Chaleur des brumes (libre)

Elesie marchait dans les couloirs de l'internat, elle ne croisait personne, les pièces étaient totalement vides et pas un bruit ne résonnait si ce n'est que les bruits que laissaient ses pas à mesure où ils percaient l'air pour toucher le sol. Elle suivait les lumières qui émanaient de chacune des portes, ellecherchait les douches... Elle finit par sentir un froid se glisser en elle, la jeune humaine étaiit bien devant les douches,elle poussa délicatement le morceau de bois qui la séparait des douches, elle garda les yeux grands ouvert devant cette scène des plus banales. Les murs étaient cachés par des délicieuses mosaïques bleutées, refletant ainsi la blancheur et la propreté du sol. Elesie se déchaussa puis marcha jusqu'à un de ses bancs, déposa en dessous de celui ci ses deux souliers de cuir noir. Elle était très pensive si bien qu'elle avait oublié de fermer la porte,elle commenca par détacher ses cheveux délicatement, lorsqu'ils retombèrent sur son dos ils firent quelques ondulations capturant la lumière dans des reflets couleur de l'ébène, elle délaca son corset, qu'elle finit par hauter, elle ne portait pas de soutien gorge, la jeune femme preferait mettre sa poitrine en valeur par le serrage du corset plutôt qu'un faux rembourrage de poitrine, elle défit le seul et unique noeud qui servait à soutenir sa jupes de dentelles et de soies sur ses hanches, celle ci retomba en tube doucement à terre, laissant entrevoir la belle culotte de dentelle dont s'était vetu l'humaine... Elle posa sa main sur l'autre, la remonta sur son épaule à l'aide d'un seul doigt, passa sur un de ses seins en effleurant à peine ses chairs, posa sa main à plat sur son ventre puis décendit par les coté ce petit bout de tissus qui cachait son sexe, elle était désormais nue,elle pouvait rejoindre le point d'eau...
Elle continuait à marcher vers les eaux, posant ses pieds nus sur ce sol si froid, puis s'empressa de tourner la poignée en mettant l'eau chaude, l'eau, à mesure qu'elle tombait sur Elesie formait par moment des gouttes ruisselantes sur ses lèvres, elle touchait ses cheveux encore et toujours, elle évacuait toutes ses mauvaises pensées en fermant les yeux, quel spectacle magnifique... L'eau chaude , au contact du sol froit faisait remonter une lègere brume vers le haut...

Si je me fait prendre je vois vraiment pas ce que je pourrais bien dire.

C'était au moins la 5eme fois que Bleiz ce faisait cette réflexion. En vérité à chaque crissement de ses rangers sur le sol du couloir, à chaque bruit plus haut que l'autre venant des chambres, même à chaque craquement de ses articulations il se le répétait. Déjà qu'un homme de plus de 20 ans se baladant dans les couloirs d'un lycée n'était pas vraiment normal, s'il était couvert de sang, cela l'était encore moins.

Et dire qu'il avait décidé de chasser sur terra car il pensais que cela serait plus facile. Il avait repéré cette jeune fille dans la rue depuis un petit moment et c'était mis à la suivre. Mais au détour de la ruelle qui menait au lycée il l'avait perdu de vue. Le bruit d'un oiseau s'envolant lui avait sauvé la vie. En regardant vers le haut il avait vus la "jeune fille" lui tomber dessus toutes dents dehors. Le chasseur était en réalité la proie et la proie, était en réalité un félin-garou.

Il n'étais même pas venus à l'esprit de bleiz que le portail qu'il avait franchi sur terra pour arriver au parc de Seikusu, n'était peut-être pas le seul et qu'il n'était surement pas le seul à le franchir. Il avait réussi à ce sortir de ce problème sans être blessé, mais pas sans tuer la créature. Il était couvert de sang et s'il se promenais en ville dans cet état pour rejoindre le parc, il risquait de tomber sur la police ce qui ne l'arrangeais pas. Il avait donc rangé son épée dans un endroit sure et était discrètement entré dans le lycée, qui était juste à coté, pour tranquillement se laver. Vus l'heure il n'y avait quasiment aucun risque de se faire prendre. Cela ne l'empêchai pas d'être soucieux.

Il arriva enfin en vus des douches. Lorsqu'il arriva à la porte son cœur s'arrêta. Ses oreilles avaient entendu le son caractèristiques de nombreuse gouttes d'eaux tombant sur le carrelage des douches et son odorat avait senti l'odeur de la vapeur d'eau

Et MERDE! Combien de chance j'avais pour que quelqu'un se serve des douches à une heure pareil.

