Première fois dans les WC du 2ème étage. [Mélanie]

La Déesse de la luxure a toujours eut une sorte de 6ème sens particulier, le don de savoir où et quand les choses les plus excitantes se produisaient. Aujourd'hui son instinct lui disait que son personnage, Nagisa Hitomi une jeune étudiante futanari, allait passer une journée particulièrement chaude. Au départ Lust avait hésité à la créer, les personnages complexés par leur corps sont plaisants à incarner dans certaines situations, mais en temps normal ils sont d'un ennui monstre. Après cette journée il sera peut être temps de faire évoluer un peu son caractère d'ailleurs. Mais pour l'instant la lycéenne Nagisa, s’apprêtait à arriver à l'école. Comme d'habitude elle ne disait bonjour à personne, elle gardait toujours une distance avec les autres élèves. Après tout un accident était vite arrivé, il suffisait d'une main mal placée pour sentir son sexe masculin sous sa jupe de lycéenne et personne ne devait savoir, jamais.

La journée commençait par deux heures de sport, aujourd'hui c'était endurance. Courir comme une dératée pour avoir un bon temps et gagner ainsi le droit de se crever encore plus la semaine suivante. Sans compter l'épreuve des vestiaires, elle passait toujours pour une fille timide parce ce qu'elle se mettait dans un coin et se changeait à sa façon. En arrivant le matin elle portait toujours ses affaires de sport sous son uniforme et au retour elle faisait exprès de ranger le matériel et de prendre son temps pour être seule dans les vestiaires pendant le début de la récréation de 10h. Comme elle était assez agressive, personne ne lui faisait de remarques sur ses habitudes et c'était très bien comme ça ! Aujourd'hui comme à son habitude, sitôt le cours fini elle attendit que la dernière élève de sa classe quitte le vestiaire pour prendre sa douche et se changer. Puis elle fila au distributeur s'acheter sa brique de lait habituelle, juste à temps car à peine l'eut-elle entre les mains que la sonnerie retentissait. Toutes les semaines c'était pareil, pas de pause le matin pour elle à cause de ces foutues heures de sport ! Et comme c'était pareil toutes les semaines, Nagisa s'était adaptée et emmenait un petit sac isotherme avec des glaçons pour garder sa brique de lait au frai pendant les deux heures de maths qui suivaient. Oui, deux heures de sport et deux heures de maths, matinée de merde !

En montant les escaliers, la créature invoquée qui remplaçait Lust en temps normal a senti la présence de sa créatrice et s'est dirigée vers elle. Sitôt à l'abri des regards la créature a disparue, remplacée par la Déesse qui prit son apparence. À fond dans mon personnage, j'arrivai à oublier qui j'étais réellement, incarnant totalement cette lycéenne et ayant exactement les pensées et réactions qu'elle aurait en temps normal. Comme d'habitude j'arrivai juste à temps en classe, tout le monde était déjà assis ou en train de s'asseoir. Et comme d'habitude je m’asseyais à côté de Mélanie, une espèce de droguée du boulot qui avait suffisamment d'énergie pour alimenter la moitié du Japon en électricité avec une roue de hamster à taille humaine. Très honnêtement je n'ai rien suivi du cours, ça ne m’intéressait pas, j'étais crevée et je voulais juste ma brique de lait bien fraiche à la fin de la séance de torture, mon seul petit plaisir de la matinée. Puis vint la sonnerie salvatrice de l'heure de midi, l'heure de la brique de lait et du bento préparé avec amour par maman, le meilleur moment de la journée. Prenant mes aises, j'ai reculée ma chaise d'un bon mètre avant de prendre ma brique bien fraiche dans mon sac. Avec un petit sourire de satisfaction j'ai planté la paille dedans, m’apprêtant à siroter ma récompense tout en me vidant l'esprit.

Je m'amusai à me balancer sur les pieds arrière de ma chaise tout en portant la paille à mes lèvres, lorsque Mélanie se leva brusquement avant de me foncer dessus sans faire attention. Surprise, je fus totalement incapable de rétablir mon équilibre précaire et me suis vautrée en beauté. Par réflexe, ma main s'est crispée sur la brique, cherchant à s'accrocher à quelque chose et cette dernière m'a purement et simplement explosée à la figure. À terre et trempée, j'ai mis quelques secondes à comprendre ce qu'il venait de se passer. Puis j'ai vu Mélanie juste à côté et j'ai subitement compris qu'elle m'était rentrée dedans.

"Mélanie ! Tu pourrais faire attention ! Regarde ce que tu as fais ..."

