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Les bienfaits de la servitude [Asami Yamada]

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Asami Yamada

Humain(e)

Re : Les bienfaits de la servitude [Asami Yamada]

Réponse 15 lundi 09 décembre 2013, 23:08:58

Asami appréciait la tâche qu’on lui avait confiée. Sa Maîtresse avait la générosité de lui signaler que l’ardeur qu’elle y mettait était bien accueillie. Même si cela avait pour effet de la rassurer, sa confiance n’était pas totale, et lorsque la vampire vint lui caresser les cheveux, elle tressaillit et pencha légèrement sa tête sur le côté, évitant au départ cette main qu’elle n’avait pu voir arriver, puis s’arrêter pour ne surtout pas tenter de se soustraire. Mais, dans l’ensemble, la simple dévotion à sa tâche - et le doux influx que lui procurait celle-ci - gardèrent la lycéenne à l’abris de tout faux pas, et elle mit en œuvre son « plan », quoi qu’il fut surtout improvisé, comme voulu.

Elle y avait tellement pris goût que, lorsque Mélinda lui retira subitement sa « sucrerie », la lycéenne eut la réaction quelque peu pitoyable de tenter de suivre ce dont elle s’occupait, sa langue s’étirant légèrement hors de sa bouche alors qu’elle partait elle-même en avant, devant se rattraper en posant ses mains entre ses genoux. Cependant, plutôt que de reprendre sa position initiale « de dévote », comme l’avait formulé la vampire, elle resta ainsi, et pressa même au contraire ses fins doigts les uns contre les autres alors qu’elle les rapprochait du creux de ses cuisses. L’explication n’avait rien à voir avec son petit jeu de « taquineries », et elle inverserait sans doute les rôles si Mélinda venait à la connaître, raison pour laquelle Asami faisait de son mieux pour tout de même garder sa contenance et épouser au mieux son rôle, pour l’instant, de simple auditrice.

« Je t’aurais bien récompensé pour ta dévotion buccale en t’offrant un câlin, mais la manière dont ton sang a bouillonné dans tes veines en voyant l’une de mes protégées en battre une autre m’incite à penser que tu aimerais une récompense un peu plus... Intense. »

Ainsi, pendant ce temps, juste derrière ses mains qu’elle rapprochait de plus en plus d’elle, pressant légèrement ses seins l’un contre l’autre, une petite bande de sa culotte satinée ne brillait plus, doucement humidifiée. En effet, alors qu’elle avait fermé les yeux, elle avait pu doucement sentir le bas de son corps s’emballer, lui rappelant étrangement - et, elle n’osait se l’avouer, avec délice - sa « soirée » avec Theorem. Cela était plutôt nouveau pour elle et, bien que cela semblait absurde au point où elle en était, elle en était gênée et tentait de la cacher du mieux qu’elle le pouvait, d’autant que, de façon plus rationnelle - ce qu’elle n’était en mesure d’accomplir - elle ne pouvait qu’imaginer la réaction de sa Maîtresse à cette preuve « d’abandon ».

L’esprit d’Asami ne saurait ne pas de préoccuper de cela, oubliant qu’elle était à ce moment noyée dans ce genre de chose et qu’elle serait bientôt contrainte, pour le plus grande plaisir de la vampire et le sien, de les multiplier. Mais elle se devait - tant en tant qu’esclave que jeune fille tenant un tant soit peu à ne pas se voir punir, quoique cette partie n’était pas totalement certaine - d’accorder son attention à Mélinda. Ses paroles étaient mielleuses, peut-être pas objectivement, mais au moins pour la lycéenne qui, si elle ne pouvait s’empêcher de frissonner à ces promesses, ne pouvait pourtant nier que son corps et la partie la plus animale de son esprit l’auraient faite bondir dans les griffes de sa Maîtresse aussitôt cela lui aurait évité une sadique privation - Mélinda connaissait son intérêt immédiat, mais surtout celui d’avoir une servante docile. Ainsi, au simple mot « intense », Asami ne put s’empêcher de voir ses pulsions, peut-être faiblesses, ou fantasmes, elle ne savait plus, se réveiller en même temps qu’une envie qu’elle ne pouvait associer jusqu’ici qu’aux plaisirs obscènes partagés avec Theorem.

La vampire savait sans doute cela, et comptait bien jouer dessus, au grand damne de son esclave. Plutôt que s’adonner à ce qui allait irrémédiablement avoir lieu, elle comptait faire voler la vedette à ces dites débauches par le rythme insoutenable et sensuel qu’elle imposait. Alors même qu’elle enfilait ses longs gants de cuir, quelque part exactement opposés à ceux de satin blanc portés par Asami, la jeune fille ne pouvait ignorer cette douce descente vers quoi que lui réserve sa Maîtresse, en appréciant chaque seconde à la fois de délice, volupté, lenteur et torture. Malgré la lumière relativement peu présente et sans doute étudier pour masquer l’outillage de Mélinda, qu’elle préfèrerait sans doute garder secrets jusqu’au moment où ils « caresserait » la peau de son jouet, la lycéenne put deviner et, surtout, fantasmer quelques objets. Elle se voyait déjà marquée par quelques fouets, réduite à une pauvre impuissance par des cordes, menottes et gag balls alors qu’elle sombrait dans l’extase causée par des biais plus sophistiqués : Bougies, « jouets », et autre choses qu’elle ne pouvait qu’espérer voir choisies.

Elle réalisait de plus en plus qu’elle n’était pas innocente, loin de là, et que sa gêne, censée la protéger de tout cela, disparaissait pitoyablement devant l’envie que ces mêmes promesses de débauches lui insufflaient. Peut être ironiquement, elle se laissait aller bien plus vite et profondément que la plupart des gens, et elle adorait cela, guidée de main de Maîtresse par Mélinda.  Lorsqu’elle lui ordonna de se relever, elle n’hésita pas, et dut même se restreindre dans sa hâte, ne voulant s’exposer à un jugement - qui n’aurait été au pire qu’une agréable surprise - de la vampire. Elle vit vite le bouton pressé par la femme en lingerie faire descendre un instrument  qui, dans un contexte moins agréable, aurait été de torture, encore qu’il aurait pu l’être à ce moment même si seulement ce mot n’avait pas une connotation si douce-amère.

Asami avait jointes ses mains devant elle pour cacher qu’elle avait déjà cédé aux promesses de Mélinda, mais, sur son ordre, qu’elle ne pouvait - et ne voulait - qu’obéir, elle devrait les délier. Avançant d'un pas lent vers ce qui était sa place, puisque sa Maîtresse lui avait dit d’y aller, elle repoussa la « révélation » au dernier moment : Seulement lorsqu’elle fut au bon endroit, elle se retourna, cachant toujours sa honte, avant de lever les bras et mettre d’elle même ses mains dans ces chaînes. Comme si tout cela était orchestré exactement pour la mettre à l’épreuve, lui faire admettre ses faiblesses qu’elle gagnerait à laisser exploiter, elle devait ensuite écarter ses jambes.

