dans la chambre de a Reine de Curiyan Iracciyam, Royaume dont sa cité cachée ne faisait pas partit. Pourquoi allez voir cette femme pour un problème sexuel ? Tout simplement parce que, en plus d'être considérée comme une enfant des dieux, Opala était particulièrement expérimentée dans ce domaine, et était don la femme idéale pour sa première fois.

C'était ainsi que Bastet s'était retrouvée dans la chambre de la reine, à observer cette dernière encore endormie et entortillée dans ses draps de soie, Sebastillion faisant un bruit de moteur à réaction pendant que la déesse continuait de le caresser entre les oreilles...

Durant ce temps, la Reine s'était accordée un petit moment seul dans les bains royaux. Perdue au milieu d'une montagne de mousse grâce au fameux "savon", importé de Nexus, plus besoin des produit parfois assez désagréable a sentir des apothicaires pour prendre soin d'elle-même: non seulement c'était doux, parfumé, et c'était fort amusant d'ennuyer sa panthère avec la mousse de son bain.

Un plaisir qui, a sa grande surprise, ne serait pas le sien vu l'absence notable du dit félin, qui d'habitude se trouve toujours proche d'elle, même - et surtout - lorsqu'elle prends son bain, s'occupant souvent du passage de "nettoyage"...

" Sebastillion ? Sebastillion, où es-tu ? "

Inquiète de l'étrange absence de son animal de compagnie, Opala se força donc à sortir de l'eau, totalement nue, et ne pris même pas la peine de se rhabiller, juste se sécher de manière rapide pour éviter de laisser une traînée d'eau après elle. Dans sa chambre, quelle ne fut pas sa surprise de trouver une bien étrange personne, assise sur son lit, a regarder une de ses servantes dormir. La pauvre était passée sous les désirs de sa Reine, probablement dû a leur forte ressemblance physique au niveau du visage, faisant d'elle une sorte de sosie. Etais-ce l'unique raison pour laquelle Opala l'avait finie dans son lit? Peut-être pas, mais sans nul doute un important facteur.

Mais le pire pour la beauté a la peau luisante, c'était que Sebastillion contrairement à d'habitude ne montrait absolument aucun signe de méfiance ou d'agressivité, au contraire se complaisant a se coller dans sa main pour se faire caresser la tête. Etrangement pour Opala, cette personne lui rappellait quelqu'un... Elle était certaine avoir vu cette figure plus d'une fois, mais où?

" Qui êtes-vous ? Que faites-vous dans ma chambre ?! "

- Qui êtes-vous ? Que faites-vous dans ma chambre ?!

Cette interrogation eu le don de sortir Bastet de ses réflexions et, curieuse de savoir d'où venait cette voix, tourna la tête vers cette femme, totalement nue, qui ressemblait trait pour trait à celle qui dormais dans le lit. Était-ce Osira ? Non, cette dernière était une fausse jumelle. La déesse se rendit alors compte que la femme dégageait une aura semi-divine, et qu'il s'agissait donc de la véritable Opala. Et de fait, cligna stupidement des yeux, avant de se frotter ces derniers.

- Houlà... Je dois vraiment être perturbée, pour te confondre avec une servante, Opala. Mais j'imagine que cela doit te faire un choc, de tomber nez à nez avec une divinité...

Elle redressa le visage et la regarda avec un sourire bienveillant, essayant de ne pas prêter attention aux fourmillements de son bas ventre, à la vue de cette reine entièrement nue.

- Je suis Bastet... Et si je viens à ta rencontre aujourd'hui, c'est pour quémander quelques conseils... Vois tu, depuis quelques jours à présent, mon corps et mon esprits ont gagnés en maturités, délaissant cette apparence enfantine qui était la mienne, pour une autre, plus adulte... Et depuis quelques temps, je ressent également des désirs, allant bien au-delà des simples câlins... Ces sensations sont nouvelles pour moi, et c'est pourquoi j'ai décider de venir te voir...

Bastet se leva et enlaça tendrement Opala, comme une mère enlace sa fille, ce qui était un peu proche de la vérité, si on considère que le panthéon Égyptien est une grande famille, et que la famille royale du royaume en descend directement.

- Pour résumer, je fait appelle à ta grande expérience, et te demande de m'enseigner la sexualité. Je me doute toutefois que cette demande, venant de ma part, dois beaucoup te surprendre.

