[PV Bleiz ] Taxi !!

Allons bon … voilà qu’on refusait son ouvrage. Elle avait mis un an à l’écrire, c’était SON œuvre, sa plus belle histoire. Et on lui refusait. Généralement, ses histoires glauques, les gens se précipitaient dessus. Elle était affichée partout, nommée « grande romancière » et avait plusieurs prix sur les bras. Elle comptait tout rafler au prochain concours grâce à ce livre, mais c’était raté, définitivement ratée.

Tout ce projet fondu … elle héla un taxi, la voix quelque peu tordue par la pluie qui la frappait nerveusement depuis qu’elle était sortit de la maison d’édition. Et se jeta sur celui qui venait d’arriver, sans prévenir. Elle grimpa à bord. Et se rendit compte qu’elle n’était pas la seule à occuper ce taxi.

Oisiveté. Tel était le mot qui définissait Bleiz aujourd’hui. Il était sensé Chercher des esclaves pour l’organisation du scorpion noir mais aujourd’hui il avait décidé de s’accorder une journée de repos. Cela ne faisait pas si longtemps qu’il avait failli se faire tuer par un félin-garou et même s’il lui était arrivé une « bonne surprise » après cet incident, il avait décidé qu’il méritait bien une journée à lui. Il avait caché toute son matériel et toute ses armes dans le parc ou il était sur que personne ne les trouveraient. Il n’avait gardé que son couteau sur lui. Savoir que des créatures de Terra pouvaient se balader en ville l’avait décidé de reprendre sur terre, les habitudes qu’il avait acquis sur Terra. Il se promenait en ville depuis un moment quand la pluie se mit à tomber sans avertissement. Il n’avait rien contre un peu d’eau mais il n’était pas d’humeur à grelotter. Aussi quand il vit un taxi s’arrêter de l’autre coté de la route, il fonça et s’y glissa le plus rapidement possible. Si rapidement qu’il ne s’était pas rendu compte que quelqu’un d’autre était monté dans se taxi. Une jeune femme, belle, fine et pâle, légèrement mouillée par la pluie le regardait d’un regard étonné.

-Bonjour ! Dit bleiz en souriant. Vus le temps qu’il fait cela vous ennuie t’il que l’on partage ce taxi ? Je me présente je m’appelle Bleiz.

Plutôt étrange. Elle pensait être tombé sur quelqu'un qu'elle aurait était forcée de frapper pour garder sa place dans ce taxi. Mais non, loin de là. C'était quelqu'un d'accueillant. Elle s'apprêtait à repondre quand son portable sonna violemment, repandant le son de "BLUE, the birthday Massacre" dans le taxi. Elle decrocha rapidement.

- Hallo ? demanda t'elle avec un accent allemand terrible. ( c'était sa maniére de decrocher le téléphone )
- Blanche Neige ! Gut !
- Was passiert ?
- Hum ... Dein Buch. Ich kann lesen ?
- Oh ... Ich kann nicht jetzt. Danach ?
- Ja, kein Problem. Ich kann kaufen dein Buch !
- Oh danke shön Allan ! Tu bist wondershön !

Elle raccrocha. Elle avait un allemand epouvantable. Elle eut un sourire.

- Je suis Blanche Neige, romanciére. Assez connue dans les capitales, mais nullement ici. Ce qui ne me derange guère, pour tout vous dire.

Elle fit signe au taxi de demarrer, omettant de dire que pas mal de gens la détestait à cause de ses livres gores et glaucques pour certains.

Elle allait lui répondre lorsque son téléphone sonna. Elle décrocha rapidement et se mis à parler allemand. Entendre cette langue rappelait à Bleiz l’époque ou il suivait des cours d’allemand quand il était à Genève. Il l’observa durant le temps qu’elle passa au téléphone. Elle n’était pas désagréable à regarder. Une belle femme fine. Son maquillage un peu étrange n’enlevait rien à la beauté de son visage. Elle raccrocha et dans un sourire elle lui répondit.

-Je suis Blanche Neige, Romancière. Assez connue dans les capitales, mais nullement ici. Ce qui ne me dérange guère, pour tout vous dire.

Le Taxi démarra à son signal.

-Blanche Neige ? Ce nom ne me dit rien mais cela fait un moment que je n’ai plus lus de romans. Pour ma pars je travaille dans l’import export mais je me suis accordé quelques jours de repos aujourd’hui. Avec ma chance il faut que ce soit un jour de pluies.

Il espérait que la destination qu’elle avait indiquée n’était pas trop proche. Ce n’était pas si désagréable de discuter avec cette demoiselle.