Regardant sa Maîtresse, pas dans les yeux cependant, préférant lier l’utile - éviter le regard de la vampire - à l’agréable, elle laissa son regard doucement décrire les lèvres de celle-ci, par totalement au hasard puisque, comme elle avait pu le remarquer, elle était assez friande de ces minces étendues rosées. Cela l’occupait et lui évitait de penser à autre chose alors qu’elle révélait à sa Maîtresse la petite tâche de lubricité qui, en ce moment même, envahissait sa culotte de satin blanc et révélait doucement les contours de la sucrerie qu’elle s’était évertuée de titiller quelques secondes auparavant.

« S-s’il vous plaît Maîtresse, prenez un-un de vos fouets et frappez mon petit cul, je vous en prie, il est à vous, marquez le, rendez le rouge, faites en ce que vous voulez ! »

Ainsi trônait Asami, attachée, le buste légèrement en avant dans un mouvement voué à appuyer sa prière et mieux présenter l’objet de sa requête, les jambes écartées pour mieux présenter sa suppliante et naissante envie, sa robe et sa lingerie sublimant chaque partie désirable de son corps et même plus alors qu’elle déroutait doucement son regard soumis et implorant pour affronter celui de sa Maîtresse, se mordant furtivement la lèvre inférieure alors qu’elle se posait intérieurement ce dilemme :

«  Serais-je exaucée ? »

Mélinda Warren

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Re : Les bienfaits de la servitude [Asami Yamada]

Réponse 16 jeudi 12 décembre 2013, 01:31:19

Asami avait fait pleinement connaissance avec l’autorité incontestable de sa Maîtresse en étant sodomisée par elle dans les couloirs du lycée Mishima. Une manière ardente et vive de prendre conscience de sa situation d’esclave soumise et consentante. Une forme de demi-viol, un viol qui avait terminé en une acceptation pleine et entière de sa situation. À choisir entre une vie morne et fade, et une existence riche et vive, Asami avait fait le bon choix : celui de la soumission volontaire, celui du plaisir sans restriction, entre les doigts délicats et ardents de sa belle Maîtresse. La vampire allait lui montrer à maintes et maintes reprises ô combien le choix d’Asami avait été éclairé. Amusante, la jeune femme se couvrait, comme si elle craignait que Mélinda ne sente le plaisir qu’Asami prouvait, ce fameux plaisir coupable.

*Elle doit ignorer que je lis en elle comme dans un livre ouvert...*

Mélinda trichait. Sa nature de vampire lui permettait de ressentir les ondulations sanguines d’Asami. Elle sentait aussi, outre le fait que la jeune femme avait un très bon sang, qu’il s’emballait nerveusement, sous l’effet d’une adrénaline qu’elle attribuait au plaisir. Et pas à n’importe quel plaisir, mais au Plaisir, à celui qu’on le traite avec respect et humilité. La manière dont Asami essayait de se cacher, de montrer qu’elle allait bien, et qu’elle n’était pas du tout troublée, ne faisait que la rendre encore plus désirable, de renforcer ce côté mignon,  « kawai », comme diraient les Japonais. Lentement, Asami glissait ses mains dans les chaînes, écartant les bras, et Mélinda se rapprocha, lentement, attendant qu’Asami remplisse sa part du marché, qu’elle accepte par elle-même de sceller ce pacte que Mélinda offrait à chacune de ses filles. Un pacte de luxure, un pacte de perversion et de lubricité, une délicieuse glissade dans le monde des plaisirs ardents.

Pour l’heure, Mélinda avait noté que Yamada était absente, suivant de manière passive ce qui suivait. Du fait de sa grande expérience, la vampire savait que la jeune femme était excitée, et n’était nullement hostile à l’idée d’être la poupée de chair de Mélinda, une poupée que Mélinda torturerait, sexuellement parlant. Encore une fois, Mélinda en revenait toujours à cette idée que, si Theorem avait dominé Asami, c’est qu’elle était encline à se faire soumettre par n’importe qui. C’est ainsi qu’elle voulait qu’Asami parle, non pas pour qu’elle s’affirme, qu’elle se révolte, mais pour que, consciemment, et activement, elle accepte l’idée de se soumettre. Mélinda, en effet, connaissait le fonctionnement de l’esprit moderne humain, et savait que la passivité était une forme d’excuse, de lâcheté, de fuite. Si Asami se contentait simplement de subir en ne disant rien, elle pourrait ensuite, par la suite, se convaincre qu’elle n’était « pas vraiment consentante », qu’elle s’était contentée de suivre le mouvement... Or, si elle parlait, si elle suppliait sa Maîtresse, elle ne pourrait légitimement pas se replier.

Le Diable était dans les détails, tout simplement. C’est ainsi que Asami, tout en fuyant le regard de sa Maîtresse, se mit à la supplier, adoptant un ton suppliant et légèrement salace qui fit sourire la vampire, un sourire carnassier exhibant plusieurs de ses belles dents :

« S-s’il vous plaît Maîtresse, prenez un-un de vos fouets et frappez mon petit cul, je vous en prie, il est à vous, marquez le, rendez le rouge, faites en ce que vous voulez ! »

Le sourire de Mélinda disparut brièvement, et elle s’approcha, jusqu’à poser sa main sur le menton d’Asami, la forçant à relever la tête, afin de croiser ce regard.

« Pourquoi baisser la tête en l’affirmant, hum ? Il n’y a pas de honte à être une petite catin, tu sais... C’est un sentiment parfaitement humain, normal... Mais, après tout, que ça te gêne est tout aussi excitant. »

Elle relâcha son menton, et entreprit de fermer les chaînes autour des poignets d’Asami. Il y eut quelques claquements métalliques quand les serrures se verrouillèrent, puis Mélinda se glissa dans le dos d’Asami, restant proche d’elle, et glissa ses doigts le long de ses hanches, filant le long de sa robe, glissant sur le magnifique tissu. Elle embrassa un peu son cou, frottant son nez contre le tissu qui la recouvrait, simplement pour la caresser un peu plus. Ses mains continuèrent à descendre, et, quand elle se rapprocha des fesses d’Asami, Mélinda entreprit alors, tout en levant sa main, de la claquer sévèrement. Une belle gifle heurta les fesses d’Asami.

