Un petit coup de fouet ? [Mélinda Warren]

Tuski, se disait Mélinda, ferait indéniablement un très bon coussin la nuit. Mélinda s’imaginait bien dormir sur ses seins, ou même reposer sa tête sur ses fesses, et planter ses dents dedans... Certes, un vampire préférait généralement le cou pour ponctionner du sang, car le cou était une sorte de zone centrale, au commencement de la moelle épinière, et il y avait une veine très facile d’accès, tandis qu’un vampire pouvait aisément emprisonner une proie en la prenant au cou. Mais, pour autant, la vampire aimait bien mordre les fesses des autres, et comptait bien le faire avec Tsuki... Mais pas encore pour tout de suite. Pour l’heure, elle voulait juste continuer à s’amuser avec elle.

Après son premier coup de fouet, Mélinda en donna d’autres, plus forts, continuant à viser les fesses de Tsuki, à heurter son postérieur. La belle neko avait une peau douce et chaude, parfaite pour des coups de fouet, et elle abattit également son fouet sur le bas du dos de Tsuki, frappant fort, laissant de grosses marques rouges. Elle attrapa avec son autre main la laisse de Tsuki, et la tira en arrière, usant de sa force vampirique. Elle souleva ainsi Tsuki, l’amenant à avoir un dos courbé, que Mélinda usa pour la fouetter à nouveau, sur les omoplates, puis dans le bas du dos. Tel un serpent, le fouet sifflait et crachait sur son corps, et l’entendre siffler sur sa peau commença par faire mouiller Mélinda, qui remua légèrement son corps, en sentant de la mouille s’échapper de son intimité. Comme c’était bon !

« Je pourrais te fouetter pendant des heures, ma puce... » souffla Mélinda.

Ceci dit, ce ne serait guère raisonnable. Elle relâcha finalement la laisse de Tsuki. Le sang formait désormais une magnifique symphonie dans son corps, et comme elle était excitée, elle put se concentrer, et faire sortir de son sexe féminin sa verge. La Mélinda futanari se réveilla, tirant sur la culotte, et elle commença alors à totalement se déshabiller, finissant toute nue, sa robe et ses sous-vêtements tombant sur le sol. Le sexe glissa ensuite sur les fesses de Tsuki.

« Tu m’excites, ma petite... Mets-toi à quatre pattes, bien droit... Je vais te défoncer les fesses bien fort... »

Ce beau cul la tentait de plus en plus, et sa verge, bien grosse, lui faisait mal, envoyant des ondes d’impatience dans son corps. La vampire se mordilla les lèvres, inspirant longuement, sentant les frissons parcourir le corps de la neko. La vampire glissa ses pouces près de la peau de Tsuki, et les écarta, découvrant sa croupe, ainsi que le petit trou rose servant de porte arrière. Son sexe glissa sur les fesses de la neko, le long de sa croupe, commençant à titiller son fessier. Elle allait y rentrer, sans hésitation.

« Quand je te pénétrerais, ma chérie... Je veux que tu t’insultes... Insulte-toi fort... » ordonna-t-elle.

Et elle enfonça sa verge, en donnant de gros coups de reins.

Je pensais, du moins avant que j'étais sur Terre, que la forêt était dangereuse et pleines de choses in-explorées ou inconnues. Mais, une chose était sûre, s'il fallait que je tombe sur un ou une esclavagiste à chaque fois que je me perdais, j'y resterais bien dans cet endroit étrange ! De plus, les humains ont tendances à ne pas trop se poser de questions, et à aimer les petites soumises.. A vrai dire j'avais rarement vu de bonnes dominantes terranides.. Et puis là haut, c'était plutôt mal vu, une terranide qui en fouette une autre.

Enfin.. Il me doit de profiter du moment présent et de ne pas trop réfléchir. Maîtresse continua de me fouetter comme il se doit, m'arrachant des cris de douleur, mais surtout de plaisir. Mélinda semblait adorer voir me tortiller lorsque le fouet touchait ma peau. Tellement qu'elle continua de s'amuser avec celui ci jusqu'au moment où je commençais à mouiller. Non pas une fontaine qui s'écoulait de mon intimité, mais je sentais quand même ma culotte s'humidifier peu à peu. Oh que c'était bon de se faire dominer ! Continuant à s'amuser avec moi, elle relâcha finalement son fouet, pour commencer à se déshabiller. Toujours de dos, je ne put voir la scène, mais j'entendais bien les vêtements tomber au sol.

Peu de temps après, je sentis une chose dur glisser entre mes fesses.. C'était dur comme un god.. En fait, il me semblait qu'il s'agissait d'un god que Maîtresse aurait dut enfiler entre temps.. Du moins je pense..

" Tu m’excites, ma petite... Mets-toi à quatre pattes, bien droit... Je vais te défoncer les fesses bien fort... "

J'obéis sans réellement réfléchir, mais je n'avais plus aucun doutes sur ce qui allait me pénétrer : une verge. Une vrai de vrai. A première vu, Mélinda était une fille. Mais toutefois il était possible qu'elle était transsexuel. Je vais finalement m'arrêter sur cette idée.