Je me suis interrompue là, remarquant des regards étranges dans notre direction. Les garçons et certaines filles de ma classe me regardaient bizarrement, gênés.

"C'est quoi votre problème à vous ?"

Puis j'ai baissé la tête pour me regarder, pour voir où était le problème et j'ai bien vite remarqué qu'on pouvait voir mon soutient-gorge en transparence à cause de mon uniforme trempé. Mon visage a immédiatement viré au rouge écarlate et j'ai placé mes bras devant pour qu'ils arrêtent de regarder. Je n'ai rien dis et je me suis dirigée d'un pas nerveux vers la sortie, j'avais envie de pleurer et d'étriper cette sale petite garce de Mélanie. Je me suis dépêchée d'aller aux toilettes pour me nettoyer et me sécher.

C'est une journée très lourde aujourd'hui niveau emploie du temps et en plus on a sport et tout le monde sait ici que je n'aime pas le sport même si j'ai des capacités sportives au de la de la normale vu que je suis une combattante d'élite dans l'autre monde.  Je me rends donc au gymnase du lycée et le cours ce déroule sans souci apparent et comme d'habitude il  y a cette fille  Nagisa Hitomi qui reste en retrait. Je me demande pourquoi d'ailleurs. Peut-être a t-elle un secret à bien garder ? Bah ça ne la regarde qu'elle, mais en attendant elle est ma voisine de classe et je passe donc mes journées avec cette fille bien mystérieuse. En parlant de la louve  je m'assois à coté d'elle pour le cours de français avant la pause de midi et je suis le cours tandis qu'elle passe son temps à rêvasser !  Remarque si elle n'a pas envie d'avoir un bel avenir tant pis pour elle après tout ou alors peut-être qu'elle a déjà son idée derrière la tête.  Je tends alors mes bras pour me décontractée et je continue à faire ce que le professeur demande de faire. En soit les exercices ne sont pas spécialement difficile. Et plus je regarde le temps passer plus je me dis que les humains sont trop faciles dans leurs études. Au moins à Terra il  y avait plus de challenge, mais la rien que dalle ! Même pas un brin de magie. C'est ennuyant.   

Je tourne alors ma tête vers le coté gauche de Nagisa pour regarder la fenêtre et regarder passer les nuages parce que j'ai finis mon exercice. Maintenant elle et moi on avait l'air de deux glandeuses professionnelles. Ma position favorite à moi c'est de mettre mes mains derrières ma tête avec un truc dans la bouche à mastiquer. C'est ce que je fais d'ailleurs je n'hésite pas une seule seconde à me mettre dans cette posture et ma respiration est au plus calme. Je pourrais m'endormir presque, mais le professeur m'interpelle et je passe alors au tableau pour donner mes réponses qui sont justes comme d'habitude. Puis-je reviens à ma place d'un ennui comme si c'était tous les jours que je faisais cela alors qu'en fait il ne s'agit que de quelques jours seulement c'est vraiment très étrange cette impression du déjà vu alors qu'en fait les cours de Terra sont presque identiques ! Si je devais faire une comparaison je dirais que le seul truc qui change vraiment en fait c'est qu'il n y a pas d'entrainement magique ni rien de lier à ça et mon emploi du temps est beaucoup plus léger. D'ailleurs nous avons trois heures de trou avant le prochain cours. Cela nous laisse donc une heure pour manger et deux heures pour ne rien faire. Je me demande ou va le monde !

Lorsque la fin du cours arrive je suis pas mécontente de ranger mes affaires dans le sac ! Et puis j'ai parlée un peu à quelqu'un par télépathie ! Mais là en fait je suis surtout très pressée d'aller manger ! Je sors mon Bento de mon sac et je me lève alors brusquement une fois avoir rangée toutes mes affaires ! Seulement je n'ai pas vu que Nagisa avait sortie une brique de lait et qu'elle avait commencée à la boire et donc en mettant mon sac sur mon dos sans le vouloir je la fait basculer de la chaise et je la regarde en mettant ma main sur la bouche ! L'air de dire, mais qu'elle bête je fais ! Je pourrais faire attention dès fois ? Je m'accroupis alors et l'aide un peu à ranger son sac. Alors que celle-ci m'engueule. Ce qui est tout à fait compréhensible !

"Mélanie ! Tu pourrais faire attention ! Regarde ce que tu as fais ..."