« Juste un avant-goût, ma douce... »

Amusée, Mélinda s’écarta un peu, et fit ensuite claquer le fouet dans le vide, simplement pour qu’Asami puisse entendre le bruit du fouet fendillant l’air... Le claquement sonore, bruit délectable, fit frémir Mélinda pendant plusieurs secondes, avant qu’elle ne lève son bras, et ne l’abatte sur les fesses d’Asami.

*TCHAAAAAC !!*

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Asami Yamada

Humain(e)

Re : Les bienfaits de la servitude [Asami Yamada]

Réponse 17 mardi 29 décembre 2015, 21:54:42

Asami tremblait doucement après avoir dit ses mots honteux et de plus belle après qu’elle ait surpris le sourire de sa maîtresse s’effacer, mais se rassura quand elle sentit ses doigts gantés sur son menton, se pliant à l’impulsion qu’on imprimait en elle pour se tourner vers Mélinda.

« Pourquoi baisser la tête en l’affirmant, hum ? Il n’y a pas de honte à être une petite catin, tu sais... C’est un sentiment parfaitement humain, normal... Mais, après tout, que ça te gêne est tout aussi excitant. »

Après cela, la jeune fille fut abandonnée pour que la vampire l’attache fermement alors que jusqu’ici elle n’était prisonnière que d’elle-même, ses mains docilement prises entre les liens pourtant ouverts. Enfin elle pouvait resserrer ses doigts autour des chaînes, s’agrippant fermement à ses liens, confondant l’acier avec de la glace tant il lui semble froid, quoi que ce soit surtout elle qui est brûlante. Elle bougea légèrement, trépignant, se sentant soudain quelques peu mal à l’aise, mais le doux effleurement des doigts de sa maîtresse sur ses hanches, sentant leur pression remonter le long du fin tissu de sa robe, calme ses mouvements, les transformant en de simples et douces ondulations sous leurs caresses.

Lorsque les lèvres de Mélinda atteignent le coup d’Asami, celle-ci lâche un faible soupir, presque un gémissement, s’il n’avait été aussi discret, fermant les yeux et arquant doucement sa croupe, se laissant aller à cette attention, le nez de la maîtresse agitant par ailleurs délicatement le collier de son esclave, lui rappelant que, à l’image de ce lien de dentelle, la soumettant tout en étant brisé par le plus bref effort, elle n’était là que de son plein gré. Tout le long de ces caresses, elle sent celles des mains de la vampire descendre ; Déjà elles ont atteinte sa jupe, pressant le doux tissu contre ses cuisses, lui rappelant que, sans cela, elles étaient découvertes. Sous peu, le vêtement n’est plus assez long et les doigts qui l’arpentaient l’ont dépassé, effleurant la peau d’Asami, juste au dessus de ses bas, endroit à la frontière entre ce que sa jupe et ses bas doivent cacher.

Mais bientôt, Mélinda la quitte et s’aventure en territoire interdit ; Rapidement, ses paumes rencontrent les courbures des fesses de la jeune fille, mais plutôt que de les escalader avec douceur, elle les gifle soudainement, sa peau claquant contre celle nue de sa servante alors qu’elle est parcourue par le choc, chaque fibre de son corps le faisant résonner, comme outrée. Un frisson traverse Asami toute entière ; Descendant dans ses jambes, elle les fait faiblement trembler, l’esclave s’affaissant brièvement, retenue seulement par ses liens qu’elle agrippe fermement ; Plus haut, l’impulsion fait délicatement rebondir sa poitrine, les quelques gouttes de sueur y perlant s’agitant et descendant un peu plus au creux de son décolleté. Le frisson remonte rapidement, presque instantanément sa colonne, comme un souffle glacé refroidissant les ardeurs de la jeune fille, et s’extirpe de ses lèvres en un cri de surprise qui ne prend même pas la peine de voiler son plaisir.

« Juste un avant-goût, ma douce... »

Rappelée à la présence de sa maîtresse, Asami reprend une position plus digne, en tout cas plus droite, n’ayant plus beaucoup de fierté en cet instant ; Ses jambes se raidissent alors qu’elle tente de se redresser, mais parce que ses liens sont trop bas pour lui permettent une position tout à fait debout, en tout cas pas sans devenir trop inconfortable, à tirer sur ses bras, cela ne lui fait que mieux présenter ses fesses à sa maîtresse, la jupe, gardant sa forme et ne tombant par sur ses cuisses, se relevant alors indécemment jusqu’à tout dévoiler. Ses pans, puisque la robe est ouverte à l’avant, passent sur les côtés des cuisses de la servante, et laissent une vue plus que délectable sur ce que le vêtement était censé cacher ; Les petites fesses rebondies et nouvellement rougies d’Asami, avec entre elle, se confondant presque avec son teint de neige, le tanga blanc cachant encore l’essentiel, et surtout, pour quiconque voudrait la voir, l’humidité naissante de son intimité qu’on peut aisément deviner à l’horizon de la culotte.

Lorsque le fouet claqua, la jeune fille eut presque la même réaction que lorsqu’elle fut fessée, fermant les yeux d’anticipation et lâchant un petit cri pitoyable. Se rendant compte que le bruit n’était pas accompagné d’un quelconque autre effet, elle reprend sa position, prête à recevoir le vrai coup, s’il aurait seulement la décence de venir, Asami trépignant discrètement d’anticipation, son corps entier brûlant pour la même raison, se sentant aussi proche de la femme qu’elle avait vu tout à l’heure se faire fouetter que jamais, commençant déjà à s’imaginer porter les marques de sa maîtresse.

Quant il vint, s’abattant comme le tonnerre sur la peau nue et aussi douce que de la soie de la jeune fille, son cri fit oublier tous ceux qu’elle avait poussés jusque là, celle-ci sentant l’empreinte du fouet dans sa chair comme s’il y était encore ; S’ils étaient libres, ses doigts pourraient dessiner sa trace rouge d’une fesse à l’autre sans s’en écarter d’un centimètre. Ses jambes l’avaient presque abandonnée, sur le coup, ses genoux s’effondrant à l’intérieur, comme s’ils étaient la cible de Mélinda, et son corps entier tremblait, retenu seulement par ses mains agrippant les chaînes d’acier avec crispation.

Cela dura un long instant, Asami réalisant pendant celui-ci ce qui venait de se passer. La brûlure du fouet qui s’imprimait toujours en elle, se ravivant à chaque fois que son cœur battait lourdement et avec ardeur en son sein, la paradoxalement douce satisfaction que sa maîtresse l’ait enfin marquée, se la soit appropriée, comme le scellement d’un pacte, et par dessus tout, la conviction exquise que ce n’était qu’un commencement.


« E-encore, Maîtresse ! »

Dit-elle d’une voix faible mais dont elle faisait sentir la conviction.