Blanche Neige eut un sourire. Elle éteignit son portable, et s'apprêtait à sortir une cigarette quand elle se souvint qu'elle ne pouvait pas fumer. Elle la rangea rapidement, et plaça son sac avec son bouquin dedans à ses pieds. Effectivement, la destination était lointaine, l'hotel de la belle se trouvant à 2h de route. Tout ce trajet pour un refus ... Elle grommela et resista à l'envie de fumer.

- Je suis souvent traînée devant les tribunaux et je ne m'en sors qu'avec mes fans. Grâce à eux seulement. Il y a peu, une tarée utilisait mes bouquins pour charcuter ses victimes, notamment ma soeur. Ma soeur jumelle fut tuée lors de sa dernière " oeuvre ".( elle déglutit et soupira longuement ) Je n'ai pas une vie reluisante, je bois, je fume, je fais n'importe quoi, et pourtant j'ai un ami et des fans merveilleux qui me soutiennent. Allez savoir pourquoi !

Elle eut un sourire. Elle gardait toujours ce ton froid, ne montrant aucun sentiment quand elle parlait de sa soeur jumelle. Aucun sentiment ne passait au travers de sa gorge dans ce genre de moment. Elle le regarde tout de même avec un sourire ravi.

- Si vous passez dans une librairie, vous verrez. Soit on m'aime, soit on le hait! C'est tres amusant cette agitation autour de moi !                

Et ben ! Sa vie était pour le moins un peu hors de l’ordinaire pour quelqu’un qui vivait sur terre. Bleiz lui, vivait bien sur une vie dangereuse mais il n’avait pas encore connus de choses aussi horribles comme la perte d’un être cher.

-Personnellement j’ai également eus quelques épisodes assez agité dans mon travail. Certains clients étaient pour le moins peu enclin à coopérer et me le faisait savoir d’une manière quelquefois violente. Mais Bien sur rien de comparable à vous

Il apprécia son sourire. Elle était vraiment jolis malgré son coté sombre. Il se dit que le voyage en taxi serait intéressant.

-Lire un de vos livres ? Oui pourquoi pas ? Et même si je n’aime pas votre œuvre ça ne m’empêchera pas de vous apprécier. Enfin moi je suis plutôt un lecteur d’Heroic-fantasy la plupart du temps…Ou encore de livre érotique

Il avait dit cela sur le ton de la plaisanterie il voulait savoir comment allait réagir sa partenaire de taxi.

Blanche Neige eut un sourire en entendant la derniére proposition. Elle enleva sa ceinture - au diable ces choses douloureuses et chiantes - , se rapprocha de lui avec un sourire, en secouant dans sa main un bouquin.

- Je vous propose ce livre - sans evidemment faire ma pub. Une merveille erotique, j'ai surpassé le meilleur au concours ! on en dit beaucoup de bien, et j'ai mis beaucoup de coeur à l'ecrire ...

Puis elle revint à sa place en le rangeant dans sa sacoche qui menaçait de rendre l'âme chaque fois qu'elle la portait, un sourire ravi au lévres.

- Mais tout se paie, mon cher ! dit elle avec un ton amusé et en lançant un clin d'oeil.

Elle eut un sourire amusé. Ce genre de jeu l'amusait vraiment ...

Elle lui tendit un livre et il eut juste le temps d’en lire le titre avant qu’elle le range dans sa sacoche avec un étrange sourire.

-Mais tout se paie, mon cher ! dit elle avec un ton amusé et en lançant un clin d'œil.

Tiens tiens. Il semblerait qu’il n’était pas le seul à avoir des pensées déplacées dans cette voiture. Était-ce une invitation à écrire eux-mêmes leur propre scenario ? L’idée n’était pas pour déplaire à Bleiz. Il détacha également sa ceinture et tendit le bras et passa légèrement son index sur la joue de Blanche neige. L’ambiance très légèrement érotique de cette voiture tendait légèrement une certaine partie de son anatomie.

-Et quel serait le prix pour un ouvrage donné par la main même de son auteur ?

Dit-il avec un petit sourire pervers.

Blanche Neige eut un nouveau sourire et se pencha davantage vers l'homme, les yeux petillants. Elle prit la main de Bleiz et l'abaissa. Elle glissa sa main, la faisant avancer sur la banquette comme une petite araignée, et s'arrêta avant de toucher Bleiz.

Cette même main glissa sur un interrupteur, et une vitre teintée s'installa entre le chaufeur et les deux passagers.