Pour Opala non plus, la présence de la déesse ne lui avait pas provoqué un certain tilt, ne ressentant aucune aura, rien. Encore fallait-il pour Opala d'être capable de les ressentir, ne connaissant pas la magie comme sa soeur, et donc incapable de près ou de loin à une quelconque sensibilité aux auras. Elle regarda donc l'étrange femme-chacal, assise sur son lit, alors que la servante est toujours assoupie du sommeil du juste.

" Elle est... Pratique en tant que diversion. "

Avoua-t-elle. Il est vrai que au vu de la menace que représentait sa soeur Osira, il était de mise à mettre en place des "poupées" sensée personnifier la Reine si elle devait se présenter a un évènement qui la mettrait particulièrement vulnérable, notamment si sa soeur viendrait pour tendre un piège. Néanmoins, elle ne servait a rien ici, sinon amuser la  monarque d'une toute autre manière.

" Bastet...? "

Répéta-t-elle, apparement incrédule. Bastet, la déesse ? Avec un peu de réflexion, c'était en effet a quoi elle ressemblait, et voilà pourquoi elle lui rappelait quelque chose: elle lui offrait souvent des prières, notamment au vu de sa relation avec Sebastillion, mais aussi pour ses protections envers les enfants.

" Une forme adulte, déesse ? Mais vous avez toujours été adulte depuis votre création, non ? "

Opala avait déjà dû avoir affaire aux envies charnelles des dieux: ce n'était pas étonnant lorsqu'on était une héritière de la déité de la fertilité, et les êtres divins aimant tant se chamailler parfois ne s'embarassent pas des relations afin de s'assurer une descendance, utilisant les reines comme "solution de secours". Ou bien comme vide-couille.

" Ce n'est pas nouveau parmi les cieux, Déesse. Bien d'autres êtres divins sont venus visiter notre famille... Mais comment se fait-il que cela ne se manifeste que maintenant ? Vous avez toujours veillé sur notre cité depuis qu'elle existe... "

Mais si ce n'est pas le but de la visite de Bastet, bien plus étonnant était le pourquoi: une éducation sexuelle. Elle se laissa enlacer, sa peau hâlée luisant sous l'eau.

" Moi...? Vous enseigner l'art de la chair ?... Déesse... Au risque de vous offenser, êtes vous sûre de ce que vous dites? Je serai très honorée de vous enseigner ce que ma mère m'as appris, mais j'ai du mal a concevoir qu'une déesse vienne me demander conseil, et non l'inverse... "

Bastet sourit sous les remarque d'Opala, qui marquaient explicitement sa surprise face à sa demande pour le moins incongrue. La déesse Néko s'écarta donc de la femme, mais sans lâcher ses épaules, la regardant droit dans les yeux.

- Les hiéroglyphes et les représentations me concernant m'ont toujours décrites comme une jeune femme à tête de chat, ou du moins, avec des oreilles félines. Cependant, ayant toujours été une déesse mineure en comparaison à Râ, Isis ou même Hathor, j'ai, en réalité, toujours eu une apparence de jeune adolescente, et à cause de mes attributions entre autres choses. J'étais un peu l'enfant du Panthéon, en quelque sorte.

Bastet se détourna pour regarder le paysage depuis la terrasse de la chambre, observant la ville de l'autre coté du lac, qui commençait par être éclairée par le soleil, se remémorant son passé. Lorsque l'ancienne Egypte était encore une grande puissance, Bastet était effectivement la gamine parmi les dieux. Lorsqu'elle avait vue ces derniers disparaître et mourir, se retrouvant toute seule et affaiblie, elle avait crue qu'elle allait y passer aussi. Jusqu'au jours où une communauté sur Terra avait commencer à la vénérer, alors qu'elle l'était toujours un peu encore durant l'Egypte moderne, ce qui lui avait permis de regagner en puissance et retrouver sa forme de gamine.

De même, elle savait également que Terra n'était qu'un monde factice, créé par Aphrodite, et que la plupart des divinités sur ce monde n'étaient que de pâles copies, face aux originaux d'entant. De fait, toutes les prières leurs étant dédiées étaient reportées sur elle. En revanche, comme Bastet faisait partie des rares divinités authentiques, les prières lui étant adressées la rendait belle et bien plus puissante. C'était aussi ce qui expliquait pourquoi Bastet ne parlait que peu avec les autres divinités Égyptiennes. Elle savait qu'elles n'étaient que des créations et ne valaient de toute manière aucunement les originaux.