Bleiz allait faire demi-tour et sortir du bâtiments, préférant prendre le risque de se promener dans la rue couvert de sang, mais il entendis soudains des pas dans le couloir. N'ayant pas le temps de pester sur sa malchance ni de trop réfléchir au solutions possible, il entra dans la douche et referma la porte, de la manière la plus discrète et la plus rapide dont il était capable.

D'après le son, il avait déduis qu'une seul personne se douchait. Il ignorait comment cette personne allait réagir à son entré mais il n'y avait pas vraiment réfléchis.

qu'est-ce que,... oh...
Elle entendit un bruit sourd surgir du couloir, des bruits de pas sans doute, ils ne cessaient de s'avancer vers elle, il était tard, peut être même un peu trop tard pour prendre une douche, mais Elesie n'avait plus la valeur du raisonnable et de l'insoucience... disons que pour le coup elle était naïve et inconsciente des risques qu'elle prenait... les bruits, puis violents que les siens, franchissaient à grand vtesse le peu d'air qui l'encerclait puis en retombant au sol faisait trembler le petit bout de terre qui encerclait le pas... Elle se retourna mais toute cette brume l'empêchait de voir, elle distingua aucun souffles, aucune lueur d'ombre, plus foncé que la nuit, seul le cliard de lune passant par quelques fenêtres éclairait la pièce... En observant bien on pouvait voir des reflets bleus, bleu de lune ou bien bleu de son regard, elle se sentait à l'aise malgré tout les doutes qui lui passait dans la tête...

Elle laissa l'eau allumée, aprés tout rien ne l'en empêchait, elle aimait sentir l'eau couler sur son corps, caressant en un seul passage saon visage et ses jambes, elle plongeait à grand pas dans son âme s'offrant à toutes réflexions sur son passé, elle continuait en même temps de faire danser ses mains sur ses chairs, son père venait d'avoir un infarctus, on le lui avait communiqué il y 2 heures, c'est peut être pour cela qu'elle ne réagissait pas aux bruits et aux ombres, en même temps qu'elle pensait au cerceuil qu'elle allait choisir pour y mettre son paternel, le sourire bien que non méchant lui vint aux lèvres, comment résister à la joie de s'avoir qu'il allait enfin payer pour ses actes, la mort était le meilleur remède...

Elle se remit dos à la salle, face aux jets d'eau, elle récupérait l'eau comme les nymphes le font à la fontaine, elle pris un peu de savon et commenca à en parsemer son corps, un doux savon aux senteurs digne d'un elixir sensuel et fruité, jamais elle ne connu meilleur extase que ce doux parfum... elle mis ce savon dans sa main droite, partit de son buste fragile, decendit sur sa poitrine descenda vers son vagin en passant par les courbes de son ventre et fini par toucher son pubis... Au contact du savon sur sa partie la plus sensible elle le lacha... surprise par un soupson de plaisir. Elle passat ses deux mains dans son dos, frottant avec délicatesse en descendant vers ses fesses, l'eau s'occupait du reste, la source faisait descendre le savon à mesure ou il touchait le corps, un spectacle des plus banal, auquel on y aurait presque jamais prêté attention, mais Elesie le vivait comme un moment extraordinaire...

Cela faisait 5 minutes que Bleiz était entré dans la douche. La personne qui était présente n’avais pas le moins du monde réagit. Pourtant elle ne pouvait pas ne pas l’avoir entendu rentrer. Bleiz sentait qu’on l’observait, mais avec toute cette brume, on n’y voyait pas à plus d’un mètre. Le guerrier aurait pus attendre que la ou les personnes qui se baladais dans le couloir ne soit plus en vus et ressortir, mais il se dit que étant donné que la personne n’avait pas crié il pouvait bien en profiter pour se laver. De plus, il n’aurait sut dire comment, mais il aimait assez sentir se regard sur lui. Il avait remarqué les vêtements que la personne avait laissé sur le banc et en déduits que c’était une femme, assez élégantes qui plus est.

Il retira son manteau et son débardeur qui était couvert de sang et les plaça sous un autre pommeau de douche. Il hésitât légèrement à retirer son pantalon et ses sous-vêtements mais après tout, la jeune fille qui se trouvait là était tout aussi nue que lui. Et d’après une brève analyse de ses vêtements, ses formes ne devaient pas être désagréables à regarder.