Elle s'approcha davantage, jusqu'a être à quelque millimétres de lui.

Elle passa sa main dans son dos, et deposant un doux baiser sur ses lèvres ...

- Tout ceci vaut relativement cher, Bleiz ... J'espére que je ne t'endetterais pas ... dit elle d'une voix bien feminine et sensuelle.

Une vitre teintée ? Quelle bonne surprise. Il n’était pas un grand adepte de l’exhibitionnisme mais se demandais comment il pourrait tenir tout le voyage. Ainsi ils avaient deux heures devant eux pour faire plus amples connaissance. Elle s’approcha donc, jusqu'à ce mettre à quelques millimètres de lui. Elle lui caressa alors le dos et déposa un doux baisé sur ses lèvres.

-Tout ceci vaut relativement cher, Bleiz ... J'espère que je ne t'endetterais pas ... dit elle d'une voix bien féminine et sensuelle.

Ainsi elle passait au tutoiement ? Fort bien.

-Ne t’inquiète pas petite princesse. Je pense avoir assez sur moi pour plusieurs livres même. Dit-il en la transperçant du regard

Il l’enlaça et l’attira contre lui. Il l’embrassa avec force mais sans violence. Avec passion.

Elle eut un rire tendre, un petit rire qui vous fait sourire, ou rougir pour les timides. Cette repartie, ce genre de petites phrases à la volée ... elle adorait ça. La pluie commença à battre plus violemment les vitres, ce qui fit sourire la belle. Elle aimait entendre la pluie taper aux vitres, elle adorait ça ...

Elle se laissa aller contre lui, faisant glisser sa main sous la chemise de Bleiz, et l'embrassant passionement, dans son elan.

- Je sens que je vais encore remporter le concours ...

Il sentit sa main sur son torse et enleva son débardeur. Il se remit à l’embrasser. Ses mains parcoururent le corps de la belle et caressèrent son dos. Il se remit à l’embrasser et passa de sa bouche à son cou. Quelquefois entre deux embrassades, il la mordillait légèrement ce qui avait pour effet de la faire frissonner. Ses mains, descendirent légèrement de son dos et caressèrent ses fesses avec douceur.

-Si tu souhaite gagner le concours il va falloir faire preuve d’imagination.

Elle eut un nouveau sourire en sentant ses mains se balader sur sa peau et son corps. Un frisson de plaisir parcourut sa peau. Elle eut un sourire de nouveau a sa replique, et fit glisser le haut de de sa robe, continuant les caresses et ses baisers, sa main droite allant se balader dans le pantalon de Bleiz. Elle eut un regard foudroyant.

- Ne suis-je pas une ecrvivaine à succés ? dit elle de sa même voix.

Elle avait fait glisser le haut de sa robe et Bleiz put contempler sa délicieuse poitrine. Il sentit ensuite sa main droite se balader sur une partie très précieuse de sa personne, ce qui eus pour effet de l'exiter encore plus. Elle le fixa d'un regard plein de sous-entendus

- Ne suis-je pas une écrivaine à succès ?

Il caressa sa poitrine avec douceur. Il insista légèrement sur les tétons. Puis il le pris en bouche, les léchant et les mordillant. passant d'un sein à l'autre. Sa main droite vins se poser sur la main qu'elle avait posée sur son membre. Il quitta alors sa poitrine et dit:

-Et bien Mme l'écrivaine, montrez moi comment vous manipulez mon stylo.

Ce genre de défi littéraire amusait avait comme effet de faire sourire la jeune femme. Un propos plein de sous entendu, qui 'invitait à s'amuser encore plus dans cette voiture. Même si elle savait qu'elle ne reverrait pas cet homme en sortant de ce véhicule, elle voulait jouer, s'amuser ... Il l'excitait tellement ...

Elle laissa glisser sa bouche sur le cou de Bleiz, descendant le long de son torse, avec douceur et tendresse, afin de se faire désirer encore plus. Davantage... Sa main retira l'ouverture du pantalon de Bleiz, faisant sauter son bouton et glisser la fermeture éclair. Elle s'approcha davantage de lui, et glissa sa bouche imperturbable sur le membre de l'homme.

Alors commença un papillonnement de baisers sur le membre de Bleiz, ses lèvres rouges se baladant sur son sexe, et sa langue tout d'abord timide se glissa hors de ses lèvres, pour venir caresser son sexe tendu. Elle prenait en bouche timidement le bout du membre de l'homme, sa langue tournant autour de son gland. Puis elle se pencha davantage et le prit totalement en bouche, les vas et viens doux puis plus rapides.