Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Travail à domicile [Kamiyu Okane]

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Doutzen Kroes

Humain(e)

Travail à domicile [Kamiyu Okane]

mercredi 13 novembre 2013, 01:59:26

Vu de l’extérieur, la maison était difficile à voir. Située entre des rangées d’immeubles, elle était en effet protégée par un mur assez épais. Un perron permettait d’entrer dans la cour extérieur de la maison, un paisible jardin avec une cour pavée menant vers cette dernière : une maison japonaise traditionnelle, avec ses multiples toits, et une cour intérieure, autour de laquelle différents pans de la maison se constituaient. Doutzen connaissait plutôt bien cette maison, puisqu’elle y était depuis quelques mois. Il y avait une autre entrée, menant au garage souterrain, mais les deux filles étaient venues à pied.

« C’est là, annonça-t-elle à la jeune femme qui l’accompagnait. Reste près de moi, et tu ne te perdras pas », ajouta-t-elle, légèrement malicieuse.

Doutz’ ouvrit la lourde porte rouge en fer, qui émit un petit grincement. Elle était accompagnée par Kamiyu Okane, une lycéenne qui, outre faire partie des pom pom girls, travaillait aussi dans la classe de Doutzen. Il y a environ une ou deux semaines, leur senseï en Histoire avait annoncé les sujets des exposés. Doutzen avait eu comme partenaire Kamiyu Okane. Les exposés se faisaient par binômes, et concernaient un sujet d’importance : la Guerre Froide. Le programme étant particulièrement vaste, leur senseï avait jugé judicieux de faire ce qu’il avait appelé un « brainstorming intellectuel », en amenant les élèves à faire des recherches sur différents aspects de la Guerre Froide, puis à en parler en cours, afin de compéter l’enseignement que le senseï leur dispensait. Doutzen et Kamiyu Okane avaient eu comme sujet d’exposé le sort des pays-satellites de l’URSS, l’idée étant d’expliquer comment et pourquoi ces derniers ont fini par se révolter contre l’URSS. Sachant que Doutz’ venait elle-même d’Europe de l’Est, le choix du sujet n’était pas anodin.

Après quelques séances à la bibliothèque du lycée, Doutzen avait recommandé à Kamoyu de venir chez elle finir l’exposé, en lui expliquant qu’elle avait sur place quantité de livres et de films traitant du sujet. Kamiyu avait accepté, et les deux jeunes femmes avaient convenu de se retrouver au parc le Samedi, en début d’après-midi. Depuis le parc, elles avaient rejoint la maison de Doutzen, qui se situait légèrement en hauteur de la ville, près des collines où il y avait tous les manoirs et les grands domaines des pontes de Seikusu, soit essentiellement des demeures appartenant aux clans yakuzas qui régnaient sur la ville... Une chose que Doutzen tenait de Reto. Sur ce point, son père était toujours bien renseigné. Naturellement, l’homme savait que Doutzen accueillait une amie. Elle le lui avait dit ce matin, alors qu’il la tenait entre ses jambes, et la pénétrait avec sa vigueur. Contre son torse, ses mains caressant les solides pectoraux de l’homme, elle lui avait dit son programme de la journée... Et il lui avait annoncé ne pas être contre l’idée d’avoir une copine ici. Après tout, disait-il, les filles de Mishima étaient généralement sexy.

Doutzen se sentait légèrement gênée à l’idée d’inviter Kamiyu dans sa maison, car elle savait que l’endroit n’était pas très sûr, avec un pervers comme Reto, mais, à force, elle savait mentir, et masquer ses véritables émotions. La jeune femme s’avançait le long de la cour, jusqu’à un petit escalier menant à la maison. Elle passa par un perron, et entra dans le vestibule. L’intérieur de la maison était assez japonais.

« Mon père reçoit souvent des amis, expliqua Doutzen à l’attention de Kamiyu. Mais il ne devrait pas nous déranger... »

Aujourd’hui, Doutzen portait un jean, qui, selon Reto, moulait son petit cul à la perfection, ainsi qu’une chemise blanche à manches courtes. Des vêtements de détente. Reto l’avait prise contre le mur alors qu’elle venait de finir sa douche, et entreprenait de s’habiller. Avec brutalité, comme il aimait le faire, sans vraiment chercher à savoir si sa « fille » était consentante ou non. Il se plaisait à penser qu’elle l’était toujours avec lui, que sa vigueur puissante la changeait des lycéens qu’elle devait se farcir au lycée, ou des clients q’elle allait séduire pour son compte.

Doutzen conduisit Kamiyu à travers différents couloirs, jusqu’à atteindre sa chambre. Il y avait un beau lit, des ours en peluche, et plusieurs posters. Un poster des Red Hot Chili Peppers trônait près de la fenêtre, et, près du bureau, à côté de son écran plat, il y avait une multitude d’images de chats. Un chat était d’ailleurs vautré en boule sur le fauteuil de Doutzen.

« Ah... Nous sommes surveillées, plaisanta Doutzen en souriant, avant de caresser la tête du chat. Il s’appelle Kobé. Et il adore les câlins... »

Sur le bureau, il y avait également plusieurs livres, ainsi qu’un magazine historique consacré à la guerre froide.
DC d’Alice Korvander.

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Kamiyu Okane

E.S.P.er

Re : Travail à domicile [Kamiyu Okane]

Réponse 1 jeudi 14 novembre 2013, 04:07:52

Je m'ouvre les yeux, je vois au début le plafond de ma chambre de couleur blanche, je me tourne ensuite la tête vers le réveille-matin qui se trouve son ma table de chevet. Je me secoue les yeux ne croyant ne pas avoir vu la bonne heure. Pourtant cela était bel et bien la bonne heure.

12:00 PM

En voyant cette heure là, je me suis dis que j'avais fais la grâce matinée. Je regarde ensuite la date que j'étais rendue sur le calendrier. Merde, on était rendu samedi. J'allais bientôt être en retard pour la rencontre avec Doutzen. Doutzen est une étudiante avec moi en histoire et on s'était dit qu'on allait faire le travail ensemble à propos de la Guerre Froide. On n’avait pas trouvée grand chose d'intéressant à la bibliothèque alors, elle avait préposée d'aller chez elle, car, elle avait beaucoup de livre sur le sujet qu'on avait choisies. L'idée était intéressante et je me souviens qu'on s'avait donnée une rencontre au parc en début d'après-midi pour se rendre chez elle. Je vais devoir m'habiller rapidement et courir jusqu'au parc en espérant que Doutz ne m'attend pas depuis longtemps. Je me lève , je met les couvertures comme du monde sur le lit et je choisis des vêtements se trouvant dans l'une de mes armoires. Je ramasse une veste, un pantalon , un haut , une culotte et des souliers , je ferme les tiroirs, je retire mon pyjama presque en sauvage et je m'habille. Je vais pour quitter la chambre quand Yuki miaule. C'est vrai, j'allais l'oublier le pauvre. Je lui donne un petit bisou de nez sur le museau et je le dépose dans son petit panier.

Bonne journée Yuki. Sois sage surtout.

Je ferma la porte et je cours dans le lycée. Je me fichais de ce que les surveillants me disaient, me connaissant cela n'allait plus se produite que je cours dans l'école. J'aurais vraiment pas du travailler autant sur mes devoirs. Bref, je me rends à l'extérieur, il ne fait pas très chaud, au moins j'avais ma veste pour me tenir au chaud un peu et en courant, je ne sentais pas trop le froid. Enfin le parc se trouvait devant moi, la dernière fois que j'ai été dans ce parc c'était il y a des années quand mon père passait du temps avec moi, je me voyais encore dans l'une des balançoire en train de rire pendant que mon père me balançait pour que j'aie toujours plus haut.

Je me suis perdue dans mes pensées et je ne m'étais pas rendue compte que Doutz était arrivée dans le parc. Est-ce que cela faisait longtemps qu'elle était présente ? Je ne le savais pas, mais je me sentais quand même mal d'être en retard. Elle était habillée avec un habit de style détente, cela lui allait bien. Je n'étais pas habituée de la voir accoutrée de la sorte cependant. Je me rapproche de Doutz et je lui fais un signe de la main pour lui montrer que je suis là accompagnée d'un sourire.

Désolé de mon retard, disons que j'ai fais beaucoup de devoir et que j'ai oubliée de régler mon alarme sur mon réveille-matin.

