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[FINI] La Princesse et le Vagabond [Melendil]

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Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : La Princesse et le Vagabond [Melendil]

Réponse 30 dimanche 05 janvier 2014, 19:50:35

Qui aurait pu croire qu’elle aurait passé cette journée entre les bras d’un des hommes les plus beaux en ce bas-monde ? Vif et énergique, Melendil était un elfe sur lequel elle fantasmerait volontiers, qui la pénétrait langoureusement, avec un indéniable talent, talent qui coïncidait avec une passion magnifique. Elle pouvait sentir que l’idée de coucher avec elle lui faisait plaisir. Il la pénétrait joyeusement, sans relâche, le lit grinçant sous leurs ébats. Son corps nu se frottait contre le sien, son torse glabre heurtait ses seins tendus, et elle gémissait à chaque fois que Melendil s’enfonçait dans son corps. Ses jambes frottaient contre les siennes. Yeux mi-clos, elle avait cette sensation magnifique d’être prise par un homme, d’être écrasée sous lui, de sentir sa rage et sa virilité en elle. Une sorte de pulsion passionnelle violente qui l’électrisait comme une pie. Ses mains gantées se crispaient sur la nuque et sur l’épaule de Melendil, alors qu’elle haletait et gémissait, prise dans une espèce de tourbillon fou, une sorte de cyclone rythmée par le chibre tendu et assoiffé de Melendil, un bâton de chair qui perforait son corps, s’enfonçant dans son corps, recueillant à chaque passage de plus en plus de son jus intime. Il flottait dans une sorte de puits rempli, si rempli qu’il en débordait. La sueur et la mouille d’Alice se mélangeaient sur les draps, formant des plaques liquides de plus en plus grosses.

« Haaann... Haaannn-haaaannnn-haaaaannnn... »

Il était difficile d’articuler plus. La Princesse était surprise par les élans fougueux de cet homme, qui l’avait savamment fait patienter, avant de, finalement, lui accorder sa récompense. Sentir ce sexe vigoureux en elle, voilà qui était un plaisir exquis. Intense et vibrant, le membre de Melendil la défonçait joyeusement, et sa main glissa de son épaule pour caresser le dos de l’homme, caressant, du bout des doigts, ses belles fesses. Elle sentait l’énergie de son amant, sa vigueur, au fur et à mesure que sa sueur glissait sur elle. Il s’attaqua à ses seins, et elle poussa, non pas un gémissement, mais un cri, se tortillant sur le lit, remuant frénétiquement ses jambes, basculant sa tête en arrière quand les dents et la langue de Melendil glissèrent sur sa poitrine, généreusement offerte. Elle entendait les râles et les soupirs profonds que l’homme poussait. Sa main, ne pouvant plus explorer ses fesses, retourna agripper ses cheveux. Sous le tissu de son gant, elle pouvait sentir ses mèches, légèrement humides, et veilla à presser sa tête contre son corps, tout en remuant les jambes, ses collants venant frotter le corps de l’homme, s’enroulant autour de sa taille, chacun de ses talons posés sur ses fesses.

« Me... Melenhaaaaa... Haaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaannn !! »

Incapable de prononcer son nom, elle gémissait, et laissait l’homme la prendre. Il dut bien rester plusieurs heures à hauteur de ses seins. La vitesse de ses pénétrations décroissait au fur et à mesure qu’il s’attaquait à ses seins, amenant la Princesse à gémir et à implorer par des halètements. Elle était en sueur, les joues rouges, et serrait ses jambes contre le bassin de Melendil quand elle trouvait l’elfe peu réactif, amenant alors ce dernier à donner de grands coups de reins. C’était un guerrier, musclé, bien bâti, qui pesait son poids. Des dizaines et des dizaines de kilos tombaient sur elle, l’aplatissant comme une délicieuse crêpe. Lui continuait à jouer avec ses seins, et elle à gémir, se laissant faire. Tout ça était bon, trop bon, comme une espèce de rêve éveillé. Elle en aurait presque pleuré de joie, tant cet homme était délicieux.