Mélinda Warren

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Re : Les bienfaits de la servitude [Asami Yamada]

Réponse 18 samedi 02 janvier 2016, 13:12:55

C’était une toute autre femme qui était en train de s’offrir à Mélinda. Asami, la timide et prude lycéenne, toujours vierge (sauf en ce qui concernait son petit cul), avait été pendant un temps l’esclave de Theorem, avant de tomber sur Mélinda, où elle s’était pliée face à elle avec la force d’un deux face à un flush royal. Asami était donc là, attachée par les poignets, déshabillée, offrant le spectacle de son corps aux fantasme et à la férocité d’une belle vampire dominatrice, qui allait se faire un plaisir de voir jusqu’à où Asami était capable d’endurer, en terme de souffrance et d’humiliation. Asami aimait la soumission, elle l’aimait suffisamment pour se soumettre face à un soumis, et Mélinda brûlait peut-être certaines étapes en sortant déjà le fouet, mais elle voulait tenter le coup quand même, et voir si la femme était capable de l’endurer. Tout simplement.

Le fouet claqua donc, et, comme Mélinda s’y attendait, Asami y répondit favorablement... Et avec impatience. Souriant un peu plus fort, Mélinda releva son fouet en arrière, puis l’abattit à nouveau. Encore une fois, le fouet, en fondant vers sa proie, dépassa la vitesse du son, et créa ce bang supersonique si agréable à entendre, ce son si particulier... Puis il claqua sur le dos d’Asami, la faisant hurler, provoquant un autre bruit, particulièrement délicieux, qui amena Mélinda à se mordre les lèvres. L’adrénaline remuait dans ses veines, au fur et à mesure qu’elle fouettait le corps d’Asami. Son arme tapait contre son dos, puis alla également heurter ses fesses, faisant frissonner et trembler Asami.

« Oh, ma chérie, tu as un corps si doux ! C’est à croire que... Hum... Tu as été conçue pour être fouettée ! »

Le fouet de Mélinda n’était pas aiguisé. C’était un fouet émoussé, qui n’était donc pas tranchant... Et c’était heureux, car, vu le nombre de coups qui s’abattirent sur le dos d’Asami, s’il avait dû l’être, la pauvre serait probablement dans le coma, avec un dos sanguinolent. Au lieu de ça, son dos était parcouru de zébrures rouges, et de plaques rouges, là où la peau chauffait. La douleur devait être importante, exquise, mais elle ne restreignait nullement Asami, car, quand Mélinda finit par relever son fouet, Asami finit par lui en demander plus... Les deux femmes étaient en train de reprendre leur force, la respiration de Mélinda étant en effet plus chevrotante. Abattre ce fouet n’était pas particulièrement difficile, mais c’était un exercice physique, entraînant aussi une stimulation sexuelle. Autrement dit, fouetter le corps d’Asami excitait Mélinda, qui sentait ses tétons commencer à lui faire mal, tandis que ses seins s’étaient durcis.

Asami en demanda donc plus, et Mélinda réfléchit un peu... Ce qui, comme toujours, était souvent mauvais signe pour les autres, car c’était le moment où sa perverse imagination était en train de prendre le dessus.

« Très bien... Je vais continuer à te fouetter, petite catin, mais... À une condition. »

Elle se rapprocha alors d’Asami, et caressa son dos avec sa main, ses doigts glissant le long des marques rouges. Elle sentait la sueur sur le corps de la jeune femme, elle pouvait percevoir son excitation, presque la palper. Mélinda s’en mordilla à nouveau les lèvres, et ne put résister à la tentation de l’embrasser à nouveau dans le creux du cou... En mordillant un peu sa peau.

« À chaque fois que je fouetterais ton magnifique corps, je veux que tu t’insultes... Que tu te traites de... »

Petite pause, le temps que sa bouche vienne se glisser contre son oreille, et qu’elle murmure son exemple :

« ...Petite salope, par exemple... »

Mélinda se redressa ensuite, puis s’écarta.

« Dès que tu cesseras de t’insulter, j’arrêterai les coups de fouet. Et peut-être que je mettrais aussi une ceinture de chasteté, et que je ferais l’amour sous tes yeux avec deux esclaves toute la nuit, juste pour te punir... »

Les jeux pervers de Mélinda... La vampire se remit donc en position, puis observa à nouveau le dos d’Asami, et releva le fouet...

...Puis il mordit de nouveau.

DC d’Alice Korvander.

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Asami Yamada

Humain(e)

Re : Les bienfaits de la servitude [Asami Yamada]

Réponse 19 dimanche 03 janvier 2016, 21:17:15

Asami était couverte des marques infligées par Mélinda ; Ses fesses, exposées, rougissaient à vue d’oeil, et son dos n’était guère plus caché depuis que la vampire avait défaite la jeune fille de sa robe. Tirant simplement de deux doigts sur un des pans du nœud qui trônait au creux de ses reins, lassant le buste fermement contre la peau de la lycéenne, elle avait dénudée quasi entièrement la lycéenne en un simple geste. Ne lui restaient désormais que ses gants, longs et satinés, ses bas, transparents et brillant à chaque sautillement de lumière, leur porte-jarretelles, classique quoi que tout aussi finement ouvragé en dentelles, et son sous-vêtement, un tanga, taillé et porté bien haut, presque autant que le porte-jarretelles, et serrant délicieusement l’intimité d’Asami, en révélant, son plaisir noyant doucement le tissu, le rendant étriqué et légèrement transparent, chaque colline et vallée.

Oh, bien entendu, restait aussi son collier auquel était attaché une fine laisse d’argent, sans doute son vêtement le plus important, serrant délicatement son cou ; Fragile, il n’avait pas la prétention de garder l’esclave en place ou même de permettre de la tirer ; Le fin tissu de dentelle ne résisterait pas et à vrai dire la chaîne non plus, à peine visible si elle ne brillait pas. Non, leur devoir n’était que de rappeler à Asami son rôle et de permettre de l’exercer d’une manière dédaigneuse et symbolique.

Son corps ruisselait doucement de sueur, brillant sous les rares sources de lumières présentes ; Une torche près de Mélinda, la lune, effacée et discrète à travers la fenêtre, et le pas de la porte à travers lequel l’on pourrait deviner une certaine agitation si l’on avait le temps d’y porter attention. Chaque coup de fouet marquait un peu plus la jeune fille, rougissant son dos et son fessier en une longue et effilée marque qui continuait de la brûler pendant de longs instants, la maintenant sur la pointe de ses pieds et lui arrachant de forts gémissements.