Elle ne semblait pas trop dérangée à l'idée que je sois en retard et cela me rassura un peu, car, je n'aurais pas voulue mal paraître au premier jour que je me rends chez elle. Sa maison n’était vraiment pas facile à voir avec tous les immeubles et ce mur vraiment épais, mais, en dépassant le perron, la maison se dévoila devant moi. C'était vraiment une jolie maison avec son côté traditionnelle. Bref, je trouvais le décor vraiment beau, mais, je ne voulais pas perdre de vue Doutzen alors, je suis restée à côté d'elle. Mes yeux ne s’empêchaient pas pour autant de regarder tout ce qu'il y avait autour. Doutz ouvrit une grande porte rouge qui a fait beaucoup de bruit qui me fit un peu mal aux oreilles je dois l'avouer et je l'ai suivie par la suite dans différents couloir se rendant à la chambre de la fille je présume avec toutes ses affiches. Je remarquai tout de suite le chat qui était vautré dans le fauteuil de sa maîtresse. Je sourie à ce que dit Doutz et je ne me gêne aucunement pour câliner Kobé.

Il est vraiment mignon ton chat. 

Je m'assoie ensuite au bureau et je vois la tonne de magazine et livres. Je lis quelques lignes dans les deux premiers livres, cela parlait du sujet qu'on voulait travailler. Je ne pensais pas qu'il y en avait autant sur ce sujet, je pensais que la recherche allait être plus compliquée que cela. Je me retourne vers Doutz avec un visage un peu interrogateur.

Et bien, par quoi on commence ?

En sachant que son père n'allait pas nous déranger pendant notre travaille, cela allait bien se dérouler en tout cas normalement.

Doutzen Kroes

Humain(e)

Re : Travail à domicile [Kamiyu Okane]

Réponse 2 vendredi 15 novembre 2013, 02:03:30

« Il est vraiment mignon ton chat. »

Un sourire amusé éclaira les lèvres de Doutzen. Kobé ronronnait tendrement, et léchait les doigts de Doutz’. Mieux valait ne pas trop s’attarder sur ce point, en réalité. Kobé était à l’image de cette maison, à l’image de Doutz’ : tendre et doux à l’extérieur, mais, à l’intérieur... À l’intérieur, les choses étaient plus sournoises. Doutzen réfléchissait à la manière d’agir avec Kamiyu. Cette dernière s’assit devant le bureau, observant les livres et les magazines que la jeune femme avait recueilli, les observant, avant de se retourner vers elle :

« Et bien, par quoi on commence ? »

Doutzen cligna des yeux. Elle avait vu que le débardeur bleu de cette femme donnait à sa poitrine un bel angle, un joli décolleté. Cette femme était assez appétissante, et Doutzen comptait bien en profiter. Cependant, elle ne pouvait pas vraiment lui sauter dessus comme ça. Reto l’aurait probablement fait, mais Doutzen avait des méthodes moins agressives.

« Le mieux me semble de commencer par ce magazine... »

Elle l’attrapa, et, pendant une dizaine de minutes, les femmes discutèrent. Doutzen avait écarté Kobé, qui, en miaulant, avait fini par sortir. Sa chambre comprenait un placard avec une porte coulissante, dans le style japonais, et Doutzen commençait à échauder une idée, pour commencer à perturber leur travail. Elle se moquait bien de cet exposé. Comme son père le lui avait expliqué, Doutz’ n’allait au lycée que pour trouver des camarades, et se rapprocher des proies que les Petrovski recherchaient. Avoir de bonnes notes n’était fait que dans l’objectif de se parfaire une petite image de femme parfaite. Il n’y avait aucun fondement crédible derrière cette image contrefaite. Ce n’était que pure façade et illusions.

Doutzen surfa ensuite sur Internet, et s’arrêta sur un site. Un article traitait du rôle de l’Église polonaise dans la lutte contre les communistes. Les deux jeunes femmes discutaient de la possibilité de faire une partie sur le rôle de l’Église, quand Doutzen s’excusa.

« J’ai besoin d’aller aux toilettes... Je reviens vite, ne t’en fais pas... »

Doutz’ partit donc. Elle n’avait nullement envie de soulager sa vessie, mais elle avait désormais un plan, une stratégie. Tandis qu’elle filait, elle espérait que la curiosité naturelle des adolescentes pousserait Kamiyu à fouiner un peu. En consultant l’historique de navigation de Doutzen, à l’aide de la fameuse commande « Ctrl + H », elle pourrait voir toute une liste de sites pornographiques clandestins. Ce ne serait qu’une mise en bouche. Le genre de trucs que Doutzen faisait toujours quand un avocat assez âgé l’invitait dans son bureau pour la pénétrer, ivre, contre le sol. Un historique de navigation était toujours riche d’informations, même si, dans ce genre de situations, elle en profitait aussi pour insérer un virus. Qui se méfierait d’un petit Chaperon rouge, après tout ?

Tandis que Doutzen s’écartait, elle entra dans une autre pièce, qui jouxtait en réalité la sienne. Oh, elle ne comptait pas espionner Kamiyu, non, même si elle aurait pu le faire... Simplement la mettre sur la voie. Elle appuya sur un bouton, qui, dans la chambre de Doutz’, déverrouilla le panneau coulissant de son placard. Derrière, il y avait une véritable caverne d’Ali Baba : un ensemble de combinaisons en latex, de tenues sexy, dans un coin. On y trouvait notamment cette robe rouge que Doutzen portait en soirée, sa tenue en latex de petit Chaperon rouge, et d’autres vêtements assez provocants, comme une complexe combinaison noire sadomasochiste en latex, avec des sangles et une sorte de casque faisant office de masque. Sur une autre partie du placard, on trouvait une série d’étagères, avec, vers le bas, des sous-vêtements assez exotiques, des culottes surmontées de godes, des chaînes, des pinces, des cravaches, des épingles, et, de manière générale, tout un véritable stock d’instruments divers et variés.

Naturellement, Kamiyu ne pouvait alors rien voir d’autre que l’entrebâillement léger du placard. Doutzen l’imaginait à la place de la femme de Barbe-Bleue, devant lutter contre sa curiosité naturelle pour choisir d’ouvrir ou pas la porte du placard, afin de voir quel sinistre secret se cacher derrière.

Elle avait hâte de revenir pour voir la tête qu’elle ferait... Clairement !
DC d’Alice Korvander.

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Kamiyu Okane

E.S.P.er

Re : Travail à domicile [Kamiyu Okane]

Réponse 3 mercredi 20 novembre 2013, 03:59:14

Doutz m'avait proposée de commencer par un des magazines qui se trouvaient sur son bureau. Pendant dix minutes on a discutée tout le long du travaille, cela avançait bien, il me semble que l'on oublie quelque chose d'extrêmement important pour l'exposé et cela me tourne dans la tête depuis le début de notre recherche. J'aurais du amener la feuille de consigne pour être absolument certaine de ne rien oublier. Je ne voudrais pas non plus perdre des points pour un petit oubli. Je regarderai ce qui nous manque en retournant au lycée.

Le site internet nous donna un article sur le rôle de l'église polonaise. Ma foi je ne savais pas qu'il y avait eu une lutte contre les communistes et par cette découverte, je me suis mis en accord avec Doutz pour rajouter cette article dans l'une des parties de notre exposée. J'étais en train de regarder encore le site quand Doutz m'expliqua qu'elle avait de besoin d'aller aux toilettes et qu'elle allait revenir vite et que je ne devais pas m'inquiéter.

D'accord à tout de suite.

J'ai a peine le temps de lui faire un petit sourire qu'elle quitta la pièce. Je me retrouvais donc toute seule, alors j'ai pris l'initiative de continuer de faire de la recherche pour l'exposée et m'envoyer tous les liens utiles dans mon Hotmail pour le travailler à mon goût une fois de retour au lycée.

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Seth


L'esprit se tenait tranquille depuis le début, mais, il commençait à s'ennuyer, il regarda dans la chambre ce qu'il pourrait bien faire pour se distraire un peu. Il pourrait bien être en désordre la chambre pour voir la réaction de Doutz à son retour, mais, il remarqua que le placard était un peu ouvert. Il préféra opter pour faire peur à Kamiyu. Cela faisait longtemps qu'il n'avait rien fait à celle qui était lié. Elle devait penser qu'il n'était plus dans sa vie tellement il était calme. Il se rendit devant le placard, il plaça ses deux mains sur la porte principale du placard et il ouvre le plus fort possible.