*Le laisser partir, lui ? Je me damnerai, plutôt que d’y songer !*

Comme Melendil, Alice le trouvait très bon, mais estimait aussi que Melendil, outre ses performances sexuelles remarquables, et sa beauté incroyable, avait aussi d’indéniables qualités morales. Il savait qu’il risquait d’être torturé en se mêlant d’une affaire qui ne le concernait pas, et, pourtant, il n’avait pas hésité à la sauver. De plus, il n’avait pas faut preuve, avec elle, de ce dédain dont les elfes manifestaient à l’égard des humains, des « dh’oines », ainsi qu’ils les appelaient. Poli et aimable, respectueux et serviable, c’était un véritable ange... Un ange qui lui labourerait le corps, qui l’aplatissait sous sa masse et ses muscles. Leurs chairs claquaient. Cette fusion... Oh, oh, c’était tellement, tellement bon ! Alice se crispait sur les cheveux de Melendil, évitant de le griffer douloureusement avec ses gants.

« HAAAAAAAAAAAA !! » hurla-t-elle en se tortillant.

Ses mèches de cheveux voletaient à droite et à gauche, alors que son excitation sexuelle s’accroissait. Melendil cessa alors de s’attaquer à ses seins, trempés, et remonta le long de son cou. Le corps de Melendil s’allongea à nouveau sur le corps d’Alice, qui ne put que libérer ses fesses, soulevant ses jambes, formant deux espèces de montagnes. Il continua à donner des coups de reins, forts, rapides, profonds. La vulve d’Alice était bien dilatée, ouverte. Sa fleur avait ouvert toutes ses pétales, et il était maintenant facile de s’y enfoncer. Le sommier et le matelas souffraient, et Alice pouvait sentir un creux se former.

Lorsque Melendil aventura ses mains sur ses joues, ses pouces glissant le long de ses lèvres, Alice gémissait silencieusement, couinant brièvement.

« Alors majesté...mes compétences vous...conviennent-t-elles ?
 -  Haaa... Haaa... »

Elle répondit par un bel orgasme. Elle ferma les yeux, et suça les pouces de Melendil pendant quelques secondes, avant de se tendre, et de pousser plusieurs hurlements et longs soupirs, avant de jouir, balançant des chapelets de mouille, qui noyèrent le chibre de Melendil.

« HAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA !!!!!!!!!!! HAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA !!! HAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA !!!!!!!!! HAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAaaaaaaaaaaaaaaa... »

Ses cris se calmèrent progressivement, au fur et à mesure que la vague s’écrasait contre Melendil. Elle s’était écrasée contre son corps, en sueur, et lui mordilla le cou, avant de l’embrasser sur les lèvres. Alice gémissait toujours. Un orgasme... Elle venait de jouir, et se sentait bien... tellement bien. Elle avait l’impression de flotter au Paradis, et, dans son esprit embrumé par les joies du sexe et du plaisir suprême, elle voyait presque Melendil comme un délicieux ange. Elle lui sourit.

« Oh oui, elles me conviennent... Mais votre examen n’est toujours pas... Hum... Fini... »

Alice se rapprocha de son oreille, et la lécha un peu, avant de susurrer délicieusement quelques mots suaves à l’intérieur :

« Je veux que vous continuiez à me défoncer... Que vous exploriez l’intégralité de mon corps, Melendil... »

Comme pour le titiller, elle avait à nouveau aventuré sa main le long de ses fesses, titillant cette partie douce et rebondie de son corps, avant de lui sourire, de manière espiègle, et de l’embrasser encore. Son autre main retourna s’appuyer sur sa nuque, et elle gémit dans sa bouche. Entre leurs corps, près de leurs sexes, elle sentait sa mouille, qui glissait lentement, le long de ses cuisses, pour venir se frotter contre ses jambes. Elle soupira, tout en continuant à titiller son fessier, à caresser son postérieur, ses doigts glissant près de sa croupe, effleurant de loin sa porte arrière.

