Jeux pervers [Lust - Erotica - Mag Mir]

Toute mère digne de ce nom a pour devoir d'élever convenablement sa progéniture. Lui enseigner tout ce qui peut lui être utile, tout ce qui lui permettra de mieux vivre, d'être heureuse. Hors il y a une chose capitale que beaucoup de mères oublient d'enseigner : le jeu. Peu importe à quel point ils s'en cachent, les mortels adorent jouer, les divinités adorent jouer, les autres créatures adorent elles aussi jouer, tout le monde joue et adore ça. Le jeu permet d'apprendre, de s'occuper et surtout, il permet de changer les joueurs, de les faire évoluer. Il était grand temps que j'enseigne à ma chère fille de nouveaux jeux, lui apprendre comment tromper l'ennui tout en convertissant les mortels.

Le culte dédié à ma fille se développait bien, ses temples étaient de plus en plus richement décorés, ses fidèles étaient de plus en plus nombreux. Elle serait amenée un jour à achever cette œuvre et l'ennui s’installera alors, comme une malédiction latente qui menace tout être immortel. Elle devait avoir autre chose, d'autres passions, d'autres intérêts, une multitude de petites choses qui pimenteraient son éternelle vie. Comme à son habitude, Erotica s'amusait à s'exhiber devant ses fidèles. Peut être que je m’inquiétais pour rien au final. Mais dans le pire des cas, nous passerions au moins un bon moment entre mère et fille. Masquant ma présence, je l'ai laissée terminer, elle était la seule et unique Déesse de ces lieux, ses fidèles n'avaient aucunement besoin de moi. Quel genre de mère je serais si je piquais la vedette à ma propre fille ? Elle devait devenir une grande Déesse, respectée, aimée et elle ne le deviendra jamais si je la colle de trop près. Je voulais qu'elle soit considérée autrement que juste comme "la fille de Lust".

Une fois sa représentation terminée, je l'ai suivis discrètement jusque dans un coin isolé du temple où je lui ai révélé ma présence, même si elle savait surement déjà que j'étais là. J'ai délicatement pris son menton entre mes doigts pour relever sa tête et l’embrasser tendrement. Puis je lui ai murmuré à l'oreille :

"Bonjour jolie Déesse, je viens vous kidnapper."

Sans plus d'explications, je l'ai poussée du bout des doigts en arrière tandis qu'un portail vers Nexus s'ouvrait dans son dos. C'est ainsi que nous nous sommes toutes les deux retrouvées dans la chambre d'une terranide que j'avais déjà repérée avant. L’intéressée dormait encore et j'ai murmuré à ma fille :

"Je me disais que tu voudrais voir comment maman s'occupe lorsqu'elle s'ennuie. Nous allons lui jouer un petit tour et lui permettre de se lâcher !"

Usant de mes pouvoirs, j'ai transformée notre jouet du jour en une adorable lapine à la poitrine provocante. Libérée de son apparence et obligée de coopérer pour retrouver son état normal, elle sera obligée de jouer avec nous, obligée de se lâcher, de se laisser aller. J'ai de nouveau parlé à Erotica mais, cette fois à voix haute :

"Maintenant jeune fille, vous allez devoir inventer un jeu approprié pour que cette mortelle puisse retrouver une apparence plus décente ! Si elle gagne, je lui rendrais son apparence d'origine, si elle perd je te laisserai choisir sa punition. Oh et, Erotica, si tu me déçois c'est toi que je punirai ma chérie. Qui aime bien châtie bien après tout, hu hu !"

Je me suis tout de même fait la réflexion qu'il faudra que je pense, un jour, à demander l'avis des autres avant de faire n'importe quoi. Quoi que ... Oh après tout qui s'en soucie ?