BANG

Un grand bruit de porte se fit entendre.

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Je regardais encore sur le site quand un grand bruit se fit entendre. Je sursautais et je regarde par la suite où le bruit avait eu lieu. Mes yeux ont regardés partout dans la pièce, je me disais que cela n'était pas normal et que cela était sûrement un coup de ce cher Seth. Je me dirige vers la porte du placard. Je voulais juste le fermer. Je me rapproche tout en regardant le plafond.

Seth, cela n'est vraiment pas drôle.

Ma main arrivait finalement à la porte, j'étais sur le point de la fermée quand mes yeux ont vu ce qu'il y avait à l'intérieur. Ô mon dieu, mais, qu'est-ce que tout ceci ? Je n'ai jamais vu cela avant aujourd'hui. Je me sentais vraiment mal à l'aise d'avoir vu toutes ses habillements plus étrange les un que les autres et ainsi que certain accessoires. Je me secoue un peu la tête et je ferme la porte rapidement par la suite. Je m'accote le corps contre le mut du placard. Je n'arrivais juste pas à croire ce que je venais de voir.

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Seth


Sachant qu'elle avait eu peur et qu'elle était maintenant concentrée sur le placard pendant un certain moment, l'esprit décida de se rendre vers l'ordinateur. Il y avait toujours le fameux site pour le travail. Tout d'abord, il ferma la page web et pour ajouter un peu d'amusement à tout cela, il décida de toucher aux touche CTRL et H pour voir davantage les réactions de Kami et ouvrant l'un des sites au hasard.

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Après un certain moment, je décide de faire comme si ne rien n'était. Je me dirige vers l'ordinateur en me disant que le plus important était de continuer le travail. Je m'assois de nouveau devant l'ordinateur et je constate que premièrement le site pour le travail n'y était plus et que l'historique était ouvert. Non seulement les sites amenaient sur des sujets tabous, mais en plus, l'un de ses sites étaient ouvert. J'avais les yeux grands ouverts, je n'arrivais pas à croire que Doutz une jolie fille comme elle, pouvait avoir ce genre de site dans ses historiques. J'avais les joues rouges , je me sentais réellement plus à ma place en plus que le son était allumée bien sûr on entendait des cris de joie dans toutes la chambre. Pour pas que tout le monde l'entend, je me dépêche à fermer la page Internet et ensuite l'ordinateur. C'était tout pour aujourd'hui. Il y avait des bruits de pas qui se dirigeaient vers la porte de la chambre. Merde qu'est-ce que je fais, relaxe, prend une bonne respiration. Je tente de reprendre mon calme de tantôt, je prend l'un des magazines au hasard et je commence à lire , histoire de me changer les idées et d'être moins gênée quand la personne qui va entrer. Je me demande si la personne va se rendre compte que je ne suis pas trop à l'aise en ce moment. En espérant que mon camouflage à aider un peu pour que tout paraisse bien normal. Après tout, cela n'était pas de ma faute ce qui venait de se passer, mais, je suis la seule à connaître l'existence de Seth alors, tout vas sans doute être de ma faute. ... Je sens que cela va être les minutes les plus longues de ma vie.
 

Doutzen Kroes

Humain(e)

Re : Travail à domicile [Kamiyu Okane]

Réponse 4 jeudi 21 novembre 2013, 01:59:31

Si Doutz’ n’espionnait pas Kamiyu, Doutzen, en revanche, était oubliée. Internet, ici, était surveillé étroitement par les Russes. C’était un réseau mafieux, et plusieurs pare-feux en sécurisaient l’accès. Un logiciel de surveillance figurait sur le réseau, et, depuis le centre de sécurité de la grande maison, il y avait plusieurs écrans d’ordinateurs permettant de voir tout ce que les utilisateurs faisaient sur leurs ordinateurs... Y compris Doutzen. Il y avait également une caméra de sécurité dans la pièce, montrant cette dernière, et permit donc de voir Doutz’ partir, laissant sa camarade sur place. Tandis que Doutzen rejoignait les toilettes, nerveuse, Kamiyu commença à fouiner. Le placard s’ouvrit d’un seul coup, et Kamiyu fouilla donc à l’intérieur, tandis que, sur l’écran d’ordinateur, des pages différentes chargèrent. Pour le coup, les Petrovski, qui n’observaient pas continuellement l’ordinateur, crurent donc que c’était Kamiyu elle-même qui avait fouillé l’historique, afin de tomber sur les différents sites pornos que Doutzen était obligée de voir, afin d’entretenir sa libido, généralement en se drapant dans les tenues érotiques et sanglantes qui se trouvaient dans son grand placard.

Kamiyu tomba sur une page d’un film porno’ produit par les Russes, montrant une étudiante américaine en train de se faire défoncer le cul dans un bar d’Europe de l’Est. Kamiyu aurait même pu voir des pornos clandestins où figurait Doutz’, que ce soit des histoires de lesbiennes, ou hétérosexuelles. Le Russe buvait dans une tasse de café, et appela Reto, qui s’occupait de Doutzen. Naturellement, Reto savait que Doutzen accueillait une amie, et s’était légèrement renseigné sur elle, suffisamment pour savoir que Kamiyu était une pom-pom girl de Mishima. En inspectant les registres du lycée, Reto et ses amis avaient également su que Kamiyu était assez impliquée, puisqu’elle faisait partie d’un conseil étudiant, travaillait à la bibliothèque du lycée, et était aussi inscrite au club de natation. De fait, l’existence d’un club de pom-pom girl était suffisamment rare, au Japon, pour qu’on daigne s’y intéresser, et, vu les photos de groupe que les jeunes femmes prenaient, Reto était presque sûr qu’elles couchaient toutes ensemble. Autrement dit, la perspective de recevoir une jeune femme comme ça à la maison avait échaudé les sens de Reto.

Les bruits de pas que Kamiyu entendait venaient de lui. L’homme portait un treillis militaire et une chemise à manches courtes quand il apparut sur le palmier, tapant lentement sur la porte, regardant la jeune femme. Elle feignait de lire un magazine, mais il suffisait de lire son regard pour constater qu’elle était troublée, ce qui ne surprenait pas Reto. À sa place, d’autres filles auraient sans doute choisi de partir en courant. Qu’elle reste là témoignait déjà, selon lui, d’un esprit assez axé sur la perversion. En d’autres termes, il ne pensait pas qu’elle soit totalement honnête et « innocente ».

« Bonjour, Kamiyu, annonça l’homme d’une voix douce. Je suis Reto, le père de Doutz’. »

Il parla d’une voix calme et tendre, savant comment aborder les jeunes femmes. Il avait de l’expérience, après tout, et, tandis qu’il souriait lentement, mains dans les poches, il observait silencieusement la belle adolescente.

« Je peux rentrer ? J’ai cru comprendre que Doutz’ était assez nerveuse pour votre exposé... »

Reto s’avança, sachant que la question était purement formelle. Le placard était bien fermé, et il s’assit sur une chaise, et porta un regard vers les différents papiers étalés sur le bureau. Il attrapa un papier, consacré à Solidarnosc, et regarda ensuite la femme.

« Je viens d’Europe de l’Est, tu sais... Ce que tu vois dans tes articles, je l’ai vécu, et j’étais juste un peu plus jeune que toi... »

Il reposa le livre sur le bureau, face à la femme.

« Je pourrais vous aider, si ça te plaît... La vision de quelqu’un qui a vécu ça, qui a vu le communisme s’écrouler, ça doit bien pouvoir s’insérer quelque part dans votre exposé, non ? Doutz’ voulait avoir ton avis avant de proposer ça... Elle est vraiment aimable, tu ne trouves pas ? »

Il cherchait à la troubler, tout simplement. Doutz’ mettrait tout son temps à revenir, ils avaient donc le temps de faire connaissance.
DC d’Alice Korvander.