Après tout, son cul était à la hauteur du reste de son corps.

À croquer.
« Modifié: dimanche 05 janvier 2014, 20:13:12 par Princesse Alice Korvander »

Melendil Korvander

Créature

Re : La Princesse et le Vagabond [Melendil]

Réponse 31 mardi 04 février 2014, 16:30:51

Alice donna à Melendil une réponse bien plus satisfaisante et sans équivoque qu'un simple "oui" à sa question, car elle était en train de jouir entre ses bras. Loin de ralentir, Melendil avait encore au contraire accéléré ses mouvements de bassin, il percutait littéralement la jeune princesse avec une fougue incroyable, et continua jusqu'à ce que ses cris de plaisir ne commence à se calmer. Il réduisit alors peu à peu la cadence, mais sans que son sexe ne quitte le doux écrin dans lequel il était fourré. Il regardait le visage de la Princesse, et souriait, cette expression de contentement sur son visage, la voir haleter avec ses joues rouges, c'était un spectacle qu'il ne se lassait pas de voir chez une femme quand il en était le responsable direct.
Il s'arrêtait de bouger maintenant, leurs souffles respectifs se mêlèrent l'un à l'autre pendant quelques secondes, avant que leurs lèvres ne s'attirent mutuellement à nouveau. Il s'embrassèrent, car c'était un domaine dans lequel Melendil excellait, et il l'embrassa avec passion, envie. Il n'en avait pas encore fini, et se trouva autant rassuré que comblé quand Alice lui avoua qu'elle en voulait encore, le tout en prommenant  ses mains finement gantées sur son fessier bien musclé par ses années dans la rue.

Ce contact failli déclencher chez lui un mouvement de défense. Car combien de fois dans ses plus jeunes années l'avait-il senti ce contact, contre son gré, à cause de sa belle gueule d'elfe ? Il masqua son trouble toutefois, ne souhaitant pas importuner Alice avec ça, et s'approcha de son oreille.

On dirait que je suis tombé sur une Princesse non seulement belle comme un coeur, mais en plus insatiable...

Il lui murmura cela d'un ton un peu moqueur, mais qui ne se voulait absolument pas insultant, ce qu'il lui prouva en retournant l'embrasser, de façon un peu plus douce cette fois, alors qu'il remua un peu son bassin en elle. Il était bien ainsi, contre le corps chaud d'une délicieuse femme, car pour le coup il était persuadé qu'Alice devait bien être une des femmes les plus belles qu'il avait du croiser. Certes les Nobles avaient le don de se mettre en valeur, mais leur beauté physique était presque systématiquement contrebalancée par un caractère haïssable, ce qui n'était pas le cas pour elle...alors forcément cela magnifiait l'opinion de l'elfe quand à sa partenaire, qu'il continuait d'embrasser, avant de se retirer délicatement.

Alors dans ce cas...poursuivons.

Encore une fois son sourire ravageur. Il en usait beaucoup, mais il avait remarqué à quel point son petit air de voleur malicieux était apprécié chez certaines femmes, et Alice en faisait partie, et il ne loupait jamais une occasion de se rendre séduisant auprès d'une jolie jeune femme. Il se retira alors délicatement d'elle, son sexe encore tendu ruissela un peu de cyprine sur le drap au passage, tandis qu'il se mit à genoux.

Si sa majesté veut bien avoir l'obligeance de se retourner...


Elle s'exécuta, et Melendil ne perdit pas une miette du spectacle de son cul se positionnant face à lui, Alice se mettant à quatre pattes sur le lit. Il s'approcha d'elle, en se courbant un peu, et fourra son visage entre la raie de ses fesses tandis que ses mains les lui malaxaient, les pétrissaient. Sa langue trouva vite l'entrée de son orifice, entrée interdite pour beaucoup de femme, mais il était évident que dans le cas d'Alice ce n'était pas le cas. Une intuition...quand au fait qu'elle réagissait favorablement à ses caresses à cet endroit, et quand au fait qu'elle lui avait suggérée implicitement de la prendre ainsi. Melendil ne proposait d'habitude pas aux femmes de les sodomiser, car lui même avait beaucoup subi et savait à quel point ce pouvait être une expérience...désagréable.
Mais avec une femme consentante, c'était une autre histoire, ce qui ne l'empêchait pas de préparer le terrain avec minutie en léchant, et en glissant un doigt pour servir de prélude à l'entrée de son sexe dans cet orifice bien plus étroit.

