Coucher avec une femme qui n’était pas humaine, ne posait aucun problème de principe à Mélinda. Au contraire, c’était l’occasion de tomber sur des amants suffisamment performants et améliorés pour pouvoir pleinement la satisfaire. Du fait de leur courte longévité, et de leur réticence sexuelle chronique, les humains s’épuisaient généralement vite. Ici, Mélinda était tombée sur une HAC, une sorte de créature artificielle pour qui le sexe n’avait, semble-t-il, aucun secret. Elle était belle, forte, avec des formes voluptueuses, résistante, et endurante... Suffisamment performante pour lui faire passer un moment joyeux et torride. Mélinda ne pouvait que se féliciter d’avoir eu la sagesse d’esprit de venir la voir. Qui sait jusqu’où la relation entre ces deux femmes allait aller ? Derrière son air gentillet et un brin innocent, Yukie avait tout d’une perverse sexuelle, d’une dominatrice en puissance, ressemblant, en ce sens, à plusieurs de ses esclaves, qui portaient parfois fort mal le nom d’esclaves. Mélinda savait par exemple que l’une de ses chéries,
Ayumi, originaire d’Ashnard, se promenait parfois dans le parc le soir, afin de violer des lycéennes, des adolescentes, ou n’importe qui qui passait sous son nez... Autrement dit, il était difficile de proposer à Mélinda quelque chose qui puisse la choquer, tant sa conception du sexe était débridée.
Pour en revenir au moment présent, elle sentait qu’elle avait affaire à une sorte d’Ayumi mécanique, et ceci, loin de la réfréner, l’excitait follement. Elle sentit Yukie prendre son temps avant de la sodomiser, puis elle se rapprocha ensuite, ses douces, mais non moins fermes, mains se posant sur ses hanches, s’appuyant ensuite sur son cul, puis sa verge, impérieuse, s’enfonça en elle. Ce gros membre déboîta sa porte arrière, entrant comme si un piston venait de labourer son champ. Mélinda se tortilla et hurla, sous l’impulsion de ce membre, sous l’épaisseur impressionnante de ce membre turgescent, ce vif monstrueux. Une queue gargantuesque défonça son cul, la faisant pleurer, hurler, couiner, amenant ses griffes vampiriques à racler le sol. Les larmes venaient de la douleur intense qu’elle ressentait.
«
Haaaa... HAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAANNNNNN !!! HHHHHAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAANNNNNN !!! »
Mélinda avait pour habitude de beaucoup sodomiser ses partenaires. Il était rare qu’elle accepte d’inverser les rôles, et ce n’était pas parce qu’elle avait peur de ça... Au contraire ! La vampire adorait se faire défoncer, et l’Humaine Artificiellement Conçue la prenait lourdement, profondément, remuant encore en elle, son chibre s’enfonçant dans son corps, défonçant son anus. Ses parois internes étaient écartées rapidement, et, comme Yukie semblait aussi le réaliser, Mélinda était habituée à la sodomie. Par conséquent, son anus s’adapta assez rapidement à sa virilité. Il arrivait parfois qu’elle autorise certaines de ses esclaves, comme Ayumi, à la sodomiser, et, pour ses esclaves, défoncer le petit cul de la Maîtresse était un plaisir constant.
La vampire mouillait sur le sol, et, de sa bouche, de la salive s’échappait. Elle soupirait et grognait, et, au bout de nombreuses minutes, mais qui se terminèrent assez rapidement, elle sentit Yukie la soulever. Importante et massive, elle retourna alors la belle vampire, puis se coucha avec elle, maintenant son membre dans ses fesses... Un exploit assez impressionnant, que Mélinda expliqua par la longueur de sa verge, et par le caractère robotique de la femme. Elle était une humaine «
avancée », après tout.
«
Hummm... !! »
La vampire se retrouva entre les seins imposants de la femme, et mouillait sur elle, tout en couinant et en gémissant, avant de s’attaquer à ses seins, ses mains posées sur les hanches de la femme. Sa peau était aussi douce que celle d’un bébé, et, pendant qu’elle la prenait, Mélinda frottait son sexe contre sa peau, sa mouille glissant sur son ventre, l’approchant doucement de l’orgasme .Ses mains finirent par palper ses seins, pinçant les tétons, et elle alla embrasser goulûment l’infirmière aux cheveux roses, fourrant sa langue dans sa bouche.
«
Haaaaaaaaaaaa... Yu... Yuuuukieee, haaaaaannnn... !! Haaaaaaaaaaaaa... !! »
L’orgasme approchait, approchait... Et éclata violemment, dans de longs et profonds soupirs.
C’était
divin !