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Kamiyu Okane

E.S.P.er

Re : Travail à domicile [Kamiyu Okane]

Réponse 5 jeudi 12 décembre 2013, 21:02:29

[hrp: désolé de l'attente]

J'étais '' en train '' de lire un magazine quand la porte de la chambre de Doutz s'ouvre. Je m'attendais à ce que cela soit elle qui se présente, mais non, c'était un homme , habillé en militaire. Je le regarda que deux petites secondes et je me reconcentra sur le magazine pour chercher plus d'informations pour l'exposé. Il se présenta , il se nommait Reto et il était le père de Doutz. Je ne trouvais pas qu'il avait des ressemblances avec sa fille, mais qui suis-je pour juger les gens. Je fis seulement un sourire pour paraître polie et je pris des notes pour me les envoyer sur mon Hotmail par la suite. La voix de son père était calme, je me sentais un peu mieux, peut-être un peu mieux que quand il est entré. Un peu plus, j'avais peur qu'il me punisse pour '' avoir été fouillée '' sur des sites tabous et d'avoir ''regardée'' dans le garde-robe de sa fille, mais non, il était bien normal. Reto me demanda s'il pouvait entrer et il me dit par la suite que Doutz était un peu nerveuse pour son exposée.

Bien sûr entré, vous ... vous êtes chez vous après tout. Ah pourtant Doutz ne semblait pas nerveuse tout à l'heure lorsqu'on travaillait. 

Je me frotta un peu le visage avec mes mains, le travaille n'était pas facile en plus que le sujet n'était pas aisé surtout pour une étudiante comme moi qui ne connaît rien sur ce sujet. J'avais bien hâte que Doutz revienne pour que l'on termine la dernière partie de l'exposée pour que je puisse retourner chez moi et faire tout le reste. Le père de Doutz prit l'une des feuilles qui se trouvait sur le bureau. Il avait agit tellement vite que je n'ai pas pu l'empêcher. Il a pu voir que cela parlait de Solidarnosc. Il venait de l'Europe de l'est , tout ce qu'il y avait dans les articles, il les avait vu et il était un peu plus jeune que moi.

Cela était génial d'avoir une personne comme lui au moment où on travaille justement sur un exposé là-dessus. Cela est un coup de chance de plus dans ma pauvre petite vie bousculée. J'étais ravie de savoir qu'il était prêt à nous aider et je trouvais cela attachant qu'il parle de sa fille aussi de la sorte.

Oui ... Doutz est bien aimable et si elle voulait proposer de vous incruster dans notre exposé et bien pourquoi pas.

Je regarde tout ce que nous avions fait depuis le début et le fait d'ajouter la vision d'une personne qui a vécu l'écroulement du communisme pourrait donner un gros plus à notre exposée. Je garde une bonne distance avec le père, mais , je reste toujours souriante. toujours sur mon Hotmail, je me fais un autre message qui aura les informations sur la vision de Reto et une fois que cela sera fait, je n'aurai qu'à l'envoyer. J'aurai beaucoup de message à regarder moi ce soir.

Alors dites moi, comment avait vu vécu l'écroulement du communisme ?


Doutzen Kroes

Humain(e)

Re : Travail à domicile [Kamiyu Okane]

Réponse 6 vendredi 13 décembre 2013, 01:40:24

« Oui ... Doutz est bien aimable et si elle voulait proposer de vous incruster dans notre exposé et bien pourquoi pas. »

S’incruster... Oui, c’était un très bon choix de mot, et qui aurait, end ‘autres circonstances, amené Reto à sourire. La jeune fille parlait d’une voix légèrement fluette, et Reto, tout en l’écoutant, se disant que, si jamais il la voyait dans son uniforme de pom pom girl, il la prendrait probablement levrette. Sa poitrine, sa bouche... Il s’imaginait déjà la jeune fille agenouillée, en train de sucer son membre, d’astiquer son membre avec dévotion, les joues rouges, en gémissant et en soupirant, comme sa petite Doutz’ aimait si bien le faire. Reto avait effectivement tout du prédateur sexuel, et avait déjà, à son actif, un certain nombre de viols, généralement commis en Europe de l’Est. Au Japon, il avait également commis quelques viols au parc, généralement le soir, sur des étudiantes, mais sa cible principale restait les prostituées. Il allait les voir, et s’amusait à les sodomiser, y trouvant là un plaisir particulièrement jouissif. Cependant, Reto devait bien admettre qu’il éprouvait une sorte de plaisir très particulier pour les filles jeunes... Pas les gamines, bien sûr (il n’était pas un monstre), mais les adolescentes, les jeunes femmes. Fragiles, sensibles, innocentes, si aisément malléables... Comme sa petite Doutz’. L’époque où cette dernière se révoltait contre son maître, et cherchait à s’enfuir, était révolue. Doutzen était sage, maintenant, à son service.

Maintenant qu’elle lui rapportait même de jolies minettes, Reto se demandait s’il ne devait pas la récompenser... Par exemple, en la faisant coucher avec Kamiyu, puis en les rejoignant. Ça, ça, ça le tentait bien.Il sortit de se spensées quand la jeune femme embraya sur son offre, pour lui poser une question :

« Alors dites moi, comment avait vu vécu l'écroulement du communisme ? »

Elle était prête à noter ses informations sur le PC. Reto réfléchit. Il avait la trentaine passée, et se mit à lui parler, se rappelant ses souvenirs.

« Mon père était un ouvrier polonais qui a rejoint Solidarnosc, et a participé à la grève de 1988. J’étais trop jeune pour vraiment comprendre ce qui se tramait. Ce que je savais, c’est que les communistes étaient le mal assuré. On vivait pas très bien, à cette époque. Y avait pas de pom pom girls au lycée, les villes étaient tristes, sans décoration, et c’était une période de vaches maigres. On pensait que les capitalistes changeraient ça, comme les Américains l’avaient fait en Europe de l’Ouest. Finalement, on peut dire que les Polonais ont été enculés par l’Est et par l’Ouest... Comme d’habitude. »

Le capitalisme n’avait absolument rien changé. Les pauvres s’étaient appauvris, et les riches enrichis. Voilà la triste ironie de la Guerre Froide. La seule chose qui avait changé, en somme, ça avait été que les riches avaient encore plus s’enrichir, tout en s’auréolant de beaux idéaux sur les droits de l’Homme. Et les mafias en avaient profité pour se gaver comme des oies, mais ce n’était pas une chose qu’il pouvait dire à la belle petite Kamiyu, dont il rêvait de lui proposer une grosse sucette bien juteuse, pile entre ses belles petites lèvres.

« Le Mur de Berlin, par contre, je m’en souviens. On savait tous qu’il allait s’écrouler, et toute ma famille est partie à Berlin pour le voir... Ainsi que des proches, dont ma petite amie de l’époque. Je suppose que ça ne parle pas beaucoup à de Japonais, mais, si tu veux une comparaison pour ton pays... Disons que, si la Chine devait vous envahir, et vous contrôler pendant une trentaine d’années, le jour où les Chinois seraient boutés de votre archipel, vous ressentiriez la même joie que les Européens de l’Est quand le Mur est tombé... Ou quand le Japon gagnera la Coupe du Monde. »

L’hystérie populaire, un moment magique, quand l’Est avait rencontré l’Ouest. La fin de la Guerre Froide, la fin de cette épée de Damoclès suspendue au-dessus du monde, la fin de la menace d’un hiver nucléaire, de l’apocalypse suprême. L’écroulement du Communisme, de l’Ennemi Ultime. Reto s’en souvenait encore, au fur et à mesure qu’il parlait.

« Le Mur de Berlin s’est écroulé le 9 novembre, petite pousse. Berlin-Ouest avait déjà les guirlandes de Noël, et toutes les décorations. C’est de ça dont je me souviens, alors que je me promenais main dans la main avec ma copine. Berlin-Est n’avait aucune décoration, aucune vitrine. On voyait toutes ses lumières, et on était comme émerveillés, comme si on était dans un conte de fées. J’ai terminé la soirée dans un hôtel, où j’ai perdu ma virginité avec elle... Et tu peux me croire, je l’ai tringlé sévère. »

Quand on disait qu’il n’était pas un romantique... Reto se pencha un peu vers la jeune femme.

« Elle était mignonne... Tout comme toi, Kamiyu. C’est une chance que Doutz’ t’ait amenée ici. »
DC d’Alice Korvander.

Consultez ce topic pour une présentation détaillée de mes personnages.

Pour une demande de RP, je vous encourage, soit à poster sur le topic susmentionné, soit à envoyer un MP sur mon compte principal.