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : La Princesse et le Vagabond [Melendil]

Réponse 32 mardi 04 février 2014, 17:03:12

Confortablement installée sous le corps de ce magnifique elfe, Alice était aux anges. N’existait-il pas sensation plus merveilleuse, en effet, que celle d’être sous le corps d’un homme, après avoir joui ? De se sentir écrasée sous lui ? De sentir son corps former une sorte de douce et chaude couverture, contre laquelle on n’avait qu’une envie : se blottir pour dormir ? Cependant, Alice n’avait pas encore envie de se coucher, et la manière dont sa main jouait sur les belles fesses de l’elfe pouvait être interprétée de bien des manières. La jeune femme ne nota pas le trouble subit qui saisit l’elfe, car elle ne pouvait pas se douter qu’il avait été violé ici à plusieurs reprises. Elle se contentait juste de caresser ses fesses, comme pour inviter l’homme à venir s’y attaquer, maintenant qu’il l’avait pénétré. Est-ce qu’il avait joui ? Elle n’en avait pas le sentiment, car elle sentait toujours sa queue, bien dure, bien tendue. Restant contre lui, frottant son nez contre sa peau trempée et chaude, elle enfonçait un peu ses seins contre son torse, sa seconde main en appui sur l’une de ses épaules.

Il l’invita à poursuivre, en lui faisant un sourire chaleureux, un sourire de mauvais garçon... Le genre de sourires qui devaient rendre les femmes folles. Alice rougit légèrement, se demandant ce qu’il avait en tête, et elle cessa de toucher à son postérieur, remontant le long de son dos, caressant sa peau.

« Si sa majesté veut bien avoir l'obligeance de se retourner... » demanda alors l’elfe.

La Princesse cligna légèrement des yeux, avant de sourire poliment, et de l’embrasser sur les lèvres, lui caressant les cheveux.

« Oh, mais bien sûr… »

Elle savait très bien ce que son amant comptait faire. Il se retira de son corps, et elle soupira lentement. Cependant, avant qu’il ne se retire complètement, elle releva un peu ses jambes, et les serra autour de sa taille, l’immobilisant brièvement. Alice se hissa alors, et susurra, contre son oreille :

« Je vais me mettre en position de chienne... Rien que pour toi... »

Elle savait que c’était le genre de choses qui excitaient les hommes. Alice se retourna ensuite d’ne roulade, et resta ainsi pendant quelques secondes, tournant la tête de côté, ses mains glissées sous son corps, un sourire espiègle. Elle ressemblait alors presque à une petite fille en train de jouer, et remua ses fesses de droite à gauche. La Princesse posa ensuite ses mains sur la couverture, et se hissa un peu, finissant assez rapidement à quatre pattes. Elle creusa alors son dos, en faisant craquer ses articulations, rehaussant un peu son postérieur, le dressant devant le corps de Melendil. Elle se mordilla les lèvres, à l’idée de ce qui allait l’attendre. Une bonne grosse sodomie à l’ancienne, qui la ferait hurler de plaisir, et inonderait ses draps, déjà tachés par sa sueur et sa mouille.

