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Une folle chez la colère (Chryséis Miller)

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Mania - La folie

Dieu

Une folle chez la colère (Chryséis Miller)

mercredi 20 mars 2013, 11:24:34

Booyaka ! Mais qu’est-ce que l’an nuit envahit le jour de l’an. En tant que déesse de la folie, ce n’est pas fou que de devoir faire les nôtres chez les mortels. En ce moment vide de plein creux et remplit d’inexistence. Vous trouvez ? Alors ne cherchez plus de vannes à défaut de tuyauterie fouillée dans les ruines de la destruction. Mania ne fait rien, Mania n’est même pas dans le journal… Bouh-ouh. Ça fait peur n’est-ce pas ? A défaut de pas, voici le vent filant son tissu dans ce ciel brodé. Brrrrrr comme c’est nul. J’aime ♥. Bref mais de courte durée, le temps m’a amenée jusqu’à mes pensées chronologiques dirigée par ma tête. Hi hi hi voilà de bonne résolution pour cette année de cheval qui mût les pots nés en Olympe. Comme c’est fatiguant tout ça. Enfin, pas plus crevant que si l’insomnie diurne se réveillait d’une sieste nocturne. J’ai bon !? Bien sûr que non. Sinon je n’aurais pas plu juste que j’ai faux hu hu hu…

C’est donc la tête en bas et les pieds culottés que j’arrive dans cette petite partie de la montagne… Je ne savais d’ailleurs pas que de la pierre avec un zboub. Vous y croyez vous ? Oui ? Ça doit être faussement vrai alors. Waaaaaaaah il n’y a personne. Comme c’est calme ♥. Brrr ça me donne la chair de poule en coque. Du vent qui s’ignore des autres et du ciel qui s’attriste, qui est né le premier ? On s’en fiche allez ! Quelqu’un veut me voir. A moins que ça soit moi ? Ou l’inverse opposément inversé à son miroir retourné à l’envers de son endroit ? Très bonne interrogation Monsieur le point, la culture de vos semis fait que vous plantez. Ho regardez ! Mania marche sur les murs sans framboise ni bleuet…. Grrrrr quel manque de mauvais goût ! J’ai ouïe dire que je touche à en sentir le mauvais goût de la surprise. Par ici !


- Youhou crise et vice ! Ah non ce n’est pas ici hum…

Zut je me serais faite repérée ? Mais non Mania n’a pas de cagoule de ninja pour passer inaperçue. Vous croyez que ça lui irait bien !?... VOUS CROYEZ QUE CA LUI IRAIT BIEN !? Mais non allons. Ce n’est pas parce que nous ne somme pas là-bas que nous devrions être ici. C’est pour ça que je reste. Hum comment on fait déjà pour l’appeler… La colère et les tourmentes naturelles savent se faire énerver pourtant ! J’en suis perturbée, même si la perturbation rend sourd
« Modifié: mercredi 17 mars 2021, 18:52:13 par Anéa »

Chryséis

Dieu

Re : Une folle chez la colère (Chryséis Miller)

Réponse 1 vendredi 05 avril 2013, 05:19:17

-C’est une honte que tu te sois arrogée les pouvoirs de tes aïeux!

C’est la dernière phrase qu’Arès lui avait dite avant de se détourner d’elle. La relation entre les deux divinités guerrières n’avait jamais été emprunte de douceur, car conçue bien malgré lui, Chryséis incarnait l’arrogance même de sa mère et sa duperie. Mais au fond, si elle aurait pu reprocher Arès son manque d’amour paternel, elle se souvenait qu’il n’était pas le seul dieu à considérer son existence comme étant illégitime. Héra et son frère Oneiros étaient encore les seuls Dieux à tolérer encore sa présence, mais depuis ce jour, Chryséis évitait assidument toutes les fêtes et rites sacrés. Encore tout récemment, elle ne s’était pas présentée pour offrir ses félicitations à Oneiros pour son ascension à son rang de Divinité, et Héra ne lui avait toujours pas pardonné cet affront. Cette dernière discussion avec Arès remontait déjà à plusieurs années, mais rien n’avait changé. Son exil social se prolongeait et, le croyait-elle également, son désir ardent de se retrouver à nouveau aux côtés de ses proches et de les tenir à nouveau dans ses bras.

Au sommet du Mont Goliath, le Pic Septentrional de l’Olympe, Chryséis se sentait comme si elle était au sommet du monde. Son temple creusé à même la montagne faisait face à la Terre des Mortels, et devant elle, les nuages se défilaient lentement, dévoilant par moment les territoires Ashnardiens. Normalement, cet endroit était plutôt calme, mais comme une fois à chaque année depuis qu’elle avait dévoré Typhon, Chryséis relâchait son contrôle sur ses terribles pouvoirs. L’exercice était particulièrement épuisant, car si retenir ses pouvoirs lui bouffait une bonne partie de son énergie, les relâcher la consumait entièrement, car c’était ses propres forces qu’elle devait chasser hors d’elle, et contrairement aux magiciens typiques qui peuvent arrêter le flux de la magie, une fois qu’elle relâchait son contrôle, elle ne pouvait le reprendre qu’une fois qu’elle était vidée de ses pouvoirs.