« Oh, ma chérie, tu as un corps si doux ! C’est à croire que... Hum... Tu as été conçue pour être fouettée ! »

Ces paroles raisonnèrent longtemps dans la tête d’Asami. Sans doute en partie parce que, son cœur, brûlant comme un soleil nocturne, était emballé et que ses ardeurs embrouillaient son esprit, ou plutôt le noyaient dans un océan tumultueux d’émotions, mais elles renvoyaient aussi à la jeune fille, jusqu’ici simple et studieuse écolière, le fait que ceci n’était ni un accident ni une passade ; Ce soir, elle ne ressortirait pas de ce manoir une autre personne, ni ne se trouverait transformée, sublimée : Non, elle ne faisait que se révéler.

Mélinda le sentait bien, l’expérience sans doute ; Asami n’était pas ici juste parce qu’elle avait croisée sa route : Ca, les centaines d’élèves du lycée l’avaient fait ; Elle l’était parce qu’elle était un bourgeon de soumission, attendant patiemment de fleurir. A l’oeil paresseux ou non instruit, un bourgeon n’est qu’un bourgeon, comparable à tout autre et sans aucun intérêt ; A celui plus avisé, comme celui surnaturel de Mélinda, il est une fleur en puissance, une fleur très précise, reconnaissable entre mille.

Mélinda, connaisseuse s’il en est, sait comment se mérite puis s’apprécie la fleur « Asami » : Il faut doucement l’abriter au creux de ses mains, contre son cœur, la rassurer, puis délicatement la découvrir, la laissant dévoiler ses pétales d’elle même, avant qu’elle n’offre, incapable de cacher son cœur le plus sacré, son fruit défendu, que l’on peut alors butiner sans réserve.

La vampire était déjà bien avancée dans sa récolte ; Chaque fois qu’un pan d’elle fleurissait, Asami se révélait un peu plus aux antipodes de ce qu’elle prétendait être, la jeune Yamada, élève studieuse et présidente de sa classe... Mélinda la faisait fleurir pour son propre plaisir, appréciant tout autant la venue de chaque pétale que l’idée d’en boire le nectar ; Mais elle savait aussi qu’il ne fallait pas brusquer une fleur si fragile, et pour l’instant, elle la chérissait patiemment.

« Très bien... Je vais continuer à te fouetter, petite catin, mais... À une condition. »

Jusqu’ici, la jeune fille s’était laissée souiller par la vampire, révélant que sa façade prude n’était bien qu’un masque ; Ensuite, elle avait accepté de venir en quémander plus dans son manoir, exhibant un désir réprimé et inattendu ; Et maintenant venait le temps de nier ce qu’elle était, de se réduire à néant devant sa maîtresse, de s’avouer un simple objet en sa possession.

« À chaque fois que je fouetterais ton magnifique corps, je veux que tu t’insultes... Que tu te traites de...Petite salope, par exemple... »

Cela était bien difficile pour la jeune Asami, bien élevée et habituée par sa sagesse louée autrefois mais qui maintenant semblait bien ironique, à ne pour ainsi dire jamais jurer, encore moins avec des mots tels que « salope », dégradants et honteusement dépravés. Mais Mélinda avait défendu son ordre avec ardeur, sa morsure au cou d’Asami lui rappelant de doux et récents souvenirs, contrastant avec la douleur qu’elle lui infligeait, quoi qu’à présent, la lycéenne n’était plus certaine de ce contraste.

« Dès que tu cesseras de t’insulter, j’arrêterai les coups de fouet. Et peut-être que je mettrais aussi une ceinture de chasteté, et que je ferais l’amour sous tes yeux avec deux esclaves toute la nuit, juste pour te punir... »

Cela achevait de ne laisser d’autre choix à la jeune fille, lui faisant regarder de ses yeux larmoyants, les coups de fouets lui en ayant déjà arrachées quelques unes, et surtout suppliant, sa maîtresse ; Mais le sourire et le regard qu’elle lui renvoyait ne laissaient aucun doute, elle aurait à obéir. Alors que Mélinda marchait doucement jusqu’à sa position, dans le dos et largement hors du champ de vision d’Asami, les pensées de celle-ci fusaient, lui faisait chercher  en panique les insultes dont elle pourrait se gratifier.

Quand le premier coup s’abattit, elle laissa fuser ce qu’elle avait à l’esprit au lieu de l’usuel gémissement, quoi qu’on y retrouvait tout autant cette nuance exquise de plaisir et de douleur :

« Je ne suis qu’une petite catin, Maîtresse ! »

Son cœur battait la chamade, pour la première fois pas seulement à cause de ce qu’elle recevait, mais aussi à cause de ce qu’elle devait infliger. Elle se rabaissait elle-même. Encore.

« J-Je suis une pauvre salope, Maîtresse ! »

Sa voix était plus claire, comme si elle y mettait plus d’ardeur, mais sûrement aussi parce qu’elle était maintenant un peu plus préparée.

« Je ne suis bonne qu’à être abusée, Maîtresse ! »

Doucement, Mélinda pouvait voir son œuvre se finaliser : Asami se couronnait son objet d’elle-même.

« Je ne suis qu’un sac à foutre, Maîtresse ! »

Ponctuant ses insultes d’un « Maîtresse ! » de bon ton, elle ne savait même pas d’où elle sortait ces expressions, ou peut-être le comprenait-elle enfin, plutôt.

« J-Je suis votre esclave, faites moi ce que vous voulez, Maîtresse ! »

Au prochain coup, Asami tomba cependant, n'arrivant plus à satisfaire l'ordre de sa maîtresse ; Ses jambes fléchirent, tremblant doucement en attendant de pouvoir la supporter à nouveau, et ses bras la retenaient difficilement, ses doigts crispés autour des chaînes qui la maintenaient en place. Sa tête baissée, sa respiration haletant et son cœur battant plus fort et plus vite qu’elle ne le croyait possible ; Elle était incapable de supporter plus de cet exercice, son dos et fessier déjà zébrés de rouge. Doucement, elle tourna la tête vers sa maîtresse ; Pas assez pour pouvoir la voir, mais lui signifiant qu’elle voulait son attention.

« Je...Je n’en peux plus, Maîtresse...S’il vous plaît... »

Elle était suppliante, consciente qu’elle avait failli Mélinda, et son seul désir était de se racheter, de pouvoir contenter sa maîtresse.

« N-...Ne me punissez pas, s’il vous plaît...Je veux vous faire plaisir... »

Mélinda Warren

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Re : Les bienfaits de la servitude [Asami Yamada]

Réponse 20 lundi 04 janvier 2016, 02:37:08

Ce que Mélinda proposait à Asami était relativement pervers, mais c’était la manière de fonctionner de la vampire. Elle voulait corrompre les gens, mais elle ne voulait pas que ses esclaves soient totalement passifs. C’est pour cette raison, toute simple, que Mélinda avait proposé à la jeune femme cette situation, à savoir qu’elle s’insulte elle-même. Ce n’était pas grand-chose quand on se faisait fouetter, mais, par expérience, Mélinda savait qu’il était bien plus facile de se laisser faire que de réagir. Or, parler, et, plus précisément, s’insulter, ce n’était guère instinctif, et ça nécessitait de briser des barrières et des frontières de respect et de fierté personnelle qui n’étaient pas innés. Mais, quand la Maîtresse l’ordonnait, avait-on vraiment le choix ?