<Je suis vraiment désolée Nagisa je ne l'ai pas fait exprès vraiment je suis très confuse!>   

Dis-je en l'aidant à se remettre en ordre ! Puis une fois l'incident passer je  vais manger mon bento dans mon coin tandis que Mélanie engueule les autres parce qu'ils regardent en transparence ses sous-vêtements ! Je m'assois sur le banc comme à mon habitude et je prends mon temps pour manger mon bento et je regarde passer les quelques nuages dans le ciel ! C'est un beau ciel bleu et aujourd'hui il fait chaud ! Je le sens sur ma peau bien que je sois du type feu et aussi ils n'ont pas signalés de pluies les gens à la météos la  ! Une fois que j'ai finis de manger ça j'ai besoin d'aller au toilette parce que j'ai soif et que j'ai oubliée ma bouteille d'eau.  Je monte alors après avoir jetée mon bento dans une poubelle prévue pour ça. Une fois en haut je pousse la porte des WC et la surprise ! Je vois Nagisa en train de faire sécher ses vêtements qui sont trempés et qui sont étendus à droites et à gauche comme elle le peut ! Dans un élan de surprise je remarque le bas et elle à un futanari à la place.... Je ferme aussitôt les yeux en voulant sortir, mais je n'arrive pas à trouver la poigner de la porte, car je cherche  du mauvais coté avec ma main droite et la ou je tate il n y a que le mur ! 

<J... je m'excuse Nagisa ! Je ne m'attendais pas à te trouvée la ! J... je vais faire euh... d...devoir.... p...partir !>

 dis-je en me tournant dos à elle toute fois je claque des doigts et sèche ses vêtements en un clic et les taches de mouillés disparaissent instantanément !Je lui dois bien ça après tout c'est moi qui est renversée le lait sur elle. Elle à du remarquée que les taches avaient disparus à peine j'avais claquée mon doigt ! Mais dans tous les cas, me voila coincée.

Personne n'allait jamais dans les toilettes du deuxième étage, il y avait deux raisons à cela. La première, c'est que la majorité des élèves vont aux toilettes du rez-de-chaussée ou du premier étage car elles sont plus proches des salles importantes et de la cour. La seconde, c'est qu'il y avait beaucoup de rumeurs qui circulaient sur les toilettes du deuxième, on parlait de revenants, de bruits bizarres, d'objets et de personnes qui disparaissent sans laisser de traces. Bien que totalement fausses, ces rumeurs tenaient à l'écart la majorité des élèves superstitieuses ou trouillardes et je n'étais pas étrangère à leur prolifération. Bref, personne ne va dans les toilettes du deuxième et c'est en partant de ce principe que je m'y suis réfugiée pour faire sécher mes habits. Ici je pouvais me mettre nue sans risquer d'être vue, c'est aussi ici que je venais me masturber pendant les pauses lorsque j'en avais envie. J'avais utilisé les lavabos pour rincer mon uniforme et mes sous-vêtements, l'odeur de lait était partie sans poser trop de problèmes. Et là je faisais sécher le tout en me servant des séchoirs à mains qui étaient bien pratiques pour ça. Pendant que mes habits séchaient j'ai mangé mon bento assise dans les toilettes, on peut rêver mieux pour un repas mais, je n'allais pas sortir dehors à poil pour profiter du soleil ...

Jugeant qu'attendre sans rien faire était ennuyeux et que j'avais bien mérité une petite consolation, je me suis appuyée sur le rebord d'un lavabo avant de caresser mon sexe. Après avoir fait couler quelques gouttes de salive dessus j'ai commencer à masser mon gland. Trouvant la sensation fort agréable, mes doigts se sont crispés sur le rebord du lavabo et j'ai continué tandis que mon pénis se durcissait. Après de longues minutes de massage, alternant mouvements rapides et lents pour faire durer le plaisir, j'ai commencé à haleter, soupirant de plaisir. Malgré moi je repensais aux regards lubriques des garçons de ma classe, ça ne me dérangeait pas qu'on me regarde comme ça, mais je savais qu'on me regarderait de travers sitôt mon pénis découvert. J'avais fais le deuil des garçons et des filles, ayant conscience que je resterai probablement vierge toute ma vie à cause de cette foutue queue. Je me suis éloignée du lavabo, caressant ma poitrine de ma main libre et accélérant le massage de mon gland, j'allai jouir, toute seule dans les toilettes, comme d'habitude.

Non ! Pas comme d'habitude ! Alors que j'éjaculai dans ma main, souillant mes doigts de ma propre semence, la porte des toilettes s'est ouverte. J'ai cru que j'allai faire une attaque cardiaque quand j'ai vu la tronche de Mélanie juste à côté de moi, regardant, ahurie, mon corps nu et mon sexe qui venait de jouir. Je suis restée complétement conne sur ce coup, me contentant de penser très très fort : *MAIS QU'EST CE QU'ELLE FOUT ICI ELLE ??*.