Pour LA déesse de l'exhibitionnisme, il n'y avait pas plus belle récompense envers ses fidèles que de s'offrir à la vue de ceux-ci. En outre, cela faisait près d'un an que le temple dans le lycée existait. En une année scolaire, Erotica était parvenue à rassembler une bonne moitié des élèves et du corps enseignant dans son antre des plaisirs interdits (sous-entendu le temple hein). Si Aphrodite apprenait que pratiquement tout son lycée était abonné à la fille de sa sœur détestée, elle en serait verte de rage. En fait, le seul groupe qui faisait concurrence au Culte d'Erotica, était le club secret connu sous Le Cercle. Ça donnait un peu l'impression que l'établissement scolaire était divisé en deux factions secrètes, avec au centre les mortels qu'il restait à convertir. D'un coté, des jeunes filles qui se faisait passionnément l'amour entre elles, de l'autre, des mâles et des femelles qui prenait plaisir à se masturber ou à forniquer devant les regards d'autrui.

Bref, ce soir là, La jeune déesse récompensait tout ses fidèles en se masturbant énergiquement devants les élèves de son culte, ces derniers fixant sa chatte dégoulinante de mouille en en faisant autant avec leurs sexe. Erotica faisant de puissants vas et viens en observant tout ces regards pointés vers elles et n'en mouillait que d'avantage encore. Chaque fois que ses doigts entraient en elle, un flot de cyprine était expulsé de son antre pour éclabousser le sol, que léchait avec appétit Hinata, la prêtresse du temple de Mishima. Sur les sièges, garçons comme filles avaient le visage cramoisi, commençant même à se caresser, se doigter et s'embrasser, sans distinction de sexe. La belle déesse, en voyant les barrières tomber aussi aisément, en eu un puissant orgasme, envoyant de grands jets de son jus intime que Hinata s'empressa d'avaler en ouvrant grand la bouche. Ce fut le signal qu'attendait ses fidèles pour se lâcher un peu plus, se léchant le cul ou l'intimité, suçant pénis tendus et clitoris gonflés, dans de doux bruits pervers. Ils étaient partis pour la nuit et Erotica les laissa là à leurs plaisirs naissants, avant de sentir une présence particulièrement appréciée de la jeune déesse. Peu après, elle sentit effectivement le corps de sa mère se blottir contre elle, sa confortable poitrine lui caressant la peau, puis sentit les lèvres humides de Lust contre les siennes, plongeant dans un agréable baisé.

- Bonjour jolie Déesse, je viens vous kidnapper.

- Quelle agréable suggestion que voici, mère...

Amusée et joueuse, Eritica se laissa pousser par sa mère, avant de se retrouvée dans une chambre d'auberge, probablement sur Terra, au vu de la belle terranide Lionne sur le plumard.

- Je me disais que tu voudrais voir comment maman s'occupe lorsqu'elle s'ennuie. Nous allons lui jouer un petit tour et lui permettre de se lâcher !

Comme lorsqu'elle était encore gosse, Erotica en eu les yeux brillants de malice, à l'idée de jouer avec sa mère adorée. Dans son lit, la terranide se transforma rapidement en belle Usagi, mignonne et fragile, aux courbes alléchantes. Erotica eu du mal à ne pas se jeter sur elle pour la baiser passionnément.

- Maintenant jeune fille, vous allez devoir inventer un jeu approprié pour que cette mortelle puisse retrouver une apparence plus décente ! Si elle gagne, je lui rendrais son apparence d'origine, si elle perd je te laisserai choisir sa punition. Oh et, Erotica, si tu me déçois c'est toi que je punirai ma chérie. Qui aime bien châtie bien après tout, hu hu !

Erotica lui sourie en retours, connaissant bien les punitions made in maman. En règle générale, il s'agissait de passer du temps entre les tentacules (beaucoup de temps) ou ses créatures corrompues. Choses que bien évidement, elle appréciais particulièrement, même si elle était frustrée de n'avoir pour seule spectatrice sa mère. S'approchant doucement de la lapine, elle se mit à caresser sensuellement sa douce peau, avant de faire disparaître ses vêtements d'un claquement de doigts. Autant rendre le jeu plus amusant encore, non ? Avec ses accessoires – qui apparurent d'un autre claquement de doigts – Erotica lia les mains et pieds de la terranide, avant de l'embrasser d'un agréable baisé qui la réveilla. Lui caressant doucement la joue, elle lui murmura sensuellement.

- Bonjours belle terranide... Non, ne panique pas, nous allons simplement jouer à un petit jeu, ma mère et moi, dont tu est le sujet principal.