Mélinda se remit donc à sa position d’origine, puis fouetta à nouveau... Et, cette fois-ci, outre le délicieux bang supersonique du fouet, et le cri d’Asami, un nouveau son de plaisir venait s’ajouter à tout ce que Mélinda ressentait : les gémissements et les jurons d’Asami. En souriant, Mélinda ne pouvait que l’encourager, à sa manière :

« Encore ! Encore, ma petite catin ! »

Et... Et *SCHTAC !*, le fouet claqua à nouveau, et, à nouveau, Asami s’insulta. La résistance de cette femme était exceptionnelle, mais, en toute honnêteté, après tous les coups de fouet qu’elle avait reçue, Mélinda ne pensait pas qu’elle tiendrait encore très longtemps. La vampire continua donc à la fouetter, sentant encore Asami s’insulter, jusqu’à trouver de très beaux jurons, sortant profondément des tréfonds de son imagination. C’était ça, le pouvoir des mots, le pouvoir de la plume. « Sac à foutre », notamment, était une expression très bien trouvée. Mais ce fut la dernière, car Asami sembla ensuite s’épuiser, s’affaissant sur elle-même, ses liens l’empêchant tout juste de s’écrouler sur le sol.

Mélinda balança rapidement le fouet au sol en se rapprochant. Pour fouetter Asami au mieux, elle lui avait ôté sa belle robe, et, maintenant, la femme s’offrait dans de simples appareils, avec ses longs gants blancs, ses bas, son porte-jarretelles, et sa belle culotte. Ses seins, eux, étaient à nu, et tout son corps était rougi. Asami respirait lourdement, des gouttes de sueur filant le long de son corps. Épuisée, la jeune femme se sentit coupable, coupable d’avoir fini par craquer... Et, alors que Mélinda se rapprochait, en faisant claquer ses talons sur le sol, elle demanda grâce, ce qui la fit sourire.

Mélinda se rapprocha d’elle, et sa main vint caresser son visage, tandis que sa main se glissait sur son menton, soulevant légèrement la tête d’Asami.

« Oh, ma belle... »

La vampire esquissa un léger sourire sur ses lèvres, et l’embrassa tout doucement sur les lèvres, plaquant sa bouche contre la sienne pendant quelques secondes. Elle en profita ensuite pour la détacher, mais la retint, de telle sorte qu’Asami s’affala tout contre sa Maîtresse, plutôt que de s’écrouler sur le sol. La vampire évitait prudemment de caresser son dos, qui était bien rouge, et se contentait donc de jouer avec ses cheveux, tout en la complimentant :

« C’est très bien, ce que tu as fait, Asami... Tu es très courageuse et... Très résistante, aussi. Je n’aurais pas dû te fouetter autant, ma pauvre petite... Ta Maîtresse s’est emportée parce que tu lui fais très plaisir. »

Mélinda se redressa lentement, puis caressa les hanches d’Asami... Puis entreprit ensuite de la prendre dans ses bras. La jeune femme aurait un peu mal au dos, mais... C’était toujours moins douloureux que de la faire se traîner sur le sol. De cette manière, Asmai était vraiment dans la position classique de la femme mariée rentrant dans le domicile conjugal, portée par son mari. Les mains de Mélinda étaient glissées contre elle, l’une à hauteur de ses chevilles, et l’autre de son dos. C’est de cette manière que Mélinda alla la guider vers le lit, où elle l’invita à se coucher sur le ventre.

« Je dois avoir... Quelque chose... Par là... »

Elle ouvrit un placard, contenant une armoire à pharmacie, et alla chercher plusieurs objets, jusqu’à trouver la fiole qu’elle cherchait. Un sourire victorieux sur les lèvres, elle retourna ensuite vers le lit.

« Je t’ai battu avec un fouet émoussé, Asami, ce qui fait que ta peau est juste irritée, et tes blessures superficielles... Alors, je vais appliquer un onguent sur ta peau. »

C’était un onguent médicinal, qui venait tout droit de Terra, et qui était utilisé par les guérisseurs. Mélinda avait aussi des élixirs, mais, en l’état, il lui semblait inutile d’en appliquer sur le corps de sa jeune esclave. Elle le décapsula donc, et retourna le pot. Une crispation s’empara d’Asami au contact de sa peau sur cet onguent. Entre-temps, la vampire avait provisoirement retiré ses gants.

« Évidemment, ça va piquer un peu, mais, d’ici quelques minutes, je pourrais à nouveau te caresser le dos... Et, pendant ce temps, tu vas répondre à mes questions, Asami... »

Mélinda appliqua donc l’onguent, en se mettant à califourchon sur elle, descendant jusqu’à ses fesses, qu’elle pétrit également, sans aucune hésitation, avant de remonter. Asami pouvait ainsi constater que Mélinda savait bien masser, donnant de grandes caresses, tout en vidant régulièrement, de nouveau, l’onguent.

« Alors, dis-moi... Je suis face à un cruel dilemme. D’un côté, je me dis que te prendre ta virginité te permettrait de découvrir de nouveaux horizons... Mais, d’un autre côté, je me dis que continuer à te sodomiser et à te violer ta bouche d’amour en sachant que tu as toujours ton hymen ne manque pas d’un certain piquant... Alors, dis-moi... Est-ce que tu as hâte que je te prenne ton hymen ? Que je m’unisse à toi, ma petite Asami ? Ou préfères-tu rester dans la curiosité de savoir ce à quoi un coït ressemble, et à te faire enculer tous les jours, comme la petite chienne que tu es ? »

Un sacré dilemme, en effet !

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Re : Les bienfaits de la servitude [Asami Yamada]

Réponse 21 lundi 04 janvier 2016, 22:41:33

Asami était à bout de tout. Elle avait bien tenté de tenir, de satisfaire sa maîtresse du mieux qu’elle pouvait, mais rien n’y avait fait, elle avait ses limites. Pendant un long moment elle s’était laissée portée par son élan, ignorant son cœur battant et son souffle qui se perdait, mais tout ça avait fini par la rattraper et elle s’était effondrée, confuse et désolée, n’entendant même pas le fouet ni les talons de sa maîtresse heurter le sol. La seule grâce qui la sauvait, l’empêchant de complètement tomber à genoux sur le sol, était ses liens qui la maintenaient « debout », si l’on pouvait appeler ça ainsi.