Kamiyu Okane

E.S.P.er

Re : Travail à domicile [Kamiyu Okane]

Réponse 7 dimanche 01 juin 2014, 03:05:56

J'étais devant l'ordinateur de Doutz, en attendant que le père de celle-ci me donne  de l'information, j'étais en train de remettre au propre ce que nous avions travaillées pour en avoir moins à faire rendu au lycée. J'ai arrêtée de remettre au propre quand il commença à parler.

« Mon père était un ouvrier polonais qui a rejoint Solidarnosc, et a participé à la grève de 1988. J’étais trop jeune pour vraiment comprendre ce qui se tramait. Ce que je savais, c’est que les communistes étaient le mal assuré. On vivait pas très bien, à cette époque. Y avait pas de pom pom girls au lycée, les villes étaient tristes, sans décoration, et c’était une période de vaches maigres. On pensait que les capitalistes changeraient ça, comme les Américains l’avaient fait en Europe de l’Ouest. Finalement, on peut dire que les Polonais ont été enculés par l’Est et par l’Ouest... Comme d’habitude. »

Pour l'instant cela n'était pas grand chose, mais cela pouvait servir de citation que l'on pourrait utiliser durant notre exposé. Il a lieu quand déjà l'exposé ... je ne me souviens plus. En tout cas, pour l'instant je dois me concentrer sur ce que son père me dit, sait-on jamais il pourrait rajouter d'autre information qui pourrait nous être utile. Mais cela était quand même agréable de l'entendre parler de ses souvenirs comme cela , sans aucune gêne , si c'est moi qui aurait été à sa place, je l'aurais sûrement fait, mais j'aurais sûrement eu un peu de misère et j'aurais sans doute cherchée un peu mes mots.

« Le Mur de Berlin, par contre, je m’en souviens. On savait tous qu’il allait s’écrouler, et toute ma famille est partie à Berlin pour le voir... Ainsi que des proches, dont ma petite amie de l’époque. Je suppose que ça ne parle pas beaucoup à de Japonais, mais, si tu veux une comparaison pour ton pays... Disons que, si la Chine devait vous envahir, et vous contrôler pendant une trentaine d’années, le jour où les Chinois seraient boutés de votre archipel, vous ressentiriez la même joie que les Européens de l’Est quand le Mur est tombé... Ou quand le Japon gagnera la Coupe du Monde. »

Je connais le mur de berlin seulement que de nom et de ce que les gens en on parlé, mais je suis quand même contente, que Reto prenne le temps de donner des exemples concrètes qui nous permettent de mieux comprendre comme ils ont senti la chute du mur de Berlin .

« Le Mur de Berlin s’est écroulé le 9 novembre, petite pousse. Berlin-Ouest avait déjà les guirlandes de Noël, et toutes les décorations. C’est de ça dont je me souviens, alors que je me promenais main dans la main avec ma copine. Berlin-Est n’avait aucune décoration, aucune vitrine. On voyait toutes ses lumières, et on était comme émerveillés, comme si on était dans un conte de fées. J’ai terminé la soirée dans un hôtel, où j’ai perdu ma virginité avec elle... Et tu peux me croire, je l’ai tringlé sévère. »

Je me voyais en ce fameux jour, le 9 novembre avec les maisons décorées avec les guirlandes et tout, cela devait être de toute beauté, j'aurais bien aimée voir cela de mes yeux vu. Puis je voyais aussi l'autre partie de Berlin, un endroit qui semblait vraiment triste, aucune lumière coloré, aucune décoration. Je me demandais presque comment le monde vivait de ce côté là de la ville. Puis là, bien j'ai eu trop d'information sur ses souvenirs, j'en avais presque les yeux trop grands ouvert, je me rabaisse la tête . Au mon dieu, est-ce que cela était vraiment nécessaire de savoir qu'il avait perdu sa virginité à ce moment là et qu'il c'était amusé à fond avec sa copine. Dites-moi, est-ce que cela est utile pour un exposé qui parle de la guerre froide ? j'en doute fort. Je me secoue la tête et j'efface les derniers mots qu'il me dit quand je le vois se pencher vers moi. Je recule doucement la chaise d'ordi pour ne pas être trop proche de lui et je ne le regarde surtout pas.

« Elle était mignonne... Tout comme toi, Kamiyu. C’est une chance que Doutz’ t’ait amenée ici. »

Malaise total, qu'est-ce que je fais, je suis en train de me faire faire des avances par un homme dans la trentaine, non pas question, je ne peux pas rester là sans rien faire, j'étais venue ici pour faire un travail d'école pas pour avoir de la mauvaise compagnie de la sorte. Je me sentais encore plus mal que lorsque j'avais accidentellement regardée dans ce placard, j'avais juste envie de m'en aller, mais je ne pouvais pas partir comme cela sans au moins dire aurevoir à Doutz. Je m'envoie tous les messages concernant l'exposé en ignorant Reto pour ne pas me sentir encore plus mal et ne pas devenir les joues toutes rouges comme tout à l'heure.

Cela est bien aimable à vous

Je me lève de ma chaise et mes yeux regarde constamment la porte de sortie. Je me dirige tranquillement vers la porte et j'essaie d'être ne plus naturelle possible pour ne pas créer davantage de problème.

Mais , maintenant que le travail est terminé, je vais devoir rentrer chez moi. Vous direz salut à Doutz de ma part d'accord.

Je lui tourne le dos et j'ouvre la porte, aller , il ne manque plus qu'à passer le cadrage et à refermer la porte et le tour sera joué, tu sera de nouveau libre.

° Hj : Je m'excuse pour ce post un peu merdique, je vais tenter de me racheter dans les prochains °

Doutzen Kroes

Humain(e)

Re : Travail à domicile [Kamiyu Okane]

Réponse 8 lundi 02 juin 2014, 00:58:10

Reto n’était pas dupe. Cette belle nana, cette pom-pom girl, flippait sa race. Était-il si effrayant que ça ? Reto était un gros nounours... Il suffisait de gratter un peu sous la peau pour voir qu’il était doux à l’intérieur... Ou presque. Reto était en réalité brutal, et Kamiyu avait bien raison de vouloir s’enfuir, mais, une fois qu’on était face au grand méchant loup, on ne pouvait pas simplement espérer partir en tournant les talons. L’homme savait que cette nana avait vu ce qu’il y avait dans la penderie de sa petite Doutz’ adorée. Les filles mentaient bien mal quand elles étaient acculées, et c’était précisément, en ce moment, le cas de cette petite poule. Elle flippait grave.

« Mais, maintenant que le travail est terminé, je vais devoir rentrer chez moi. Vous direz salut à Doutz’ de ma part d'accord. »

Woow, woow... Est-ce qu’elle ne venait pas de lui donner un ordre, ?! Petite salope ! Pour qui se prenait-elle ? Elle venait chez lui, et elle le snobait, alors qu’ils venaient de parler de trucs intimes et tout ! Les filles étaient bien toutes les mêmes, des allumeuses qui se rétractaient dès qu’elles voyaient que leurs numéros de charmes avaient porté leurs fruits. Elle se dirigea rapidement vers la porte, mais Reto ne l’entendait pas de cet œil-là. Cette belle petite poule l’excitait, et, si elle partait, il savait qu’elle ne reviendrait plus jamais. Il fallait croire que c’était physique. Physiquement parlant, Reto inspirait la crainte, et les faisait flipper. En un sens, il y avait de quoi en être fier.

Elle se tenait sur le palier de la porte, lorsque Reto se redressa, et parla.

« Tu crois que je ne sais pas que tu as fouiné ici, hein ? Je te trouve bien mal éduquée, de venir ici, et de fouiller dans les affaires intimes de ma fille adorée. »

C’était l’hôpital qui se moquait de la charité, mais Kamiyu ne pouvait pas savoir qu’elle était tombée face à un pervers en puissance, et un violeur en série. Reto s’avança vers elle, rapidement, et se plaça devant elle, la poussant autoritairement en la ramenant dans la chambre. Comme toujours, être face à des filles plus jeunes que lui l’excitait. Il n’était pas pédophile, non, mais il aimait bien l’adolescence, quand les corps commençaient à fleurir. Les filles manquaient clairement d’expérience. Elles agissaient comme des allumeuses, mais n’étaient rien de plus que des pétards mouillés. Cependant, elles étaient sexy, belles, et facilement influençables. Elles étaient, dans leur arrogance, persuadées d’être intouchables, et, quand on venait les remettre à leur place, c’était un tout autre visage qui s’offrait à vous. Celui de la peur, de la silencieuse soumission, de la délicieuse et délectable obéissance.