Maîtresse commença alors à se mettre en place. Elle positionna son gland devant mon anus sans que je ne dise un mot. Une verge.. Une vrai verge en allait entrer moi.. C'était bien la première fois.. Je me sentais presque euphorique à cette idée, cela me faisait mouiller encore plus. Je n'attendais que l'instant où cette verge rentrerais en moi pour me baiser sauvagement.

" Quand je te pénétrerais, ma chérie... Je veux que tu t’insultes... Insulte-toi fort... "

" Que j.. "

Je n'eu pas le temps de finir ma phrase que Maîtresse le pénétra dans un cri de douleur, et commença des vas et viens brutaux. Ce que je faisait n'était à ce moment là pas jouir, mais crier, bien que je me retenais de ne pas le faire trop fort. Pour une première, il fallait avouer que cela faisait assez mal, mais la douleur est éphémère. Bientôt, mes hurlements se transformèrent en jouissements de plaisir. Et commença alors ce que Maîtresse m'avais ordonner plus tôt. Je savais qu'avec le rythme des vas et viens il me serrait difficile de parler "correctement", mais l'idée me m'auto-insulter me plaisait bien.

" Je.. Ts.. Tsuki est vraiment.. Une.. Hn.. Une vrai chienne pour.. Pr.. Haaa.. Profiter de cette situation p.. Ha.. Pour jouir... Hiin.. C'est une.. Une grosse salope.. Qui.. Ha.. En veux toujours pl.. Plus.. "

Quitte à sodomiser cette belle petite neko, autant faire ça dans les règles de l’art, en faisant en sorte que ce soit bien pervers, bien comme il faut. Elle était petite, mignonne, et répondait en ce sens aux critères parfaits de domination brutale : fouetter et gifler tout ce qui est mignon et beau. C’était instinctif, mais Mélinda ne pouvait pas s’empêcher de vouloir la brutaliser... Sexuellement parlant, bien entendu. Tsuki avait de magnifiques formes, un esprit de soumise très intéressant, qui se couplait à une forte perversion. Elle avait, en somme, tout pour plaire, et il était bien naturel que Mélinda veuille rendre ça plus excitant. Son sexe s’enfonça dans le fondement de Tsuki, et son début de phrase se mua en un superbe hurlement de douleur, un cri qui n’était nullement feint. La vampire se mit à sourire, heureuse, bercée par les hurlements aigus de la neko. Elle adorait les faire hurler, que ce soit de douleur ou de plaisir. Dans une sodomie, on passait très aisément de l’un à l’autre, après tout.

Mélinda posait ses mains sur les hanches de Tsuki, qui était toute rouge, son sang explosant dans son corps. La neko finit par parler, au fur et à mesure qu’elle acceptait la présence, en elle, de la grosse verge tendue de Mélinda, et continua à satisfaire sa Maîtresse, en s’injuriant elle-même. N’y avait-il rien de plus beau à attendre qu’une belle et mignonne neko s’insultant de tous les noms ? C’était un véritable bonheur auditif, un régal pour les oreilles, et pour tout le reste. Elle accrut encore plus ses pénétrations, donnant de grands coups, ses griffes s’enfonçant dans la chair tendre et onctueuse de la neko.

« C'est une.. Une grosse salope.. Qui.. Ha.. En veux toujours pl.. Plus.. »

Mélinda sourit, et gifla alors les fesses de Tsuki, frappant fort avec l’une de ses mains, laissant plusieurs marques rouges.

« Oui, tu es une grosse pute, haaan !! »

La vampire donna un nouveau coup de reins. Son fondement était un délice. Il n’y avait pas à dire, Mélinda adorait vraiment la sodomie ! Elle prenait véritablement son pied en défonçant ainsi des arrière-trains, ou en se faisant elle-même défoncer. Il n’y avait réellement que dans la sodomie que toute l’alchimie du sexe s’exprimait : douleur et douceur, souffrance et plaisir, les extrêmes se réunissant pour former une osmose parfaite et féérique. La vampire n’allait pas négliger Tsuki, et continuait à la prendre, à donner des coups de reins, déformant son fondement, écartant ses parois internes, la prenant comme une chienne, bercée par les petits cris qu’elle pouvait pousser.

Elle s’amusait même à retirer son membre aussi loin que possible, avant de l’enfoncer d’un seul coup, l’envoyant si loin que ses testicules claquaient contre la chair de Tsuki, avant qu’elle ne retire son membre, pour continuer sa manœuvre. Des restes visibles de son intimité, sa mouille s’échappait, témoignant du plaisir qu’elle ressentait... Plaisir qui s’exprimait aussi par ce sentiment de toute-puissance grisant. Elle contrôlait le corps de cette esclave. Là, en ce moment, elle était plus que jamais LA Maîtresse ! Et c’était bon, c’était magnifique, c’était tout ce qu’elle voulait ! Oh oui, elle voulait la faire couiner, cette traînée, elle voulait qu’elle comprenne qui était la Maîtresse !

« Allez, ma salope, hurle, couine, insulte-toi, fais-moi plaisir !! ordonnait Mélinda sur une voix forte, amplifiée par la douleur que son membre lui procurait, ainsi que par l’excitation vibrante et explosive qu’elle ressentait. Miaule, miaule ! »

Et, encore une fois, Mélinda gifla férocement Tsuki. Pour le coup, il n’y avait aucune trace de douceur dans ce qu’elle faisait.

Ce n’était que du sexe.