<J... je m'excuse Nagisa ! Je ne m'attendais pas à te trouvée la ! J... je vais faire euh... d...devoir.... p...partir !>

Brusquement je reprends mes esprits, hors de question qu'elle sorte pour aller tout raconter à ses copines. Je lui saute littéralement dans le dos, mettant ma main sur sa bouche pour l'empêcher de crier et lui murmurant :

"Tu ne vas nul part toi ! Je t'interdis d'en parler à qui que ce soit ! Tu n'as rien vu ! Tu m'entends ? Tu n'as rien vu !"

Puis je sens quelque chose de gluant sur ma main, me demandant ce que c'est ... Ma main !!! Tout à coup je réalise que je n'ai pas essuyée ma main et que je suis en train de lui étaler mon sperme sur la figure ! D'abord gênée, je trouve ensuite la situation excitante, rougissant à l'idée d'avoir forcée une fille à étaler ma semence sur son visage. Mon sexe qui était retombé depuis à cause du stress se redressa subitement, se logeant entre les cuisses de Mélanie. Horrifié j'ai essayé de le faire se coucher en passant mon bras devant ma camarade de classe et en tentant d'appuyer sur mon gland pour rabaisser la bête. Mais la seule chose que j'ai réussi à faire c'est caresser l'intimité de ma voisine de table sans le vouloir. Je me suis demandé si les tribunaux faisaient la différence entre tentative de viol et tentative de viol involontaire, sinon j'étais dans la merde. À moins qu'elle se taise et pour qu'elle se taise il fallait jouer les méchantes. D'une voix peu assurée je lui ai bafouillé :

"M-maintenant t-tu va payer M-Mélanie ! R-r-retire tes vêtements !"

Tandis que mon visage passait du rouge à l'écarlate, je m’apprêtais à violer ma camarade de classe par erreur. Je n'aurai jamais cru une telle situation possible il y a encore quelques minutes. Mais je n'avais plus le choix, si elle partait maintenant elle allait tout raconter, le fait de continuer aggravait mon cas mais me donnait le temps de réfléchir. Peut être que si elle appréciait je n'aurai pas de problèmes ? C'était un raisonnement plutôt naïf, mais je ne voyais pas d'autre porte de sortie. En tout cas à ses yeux je devais être une grosse perverse qui viole les filles égarées dans le lycée.

Voila que la fille en question me saute dessus alors que je m'apprête à sortir de la pièce pour vite oublier cette scène et en une fraction de seconde je me retrouve plaquée au sol avec une main sur ma bouche et je sens quelque chose dessus. Je me demande ce que c'est au début, mais l'autre n'attend pas pour me menacer. Moi qui croyais que cette fille était du genre inoffensive voila que je me suis bien trompée sur son cas. Je tente de parler pour dire quelque chose, mais vu que sa main est sur ma bouche je ne peux pas dire un mot et tout ce qui sors c'est :

-Hmm mmm 

Un petit cri étouffer ! Je me concentre alors sur la scène dans ma tête puis en y repensant elle avait éjaculée lorsque je suis rentrée et elle n'a pas eu le temps de s'essuyer avant de me plaquer au sol. C'est pour le moins étrange et c'est très dérangeant ! Maintenant j'ai de sa semence partout sur ma figure et je dois dire que c'est pour le moins immonde et très désagréable. Surtout que ce n'était pas volontaire en plus !  Je ne peux pas bouger parce qu'elle me retient au sol et elle me cale sur le ventre. Donc impossible de voir ce qu'elle fabrique et la voila qui vient me jeter d'une voix tremblotante à mon grand étonnement : m'ordonner de me déshabiller. Puis je sens quelque chose  qui passe sur mon entre jambe et je comprends alors que c'est sa main. Serait-elle en train de me violée ? Si c'est le cas alors je ne suis pas dans la merde. Et impossible d'utiliser mes pouvoirs dans un lieu publique

Je lui fais signe avec ma main de me laisser un peu de mouvement  puis une fois plus libre sans me retourner je commence alors à me déshabiller dos à elle un peu paniquée moi aussi. Que va t-elle me faire ? C'est une question primaire. Mais qui mérite toute mon attention.  Je jette mon écharpe à coté d'elle ainsi que le reste de mes vêtements et je me tiens nue au sol et toujours dos à elle. Ma respiration commence à se faire entendre et je panique cette fois et pour de bon. Et pourquoi devrais-je p... payer d'abord ? D'un coté elle à dit vouloir me pourrir la vie si je balançais ce que j'avais vue ici...  Est-ce que je lui obéis ?   

