Bien le bonjour à vous tous ! Je viens par ce topic vous montré un de mais nombreux chapitres (du moins le seul qu'il me reste T.T) de mon remake du célèbre roman de Lewis Carroll, je site, Alice in wonderland !
L'Ambiance est bien différente de celle qui à bercée mon enfance, Adieu personnages édulcorés et gentiment farfelus ! Ici c'est un festival de déchets tous plus cinglés et malsains les uns que les autres.
j'aurais beaucoup aimer mettre aussi quelque uns des dessins en rapport au chapitre mais je ne connais aucun site d'hébergement qui serait à même d'accepter le contenu qu'ils affichent.
en espèrent que cela vous plaira :3
DOWN IN THE HOLE (second part of the fall)
(le personnage principale est alice le seul autre intervenant direct est le chat qui lui sera visible part une police de couleur pourpre, l'action ce passe dans un univers contemporain et non dans un univers Victorien comme c'est souvent le cas.)
PS : certaines choses sont "Abusait" dans cette œuvre mais rassurez vous, c'est fait exprès.
J'était assise sur ce qui était vraisemblablement le chiotte le plus crade que j'avait vue jusqu'à maintenant, en plus d'être bouchée sa cuvette était maculée de taches diverse, coagulée à d'innombrables poils pubiens. L'odeur en cet lieux était atroce, mais ici au moins j'était sur que personne ne tenterais de me violé...j'était au calme.
j'observais silencieusement l'environnement qui m'entourée en me demandant encore comment j'était arrivée ici. Il y avait de creusé dans chacun des deux murs qui m'entourées un énorme trou, des quelles suintés un liquide blanchâtre,crouteux et quelque peu gélatineux.
Le sol était jonché de détritus tous plus dégueulasses les uns que les autres, tampons usagés, préservatifs, rats morts,cafards écrasés et des dizaines de seringues éparpillées de ci et la.
Voila le genre de lieu du quel ont pouvaient dire qu'il y avait à boire et à manger.
Le fait de voire toutes cet seringues faisait me frissonnée, pas de peur, mais d'envie ! J'en bavée malheureusement je n'avais plus d'héroïne prêt diluer cet alors qu'une voie que je connaissait bien retentie derrière moi.
Hello miss ! Alors tu as réussi à fuir de chez les catins à ce que je voie. dit la voie sombre et lugubre sortant de nul part.
Hooooow Dina ou était tu !? je ne te vois pas ! montre toi ! lui dit je à la fois surprise et affolée.
C'est alors qu'un immense sourire carnassier apparu devant moi suivie de deux yeux révulsés.
Je n'étais pas loin tu sais, je suis toujours à tes cotés alice. n'est ce pas ce que je t'es dit lors de notre rencontre.
Oui je sais ma...
Chuuuuuuuuuuuuuut, cesse dons d'ouvrir ta petite bouche seulement bonne à manger des bites me dit il d'une voie sinistre, amusée et sarcastique toute en me couvrant la bouche de sa queue dénuer de poils.
J'ai t'es entendu te plaindre que tu n'avais plus d'eau pour diluer ton "sucre" ,mais douce enfant tu n'a cas utiliser ta propre pisse et cela fera parfaitement l'affaire hihihihihihihi !
L'idée qu'il me suggéra était parfaitement immonde mais....au fond il avait raison, je ressentais une horrible sensations, j'avais chaud et froid à la fois, et je tremblée....énormément c'était donc ca le "manque" dont m'avais parlée la duchesse ?
Biiiiieeeeeeeen ! Je pense que maintenant tu sais ce qu'il te reste à faire si tu veux pas crever comme une sale petite junkie ! ihihihihihihihihih dit il en faisant disparaitre son horrible rictus d'un revers de la queue en me laissant au passage un petit gobelet en plastique ainsi qu'une cuillère en argent.
Je me suis timidement accroupie tout en enlevant ma culotte, pour ensuite me laisser allée dans le petit gobelet que venait de me donné Dina. L'idée de m'injecter mon propre urine me donnée la nausée mais je ne voulait pas mourir, maman serait trop triste que je meurt sans lui avoir fait de câlin.
Une fois le gobelet remplie j'ai concassé un morceau du gros cailloux blanc que la duchesse m'avait laisser, pour ensuite le mélanger à ma pisse à l'aide de la cuillère en argent. Je pris alors deux petites seringues qui trainées là, les ai remplie puis me les suis injectées toutes les deux.
Dieu que cette sensation était agréable, je sentais mon corps défaillir, le néon crasseux et défectueux qui ce trouvé au dessus de ma tête semblé être un halo angélique, me protégeant des ténèbres de cet endroit. Toute la peur et l'anxiété que je portée en moi toute à leur, semblait avoir disparue, à la place mon corps ètait emplie d'une douce euphorie me portant plus loin que cette endroit misérable et puant.
Toute à coup une mains sortie du trou creusé dans le mur qui était à ma droite, je me suis approchée, curieuse de savoir ce que cette mains me voulait.
Bonjour petite main que me veut tu ? tu veux un bisou ?
Je me suis mise alors à rire, amusée par cette scène surréaliste. Jusqu'à ce que la mains soit remplacée par une espèce de chose longue, dure et puante qu'est-ce que cela pouvait bien être ? On aurait dit un appétissant bonbon, bonbon que je fis bien vite entré dans ma bouche, c'est vrai, après tout ce que j'avais endurée je pouvais bien me permettre une sucrerie !
La seule chose qui me gênée avec ce bonbon, c'était le gout ! Il avait un gout de moisie cela additionné à une odeur de poisson mort, beurk c'était pas terrible du tous !
Je continué néanmoins à le suçotait avec gourmandise.
C'est alors que là le bonbon ce mis à cracher un immonde liquide épais et gélatineux dans ma gorge avant de ce retiré de l'autre coté du mur crasseux, ne laissant de son passage que cette horrible sirop puant qui s'insinué entre mais petites dents. Le gout était tellement infâme qu'à plusieurs reprise j'ai tiré au cœur finissant par rejetée sur le sol de cette cage de céramique souillé, le désagréable gouté que je venais de mangé.
Je me suis ensuite assise a coté d'une poubelle emplie au ras bord d'une espèce de liquide noirâtre à la surface du quel flotté un énorme ras mort.
J'ai nonchalamment rempli une des deux petites seringues que j'avais trouvées, mais au moment de me l'injectée je la fit tombée dans la poubelle.
Maman ma toujours dit que gaspiller c'était mal, j'ai donc pris mon courage à deux mains, enfonçant mon avant bras tout entier dans cette écœurante substance. Le contact visqueux et nauséabond me fit vomir une deuxième fois. Et enfin, quand j'eu récupéré ce joujou malsain, je me suis empressait de me l'injectée, par peur de la refaire tomber dans ce trou puant.
J'ai fermé mais yeux...puis...