L'Usagi en observant eu peu son entourage, pourra voire deux femmes aux longs cheveux roux, toutes deux nues et l'une plus âgée que l'autre.

- Si tu gagne, tu pourras retrouver ton ancienne apparence et continuer ta route. Mais si tu perd, tu restera une Usagi un an durant et serra l'esclave sexuelle d'une personne choisie par ma mère. Bien sûr, tout le monde sait que les lapines sont des forniqueuses reconnues, et ce parce qu'elles sont très sensibles ♥

Elle lui laissa le temps de digérer l'information, avant de reprendre, sans arrêter un seul instant de la caresser et de l'embrasser sur le front.

- Le jeu en lui-même est simple. Il te suffit simplement de te lâcher et de laisser tes envies sexuelles s'exprimer au grand jours. De ne penser qu'à ton seul plaisir, en mettant tout le reste de coté. Seules les sensations que tu ressentira seront importantes. Facile non ? Et ta première épreuve consiste à te donner du plaisir devant nous... N'hésite pas à nous regarder et à t'inspirer de nos ébats ♥

Claquant des doigts une dernière fois, elle fit disparaître les menottes, remplacées par un collier et une chaine reliées aux barreaux du lit. Erotica la laissa ensuite pour embrasser langoureusement sa mère adorée, malaxant ses seins avec adoration.

      Une caravane se voyait au porte de la capitale. Les gardes se mirent à fouiller les carrioles, cherchant avant tout des raisons pour voler les contenue, l'un d'eux vint à brutaliser une gamine qui ne voulait pas montrer son sac. Une ombre surgit d'une carriole en fin de queue et mit le soldat à terre, une épée imposante tombant à quelque centimètre de sa tête, la lame ayant suffisamment de poids et de force pour s'enfoncer dix bon centimètre sur le sol dallé. Une voix froide sortie de la sauveuse.

- Ne t'attaque plus aux personnes de cette caravane où la prochaine fois c'est ta tête qui sera fendue par mon épée.

      Le soldat se mit à crier à la garde et immédiatement la terranide fut encerclé par une dizaine de garde, semblant peut inquiète pour sa vie.  Elle enfonça son épée dans el sol jusqu'à la moitié de la lame et fit craquer les articulations de ses mains. Les soldats eurent un mouvement de retrait, pensant avoir affaire à une force de la nature vu la force que la lionne possédait. C'est alors qu'une femme se mit à venir, étant l'instigatrice de ce convoi.

- Mag mir veuillez ne pas les blesser, ils sauront se contenter de cette donation pour leurs casernes.

      Une lourde bourse passa des mains de la femme au chef de la troupe qui décida, devant la '''donation'' de la femme semblant issu d'une famille assez riche, d'oublier cet incident et faire passer la caravane sans fouille. La lionne ne put retenir un grognement de colère, mais personne n'y fit attention. La caravane fit halte dans une villa, tout les biens furent transportés dans la demeure, les personnes étant à présents les domestiques de la noble. La terranide reçu une bourse.

- Voici pour votre travail d'escorte, j'espère avoir un jour le plaisir de faire appel à vos service. Il est rare d'avoir une mercenaire aussi fiable que vous.

      La lionne fit une brève courbette.

- Je ne fais que mon travail.

      Sur ses mots, la terranide se mit à partir prendre une chambre à l'auberge du coucher de lune, sa mère en avait beaucoup parlé comme étant le meilleur endroit pour dormir incognito, tant que l'on avait de quoi acheter le silence du barman. Chose qu'elle avait à présent.  Mag mir se prit un verre de lait et commanda sa chambre, le barman eut cependant une remarque.

- Ici étrangère on a l'habitude que l'on se découvre.

      En effet la terranide avait noué son écharpe de telle sorte que ses oreilles et son visage soit dissimule seul ses yeux froids étaient visible. Immédiatement elle aligna quelques pièces d'or, le barman s'en saisit et fit comme s'il n'avait rien dit, bien comptant de trouver une personne facile à pigeonner. Cependant il fut très vite au courant que la lionne savait ce qu'elle voulait, n'hésitant pas une seule seconde à le menacer pour avoir une chambre potable. Chose qu'il donna en ne voulant pas finir au bout de l'épée de la lionne.