Elle déchainait déjà ses pouvoirs depuis deux bonnes heures lorsqu’une aura importune dérangea la Déesse en pleine séance de relâchement. Elle ne pouvait pas arrêter le flux de son pouvoir, mais au moins, elle pouvait toujours se déplacer. Dehors, le vent soufflait de toutes ses forces, l’orage tonnait de fureur et la pluie torrentielle assaillait le Nord de l’Olympe. Malgré le fait qu’elle en soit l’origine, regarder la destruction qu’elle causait laissait place à une certaine tristesse dans le cœur de la puissante créature. Elle leva alors la tête en direction de cette énergie aussi chaotique et incohérente qu’une tempête, remplie de contradictions encore plus improbables les unes que les autres.

-Mania, descend de là immédiatement.

Mania. Pour beaucoup de divinités, elle est née grâce à la folie des champs de bataille. Elle incarnait tout ce que la folie pouvait bien porter; tantôt l’enfant brisé par la destruction, plus tard le tueur sanguinaire qui trouvait un plaisir sexuel dans les bains de sang, et un autre jour la femme suicidaire et autodestructrice. Les psychanalystes qui auraient eu la malchance d’examiner cette femme n’auraient probablement jamais été capable de mettre un nom à sa condition mentale; elle était la folie pure et simple, voilà tout. Chryséis la considérait surtout comme une vieille amie qui la guidait lorsqu’elle prenait les armes. Elle se sentait proche de Mania, de la même façon qu’elle se sentirait proche de sa petite sœur. En fait, elle se demandait parfois si cette divinité n’aurait pas un peu traficoté avec la tête de sa mère, Raven, et l’aurait fait sombrer dans la déchéance. Enfin, le passé appartenait au passé.

-La tempête va encore prendre de l’ampleur. Rentre immédiatement si tu ne veux pas te salir et être forcée de prendre un bain avec le savon qui pique les yeux.
You shall experience the meaning of my Wrath!

Mania - La folie

Dieu

Re : Une folle chez la colère (Chryséis Miller)

Réponse 2 lundi 15 avril 2013, 11:21:41

Wala que le temps pète dans le vent et les éclairs. Café ? Mania n’en prends pas. Un cas fait est un mal pour la femelle que je suis. Hi hi hi… Mania se sent sexuelle aujourd’hui vu comment elle est mouillée. Que le temps pète la tempête dehors et que la folle rentre dans ce bazar capharnaümesque. Non, pas un bordel puisque la pro situé du domaine est avec un pro d’scénette. Mais comment ouvrir la porte avant tout ce rien vide de son plein gré caillouteux ? Volume 17, chapitre 854 "Comment ouvrir une porte ?".Zut je les ai oubliés chez le dieu des teinturiers en rut. Tant pis, la vache ne se fera pas traire pendant que le paysan la bourre. En parlant de bourrer, j’espère que ce n’est pas le blond qui fait blondir le ciel avec ses éclairs pâtissiers. Brrrr rien que d’y penser cela me donne des frissons pas très agréables. Crises et vices saura me dire ce qu’il en coûte, en espérant que cela ne soit pas trop cher de gratuité donnée.

- Mania, descend de là immédiatement.

Oups découverte. Dommage que l’heureux hasard à fait que le destin coïncide avec une fatalité inévitable. Un pari risqué dont le jackpot européen rejoindrait la Marie que son colon eut découvert en profondeur. Crises et vices ici bas, Mania par là en haut. Qui va l’emporter ? C’est Mania qui a gagné le droit de regagner le plancher des vaches et pis c’est tout ! Ou rien, tout dépends les poings de vue placés dans le visage de ceux qui regardent. Forcée de rentrer ? Oui. Mais de son plein gré pierreux que même la montagne bougera des rots chez elle. Mania est la plus forte ! Hu hu hu… Ou pas. N’est-ce pas que la vérité faussement irréelle est évidente de négation positive ? Bien sur que oui car si non… Mania ne fera rien. A part rentrer.

Voyons voir. En ignorant doucement des paroles prononcée, en marchant… Normalement… Grrr dieu que je déteste ce mot. Et pourtant Mania est une déesse. Que les classiques du nord m’alitaient, passe encore sur un chemin de fer boueux, qu’ils meurent en parlant de mon état normal ! Petits mortels parasite… Grrrr ! C’est pourtant Mania qui suce vos cerveaux trop clairs de transparence. Un peu de respect, je vous prie ! C’est moi la déesse ici. Donc comme Mania le citait à défaut de métro pôle sud, elle sentait quelque chose de pas très net. Oui mania c’est moi, et non pas car-glace. Le net avait déposée sa toile floue et sale comme une araignée crasseuse pour… Me dire je sais plus quoi. Ah si ! Hu hu hu Mania avait déjà oublié de sa mémoire vaseuse que les marais-cage l’enferme un peu trop d’une année ouverte sur l’autre :


- Que peut faire cette folle pour aider ? A moins que ce petit plus ai multiplié la division des éléments dehors. Deux dents ne les feraient stopper.

Mania est la bienvenue donc ce n’est pas sa faute !? … Si ? Ou pas. Je ne crois pas que le bien être de l’une irait choquer le mal vécu de l’autre. Qu’en pansais la momie si ce n’est que sa pue très faction par ici ? Pas ici là, mais ici là-bas. Alex Terrieur est bien large et tourmenté, même si sa déesse non loin de la folle l’est bien plus. Et le savon qui pique les yeux, non merci ! La joueuse demoiselle n'aime pas les oursins dans son orbite.


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