Il entendit le bruit de quelque chose qui tombait par terre. Sans doute un morceau de savon. L’image d’une charmante jeune fille se penchant en avant pour ramasser un savon provoqua chez bleiz une certaine réaction an niveau du bas ventre. Il fut bien heureux que la brume cache cette réaction parce que la vus d’un grand mec baraqué couvert de sang avec une érection n’était pas des plus rassurante pour une jeune fille.

Il se plaça sous le pommeau qui était à coté de celui sous lequel il avait placé ses vêtements et commença à faire couler l’eau des deux pommeaux de douche. Même s’il avait mis l’eau suffisamment chaude, il devrait malgré tout frotter énergiquement pour enlever le sang qui avait déjà légèrement séché. Il commença par nettoyer ses vêtements, heureusement ils n’avaient pas trop absorbé le sang et il les nettoya suffisamment pour que cela ne se voie pas. Il passa ensuite à son propre corps. Il enleva celui qui recouvrai son visage et commençai à nettoyer son torse.

Elesie continua sa douche en toute tranquilité,mais dès lors que son pommeau de douche cessa de couler, elle continuait d'entendre cette mélodieuse eau, plus exactement l'eau se déversant sur le corps de quelqu'un, un puissant sentiment de désir l'envahissait elle était guidée par ses pulsions, pourtant elle savait bien que la curiosité était un mauvais défaut mais il était aussi à l'issue de ses débauches... Au fur et à mesure qu'elle s'approchait du bruit elle se mordait les lèvres, puis jouait avec sa langue, elle jouait souvent avec le bijou qu'elle avait dans sa langue, certains aurait pu trouver ce percing vulgaire mais elle aimait beaucoup les effets que cela donnait lors d'un baiser...

Elle regarda au sol et vis l'eau teintée d'un rose clair, surement un liquide rouge et à en juger les traces que cette eau laissée sur ses pieds, cette substance devait être du sang... La jeune femme n'entendais aucun bruit inquiétant elle jugea que ce n'était pas la peine de se faire des films sur l'origine de ce flots de sang, peut être au contraire que quelqu'un était blessé... Elesie prit par son élan continua d'avancer toujours en direction de cette source de chaleur, on ne pouvait pas très bien savoir si cette source de chaluer émanait d'elle ou bien de l'eau, en tout les cas elle commencait à distinguer le corps d'un homme, un homme plutot musclé et grand... Elle ne pouvait pas s'arrêter en si bon chemin, après tout elle aimait ce genre d'enjeux.

Elle y voyait clair maintenant, elle était derrière lui , Elesie le regardait frotter énergiuement son corps, elle s'imaginait à la place du torse de l'homme, sous cette grande main, sous cet engin de désir... Elle continuait à l'observer avec beaucoup de discretion, son fessier était parfait, quant à ses muscles, si seuleument il avait un défaut... Elesie Vénus espérait qu'il allait la rejeter afin d'éviter de s'attacher à lui l'espace d'une soirée...
Mais tout d'un coup l'eau du pommier de l'homme s'arreta et on entendis le souffle délicat d'Elesie...

Bleiz avait entendu l’écoulement d’eau de la douche de la jeune fille s’arrêter. Il fut nullement effrayé ou inquiété. Il continua à se nettoyer. Il avait quasiment finis de nettoyer les dernières traces de sang qui lui restait sur le corps. Tout en ce nettoyant il entendait les pas léger et discret de sa compagne de douche. Elle devait avoir remarqué le sang qui se mélangeait à l’eau mais elle ne semblait pas avoir pris peur. Elle continuait d’avancer dans sa direction et il se demandait bien ce qui pouvait passer par la tête de cette jeune fille. L’idée qu’elle avait peut-être remarqué l’état de son entrejambe frôla son esprit. Il se mit à imaginer ce qui pourra bien se passer s’ils s’avéraient qu’ils soient tout les deux au gout de l’autre. Bleiz venait de terminer un combat et Il savait que la violence et le désir étaient tous deux très proches au niveau de l’esprit. Et ce même si le sexe n’avait rien de violent. Son érection ne fit que grandir et son souffle devint légèrement rauque.

Lorsqu’il sentit qu’elle était juste derrière lui, il arrêta l’écoulement d’eau et sans se retourner se mit à parler :

-Vous pourriez être assez aimable pour me dire s’il m’en reste dans le dos ?