      Une fois dans sa chambre, elle verrouilla la serrure, étant certaine qu'un voleur n'aurait pas de mal à la crocheter. La lionne se mit à retirer son écharpe, la posant sur une chaise. Elle retira son armure quelle mit sur la commode, prenant dans son sac de voyage une simple robe de nuit. Elle alla immédiatement dans le lit, avec son épée contre elle, par le contact froid et aiguisé de son arme, elle se détendit et dormit à poing fermé.

      Quand Lust et Erotica apparurent dans la chambre de la lionne, cette dernière se mit à avoir ses sens avertissant d'une présence, seulement les deux déesse ne voulaient pas de mal et donc son instinct jugea leurs présences comme acceptable. Cela fut une toute autre histoire quand la magie vint changer son corps, coinçant entre ses seins plus volumineux l'arme, la terranide était éveillé et attendait de voir comment la situation allait tourner, se préparant mentalement à saisir son épée et l’abattre sur les deux intruses. Seulement Erotica eut la merveilleuse idée de menotter la lionne, sage décision quand on savait qu’elle aurait certainement saisit la gorge de la petite allumeuse.

      Ce ne fut pas un regard de personne endormit qui accueillit le baiser d'Erotica, mais un regard froid chargé d'envie de faire goûter à cette déesse le met délicat qu'est le parquet de cette chambre. Elle n'eut pas longtemps pour comprendre que les deux personnes étaient mère et fille,  il y avait trop de ressemblance. La lionne, devenue lapine, savait que son corps était plus faible et plus sensible, un simple regard sur sa nouvelle morphologie suffisait pour comprendre qu'elle ne pourrait pas brandir son épée de façon habituelle.  D'une oreille distraite elle se mit à écouter ce que la plus jeune disait, ce qui ne fit que la rendre de plus en plus en colère. En plus de modifier son corps par magie, voilà que des menaces étaient proférées. Quand Erotica vint rejoindre sa mère, Mag mir se mit à saisir l'épée et user de la force centrifuge pour lancer l'arme vers les deux femmes, manque de chance il y avait dix centimètre de trop sur la gauche et l'épée finit contre le mur, laissant une grosse marque. L'usagi avait le souffle court, normal, elle avait eut besoin de pomper loin dans ses forces pour lancer l'objet qui pesait un sacré poids. Puis ce fut un rire qui explosa dans sa gorge.

- Si vous voyiez vos tête.

      Elle redevint sérieuse et froide dans sa voix

-Je n'ai pas le temps de faire mumuse avec vous. Je me nomme Mag mir et j'ai une personne à tuer. Vous pouvez me frapper comme vous le désirez, je suis masochiste, c'est con hein ? 

      Elle saisit l'écharpe hivernale  avec ses pieds pour l'avoir en main.

- Sachez que c'est un artefact divin, vos pouvoir ne pourront pas le renvoyer et il peut vous congeler. Toi la pisseuse tu vas immédiatement faire disparaître ce collier, quand à ta mère elle a intérêt de me donner une bonne explication  sur votre petite farce. Comme je l'ai dit j'ai une personne à trouver pour le tuer et c'est déjà difficile de savoir comment l'approcher.  Allez exécution !

      Une Usagi en colère ça aurait sans doute fait rire beaucoup, mais la menace de l'artefact était quand à elle bien réelle, les deux déesse pouvant sentir la magie divine imprégner l'écharpe.

J'ai été un peu surprise de voir l'épée voler à travers la pièce. Quelle jeune femme agressive et malpolie, une petite rééducation s'impose, histoire qu'elle apprenne à respecter les entités supérieures. Quand à son "arme", son artefact était inhabituel certes, mais il en faudrait bien plus pour me blesser ou pour blesser ma fille. Cependant je n'étais pas là pour me battre, j'étais là pour passer du bon temps avec ma chère fille et cette petite débile de terranide était en train de tout gâcher.