Il s’avança vers elle, la dominant de toute sa hauteur.

« Tu ne vas pas nous fausser compagnie si facilement... Je suis si effrayant que ça ? Rassure-toi, Doutz’ sera bientôt là... Et je n’ai pas encore envie de vous voir partir, toutes les deux. »

Comme pour confirmer ce qu’il venait de dire, Doutzen rentra à ce moment dans sa chambre... Mais elle portait désormais une belle robe rouge moulante, avec un superbe décolleté, et s’était mise un léger gloss sur les lèvres. Cette robe lui donnait bien quelques années de plus, la faisant presque passer pour une adulte. Surtout, elle tenait un paquet entre les mains.

« Je... J’aimerais que tu enfiles ça, Kamiyu... »

Il y avait, à l’intérieur du paquet, une tenue de pom-pom girl. De quoi satisfaire les envies lubriques et perverses de Reto. Quitte à avoir une pom-pom girl à domicile, autant l’utiliser sainement, non ? Sa logique était infaillible. Il allait baiser cette petite salope... Non, il allait les baiser toutes les deux, et elles se baiseraient ensemble, rien que pour lui faire plaisir. Reto aimait les jeunes filles obéissantes, et, si Kamiyu faisait sa chiennasse, il aurait de quoi la contraindre à obéir. Doutz’, elle, se mordilla les lèvres. Elle était triste pour son amie, triste pour cette confiance qu’elle venait de briser, mais un ordre de Père était prioritaire à tout ce que Doutz’ dirait. Il avait voulu qu’elle enfile cette robe, il avait voulu que Kamiyu vienne. Père était un pervers, et sa perversion déteignait sur Doutzen, car la jeune fille d’Europe de l’Est fantasmait aussi sur Kamiyu dans sa tenue.

Doutz’ posa ses mains sur les siennes, après avoir déposé le paquet sur le lit, plantant son regard dans le sien, comme pour essayer de la rassurer, de la convaincre qu’elle ne risquait rien.

« Je ne t’ai pas invité ici que pour l’exposé, Kamiyu. Tu... Tu me plais, tu sais... Et je suis sûre que je te plais, moi aussi... Tu n’as pas à avoir peur, vraiment... »

Elle savait que Père aimait bien voir des lesbiennes s’embrasser, et, comme pour essayer d’éviter sa colère, elle se rapprocha de Kamiyu, afin de chercher à l’embrasser. Ses gestes étaient doux, car elle ne cherchait nullement à la forcer. D’une manière ou d’une autre, Père obtenait toujours ce qu’il voulait, et Doutzen cherchait juste à recourir à la manière douce, afin d’éviter que les choses ne s’enveniment.

Elle devait bien ça à Kamiyu, qui était, dans le fond, son amie.
DC d’Alice Korvander.

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Kamiyu Okane

E.S.P.er

Re : Travail à domicile [Kamiyu Okane]

Réponse 9 lundi 02 juin 2014, 23:29:58

Je devais partir, je ne devais en aucun cas rester un instant de plus dans cette demeure. J'avais demandée bien gentiment à son père s'il pourrait bien dire au revoir à Doutz de ma part vu que je ne l'avais pas revue. J'étais dans le cadre de la porte quand son père eu finalement une réaction, mais celle-ci n'était pas vraiment celle que je m'attendais. Oui je m'y attendais mais sûrement pas à ce point là.

Il disait dans le fond qu'il savait que j'avais fouinée dans les affaires de sa fille et qu'il me trouvait mal éduquée. Pour tant cela n'est pas de ma faute, c'est Seth qui a ouvert la porte de ce placard en provocant un vacarme désagréable et qui est allé toucher à l'historique sur l'ordinateur de Doutz. Mais bon, je ne pourrais pas leur dire cela , je passerais sûrement pour une folle qui n'assume pas ses actions ... Dès fois j'aimerais tellement que Seth ne fasse pas partie de ma vie ainsi, je pourrais vivre normalement et ce sans avoir trop de problème.

Reto se mit entre moi et ma sortie. Puis celui-ci m'obligea à entrer dans la chambre. Il s'avançait vers moi, sa grandeur ne faisait que me mettre encore plus mal à l'aise. Oui j'avais grandement l'intention de m'en aller d'ici surtout que dans ma tête, j'étais venue seulement pour l'exposée. Je ne m'attendais pas à ce que son père souhaite que je reste avec lui et sa fille.

Je regarde autour de moi pour savoir s'il y aurait une autre sortie possible quand j'entends de nouveau la manipulation de la porte. Cela devait être Doutz qui venait d'entrer dans sa chambre et tout compte fait, c'était bien elle. Mais, elle avait un habit tout à fait différent. Elle portait une robe rouge moulante et décolletée, elle ne semblait plus être la fille que je connaissais en classe. Il y avait une fenêtre dans la chambre, mais celle-ci, était hélas trop petite pour que je passe à l’intérieur. Je fis un grand soupire en même temps que Doutz me demanda d’enfiler ce qu’il y avait dans le paquet.

Faut croire que je n’avais pas trop le choix de le faire, en me changea, j’ai fait attention pour ne pas trop dévoiler mon corps, j’ai mis la jupe par-dessus le pantalon avant de l’ôter. Bref, j’ai faite bien attention, je devais avoir les joues rouges, je ne suis pas habituée de me changer devant de monde. Une fois que j’ai eu finie de me changer, Doutz déposa le paquet sur le lit. Elle posa ses mains sur les miennes et elle avait un de ses regards. Je n’étais pas capable de détourner le regard tellement que son regard était intense.

Elle me disait qu’elle ne m’avait pas invitée uniquement pour l’exposée, elle m’avoua que je lui plaisais bien, puis elle disait que je devais lui plaire également. Puis elle tenta de me rassurer en disant que je n’avais rien à craindre. Qu’une fille me trouve de son goût cela peut se comprendre, mais que moi j’en trouve une de mon goût. C’est d’autre chose. Oui, Doutz est jolie pour une fille, mais, je n’ai jamais vécue de pulsion ou d’émotion pour une vie, je n’ai jamais rien vécue avec une fille. Je ne suis pas attirée par elle, en tout cas je ne le pense pas. Je ne savais pas trop quoi faire, si je m’en vais, je vais mettre furax le père de Doutz et je vais faire de la peine à celle que je considère comme mon amie. Je voyais qu’elle se rapprochait de moi et qu’elle tentait de m’embrasser. Je devais faire mon choix maintenant, la fuite ou je me laissais aller. C’est sûr quand ce moment même j’aimerais bien avoir de l’aide de Seth pour m’enfuit, mais comme toujours, il va s’en doute ne rien faire et regarder le spectacle. Puis, tant qu’à essayer avec une fille autant que cela soit fait avec une personne que je connais et qui est en plus mon amie. Je pris une grande respiration, j’ai fermée mes yeux et j’ai laissée Doutz se rapprocher pour que ses lèvres touches aux miennes. 

Doutzen Kroes

Humain(e)

Re : Travail à domicile [Kamiyu Okane]

Réponse 10 jeudi 05 juin 2014, 01:55:51

Kamiyu sembla réaliser qu’elle n’avait pas énormément de choix devant elle. Reto n’était pas un homme qu’on pouvait contrarier, et Doutz’ semblait sincère dans ses choix. Elle pouvait adapter plusieurs visages devant son père, et, si elle était généralement une élève timide et effacée, elle pouvait aussi devenir sensuelle et malicieuse. Elle s’était habillée comme quand elle allait chasser les cibles de son père, avec cette robe rouge qu’elle utilisait en soirée, et un élégant parfum sensuel qui filait le long de sa nuque. Elle s’était mise du gloss, avait recoiffé ses cheveux, et était retournée dans la chambre. Face à ce barrage, Kamiyu, silencieuse, se changea. Elle leur tourna le dos, empêchant ainsi Reto de voir ses formes, mais ce n’était pas grave. Dès qu’il avait le sentiment de violer l’intimité d’une femme, Reto était content. Or, voir une femme se changer rentrait tout à fait dans cette catégorie. Il l’observa donc silencieusement, avec un léger frisson le long de son corps, une accélération de son pouls.