-M... maintenant q... que va t...tu faire de moi ? 

Ma voix est remplie d'inquiétude et ça ce ressens facilement d'ailleurs et mon corps est en train de trembler. Je tente alors d'essuyer la semence qu'elle a mit sur mon visage et je reste la sans bouger me demandant ce qui va m'arriver. La main sur mon sexe aurait pu m'excitée c'est vrai, mais dans ces conditions là c'est légèrement différents. Je n'ai pas non plus mon katana à porter de mains pour me défendre. Que faire hum que faire ? Réfléchissons vite avant qu'elle me neutralise et m'empêche de fuir pour de bon, mais je ne vois pas d'autres issues pour l'instant  ! Je n'ai pas non plus envie de subir un viol  aussi c'est très embêtant !

Queue faire ? Cette question me taraudait l'esprit. Je ne pouvais pas juste la laisser partir en lui faisant promettre de ne rien dire. Rien ne m'assurait qu'elle allait garder tout ça pour elle bien sagement. Et puis je n'ose même pas imaginer la tronche qu'elle tirerait si je lui avouais que je l'avais touchée par hasard en voulant écarter mon sexe de son entre-jambes. Qui croirait ça ? Si quelqu'un avouait m'avoir tripotée par erreur, je réagirai comment moi hein ? Je lui foutrai probablement une énorme baffe en traitant cette personne de menteuse et de perverse. Non décidément, pas moyen que je la relâche pour l'instant, mais hors de question que je la viole aussi ... Je ne suis pas un monstre comme ceux qui passent au JT merde ! Enfin, d'un côté j'étais en train de me comporter exactement comme eux, involontairement. Au moins, comme elle était nue, même si je la lâchai elle ne pouvait pas sortir directement, c'était déjà une inquiétude en moins. Mais le fait qu'elle soit complètement nue avait aussi un énorme désavantage, c'est que j'étais collée contre elle et que je recommençai à bander comme un âne. Mon pénis s'est dressé d'un coup, jusqu'à ce qu'il se colle contre son sexe, paniquée j'ai de nouveau essayé de le dégager avec ma main, mais rien à faire, tout ce que j'arrivai à faire comme ça c'était la caresser sans le vouloir. J'ai arrêté de bouger, essayant de reprendre mon calme, je ne devais plus penser à elle, juste penser à une solution et mon pénis allait débander tout seul. Enfin je l’espérai.

J'étais incapable de réfléchir. Excitée, je commençai à me dire *Oh allez, quitte à avoir des problèmes autant lui faire les fesses !*. S'il n'y avait pas de solutions autant en profiter non ? Mais d'un autre côté c'était ma voisine de table, j'allai devoir soutenir son regard tout les matins jusqu'à la fin de l'année, même si elle ne disait rien. Et si elle parlait là c'était encore pire. J'allai me retrouver en prison ? Ou, au mieux, à être la risée de l'école jusqu'à la fin de ma scolarité ? Je ne savais pas quoi faire, j'étais comme paralysée, à la fois excitée par la situation, rebutée à l'idée de violer une camarade de classe et apeurée par les conséquences à venir. À bout, j'ai commencé à pleurer, serrant Mélanie un peu plus fort dans mes bras pour qu'elle ne profite pas de ce moment de faiblesse pour reprendre le dessus sur moi. Tant que je la tenais tout allait bien, mais je serais bien obligée de la lâcher un jour ou l'autre et à ce moment là son silence ne dépendra que de sa bonne volonté. Lui faire confiance c'était prendre un énorme risque, un risque bien trop gros et j'avais déjà été trop loin. Les gestes que j'avais déjà effectués étaient un début de viol, c'était absolument indéfendable. Pleurant toujours je lui ai murmuré :

"Désolée Mélanie, vraiment désolée. Mais il faut que je le fasse tu comprends ? Si je ne le fais pas tu vas aller tout raconter dehors. Et il ne faut pas, personne ne doit jamais savoir. Donc je vais te violer, pour que tu te taise, pour que tu ais aussi honte que moi. Pardonne moi. Je vais faire en sorte que ce soit le plus agréable possible, détends toi, ferme les yeux si tu veux."