J'ai fais apparaitre deux clones de moi, l'un se jeta sur la terranide elle-même plongeant entre ses seins pour s'y blottir, tandis que le second clone en profitait pour lui arracher l'artefact des mains. Pendant que mes clones s'occupaient de la petite rebelle, malaxant son indécente poitrine, j’enlaçais mon adorable fille pour répondre à son baiser. Ma langue glissa entre ses lèvres pour aller caresser la sienne, puis nos lèvres s'éloignèrent pour que j'aille m'occuper de notre proie. J'ai déplantée l'épée du mur et j'ai nouée l'écharpe autour du manche avant de jeter le tout dans un portail vers le monde corrompu. Enfin débarrassées de tout objets dangereux nous pouvions continuer. J'ai pensé qu'il était nécessaire de tuer dès à présent tout espoir de fuite et de nous présenter :

"Je te pardonne pour ce premier affront, tâche de ne pas recommencer. Nous sommes deux Déesses et tes, hum ... "jouets", ne nous feront rien. Nous venons t'offrir l'occasion de prouver à des êtres divins ta valeur, si tu réussis nos épreuves tu seras largement récompensée pour ta peine. Si tu échoue, si tu te rebelle, tu garderas cette forme et je te livrerai à ton père en m'assurant que tu ne puisse pas t'en prendre à lui. Tu imagine, ton cher père, abusant de toi chaque soir sans que tu puisse réagir ? Un an durant et ensuite, il disparaitra à nouveau et tu te retrouveras à la case départ, l'humiliation en plus. Surtout qu'en un an il aura largement le temps de te mettre enceinte, si tu vois ce que je veux dire."

Je n'avais pas pu me retenir de sourire à cette dernière phrase, oh que oui, je n'hésiterai pas une seconde à l'envoyer servir son pire ennemi si elle contrariait ma sortie familiale. Erotica était plus importante pour moi que n'importe quelle autre chose au monde, même Aphrodite, mon amour, ne remplacera jamais ma chère et tendre fille. À cette pensée, je l'ai prise par les hanches pour l'amener à moi, puis je me suis assise en la prenant sur mes genoux. Mes deux clones se sont alors évaporés, laissant la terranide seule sur le lit.

"Regarde bien, mortelle ! Voila ce que tu devras faire en publique pour nous satisfaire, prépare toi mentalement et surtout dis toi que personne ne te reconnaitra sous cette forme. Tu pourras te lâcher totalement sans avoir à craindre les conséquences, donc ne nous déçois pas !"

L'une de mes mains est directement allée entre les cuisses de ma chère fille, pour lui écarter les jambes afin que Mag puisse bien profiter du spectacle. Mon souffle chaud caressa le cou d'Erotica, tandis que ma main libre passait et repassait sur son adorable petit ventre. Je lui ai mordillé le lobe de l'oreille avant de lui murmurer d'une voix perverse :

"Je sais que c'est un petit public que je t'offre là. Mais je sais que ça suffi à t'exciter petite vilaine, après tout tu es bien la fille de ta mère, hu hu. Tu imagine notre amie terranide, rouge de honte devant ses futurs admirateurs ? Tu imagine, toi et ta copine lapine, toutes les deux sur mes genoux en train de vous partager ma poitrine devant des centaines de passants ?"

J'ai arrêté de parler pour l'embrasser dans le cou, l'une de mes mains sur sa poitrine, l'autre caressant sa petite rondelle brune. Je ne voulais pas qu'elle jouisse, je voulais juste l'exciter et ensuite libre à elle de se soulager sur la lapine. Deux de mes doigts s'invitèrent dans son anus ainsi offert, la poussant à se cambrer lubriquement devant notre animal domestique. Puis je lui ai promis d'un ton tendre mais, ferme :

"Si tu parviens à faire jouir notre lapine devant plus de mille personnes en tout, tu auras une très belle récompense, trois mamans pour toi toute seule, à ton service pour une semaine entière. Je te donne une semaine pour l'entrainer, pour rassembler un public et pour la faire monter sur scène. Si tu échoue, tu iras avec elle chez son père, en tant qu'esclave sexuelle, pendant une année entière. J'espère que cette motivation supplémentaire t'excite autant que moi chère fille ?"