Elle enfila sa tenue de pom-pom girl, et se retourna, toujours silencieuse. Reto avait une belle érection, et Doutzen s’avança. Elle savait ce que son père voulait, et elle sentait, dans le corps de Kamiyu, dans son regard, autre chose que de la peur ou de la contrainte. Elle sentait aussi une sourde excitation, une certaine forme de curiosité, qui semblait brûler dans ses yeux. Doutz’ se rapprocha, et posa ses mains sur les hanches de sa partenaire, puis se pencha vers ses lèvres. Tout se fit assez lentement, car elle ne voulait pas forcer son amie, ni la contraindre à faire des choses qu’elle n’aurait pas envie de faire. Doutz’ ferma les yeux, pencha la tête sur le côté, et embrassa Kamiyu. Ce fut un tendre baiser, presque chaste, car Doutz’ n’y mêla pas sa langue. Elle sentait la nervosité de son amie, et bientôt amante, et elle ne voulait pas la brusquer. Reto pouvait être effrayant, et il incombait à Doutzen de rassurer la belle. Elles s’embrassèrent tendrement, Doutz’ glissant ses mains le long des hanches de la belle pom-pom girl, appréciant la douceur de son corps, la rondeur de ses formes. Elle glissa le long de ses hanches, rompant son baiser pour le reprendre ensuite, haletant et gémissant.

« Et bien, et bien, mes petites beautés, vous êtes vraiment fascinantes toutes les deux ! »

Reto s’était rapproché, et chacune de ses solides mains vint caresser leurs chevelures. Il était sur le côté, et Doutzen continuait à embrasser Kamiyu, sans rien dire, sentant Reto se rapprocher davantage, sa verge venant les caresser, formant comme un délicieux appel, une promesse de jouissance à venir pour la suite. Sa main posée sur la tête de Kamiyu glissa le long de sa nuque, puis son dos, filant le long de ce dernier.

« ’Vous gênez pas pour moi, Mesdames, continuez, continuez… T’es vraiment sexy en pom pom girl, ma belle… Ma petite Doutz’ ne s’était pas trompée ! »

Doutzen cligna des yeux. Elle acceptait une part de responsabilité dans ce guet-apens. Tout avait commencé quand Reto avait appris que le lycée Mishima, sans aucun doute pour se rapprocher des valeurs occidentales, avait une équipe de pom-pom girls. Il avait réussi à obtenir une photo de groupe, et avait eu une érection en voyant Kamiyu. Doutzen, qui était plutôt bien appréciée au lycée, était déjà proche d’elle. Elle n’avait eu qu’à attendre un petit coup de pouce du destin pour conduire sa partenaire ici. Elle se sentait partiellement coupable envers Kamiyu, mais, d’un autre côté, la pom pom girl allait se faire plaisir ici. Elle était plutôt bien entourée. Reto était brutal et cruel, mais c’était aussi un bel étalon, et Doutz’ était là pour câliner Kamiyu, pour la rassurer, pour tenter de la réconforter.

La partie ne serait pas simple, et Reto tint à le rappeler en faisant glisser sa main le long du corps de la belle, toujours plus, et la fourra sous sa jupe, pour caresser directement ses fesses.

« Délicieux… Un joli cul d’adolescente… Je ne comprends pas pourquoi tu le caches, ma belle… »

Doutz’ l’empêchait de répondre, ayant remonté une main pour agripper sa nuque. Elle-même sentit la main de Reto glisser le long de ses cheveux pour palper également ses fesses, filant sous sa robe, la faisant gémir. Elle tira sur l’une des lèvres de Kamiyu, et Reto raffermit sa prise sur la croupe de la pom-pom girl, tirant sur cette dernière. Ce long baiser se poursuivit ainsi, sous les attouchements de l’homme, ses bras formant comme de longs murs protecteurs… Et potentiellement des barreaux de chair impossibles à retirer.

Il les dominait, et il voulait qu’elles le sachent. Son érection, elle, ne se réduisait pas.
DC d’Alice Korvander.

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Kamiyu Okane

E.S.P.er

Re : Travail à domicile [Kamiyu Okane]

Réponse 11 lundi 07 mars 2016, 20:28:20

J'avais fermée mes yeux , je pouvais sentir la présence de Doutz qui se rapprochait de moi de plus en plus. Je pouvais presque sentir l'air qui nous séparait se rapetisser de plus en plus pour sentir les lèvres de celle-ci sur les miennes. Sur le coup j'ai eu une petite secousse de peur qui remonta un peu ma poitrine à cause de ma respiration rapide. Je resta figée un certain moment hésitante à trouver cela agréable ou étrange. Les douces mains de Doutz me fit de léger frissons tout le long de mon corps, mais cela n'était pas inconfortable comme sensation. Tout ce que je faisais pour l'instant c'était de répondre timidement au multiple baiser de Doutz. Ce qui me fit faire de petit gémissement subtile.  

« Et bien, et bien, mes petites beautés, vous êtes vraiment fascinantes toutes les deux ! »

Je commençais à avoir un peu de plaisir quand le père de celle-ci réagit avec nous. Les paroles me fit un froid dans le dos et de sentir sa main imposante dans mes cheveux ne me rassurait guère. Ce qui m'arrêta un peu dans les baisers que je faisais avec Doutzen. Si j'étais seule avec elle, la situation serait sans doute plus acceptable on peut dire. Mais avec le père, je sais pas , je ne me sentais pas du tout à l'aise. Mais pour ne pas déplaire à ''mon amie'' je repris doucement les baisers et j'espérais que cela pourrait m'aider à oublier dans un sens la présence de Reto. Mais la main de Reto qui se promenait tout le long de mon dos me fit courber un peu le corps qui fit coller mes seins contre le corps de Doutz. Je resta dans cette posture un peu instant , peut-être parce que je me sentais plus en sécurité ou que je n'avais tout simplement pas conscience de ce qui venait de se produire.

Je repris ma posture un peu plus tard et je pouvais sentir que j'avais les joues rouges tout en continuant les baisers avec Doutz bien sûr qui me faisait de léger gémissant un peu plus présent. Mon corps se mouvait quand la main de Reto alla sous ma jupe pour aller caresser mes fesses. J'avais les poings serrés , je sentais que je ne pourrais pas en supporter d'avantage, mais Doutz ne me laissa par partir en attrapant ma nuque pour continuer les baisers. Ma gorge se nouait encore même après les paroles du père de Doutzen.

* C'est bien ou c'est mal ce que je fais ? Je ne sais pas trop quoi en penser *

Je commençais à avoir de plus en plus chaud à cause de tous ses contacts. J'eu un petit cri de plaisir quand je me fis tirer la lèvre par Doutz et quand même Reto s'en prit à ma croupe. Cela devenait plus agréable , mais je n'osais tout de même pas balader mes mains contre le corps de Doutz encore. Faut croire que même après tout cela je la respecte trop pour oser seulement la toucher. Mais , je mordis tout de même la lèvre inférieur de Doutzen pour ensuite faire des baisers plus ''passionnés''. Je lichais les lèvres de Doutzen pour ensuite mettre ma main droite sur le délicate nuque de celle-ci et de l'embrasser doucement avec la langue.  

Doutzen Kroes

Humain(e)

Re : Travail à domicile [Kamiyu Okane]

Réponse 12 mercredi 09 mars 2016, 22:34:11

De manière évidente, Kamiyu était, dès le début, tombée dans un piège. Reto n’avait accepté l’amie de Doutzen que pour ce moment. L’homme avait beau être cruel, il avait beau être un parrain de la mafia, participant à différents trafics illégaux allant des stupéfiants à la prostitution, sans négliger le racket, l’extorsion, la torture, et le kidnapping, il aimait le sexe. Il aimait coucher avec sa fille adoptive, et il aimait ses copines. Sans pouvoir être targué de pédophilie, Reto aimait bien les jeunes corps, les corps d’adolescentes qui présentaient déjà des formes, mais dont l’esprit était encore empreint de naïveté. Plus simplement, Reto fantasmait sur le concept du « Petit Chaperon Rouge », soit une femme belle, extrêmement sensuelle, mais en même temps innocente. Doutzen, elle, ne pouvait maintenant guère prétendre à ce qualificatif, mais, en ce qu’il s’agissait de Kamiyu… Reto ne se gênait pas de malaxer leurs culs à toutes les deux, et Doutzen sentait la nervosité de la femme.