J'ai attrapé sa jupe et sa petite culotte, les roulant en boule pour les enfoncer dans sa bouche. Puis j'ai pris l'écharpe qu'elle venait de jeter, m'en servant pour attacher ses poignets ensemble, faisant un nœud solide qu'elle ne pourra pas défaire seule. Pour finaliser sa neutralisation, j'ai torsadé sa chemise pour en faire une sorte de corde rudimentaire avant de la lui enfoncer dans la bouche pour tasser son bâillon et de la nouer derrière sa tête en serrant bien fort. J'ai séché mes larmes, il était trop tard pour reculer de toute façon, il fallait que j'aille jusqu'au bout. J'ai aidé Mélanie à se relever, prenant au passage mes affaires sèches et ce qu'il restait des siennes et je l'ai poussée jusque dans une cabine. J'ai posé nos affaires sur le réservoir des toilettes, fermé le loquet, puis je l'ai plaqué contre la paroi, la forçant à poser son pied sur le rebord des toilettes pour maintenir sa jambe levée.

"N'ai pas peur Mélanie, je ne te veux aucun mal. Je vais juste te donner beaucoup de plaisir, tu vas voir tu vas adorer ça ma belle. Ah et ... Ce ... C'est ma première fois. Je tenais à ce que tu le sache."

Puis je me suis plaquée contre elle, léchant sa jolie poitrine tandis que mon sexe était prêt à la pénétrer, frottant contre sa petite fente. J'ai craché sur mes doigts, avant de les faire rentrer entre ses cuisses pour l'humidifier un peu, répétant l'opération jusqu'à ce qu'elle soit bien trempée, l'excitation fera le reste. Puis je l'ai pénétrée, plus de retour en arrière possible, j'ai commencé à aller et venir en elle, trouvant son adorable petit corps tout à fait à mon goût. Du bout de la langue je léchais ses tétons, tandis que mon membre limais son adorable petite chatte. J’espérai juste qu'elle allait aimer ça et se soumettre sans faire d'histoire, sinon je serais obligée de lui faire du mal pour qu'elle comprenne.

Nagisa a donc décidée de me violée hein ? En écoutant ses dires je ne peux pas m'empêcher de pensée que cette situation tourne au ridicule ! Si elle voulait que je ne dise rien elle n'avait cas me demander de ne rien dire je ne suis pas de ces conasses de balances moi ! Et puis même je peux comprendre que c'est dérangeant étant moi même polymorphe. Je devrais peut-être lui dire ?  Je m'apprête à ouvrir ma bouche pour dire quelque chose que je sens quelque chose me rentrer dans la bouche et m'empêcher de parler à nouveau.

<M... mais Nagi... ! >

Puis mes mains vinrent se joindre dans mon dos puis elle serre alors très fort pour pas que je puisse me détacher et au final elle fait un tour de tissu sur ma bouche pour que le bâillon tienne en place et que je ne puisse pas faire quoi que ce soit. Puis je me fait trainée dans une cabine et elle nous enferme à l'intérieur afin que si quelqu'un rentre personne ne nous voient dans cet état de plus maintenant j'aurais beau tout faire pour me débattre cela ne changera rien et voila qu'elle essaye de me rassurer  à présent. Cependant l'écharpe que je porte sers  à ça, mais c'est plutôt moi qui l'utilise dans le cas contraire à maintenant. Enfin seulement quand la personne est consentante bien évidemment. Jusqu'ou irait-elle maintenant que je suis à sa merci ? Elle me dit que c'est sa première fois ? Hum c'est étrange. 

La voila qui vient alors me lécher la poitrine provoquant chez moi de petits gémissements étouffer par mon bâillon. Je suppose que c'est très excitant pour elle, mais un autre détail m'intrigue : ses yeux rougis ? Elle a pleurée ?   Si c'est le cas alors cela ne me fait qu'encore plus soupirer même si cela ne s'entend pas puisque j'ai mon bâillon et que je suis dans l'incapacité de faire quoi que ce soit "d'humain". Je  gémis d'un coup quand je sens ses doigts mouiller rentrer dans mon vagin et enfin la voila qui vient me pénétrer. Sauf que moi je suis vierge aussi ! Elle va finir par me la briser si elle ne fait pas gaffe à ce qu'elle fait et je n'oppose pas de résistance de toute façon ce serait inutile à l'heure actuelle des choses. En subissant ses va et vient la voilà qui me viole donc et en m'écoutant pousser des gémissements. Mes yeux sont fermés, car je tente de lui cacher que mes flammes veulent ce manifestés et si quelqu'un doit être blesser de toute manière ce serait moi !  Et puis d'ailleurs elle me fait moi aussi dégouliné de partout ! Je me demande ce que c'est étant donner que j'ai eu que très peu d'expérience. Mais je n'ai pas le choix et je dos subir ses va et vient.  J'ai à moitié peur et à moitié excitée par la situation même si au fond de moi... Je trouve ça bizarre 