Il est clair qu'Erotica ne s'attendait pas à ce genre de réaction. De la colère ou du désespoir, peut être, mais pas au point de lancer une lourde épée contre elles ! Enfin... "contre elles" est un bien grand mot... Disons plutôt "largement à coté d'elles". Aussitôt, deux clones de sa mère apparurent et se jetèrent littéralement contre la terranide, lui faisant un torride câlin, pendant que Lust jetait les objets potentiellement dangereux à la maison. Erotica espérait toutefois que les créatures y vivant n'allaient pas se blesser avec.

- Je te pardonne pour ce premier affront, tâche de ne pas recommencer. Nous sommes deux Déesses et tes, hum ... "jouets", ne nous feront rien. Nous venons t'offrir l'occasion de prouver à des êtres divins ta valeur, si tu réussis nos épreuves tu seras largement récompensée pour ta peine. Si tu échoue, si tu te rebelle, tu garderas cette forme et je te livrerai à ton père en m'assurant que tu ne puisse pas t'en prendre à lui. Tu imagine, ton cher père, abusant de toi chaque soir sans que tu puisse réagir ? Un an durant et ensuite, il disparaîtra à nouveau et tu te retrouveras à la case départ, l'humiliation en plus. Surtout qu'en un an il aura largement le temps de te mettre enceinte, si tu vois ce que je veux dire.

A la simple mention de cette idée, la jeune déesse en mouilla. Si elle perdait, la fille de Lust espérait que l'enfant pourra rejoindre le monde corrompu, pour en faire une belle petite Nymphe Usagi. Il fallait donc faire en sorte que l'enfant à naître serait une fille. Lorsque sa mère la pris par les hanches pour la prendre sur ses genoux, Erotica s'accrocha amoureusement au coup de sa mère. Oui, elles pratiquaient ouvertement l'inceste et l'amour qu'éprouvait Erotica pour Lust dépassait largement celui de la relation de mère/fille. La mère débuta ses caresse sur le corps de sa fille et celle-ci sentit son excitation commencer à grimper.

- Regarde bien, mortelle ! Voila ce que tu devras faire en publique pour nous satisfaire, prépare toi mentalement et surtout dis toi que personne ne te reconnaîtra sous cette forme. Tu pourras te lâcher totalement sans avoir à craindre les conséquences, donc ne nous déçois pas ! Je sais que c'est un petit public que je t'offre là, continua t-elle dans l'oreille d'Erotica. Mais je sais que ça suffi à t'exciter petite vilaine, après tout tu es bien la fille de ta mère, hu hu. Tu imagine notre amie terranide, rouge de honte devant ses futurs admirateurs ? Tu imagine, toi et ta copine lapine, toutes les deux sur mes genoux en train de vous partager ma poitrine devant des centaines de passants ?

Oh oui, elle imaginait très bien. Elle imaginait tout ces regards libidineux sur la place publique, pendant qu'elle jouait perversement avec sa lapine bien éduquée et sa mère adorée. A cette pensée, son souffle se fit plus haletant et son jus intime coula entre ses cuisses et sur la main de sa mère. Ce n'était pourtant pas un orgasme, ceux-ci étant généralement bien plus puissants que ça. Son excitation grimpa de quelques échelons encore, lorsque sa poitrine fut tendrement malaxée et son cul exploré par deux doigts de sa divine mère.

- Si tu parviens à faire jouir notre lapine devant plus de mille personnes en tout, tu auras une très belle récompense, trois mamans pour toi toute seule, à ton service pour une semaine entière. Je te donne une semaine pour l’entraîner, pour rassembler un public et pour la faire monter sur scène. Si tu échoue, tu iras avec elle chez son père, en tant qu'esclave sexuelle, pendant une année entière. J'espère que cette motivation supplémentaire t'excite autant que moi chère fille ?

- Haaaan... Oui maman... ça m'excite terriblement...

Pour sûr, l'idée de jouer les esclaves chez un esclavagiste était amusant, mais faire l'amour durant une semaine entière avec sa mère et deux clones étaient bien mieux. Se dégageant doucement de sa mère, elle se rapprocha de nouveau de la lapine, veillant cette fois-ci à l'attacher pour éviter les coups inutiles. Attachée avec les jambes bien écartées, avec les cordes de bondages, ce qui rendait la chaine parfaitement inutile. Glissant sa main sur l'intimité de l'Usagi, la jeune déesse lui parla d'un ton sensuel dans le creux de l'oreille, histoire de la motiver un peu plus.