Elesie ne répondit pas, elle aimait beaucoup ce timbre de voix qu'elle qualifiait de  mystérieux... Plutôt que de s'attarder à lui décrire l'endroit précis où le sang restait elle s'avanca doucement de lui, l'espace qui la séparait de lui était mince, elle ralluma l'eau, celui de ne pouvait apercevoir que la main de la jeune fille, main fine légère et pâle, elle arrosa sa main d'un fluide fil d'eau puis le passa sur le dos de l'homme, frottant doucement le bas du dos , frottant le sang qui restait là sur ses chairs à lui donner une touche de couleur...
Elle venait de finir d'enlever la tâche de sang, mais une irrésistible envie de s'approcher encore de l'homme la surpris, elle s'avanca doucement, et glissa sa main sur le torse de l'homme, elle était toujours de derrière son dos...
Une mèche de cheveux viens toucher les chairs de l'homme, Elesie ne cessait de se mordre la lèvre inférieur, et au contact du corps de l'homme et de sa main, l'eau coulait encore sur elle, amplifiant les frissons qu'elle retenait en elle.

Il en restait... encore par ici...
Sa voix était douce et mélodieuse, à la fin de ces quelques mots un petit gémissement surgit, pas vraiment comme ceux que l'on émet pendant une extase mais le prolongement d'un silence parsemé de sons s'achevant par un souffle frais sur le corps de l'homme

Elle ne répondit pas. Elle entreprit de nettoyer elle-même le parti qui vraisemblablement devait avoir encore un peu de sang. Le contact de sa main sur sa peau le faisait frissonner. La brume et le quasi silence le faisait se sentir comme dans un rêve. Elle cessa de frotter son dos, mais pas de le toucher. Il senti qu’elle s’approcha et il vit une main se poser sur son torse. Elle était fine et l’endroit d’où elle dépassa laissait supposer qu’elle n’était assez petite. Il senti une mèche de cheveux toucher son dos et frissonna à nouveau.

-Il en restait... encore par ici...

Enfin il entendait sa voie douce et mélodieuse. Une tel voie ne pouvais appartenir qu’as une femme magnifique. Il avait envie de se retourner et de la contempler mais ce petit jeu lui plaisait assez. Le léger gémissement qui avait ponctué la fin de sa phrase l’excita encore plus. Il tourna légèrement la tête et eus un bref aperçus de son visage qui était tout sauf repoussant. Il se mit à parler

-Cela vous arrive souvent de nettoyer le dos des inconnus, Pour une belle jeune fille comme vous cela est risqué. Vous pourriez tomber sur des personnes peu recommandables.

Elesie souriait tendrement aux paroles du jeune homme, il était assez drôle de constater qu'il pensait exactement ce qu'elle s'était dit lorsqu'au début elle entendit des bruits de pas, elle ne pouvait qu'aquiscer ce que venait de dire le bel homme... Oui ce bel homme, lorsqu'il tourna un peu son tête de profil elle put apercevoir ces traits virils qui marquaient son visages , elle n'avait qu'une envie lui tourner sa tête définitivement coller son corps contre le sien, poser délictement sa main droite sur la belle joue de l'homme, poser son autre main sur le torse resplendissant puis lui offrir le baiser qui marquerait cette rencontre, mais elle n'en fit rien... Elle tenait elle aussi à faire perdurer ce jeu, à faire n'être l'extase par les mots et les caresses, puis improviser...

Elesie se sentait attaché à cet homme comme ci elle était en quelque sorte soumise à son désir, elle n'enleva pas sa main de sontorse bien au contraire elle effleura du bout des doigt ses pectoraux, comme un glissement infini de caresses suprême... Elesie rapprocha sa tête de l'homme et colla ses lèvres qui aux mouvements de ses frissons fit déposer un baiser sur son épaule...

Ne vous est il pas non plus traversé à l'esprit que je fasse partit de ces personnes peu recommandables...

Bleiz sentit les caresses de ses lèvres contre son épaule puis à nouveau, il entendit cette voix mélodieuse.

-Ne vous est il pas non plus traverser à l'esprit que je fasse partit de ces personnes peu recommandables...