Elle n'a même pas remarquée que ses vêtements on sécher instantanément. Ce doit être une débutante en magie ou bien elle n'a aucun pouvoir tout simplement et dans ce cas la quoi de plus humiliant que d'être la soumise de quelqu'un qui n'a aucun pouvoir ? Je me le demande et en même temps je n'ai pas vraiment le temps de réfléchir Je continue de gémir et au fur et à mesure de ses caresses je mouille de plus en plus et je crie de plus en plus fort à travers mon baillon. Heureusement qu'il est la d'ailleurs sinon on serait mal barrées toutes les deux. Et je suis toute rouge aussi je fait peine à voir ! Mon corps montre à la fois la peur et  la fois l'excitation c'est très étrange comme mélange. De plus le sexe de Nagisa est plutôt bien foutu. Niveau sensation c'est ç son maximum, mais jee continue de me faire violée dans des toilettes... Quelle humiliation ! 

C'était la première fois que je pouvais réellement faire l'amour à quelqu'un, bon elle n'était pas très consentante c'est vrai, mais au moins après ça j'aurai goûté à autre chose que la masturbation solitaire. Quand je l'ai sentie en train de mouiller au bout de mon sexe, la voyant gémir les yeux fermés, je me suis sentie soulagée, libérée d'un poids. Elle avait l'air d'apprécier, d'aimer ce que je lui faisais, si elle y devenait accroc, je pourrais peut être même en faire une esclave sexuelle. Comme dans ces hentai où l'héroïne se soumet au méchant de l'histoire après s'être faite sauvagement violer. J'imaginai déjà une Mélanie accroc à mon pénis qui viendrai me demander, honteuse et excitée : "Maîtresse, j'ai envie, prenez moi s'il vous plait.". Ah ce serait tellement bien, ce genre de relation avec une autre élève. Je pourrais la forcer à venir en cours avec des jouets sexuels sur elle, stimulant son adorable petit corps pendant les cours et soulageant ce dernier en fin de journée. La situation ne me faisait plus peur, maintenant elle m'excitait et j'avais pris ma décision, j'allai dresser Mel-chan et en faire une petite esclave bien obéissante.

Je lui ai caressé les cheveux, tandis que ma langue remontait le long de son cou. Je lui ai mordillé l'oreille, joueuse, tandis que mes vas et viens se faisaient plus amples, plus rapides, plus assurés. Ma main libre faisait l'aller retour entre sa mignonne petite poitrine et ses jolies fesses, caressant l'une et les autre à tour de rôle, jouant de temps à autre avec ses tétons qui commençait à durcir. Inexpérimentée, je sentais que j'allai déjà bientôt jouir. Je me suis collée au corps de Mélanie, la pilonnant de mon sexe le plus vite possible, bien décidée à remplir sa jolie petite fente. Je pouvais sentir sa grotte humide dégouliner par terre, formant déjà une belle petite flaque, son corps avait apprécié. Puis je me suis immobilisée brusquement, serrant bien fort le corps de ma voisine de table contre le miens pendant que je jouissais à l'intérieur. Je me suis reculée pour mieux la voir, retirant mon pénis d'entre ses cuisses et rompant tout contact physique entre nous deux. J'étais satisfaite de ce que je voyais, remarquant avec un petit sourire une goutte de mon sperme perlant de son adorable sexe.

J'avais une solution radicale pour m'assurer l'obéissance que cette charmante élève. J'ai pris mon portable dans mon sac et j'ai commencé à photographier Mélanie, attachée, excitée, souillée, nue, la prenant sous toutes les coutures en faisant bien attention à ce que son visage soit toujours bien visible. Avec un petit sourire sadique, je lui ai mis l'écran du portable sous les yeux pour qu'elle se regarde elle-même. Sur les photos ses tétons étaient visiblement durs, biens dressés, ses joues étaient rosies par l'excitation, elle haletait et on pouvait voir mon sperme qui commençait à gouter par terre, sortant de sa mignonne petite chatte.

"Tu es tellement mignonne sur ces photos Mel-chan. Regarde à quel point ton joli corps a aimé ce que je lui ai fais. Je vais envoyer ces images sur mon ancien portable, chez moi, elles seront biens gardées, ne t'en fais pas. Tout les soirs je me masturberai devant elles en pensant très fort à toi. Ce sera notre petit secret Mé-la-nie-chan ! Et si jamais tu en parle à qui que ce soit je mettrai toutes ces photos sur internet, donc il va falloir bien m'obéir à partir de maintenant."