Avant de la prendre, l’elfe prépara méticuleusement le terrain, approchant son visage, se frottant contre ses fesses, tout en léchant sa raie, glissant sur sa belle croupe, se rapprochant de sa languette rose, ce petit trou intime. La Princesse gémit en se pinçant les lèvres, se crispant un peu sur ce contact. Instinctivement, elle appréhendait un peu la douleur qui allait venir, mais c’était plus un réflexe naturel d’autodéfense qu’autre chose. L’envie de la Princesse ne faisait aucun doute, et alla en s’accroissant, au fur et à mesure que les mains de Melendil pétrissaient ses fesses. Petit à petit, Alice se mit à frissonner, à se tortiller... Mais sans sentir l’homme venir. Alice n’était pas encore assez excitée pour ne pas voir que l’homme se retenait, d’autant plus qu’il n’avait pas encore joui, et qu’il devait sentir son sexe commencer à le peser. L’anus d’Alice était bien dilaté, et elle était prête.

Elle sentit un doigt s’enfoncer en elle, et poussa un soupir, contribuant à dilater un peu son fondement. Elle remua alors ses fesses de gauche à droite, et tourna la tête, avec un léger sourire.

« Rassurez-vous, Melendil, cette partie de mon corps n’est pas vierge non plus... Venez en moi, venez, je veux vous sentir jouir dans mon cul... Vous sentir me défoncer et me faire hurler comme une folle... Venez, je vous en prie ! »

Melendil Korvander

Créature

Re : La Princesse et le Vagabond [Melendil]

Réponse 33 mardi 04 février 2014, 19:34:24

Le moment où Alice l'avait retenu avant qu'il ne se relève, en l'entourant de ses jambes, et en faisant un commentaire bien salace sur cette position qu'elle allait prendre, avait vraiment eu le don d'exciter Melendil, qui commençait à considérer vraiment le fait de se montrer un peu plus ferme avec la princesse. Non pas qu'il allait se montrer violent, c'était contre sa nature de maltraiter une belle femme qui n'avait rien fait pour le mériter. Mais beaucoup de choses lui laissait à penser que Alice aimait ses ébats quand ils étaient vifs, même si Melendil pensait qu'elle pourrait prendre goût à un peu plus de romantisme et de douceur, elle devait être d'avantage habituée à des hommes plus...virils.
Mais Melendil pouvait composer avec ça, et il le faisait d'ailleurs. Quand il avait pénétré Alice, là allongé sur elle, il n'y était pas allé de main morte, ce qui avait ammené Alice à délicieusement jouir contre lui. Maintenant il allait explorer son joli cul, il avait son visage fourré dedans, sa langue jouait avec l'entrée de son petit trou dans lequel il allait très prochainement se fourrer. De ce que son index glissé dedans pouvait lui fournir comme sensations, elle était très étroite, rentrer serait probablement un peu difficile alors il devrait y aller en douceur...mais il anticipait déjà le délicieux étau dans lequel son sexe allait se trouver.

Assez rapidement Alice supplia Melendil de la prendre, il ne s'était donc bel et bien pas trompé. Alice voulait plus que simplement qu'il lui fasse l'amour, elle voulait être "baisée", y compris à cet endroit. Ainsi elle n'était plus vierge ici aussi ? A ce stade Melendil ne pouvait plus vraiment être surpris, il se doutait bien qu'Alice avait une vie sexuelle fortement remplie, mais au contraire d'autres il ne portait pas de jugement. Au contraire en fait, car cela signifiais plutôt qu'il était en train de coucher avec une femme ayant de l'expérience, et donc avec bien peu de tabous et d'interdits avec lesquels il fallait composer, ce qui en plein élan de désir pouvait être compliqué.
Melendil retira alors son doigt et se redressa, prenant son sexe dans une de ses mains tout en se rapprochant d'alice, et il posa alors sa verge entre les fesses de la Princesse. Il ne la pénétra pas encore, son sexe était simplement logé entre les deux fesses d'Alice, et il remua délicatement pour sentir le frottement de la peau ferme de la femme sur son membre.

Hum...rien que de songer à quel point ce doit être bon en toi Alice...majesté...quoique si tu le permet, en l'absence de tes suivants je vais me permettre de te tutoyer tu ne crois pas ? Après tout...maintenant que je vais être un de tes amants officiels, car oui j'accepte définitivement ta proposition, je me vois difficilement continuer à te vouvoyer en privé.