Une telle réponse laissait envisager une suite plus que sympathique. Il laissa tomber sa main gauche contre son corps, puis chercha le contact avec sa jambe. Il senti un léger frisson lorsqu’il la toucha. Il remonta sa main lentement afin de savourer les sensations que cela provoquais aussi bien chez lui que chez elle. Il senti, au touché la finesse de sa cuisse et arrivé en haut il hésita un instant. Sa main allait elle continuer ses caresses vers le fessier, ou allait elle aller vers l’avant ? Il se dit qu’il allait laisser l’avant pour plus tard et se mit à caresser ses fesses avec deux doigts.
 
-Je m’entends plus facilement avec les personnes dites « peu recommandables ». Elles sont souvent plus intéressantes et ont plus d’imagination

Sa main droit pris celle qui lui caressait le torse, et tout doucement, il la guida vers son entrejambe.

Elesie vint se mettre face à lui entre son corps fait de muscles et le mur froid de la douche, l'eau coulait à torrent, mais pour rien au monde elle éteindrait l'arrivée d'eau, ils étaient tous deux sous cette eau chaude qui perlait au contact de leurs tétons... Elesie attrapa de sa main la tête de l'homme et lui caressait en même temps son cuir chevelu, sous l'eau tout prenais une dimension différente, chaque gestes ne pouvait être que doux et leur souffles s'entendait bien plus à cause de la brume chaude qui émanait du sol...

Elle rapprocha sa tête toujours plus près de la sienne, monta sur ses pointes de pieds, elle aurait presque pu avoir la carrure d'une danseuse, fine, s'élancant vers le haut tel un saut d'ange... Elle était maintent face à lui, tête à tête à chaque mots qu'elle prononcerait ses lèvres n'auront pas le choix et effleureront celles de l'homme, elle ne souhaitait qu'une chose, qu'il la traite avec douceur et brutalité à certains moments, faire monter en elle un elixir parfait, après tout, avec la scène qui venait de se passer, c'était plutôt bien partit,elle aimais de plus en plus s'adonner à ce petit jeu...

Y a t'il un nom à mettre sur ce si bel homme?

Son corps subissait trop de sensations agréables lorsque ses lèvres bougeaient sur les siennes pour parler, rien de plus délicieux que de toucher l'âme d'un être étranger... Son corps suivait sa respiration remontant à certains moments sa poitrine vers le haut, effleurant encore et toujours le torse de l'homme, l'eau ne cessait de couler sur leurs visages, venait se glisser pafois entres leurs bouches, donnant à leur intentions un acte...

Elle se glissa entre lui et le mur. La beauté de son visage et la perfection de son corps animai un brasier chez bleiz qui pouvait se voir dans ses yeux. Elle lui attrapa la tête et caressa ses cheveux. Elle se mit sur la pointe des pieds, et colla son visage à peine à 1 millimètre du sien. Puis elle prononça cette simple phrase :

- Y a-t-il un nom à mettre sur ce si bel homme?

En parlant ses lèvres avait touchés le siennes et cela provoquait une réaction que la jeune fille ne pouvait ignorer. La respiration de sa compagne devenait saccadée et forte Soulevant sa poitrine et la faisant frôler son torse. La sensation de l’eau coulant sur leur corps respectifs était délicieuse. Il Désirait cette femme. De tout son corps il voulait la faire sienne. Il voulait la prendre, la posséder. Il voulait qu’elle ne soit plus qu’as lui et que rien d’autre pour elle ne compte. Il voulait être le maitre de son corps et de son âme. Il la dévora du regard et répondis

-Mon nom est il vraiment important ?

Puis il l’embrassa. D’abord tendrement puis de plus en plus sauvagement en poussant son corps contre le mur et en se collant au sien.

Elle ne voulait pas lui répondre, elle ne voulait pas dire mots, elle ne voulait surtout pas cesser de lui offrir ses lèvres pour de si beaux baisers, la nuit promettait d'être longue,... Elle sentait par l'intensité de ses baisers qu'il commencait à s'attacher à elle, ce qui n'était pas des plus déplaisants, elle aimait vraiment la manière dont il caressait sa langue, puis ses lèvres... son menton... elle lui embrassa à son tour de milles sortes sa bouche, mordant ses lèvres, sucant sa langue, jouant parfois à cesser de le toucher afin qu'il vienne chercher ce baiser... Elle descendit en lui sucant les chairs jusque dans son cou, elle aimait la texture de sa peau, ce goût, le parfum qu'il dégageait...