Cette nervosité était palpable, visible dans la manière dont ses poings se serraient, dont ses muscles se crispaient, mais Doutz’ la sentit aussi s’abandonner peu à peu. Le baiser magique de sa collègue marchait bien, et, si Kamiyu ne pouvait pas la caresser, Doutzen, elle, n’avait pas ce souci, et ses mains glissaient tendrement sur les hanches de la femme, caressant sa peau, nue sous son uniforme bleu et jaune de pom-pom girl. Il ne fallait pas sous-estimer ce phénomène. Même s’il était surtout d’origine américaine, les pom-pom girls s’étaient bien développés, la preuve en étant que, en 2011, le Japon avait gagné le championnat mondial des pom-pom girls.

*Je peux le comprendre, si elles sont toutes comme Kamiyu… Hum, quel baiser !*

À Mishima, on avait pour coutume de considérer que les pom pom girls étaient les amantes sexuelles des sportifs, et une légende disait que, pour les encourager à gagner, l’entraîneur organisait des orgies quand l’équipe gagnait un match. Doutzen ne savait pas si cette légende était vraie ou non, d’autant plus qu’elle n’était pas convaincue que toutes les filles du club des pom pom girls participe à cet évènement, mais le fait qu’elle ne soit pas surprise à l’idée qu’une récompense de ce genre soit organisée signifiait clairement tout ce qu’elle pensait sur la moralité publique au lycée Mishima.

Pendant ce temps, Kamiyu continuait à l’embrasser, et, passée la surprise initiale, Doutzen la sentit répondre à son baiser, en mordillant notamment l’une de ses lèvres, ce qui l’amena à relever l’une de ses mains pour s’appuyer sur les cheveux de la femme. Leurs corps continuèrent à se blottir l’un contre l’autre, et elle prolongea le baiser, soupirant de plaisir dans la bouche de la femme.

« Hmmm… »

Oh oui, c’était bon ! Embrasser, comme ça, de douces et tendres lèvres, Doutzen n’en demandait pas plus. Et Reto, lui, se régalait de ce charmant spectacle visuel. Voir deux balles nanas s’embrasser, ça n’avait pas de prix, mais il nota rapidement les poings serrés de Kamiyu, et délaissa alors le massage sur ses fesses, pour poser l’une de ses mains sur le poignet de la femme.

« Je suis sûr que les fesses de ma petite Doutzen te font envie, Kamiyu… »

Il sourit à nouveau, tandis que Doutzen rompait son baiser pour embrasser la jeune femme dans le cou.

« Hmmm…
 -  Vas-y, ma belle, palpe-les, elles n’attendent que tes mains… »

L’appel irrésistible de la Luxure…

Ce n’était clairement pas à Seikusu qu’on le repousserait !
DC d’Alice Korvander.

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Kamiyu Okane

E.S.P.er

Re : Travail à domicile [Kamiyu Okane]

Réponse 13 dimanche 13 mars 2016, 07:47:08

J'étais entrain d'embrasser Doutzen quand je sentis les mains de celle-ci me caressant la peau au niveau des hanches. Cela était déjà plus agréable que les attouchements qui étaient fait par son père. J'avais le droit à la douceur et la beauté de la part de ''mon amie'' et de la part de Reto , la raideur et la puissance. Je ne savais pas trop si j'aimais dans quoi je m'embarquais , mais je n'avais plus le choix désormais. Je devais aller jusqu'au bout. Sachant que Seth ne ferais rien pour m'aider. Après tout, c'est de sa faute si je suis dans cette situation.

Le fait de l'embrasser et le contact de nos corps qui se trouvaient constamment coller me fit sortir un petit gémissement de plaisir qui s'accentua quand j'entendis celui de ma partenaire. Ma main qui se trouvait sur la nuque de Doutz' continua de faire une pression dans le cou afin de s'assurer que le baiser ne se termine pas. Cependant le baiser se fit interrompre par Reto qui attrapa l'une de mes mains. Je fis un gémissement quand le baiser s'arrêta et je pouvais reprendre également mon souffle. Je fermai les yeux pour savourer chaque petit baiser que j'avais dans le cou. Mon corps frissonnait à chacun. Mais, ma tête n'était pas tout à fait à l'aise complètement à l'aise avec la situation. Mon corps désirait aller plus loin, ma tête souhaitait juste en finir au plus vite. Ma gorge se noua quand Reto me demanda d'aller m'amuser avec les fesses de ma partenaire.

Ma main libre glissa le long du dos de Doutzen pour s'arrêter à la cambrure de dos. Je me mordis un peu les lèvres et ma main toucha finalement la fesse gauche. Ma main était un peu raide sans doute au départ vu que j'étais pas bien dans ma peau et que ce n'est pas de quoi que je fais à tous les jours, mais à force de masser avec ma main la fesse de celle-ci, mes caresses étaient de plus en plus douces. Puis, mes gémissements étaient de plus en plus présent également.

Hmmm...

Je me demandais ce qui allait se passer par la suite en plus que j'avais une main ''invalide''. Qu'est-ce que Reto allait faire ? Il n'allait sans doute pas rester proche de nous et nous regarder tout le long sans doute ? Cela serait trop beau pour être vrai.

Doutzen Kroes

Humain(e)

Re : Travail à domicile [Kamiyu Okane]

Réponse 14 dimanche 13 mars 2016, 09:06:58

La respiration de Reto s’accentuait légèrement en regardant ces deux poupées s’embrasser ensemble. Une belle blonde et une belle pom-pom girl. Une beauté russe d’un côté, un cliché occidental de l’autre. C’était comme la réunification entre l’Est et l’Ouest, passant par la gloire du cul. Reto trouvait ça fabuleux. Il aimait coucher avec des femmes mâtures, mais, honnêtement, quand on voyait ces deux trésors qui s’embrassaient et se caressaient ensemble, on ne pouvait qu’en être fasciné. La main de Kamiyu vint donc se nicher sur les fesses de Doutzen, qui réagit en mordillant un peu le cou de la femme, avant de remonter. Silencieuse, Kamiyu semblait être en pilotage automatique. Surprise par le déroulement de cette séance, elle qui pensait juste venir pour faire des devoirs, elle se retrouvait maintenant habillée en pom-pom girl, face à un couple incestueux.

Son soupir n’échappa évidemment pas aux oreilles de Kamiyu, qui remonta pour pouvoir l’embrasser doucement sur la joue, avant de retourner embrasser ses lèvres. Un nouveau baiser buccal, plus prononcé, où sa langue fila dans la bouche de la femme.

« Hmmmm... »

Doutzen aimait beaucoup les lèvres de Kamiyu, et, pendant qu’elle l’embrassait, Reto se pencha vers la jeune invitée, et murmura quelques mots salaces dans le creux de son oreille, tout en retournant palper son petit cul :

« Je vais joyeusement te baiser aujourd’hui, Kamiyu... Et tu vas adorer ça, petite salope... »

Tout était dit, sur un ton rauque, une sonorité qui trahissait l’excitation de l’homme. Reto se redressa ensuite lentement, et, après avoir attendu encore un peu, il finit par intervenir. À ce moment, Doutz’ continuait à embrasser fiévreusement son amie, mais Reto, qui était maintenant torse nu, rompit le baiser, et coinça les femmes entre ses puissants bras, les plaquant contre son torse.

« Allez, mes chéries, passons aux choses sérieuses ! Venez m’embrasser moi ! »

On pouvait sentir toute sa puissance, toute sa musculature, que ce soit contre son torse, ou contre ses solides mains. Doutzen vint donc embrasser son torse, le léchant avidement, sachant pertinemment que c’était le jeu du bâton et de la carotte, et qu’elle serait perdante. Le bâton, ce serait la colère de Reto, et la carotte, et bien... Ce serait aussi Reto.

Et Dieu sait que, malgré sa perversion et sa brutalité, Reto Kroes était fort bel homme...
DC d’Alice Korvander.

Consultez ce topic pour une présentation détaillée de mes personnages.

Pour une demande de RP, je vous encourage, soit à poster sur le topic susmentionné, soit à envoyer un MP sur mon compte principal.


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