Perdue, elle pensait avoir déçue sa maîtresse, comme si celle-ci aurait voulu qu’elle continue ainsi ad vitam eternam, et il lui fallut un instant pour réaliser que cette douce sensation sur son visage était les doigts de Mélinda. Instinctivement, cependant, elle accompagna le mouvement que celle-ci instillait en elle, relevant son menton jusqu’à ce que ses yeux larmoyants puissent se perdre dans ceux de sa maîtresse.

« Oh, ma belle... »

La vampire vint alors forcer un baiser entre les deux femmes, ne lui demandant évidemment pas son avis ; Leurs lèvres légèrement pressées les unes contre les autres, Asami était doucement oppressée par sa maîtresse, mais cette fois elle n’avait pas à faire beaucoup d’effort pour s’y complaire, se laissant aller à fermer les yeux et émettre un léger soupir de plaisir étouffé. Ensuite détachée, s’affaissant immédiatement, peu prête à se tenir debout et encore moins droite, Asami se réfugia dans les bras de sa maîtresse, s’y lovant aussitôt elle les sentait contre elle.

« C’est très bien, ce que tu as fait, Asami... Tu es très courageuse et... Très résistante, aussi. Je n’aurais pas dû te fouetter autant, ma pauvre petite... Ta Maîtresse s’est emportée parce que tu lui fais très plaisir. »

La lycéenne sourit sur ces compliments et croisa ses bras sur son ventre, comme pour se réconforter elle-même et surtout, même si elle n’osait pas cacher sa poitrine, la soulignant au contraire en la pressant maladroitement un peu plus vers le haut, pour reprendre un peu de dignité. Bien évidemment, elle se laissa porter par Mélinda, caressant doucement son bras de sa joue pendant qu’elle fermait ses yeux, profitant de son repos, son pouls comme sa chaleur redescendant doucement.

Quand Mélinda l’abandonna, cela laissa sa servante triste de sitôt les voir séparées, la quasi certitude que ce ne serait que pour pas longtemps la réconfortant cependant quelques peu. Répondant à son ordre, bien qu’elle l’aurait sûrement fait même sans, Asami se mit sur son ventre, croisant ses bras devant elle pour y apposer sa tête, la reposant tranquillement. La penchant sur le côté, elle pu admirer le déhanché de la vampire ; Quoi qu’elle portait une robe, celle-ci lui collait comme une seconde peau et la lycéenne ne perdait pour ainsi dire rien du spectacle, ses hauts talons la forçant, quoi que ça ne la dérangeait sûrement pas le moins du monde, à accentuer cette démarche sensuelle.

Pendant qu’elle cherchait l’objet de son désir, encore inconnu à son esclave, elle présentait encore mieux ses formes, qui commençaient doucement à intéresser Asami qui, reprenant ses forces, voyait son ardeur revenir avec elles. A l’annonce que Mélinda lui appliquerait un onguent elle-même, elle crut un de ses voeux juste formulés exaucés, et quand celle-ci se mit à califourchon sur elle, enfonçant ses jambes dans le doux matelas du lit, ça n’en était pas si loin. Quand le « massage » commença, les brûlures reprirent, bien plus faiblement qu’avant, par chance, quoi qu’elle n’était pas sûre si c’était l’effet de l’onguent ou les restes des coups de fouets. Quoi qu’il en soit, ses mains se refermèrent, crispées, sur le magnifique drap, et son visage s’y enfonça, un long soupir de complaisance glissant sur le tissu alors que ses yeux se fermaient, se concentrant sur les délicats et nus doigts de sa maîtresse, se figurant leur moindre caresse ainsi que leur chemin, surtout celui à venir.

Asami crut de bon ton de récidiver son faible gémissement, signifiant à Mélinda que, outre sa gratitude pour le soin de ses « blessures », il y avait un autre motif à l’appréciation de son onguent. Cependant, la béate relaxation dut prendre fin quand la vampire requerra d’elle qu’elle réponde à un « dilemme » :

« Alors, dis-moi... Je suis face à un cruel dilemme. D’un côté, je me dis que te prendre ta virginité te permettrait de découvrir de nouveaux horizons... Mais, d’un autre côté, je me dis que continuer à te sodomiser et à te violer ta bouche d’amour en sachant que tu as toujours ton hymen ne manque pas d’un certain piquant... Alors, dis-moi... Est-ce que tu as hâte que je te prenne ton hymen ? Que je m’unisse à toi, ma petite Asami ? Ou préfères-tu rester dans la curiosité de savoir ce à quoi un coït ressemble, et à te faire enculer tous les jours, comme la petite chienne que tu es ? »

Ne bougeant d’un pouce, visualisant doucement les conséquences de ses réponses possibles, Asami se mordit délicatement la lèvre inférieure, réalisant à quel point chacune était alléchante. Après un difficile instant de réflexion, elle trouva la réponse qui la satisfaisait, et, avec un aplomb nouvellement trouvé, grâce à l’« exercice » de sa maîtresse, osait-elle penser, elle mit tout son charisme à l’œuvre.

« Oh, nous ne voudrions pas que notre union soit entaché par mes petites cicatrices, mh, Maîtresse ?..Et puis, mes lèvres et mon cul de petite catin vous ont toujours servi avec plaisir jusqu’ici, non ? »

Doucement, elle replia ses jambes, mais, celles-ci étant pressées contre le lit par Mélinda qui était assise dessus, cela ne fit que relever son postérieur, le présentant sans honte à la vampire, toujours huilé par son onguent médicinal qui, au moins sous cette perspective, ressemblait à s’y méprendre à une huile de massage, aussi utile pour leurs vertus glissantes que brillantes. Délicatement, Asami ramena ses bras derrière elle jusqu’à ses fesses qu’elles écarta avec mille précautions, craignant encore quelques peu de se faire mal, et, de quelques doigts, bougea l’exquisément fin pan de son tanga, seulement de quelques centimètres, mais assez pour dévoiler son anneau qui se contractait doucement d’anticipation.

« Vous voulez peut-être un avant-goût avant de vous décider, Maîtresse.. ? »

Sa voix était espiègle et complice, et Mélinda pouvait y déceler un jeu auquel elle ne pouvait que gagner.