Mais il fallait bien avouer que, si sur Terre, descendre d'un Dieu n'était possible qu'avec la croyance, il n'était pas rare de tomber sur des demi-dieux sur Terra. Comme quoi, ce monde pouvait rendre possible des tas de choses, qui l'étaient sur Terre.

- Pourtant, du jours au lendemain, je suis devenue une jeune femme, passant d'une apparence de 15 années à celle de 18 années, en l'espace d'une nuit. Selon mes prêtresses, cela serait dû à un important afflux de croyant et de prières supplémentaires. En d'autre termes, je suis passées du statut de déesse mineure, à celui de déesse majeure. Ce n'est pas quelque chose d'évident à gérer pour moi. Et les autres divinités n'ayant pas connues ce genre d'étape, elles sont incapable de me venir en aide.

Bastet se tourna de nouveau vers Opala, une léger lueur de détresse dans le regard, alors que son corps trahissait un état d'excitation qu'elle ne parvenait pas à contrôler, ses tétons durcissant sous son léger haut de soie, à force de regarder les formes appétissantes de la femme.

- C'est pourquoi... je me tourne vers toi. Je pense que tu feras une bien meilleure guide qu'Hathor, qui risque de sauter plusieurs étapes importante avec moi... La méthode d'apprentissage des mortels me semble moins brutale, plus douce, que celle des divinités.

Opala avait un peu de mal à suivre Bastet, qui contredisait certaines chose dont les grand prêtres n'avaient suffi de raconter lorsqu'elle était encore enfant, la bercant de leurs histoires a propos des déboires, aventures et relations des dieux. Mais après tout, la parole d'une divinité n'est-elle pas la plus authentique des preuves? Opala regarda un peu plus bas, sans remarquer que son regard était grossièrement plongé sur la poitrine de la déesse, alors qu'elle était perdue dans ses pensées et n'avait pas remarqué.

Ce ne fut que lorsqu'Opala baissa un peu les mains dans le creux des reins de la Déesse qu'elle sentit le frisson la parcourant, la ramenant un peu a la réalité, avant de constater deux petites pointes, néamoins de taille respectable, se former sous les vêtements de Bastet. Elle souris, amusée de voir ce genre de réaction, comme si elle était prisonnière de son corps comme tous les mortels, forcées à souffir de ses besoins et ses envies sans contrôle sur eux. Au bout du compte, peut-être qu'être de lignée divine ne l'écartait pas tant que ça de l'humanité la plus banale.

" Je comprends. Je ferai au mieux de moi-même pour vous aider, déesse. "

Elle s'approcha alors de son lit, tirant un peu les draps de couleur or du corps de la servante endormie, qui se réveilla brusquement. Opala la calma de quelques mots en tamoul, avant que celle-ci ne s'occupe que de sécher la souveraine de manière rapide, après que celle-ci ait invité Bastet à se mettre à l'aise. Confuse, la servante s'empressa de partir, visiblement très perturbée par l'apparition d'un personnage aussi étrange, dont elle n'osait croire qu'il s'agissait d'un être divin. Peut-être n'étais-ce qu'un reflet de soleil qui l'avait trop éblouie...

Une fois seules, Opala se coucha de moitié sur le lit, alors que Sebastillion resta couché à les observer, ne bougeant pas de son endroit et s'étendit sur le sol dans un baîllement, montrant les rangées de crocs de sa gueule à la machoire puissante, avant de nicher son museau sous une patte. La reine, elle, observait plutôt la déesse, se demandant bien par où commencer... Seulement sa mère dispensait ce genre d'éducation, mais pas elle !

De ce que pouvait voir la déesse, Opala semblait troublée par les révélations. Bastet avait beau veillée sur ses protégées, les divinités n'étaient pas omniscientes non plus. Généralement, elles n'intervenaient que lorsqu'on les priaient ou lorsqu'on leur faisaient une offrande. Le reste du temps, elles menaient leur petite immortalité dans leur coin, vacant à leur occupation. Et il fallait aussi savoir que, si une divinité naissait avec les attributs que les croyants leur attribuaient, leur puissance et leur croissance restent dépendante du nombre de personne les vénérant. Après la disparition du Panthéon sur Terre, Bastet n'était qu'une enfant, à peine préadolescente, car ses fidèles étant en nombre très restreint, se cachant de l'autorité pour continuer à lui faire des offrande. Et elle était devenue une adolescente après la création de Terra, et lorsque de nouveaux adeptes se mirent à la vénérer sur ce monde. Si elle avait un jour été une jeune femme, cela remontait à l'ancienne Egypte, une époque tellement lointaine que la déesse n'en avait plus le souvenir. Aussi, si les prêtres connaissaient son passé sur Terre, ils ignoraient tout de cette période de son existence. Peut être qu'un jour, Bastet racontera cela à la jeune reine.