- Je vais te dire un secret ma belle... Si tu réussi ton épreuve finale, nous t'offrirons le moyen de venir à bout de ton père... C'est un esclavagiste et le meilleur moyen de t'approcher de lui sans éveiller les soupçons, c'est de le séduire et de jouer la carte du sexe... C'est seulement lorsqu'il baissera sa garde, que tu pourras le tuer...

Erotica lui lécha ensuite le cou de longues minutes, en lui caressant la chatte et son bouton d'amour, excitée de le faire devant le regard de sa mère, puis repris sur un ton presque suppliant.

- Mais pour ça, il faut d'abord t'apprendre le sexe dans toute sa splendeur... Tu es encore inexpérimentée dans ce domaine, malgré tes précédentes expériences et cela ce voit seulement à tes petites réactions... Et tu ne voudrait pas griller ta couverture, n'est-ce pas ? Tu as la chance de pouvoir apprendre aux cotés de deux déesses... ne la gâche pas en retournant cette chance contre toi.

Erotica se fit plus aguicheuse encore, suçotant l'un des tétons dressé de la Usagi et roula entre ses doigts son jumeaux, pénétrant deux doigts dans la grotte des plaisir de la lapine, vite bloquées par une parois fragile.

- Un dernier conseil toutefois: ne simule pas l'excitation et le désirs sexuel... Si tu n'est pas sincère dans tes émotions, nous le saurons...

   La lionne vit les deux clones apparaître, sa mère lui avait parlé de certaine personne capable de se dédoubler, mais pas au point de changer la forme des clones. Pour la terranide cela n'était que deux esclave de la mère, mais tr_s vite elle fut submergée par le nombre, ne pouvant pas bouger à son aise avec la chaîne qui empêchait la terranide d’esquiver l'assaut. La lionne se mit à trembler légèrement quand l'un des clones se mit à jouer avec sa poitrine, se rendant compte que les terranide-lapine était effectivement très sensible aux caresses. Mag mir se mit à sentir son corps se réchauffer, mais cela restait beaucoup moins important que lorsqu'elle prenait un bain glacé. Ce qui la permit de lancer un regard mauvais sur la Lust, ayant un léger sourire narquois, il s'agissait d'un plaisir assez léger et la lionne ne semblait pas avoir perdu son endurance mentale.

   Vint le marché, pour la lionne cela semblait plus une menace qu'autre chose, la terranide traduisait cette phrase sous la forme suivante '' Soit une gentille fille et il ne t'arrivera rien de fâcheux''. Cependant elle n'était pas idiote, Lusta avait largement montrée la différence de niveau, mais la lionne n'allait pas courber l'échine, ce n'est pas dans sa nature de céder du terrain à plus fort qu'elle, bien au contraire. La lionne se mit à avoir une fabuleuse idée, elle allait essayer de gratter le territoire de prédilection des deux déesse. Mag mir savait qu'une divinité était imbattable, mais s'approcher de leurs niveaux aurait l’avantage d'avoir le dessus contre des mortels. De plus l'idée de porter l'enfant de son père la répugnait, cela la ferait prendre le même chemin que sa mère et elle souhaitait éviter que sa progéniture connaisse son sort.  La lionne voyait bien que Lust ne plaisantait pas, sa fille semblait même se réjouir de l'idée. La terranide vit alors le point faible de Lust, sa fille, tout comme Ingrid avait Mag mir comme point faible. La scène qui suivit la rendit mal à l'aise, tout cela aurait put se réaliser avec sa mère et la lionne en devenait envieuse de ses deux déesses, éternellement ensemble, pouvant se procurer du plaisir indéfiniment, alors que elle, elle n'aurait plus jamais le contact chaleureux de sa mère ou encore la sensation des nuits torrides avec elle.  Cela ne fit qu'accentuer la haine envers son père, la lionne était prête à tout pour le tuer.