L'eau ne cessait de couler, toujours en unifiant leurs deux corps, les cheveux d'Elesie quand à eux étaient libres sous ses eaux, quelques mèches de cheveux venaient se glisser sur ses lèvres, Elesie n'osa pas les enlever,elle était trop pressé de toucher encore l'homme, trop pressé d'avoir des contacts... Le moindre mouvement était important, que ce soit prévu ou par hasard, comme lorsqu'il glissa sa main derrière son dos, mais qu'allait-il vouloir faire... Elesie se laissait emporter par l'Homme,elle s'offrait à lui...

Vous avez raison, mais je tiens à savoir quel nom crier à chacun de mes frissons...

-Vous avez raison, mais je tiens à savoir quel nom crier à chacun de mes frissons...

Elle avait dit ces simples mots avec un air mutin adorable. N’aurait-il donc aucune limite au désir qu’elle pouvait provoquer chez lui ? Il continuait à l’embrasser en pressant son corps contre le sien. Ses mains parcouraient chacune des fibres du corps de sa partenaire. Il lui caressait le dos, les seins, les fesses, les jambes. Aucune partie, même la plus infime qui soit n’échappait à ses mains. Il plongeait son regard dans le sien et y lut tout le désir qu’elle éprouvait pour lui. Il l’as regarda d’un air dur, mais non menaçant. Il voulait lui faire comprendre qu’il menait la dance mais qu’il ne la forcerait en rien. Il voulait la posséder, la conquérir mais pas la violer. Elle lui avait à nouveau demandé son nom. Et elle l’avait demandé d’une manière des plus agréables. Il ne voulait pas révéler son identité aussi facilement. Aussi répondit-il de cette manière. Il l’empoigna délicatement, mais avec force par le coup plaça son visage tout prêt du sien et dit.

-Si tu désire vraiment me nommer, tu peux m’appeler « maître ». C’est compris ?

Et il l’embrassa à nouveau. Un peu plus violemment que la première fois. Il quitta ses lèvres et embrassa son cou Il le lécha, le mordilla. Il aurait bien voulu faire avec sa bouche ce que ses mains avaient fait, mais elle devait être la première à se baisser. Il remonta avec sa langue, depuis son cou jusqu'à ses lèvres, puis il l’embrassa à nouveau. Il se détacha de son visage, la regarda dans les yeux et lui dit

-Dit maintenant à ton maître comment tu t’appelle et comment tu compte lui témoigner ton affection.

Elesie aimait ce genre de jeu, elle trouvait bien étrange de nommer quelqu'un maitre mais après tout elle n'y voyait aucunes objection...bien au contraire,elle avait bien l'intention à son tour de le faire se languir encore, elle ne lui donna pas son nom, elle ne le regardait même pas, elle l'embrassait puis d'un seul coup elle le plaqua contre le mur des douches, toujours accompagnée par l'eau...

Maintenant laisse moi te prouver de quoi les esclaves sont capables,...

Elesie embrassait son corp, commencait par mordiller ses oreilles, glissa ses mains après les avoir baladé sur son thorax, dans les creux de son maitre, elle descendit dans le coup, lécha la ligne très bien dessinée qui partagait son ventre et son torse, lui lécha le nombril, puis s'agenouilla tout à coup face à lui... L'eau, les souffles... tellement d'événements délicieux qui ne lui donnait qu'une seule et unique envie, procurer le plaisir de son Homme... Elle le regarda, il était de haut et pu voir en elle comme si elle était sa soumise, mais lui avait fait comprendre qu'elle garderait une partie de ses charmes pour le dominer...

Elle ota ses mains de celles de son maitres, elle leur avaient gardé une utilisation bien particulière... elle caressa doucement l'intérieur des cuisses de l'homme, remonta doucement etposa sa langue sur le bout de son pénis, elle la retira, puis dédcendit en faisant glisser son nez contre son sexe jusqu'à ses glands... Elle posa ses mains sur son pénis et commencait doucement à faire des gestes de hauts en bas, pendant se temps sa langue léchait ses glands, elle les mettaient entièrement dans sa bouche, puis jouait à les lui mordiller parfois... Elesie prise dans son élan, remplaca ses mains et laissa pénétrer buccalement le pénis du maitre, son percing donnait à chaque passage comme un aspect nervuré, elle aspirait son pénis de tel sorte à donner quelques contractions et fournir plus de plaisir.... Elle enchainait parfois avec un font de george ne pouvant que décupler l'extase de son maitre...