- Je comprends. Je ferai au mieux de moi-même pour vous aider, déesse.

Bastet la laissa donc préparer le terrain, réveillant doucement la servante qui lui ressemblait autant qu'à une jumelle. Cette dernière sembla légèrement perturbée par l'apparition divine et préféra partir sans demander son reste, malgré le sourire apaisant de celle-ci. Encore une différence entre le royaume et Bubastis. Là bas, les habitants de la cité étaient habitués à voir leur déesse déambuler sur le marcher ou jouer avec les enfants. A vrais dire, Bastet préférait cent fois plus vivre avec ses protégés, plutôt que de vivre avec les autres dieux, factices pour la plupart. Elle avait malgré tout son propre palais et ses prêtresses y faisaient office de servantes.

La femme-chat regardait toujours la reine, sèche et toujours nue, s'allongée à moitié sur son lit. Bastet trouvait qu'Opala était vraiment belle. Elle croisa ses bras sous sa poitrine et ferma les yeux. Une lumière blanche, divine, recouvrit les fine pièces de soie qui recouvraient son corps et, quelques secondes plus tard, elle se retrouva nue elle aussi, conservant malgré tout ses bijoux. Et si la déesse était gênée, ce n'était nullement à cause de sa propre nudité devant autrui – après tout, cela faisait partie de la culture Egyptienne, et ce dès l'enfance – mais plutôt à cause de ce qu'elle s'apprêtait à faire. A savoir : sa première fois sexuelle. Heureusement, en tant que divinité, elle n'avait pas d'hymen.

Bastet rejoignit Opala sur le lit, assise en seiza devant elle, les mains sur ses cuisses. Son opulente poitrine rebondissait doucement, au grès de sa respiration, ses tétons pointant douloureusement en direction de la reine. Bastet n'avait aucune idée de comment s'y prendre et avait un peu peur de faire n'importe quoi. Mais en voyant Opala hésiter sur la marche à suivre, la déesse ne put s'empêcher de jouer son rôle et la conseiller.

- Tu n'as qu'à... faire comme si une mortelle... avait sa première fois... Fait comme tu le sens... Suis ton instinct...

Il est vrai que pour la Reine, une telle relation avec une déesse aurait été la première fois. Bien sûr il n'est pas rare qu'elle doive servir les dieux en personne, mais elle n'avait jamais eu de membre du panthéon de sexe féminin dans son lit, ce qui la rendait légèrement troublée sur la marche à suivre. Heureusement que cette dernière lui rappella une chose toute simple qui lui permettrait d'arrêter de se caler sur cette nouveauté: il suffisait de la considérer comme n'importe quelle autre vierge. Si c'était aussi simple, après tout...

Opala s'allongea sur le lit en compagnie de la déesse, vérifiant une petite commode disposée a coté du lit, jetant un coup d'oeil bref dans un tiroir avant de le refermer, probablement les futures surprises réservées à sa partenaire d'aujourd'hui... Et en parlant de surprise, la reine ne put s'empêcher de pousser un couinement lorsqu'elle sentit la tête douce de Sebastillion se presser contre son dos, visiblement réclamant aussi quelques attentions. Au vu de la situation, Opala se doutait que Bastet aurait préféré n'être qu'à deux, et donc demanda à sa panthère de l'attendre au pied du lit... Si il ne pouvait pas participer, il aurait au moins le loisir d'observer: elle s'occuperait de lui plus tard.

Elle s'approcha doucement de Bastet, rampant au-dessus d'elle, avant de se placer au dessus, avec un genou entre les jambes de la déesse pour presser contre son sexe doucement. Au même moment, ses mains s'emparèrent de sa poitrine, et ses lèvres entrèrent en contact avec celle de la déesse. Elle resta ainsi un petit moment, avant de risquer sa langue plus loin... Essayant de mettre la déesse la plus à l'aise possible, essayant de pousser les bons boutons afin de lui laisser prendre les initiatives comme elle le désire. Il n'y avait, après tout, rien de plus gratifiant que déclencher les envies chez l'autre et le laisser "s'exprimer"...