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Re : Les bienfaits de la servitude [Asami Yamada]

Réponse 22 jeudi 07 janvier 2016, 10:52:32

Pour Mélinda, le choix était difficile. D’un côté, Asami ne pouvait pas rester éternellement vierge, car, tant que son hymen ne serait pas brisé, il y aurait toujours, dans le corps d’Asami, un ultime bastion qui résisterait à l’ardeur de Mélinda. Mais, d’un autre côté, en étant vierge, Asami semblait être encore plus perverse et insatiable... La preuve en était que, après tous ces coups de fouet, la douleur d’Asami n’avait eu que pour effet d’aiguiser ses instincts, et de l’assoiffer encore plus. Mélinda l’avait bien massé, éprouvant sa délicieuse et chaude peau, et sourit en voyant Asami se dandiner un peu. Impossible de lui mentir, elle sentait le sang d’Asami. Son cœur continuait à battre rapidement, à la trahir, à exprimer tout le désir qu’elle ressentait en ce moment. Cette petite catin écarta alors les pans de sa culotte, et lui montra sa rondelle, tout en parlant, en parlant de sa voix douce, sensuelle, et perverse. Mélinda sourit donc, observant son joli petit cul. Un avant-goût avant de se décider...

« Oui... Comme toujours, tu es de bon conseil, ma chérie... »

Mélinda sourit donc, et sa main vint rejoindre celle d’Asami sur ses fesses, venant caresser, à son tour, son petit cul. Asami avait encore eu des brûlures sur le dos, mais, visiblement, cette douleur ne la choquait guère... Ce qui était un élément caractéristique des soumises. L’expérience de la douleur avait quelque chose d’exquise, et Mélinda, pendant de nombreuses secondes, vint malaxer ce beau cul, faisant preuve de tout son talent. Ses doigts pétrissaient cette chair, ces deux monts de plaisir, et, quand le sous-vêtement d’Asami apparut comme étant plus une gêne qu’autre chose, elle entreprit de le retirer, le faisant lentement glisser le long des jambes d’Asami... Jusqu’à l’arrêter à hauteur de ses mollets, comme une sorte d’ultime lien venant restreindre ses mouvements.

« Attends... »

Si Asami tournait de nouveau la tête, elle verrait sa Maîtresse s’écarter, et se mettre de dos face à elle. Elle la verrait tirer sur le lacet noir à hauteur de ses seins, et elle verrait ensuite sa robe s’ouvrir par le haut, comme les pétales d’une fleur venant s’égayer à la vie, avant que toute la robe ne tombe sur le sol, révélant Mélinda dans une quasi-nudité. Une nudité uniquement perturbée par une culotte noire. Mélinda restait de dos, et elle s’empara ensuite de ses gants noirs, et, après s’être essuyée les mains, entreprit de les remettre, en les faisant claquer sur sa peau... Puis elle retira ensuite sa culotte, et la conserva dans sa main, et, quand elle se retourna, Mélinda... Mélinda s’était dotée de son attribut masculin, après avoir poussé un léger soupir.

À la place de sa féminité, sa masculinité venait de pousser, fruit de la magie et de la science tekhane. Une belle verge en érection, avec des testicules. Mélinda se rapprocha, offrant à Asami la vue de son sexe, avant de retourner sur le lit, et de lui tendre sa culotte.

« Je mouillais pendant que je te fouettais, ma petite catin... Si tu renifles bien, tu pourras sentir la mouille de ta Maîtresse. Maintenant... On va voir si tu préfères que je te malaxe le cul avec les gants... Ou sans. »

Mélinda parlait d’une voix assurée, mais qui trahissait son excitation, une excitation qu’elle ne cherchait pas spécialement à dissimuler. Asami, en effet, lui faisait envie, une envie féroce. Sa douceur, sa soumission, n’étaient que la facette externe de sa personnalité, une personnalité dissimulant des fantasmes merveilleusement pervers. Qui sait ce qui se serait passé si Asami n’avait jamais été ici ?  Si elle avait mené une vie de ménagère normale ? Est-ce qu’elle aurait été l’une de ces femmes se mettant à déprimer en approchant de la quarantaine, ces mères de familles qui lisaient secrètement « Cinquante Nuances de Grey » en fantasmant sur les échecs de leurs passion et de leurs fantasmes ? Les femmes, en réalité, étaient des créatures fort paradoxales, car elles désiraient sincèrement le respect, des amants attentionnés... Mais elles aimaient aussi la brutalité, la sauvagerie, cette virilité masculine. Un homme n’était pas bien différent, en réalité. Tout le monde fonctionnait comme ça, mais il y avait juste des variances, des degrés différents.

Les mains de Mélinda pétrirent donc le délicieux petit cul d’Asami, le massant avec plaisir, pour la faire soupirer, l’amener à se tortiller... Et, pendant ce temps, son visage finit par se rapprocher d’elle, et elle alla finalement, après avoir bien écarté ses fesses, léché sa croupe, fourrant rapidement le bout de sa langue dans sa rondelle, ce délicat petit trou.

« Hmmmm... »

Elle léchait ce petit trou, sa langue remuant dans cet espace étroit, sa salive glissant en elle. Et elle se délectait de deviner le plaisir d’Asami, ainsi que son impatience, grandissante. Pendant une ou deux minutes, Mélinda joua donc avec ce petit cul, puis se redressa ensuite, en souriant.

« Mets-toi à quatre, ma petite chienne... »

Elle laissa Asami s’exécuter, puis vint à nouveau caresser ses fesses, tout en approchant son sexe de son bassin. Sa queue caressa ce dernier, et elle le glissa dans sa croupe, en souriant de nouveau, forçant un peu, sentant sa queue se tendre et se serrer, tandis que ses mains continuaient à pétrir ses fesses.

« Je dois admettre que j’ai adoré t’entendre t’insulter, Asami, c’était... C’était si spontané que c’en était délicieux... Alors, je me demande s’il ne faudrait pas réitérer l’expérience... Mais, d’un autre côté, je vais te prendre comme une petite chienne en manque de queue, alors, je crois qu’il y a une option qui se présente... »

Toujours aussi joueuse et perverse, Mélinda allait encore imposer quelque chose à cette petite vierge, et se redressa un peu, s’apprêtant à la sodomiser. Maintenant que son cul était bien lubrifié, la vampire pouvait y aller franco, et elle caressa encore un peu le doux collier d’Asami, jusqu’à serrer ce dernier, et souleva un peu cette dernière, le temps de parler, et d’imposer ses conditions :

« Tu as le choix... Soit tu t’insultes, soit tu aboies, comme une belle petite chienne, pendant que je te défonce ton petit cul de traînée... D’accord, ma chérie ? »

N’attendant pas vraiment sa réponse, elle relâcha le collier, puis se redressa, et se prépara... Puis le bout de sa queue s’approcha du cul d’Asami, et tapa contre sa rondelle.

« Hnnn... Tu es... Haaaan, c’est toujours aussi... Haaaa... Serré ! »

Et son membre s’enfonça en elle, progressivement, les mains de Mélinda se crispant sur le corps de la femme, tandis qu’elle serrait les dents en soupirant. Hoo, c’était toujours aussi intense, toujours aussi dur...

...Mais toujours aussi délicieux !

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