   C'est alors que le défi fut lancé et cela fit immédiatement rougir la lionne, se dépraver ainsi devant autant de gens ? Cela semblait très difficile, le doute de réussir se mit à envahir son esprit, jusqu’à ce que Erotica la ligote, les cordes mordant son corps qui réagit immédiatement , son intimité s'humidifiant et ses tétons pointant doucement.  la lionne n'est pas masochiste à moitié et cela pouvait donner beaucoup d'idée. La terranide garda ses joues rouge quand la fille de Lust se mit à jouer avec sa boule de chair et l'entrée de sa porte de l'est.  Les mots d'Erotica firent mouche, la lapine trouvant une raison de réussir les épreuves, car la terranide n'était pas dupe, Lust semblait du genre à jouer et donc une seule épreuve ne serait pas amusante.

   La lapine poussa un petit gémissement, son corps se cambrant quand les doigts de la déesse de l'érotisme se mit à jouer à l'intérieur de son antre humide. Le geste renforçant la mordant des cordes et excitant de plus belle la lapine. L'avertissement reçu en réponse un sourire amusé.

- Pour pouvoir le tuer je serais capable de vendre vous vendre mon âme et je compte bien essayer de vous battre à votre propre jeu, par simple amusement. Mais sachez que je ne trouve mon pied que dans la douleur.

   Les mots de la terranide se firent légèrement plus sensuelle, suivit d'un petit rire, elle avait comprit qu'elle tirerait un grand enseignement de ses deux divinités et comptait pomper autant de savoir que possible, même si pour cela elle devait passer de nombreux mois sous leurs ailes aphrodisiaques.

Ah, moi et la diplomatie, vaste sujet. Il faudra que j'arrête de partir du principe que les mortels sont censés nous suivre bêtement au moindre de nos divins caprices. Force est de constater que je lui avais promis "une récompense" et que si ma chère fille n'avait pas explicité mes propos la petite rebelle serait toujours en train de nous enquiquiner. L'aider à séduire et tuer son père ? Pourquoi pas, ça pourrait être divertissant mais, il faudra d'abord qu'elle réussisse à nous amuser toute seule. Comme une grande !

Et quelque part elle commençait déjà, j'avais remarqué que ses tétons s'étaient brusquement durcis lorsqu'elle avait été attachée. Simple coïncidence ou ...? J'eus bientôt la réponse lorsqu'elle avoua ne prendre son "pied que dans la douleur". Une masochiste hein ? J'avais bien connue quelques masochistes, une forme de plaisir bien particulier et surtout, qui n'autorisait aucune simulation. On reconnaissait très facilement un vrai masochiste d'un faux, ce sont des réactions qui ne s'inventent pas. Qu'à cela ne tienne, testons cette adorable lapine et nous verrons bien si elle gémit ou si elle hurle. D'une voix douce mais, ferme, j'ai demandé à ma fille :

"Erotica, ma chérie, tu veux bien m'aider un peu s'il te plait ? Je voudrai vérifier quelque chose."

J'ai claqué des doigts et instantanément, des centaines d'épingles à linge sont tombées sur le lit et sur le ventre de notre chère lapine. Esquissant un petit sourire sadique, je me suis emparée de l'une d'entre elles avant de la faire lentement glisser le long du ventre de Mag. Ce qu'il y a de bien avec ces petites choses, c'est qu'hormis leur côté pratique, il y a plein de choses marrantes à faire avec.

Oh je savais bien qu'elle avait deviné ce que je comptais faire avec ces épingles, j'étais même persuadée que ça l'excitait. J'ai commencé à placer les épingles sur ses tétons, puis directement sur ses seins, sur sa queue de lapine, d'autres pour écarter les parois de ses orifices. Toutes les zones sensibles étaient mes cibles. Je me suis retournée vers ma fille avec un large sourire et je lui ai dis :

"Bon, maintenant il faut que TOUTES ces épingles tiennent sur le charmant petit corps de notre adorable petite lapine d'amour. Afin qu'elle puisse nous montrer à quel point elle aime souffrir ! Et ensuite nous irons nous balader dehors, pour que tout le monde puisse voir à quel point notre petite lapine est heureuse avec ses deux superbes maîtresses !"