La dure vérité. Mon passé en quelque sorte dévoilé, je la laissais penser ce qu'elle voulait. Ma tragédie avaut plusieurs points de vue. On peut en pleurer certes, mais la belle pouvait exprimer clairement ce qu'elle pensait et c'est ce qu'elle semblait faire. En effet, Elle se mis à parler généralisant la souffrance. Chose qui m'énervais car au fond, à tout ramener au général, si on suit son raisonnement, personne n'a a se sentir malheureux ou autre ou se plaindre car tous souffrent un peu. Certes, on n'est jamais seul à souffrir, mais pas sur le même degré, pas au point de tout devoir généraliser. Fronçant les sourcils, je la laissais agir. Me fixant, elle semblait me défier du regard jusqu'à se détourner de mes yeux.
Là encore, ses paroles furent bien philosophique. A trop raisonner, on en perd la raison réelle. Ses arguments se tenaient sans se tenir réellement. Cela relevait plus de la tentative de culpabilisation. En gros, elle tentait de me dire de me mettre à sa place. Si c'est moi qui aurais été tué ? Serait-elle heureuse pour moi ? De par mon sacrifice ? A suivre ses paroles, au final un des deux devait mourir fin de l'histoire. Non, je refusais d'entendre cela même si d'une part elle avait raison. La laissant dire, j'encaissais en silence me mordant la lèvre. Entendre ses affirmations était insupportable. Jusqu'à son jugement.
La suite n'eus aucune importance, bien qu'elle affirmait encore qu'on a chacun souffert à notre manière, je la regardais se mettre de côté dans le lit. Tentant de me retenir, finalement, je vins dégager le draps brusquement avant d'aposer ma main sur sa nuque pour la retourner. D'une prise ferme, je la mettais sur le dos en la maintenant par la gorge au point de presque l'étrangler, les yeux rouges sang, je la fixais pour alors m'approcher d'elle avant de finalement l'écraser de mon poids pour l'empêcher de bouger.
" ... Dit moi ce qui me retient de pas te tuer sur le champs ? ... Sincérement, depuis quand te permet tu de juger ma personne ? Si je pouvais changer les choses, je le ferais, car la savoir morte m'insupporte. Certes, si ce n'était que mon dernier souvenir d'elle, ce serait dommage, mais justement non... Je n'oublie pas ces moments où on était heureux, libre comme l'air. Je les privilégient plutôt que penser QUE à sa mort, alors ne redit plus jamais ce que tu as dit, sans quoi, tu pourras m'ajouter à ta liste de vampires peu plaisant à rencontrer..."
La regardant toujours dans les yeux, je défaisais mon étreinte sur sa gorge mais je ne me dégageais pas pour autant d'elle. Restant là, je la regardais de haut en bas. Je ne l'écrasais pas, cependant, je n'étais pas poids plume pour autant. La fixant, jespérais avoir été clair. Regardant son visage, je recherchais chaque choses qui pourrait démontrer de la peur ou de la méfiance. M'approchant, je déposais ma main sur son front pour alors appuyer séchement. Mon visage lui allait vers sa nuque, respirant l'odeur de sa peau. Son sang battant dans ses veines, elle sentait bon, pas aussi bon qu'Arashi, mais bon quand même.
" ... Jme demande ce qui me retient de te mordre pour boire un peu de ton sang et ensuite profiter de toi... "
Restant là, je voulais voir sa réaction, comme un test.