J'ai envoyé les images à mon ancien portable resté chez moi, histoire de les sauvegarder quoi qu'il arrive, puis j'ai posé mon portable dans mon sac avant de revenir vers ma chère camarade de classe. Avec un petit sourire sadique j'ai défais son bâillon, la laissant s'exprimer librement, enfin pas tout de suite. J'ai planté deux de mes doigts dans son intimité, récoltant un peu de mon propre sperme avant de mettre mes doigts juste devant sa bouche.

"Lèche ça et je te libérerai."

Elle n'avait pas d'autre choix que de m'obéir vu la situation actuelle, j'ai attendu qu'elle le fasse, puis j'ai tenu parole en retirant l'écharpe qui lui contraignait les bras. Maintenant libre de ses mouvements, je l'ai laissée se dégourdir un peu avant de m'asseoir sur le rebord des toilettes, le sexe englué dans un mélange de sperme et de cyprine. D'une voix autoritaire j'ai exigé, rentrant dans mon rôle de maîtresse :

"Maintenant nettoie moi tes cochonneries Mélanie ! Et applique toi !"

 Soudain je sens quelque chose en moi  ! C'est très rapide et  ça me remplit l'intérieur. C'est tout chaud et bizarre. Une chose est sure : je ne suis plus une ravissante jeune fille innocente. Je me suis faite violée par ma voisine de table. Je ne pense pas qu'il y est plus humiliant que ça ! Une fois qu'elle a finie de me violée d'ailleurs elle prend son téléphone dans son sac et me prend en photo ainsi sous toutes mes coutures et les transferts dans son autre téléphone. Me voila peu rassurée, mais alors pas du tout. Elle m'explique que c'est son moyen de pression pour me faire obéir à ses ordres et en même temps elle me colle le téléphone sous les yeux pour me montrer l’authenticité des photos et que ce n'est pas un fake pour du mensonge. Ce qui me met dans la merde la plus totale d'ailleurs.

Puis après ça la voila qui vient alors me libéré d'abord une petite partie puis m'annonce un ordre.  Je lèche alors ses doigts en passant ma langue puis elle finit par me détacher vraiment. La voila qui s'enrôle à présent dans le rôle d'une dominatrice bien que je me cale contre la porte un petit instant assez choquée par la situation. J'attends un peu histoire de voir si c'est une blague. Puis je lui jette alors une phrase à la figure avec une voix toute tremblante un peu comme quand elle était avant ! 

-E... Est tu sérieuse Nagisa ? De m'ordonner de nettoyer ça ? 

Je la regarde en écarquillant mes yeux et en respirant et en tremblotant de plus en plus fort.  A forte raison que je m'agenouille au sol et que je n'arrive plus à bouger à cause de  la peur et que je suis à présent à sa merci ! Elle peut faire ce qu'elle veut de moi actuellement. Seulement on peut remarquer toute deux un détail dans la pièce : il fait bien trop chaud dans la pièce. Même après ce  que l'on vient de faire. C'est mon pouvoir du feu qui prend lentement le dessus parce que j'ai peur d'elle. Elle semble sérieuse dans ses dires, mais je ne flanche pas pour autant et reste la comme une légume à comprendre ce qui m'arrive. Si elle me puniras  et bien tant pis, mais pour l'instant j'essaye juste de comprendre.

Oh que oui j'étais sérieuse, au départ cette situation m'avait effrayée, mais maintenant j'y prenais goût. Fini les plaisirs solitaires dans les toilettes, maintenant j'aurai ma petite esclave rien qu'à moi. Je profite qu'elle soit à genoux pour lui ouvrir la bouche et lui enfoncer mon sexe dans la gorge, m'en servant moi même comme d'une lingette. Puis une fois bien nettoyée je commence à me rhabiller, laissant Mélanie comme elle est sans m'occuper d'elle. La sonnerie allait bientôt retentir et je n'avais pas envie d'être en retard. De toute façon son silence était assuré par mes photos, plus la peine de me préoccuper de son cas. Avant de partir je lui ai quand même dis :

"Rassure toi Mélanie, je te t'embêterai pas à l'avenir et tes photos personne ne les verra jamais, enfin tant que tu ne dis rien à personne. Mais si un jour tu as envie de remettre ça il te suffira de venir me le demander."

Pour finir je suis sortie des toilettes avant de ré-invoquer la créature qui allait jouer le rôle de Nagisa Hitomi désormais.

- Fin -