En public ce serait bien entendu une autre histoire. Elle était une Princesse et lui un simple garde du corps, alors les manières et l'étiquette seraient de mise. Il en était conscient et s'y plierait, si cela permettait de rester avec cette jolie demoiselle, alors c'était un prix à payer que de faire des courbettes, comme il l'appellait ainsi.
Mais en attendant, il dirigea le bout de son sexe vers la "porte de secours" d'Alice, et commença délicatement à s'enfoncer en elle. Il y alla doucement et avec moultes précautions, jaugeant aux réactions de la princesse quand il pouvait avancer, quand se stopper pour lui laisser le temps de s'y faire, car Melendil avait tout de même une verge dont il n'avait pas à rougir. Il prit alors tout son temps, en ayant l'occasion de pétrir les fesses de la belle, et au bout de quelques temps il s'enfonça complètement entre ses fesses.

Ah...

Melendil était assez avare pour sa part en commentaires lorsqu'il faisait l'amour, mais il laissait échapper des soupirs, et sa respiration lourde ne pouvait pas laisser de doutes, il adorait être fourré dans le cul d'Alice. Doucement il commença à se retirer en partie, et rentra à nouveau. Il répéta l'opération plusieurs fois, sentant peu à peu les parois internes d'Alice s'accommoder de sa présence, et il se mit à progressivement aller plus vite.

Hum...C'est...Oh c'est délicieux...

L'elfe se sentait de plus en plus poussé par son propre désir. Ses mains posées fermement sur les hanches de la princesse alors qu'il accélérait le rythme, pressé par une envie de jouir qu'il réprimait toutefois autant que possible, afin de faire durer le tout. Il se frustrait, et donc augmentait la cadence en conséquence pour arriver au moment où il 'en pourrait plus, et se libérerait.
Melendil prit un rythme de croisière convenable. Son bassin tapait contre le cul d'Alice, leurs peaux se mettaient à claquer l'une contre l'autre, et le lit grinçait. Melendil parcourait le corps d'Alice de ses mains, son dos surtout, il s'agrippait aussi à ses épaules, et parfois se baissait pour pouvoir parvenir à empoigner ses seins qui se balottaient au rythme de ses coups de rein. Le point de rupture commença alors à arriver, alors que Melendil en était au stade de bien pilonner les fesses d'Alice, il se sentit jouir en elle. Il s'enfonça alors entièrement en elle, et éjacula une bonne quantité de sperme chaud, pendant de longues secondes, soupirant de plaisir alors qu'il se libérait d'un vrai poids.

Aaaaaah....Ah....oh...

Trempé de sueur, le jeune elfe se retira doucement d'Alice, et s'allongea sur le lit.

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : La Princesse et le Vagabond [Melendil]

Réponse 34 mardi 04 février 2014, 20:06:24

Elle sentit Melendil se relever après un temps interminable, et frémit lorsqu’elle sentit le sexe tendu de l’homme glisser le long de ses jambes, brièvement, le bout de sa verge la frôlant. Elle soupira, avant de sentir la verge glisser sur ses fesses, comme une sorte de petite épée qui heurterait sa chair, se pressant contre son corps. Elle soupira en sentant ensuite le sexe glisser contre ses fesses, filant dans sa croupe, mais sans encore atteindre son anus. Sous la frustration, Alice lâcha un soupir de dépit, serrant ses poings gantés en remuant ses fesses de droite à gauche, et de bas en haut, comme pour inciter le membre de son partenaire à la pénétrer, à rentrer en elle. Melendil se mit alors à parler, lui indiquant qu’il acceptait l’idée de devenir son amant. Alice se mordilla les lèvres, les joues rosissant légèrement. Voilà au moins une chose de faite ! Elle allait avoir son premier amant masculin dans sa future Cour. N’était-elle pas prête pour être Reine, maintenant ?

« Hum... C’est très flatteur, Melendil... Alors, honore ton amante comme il se doit... Défonce-moi ! »

La patience n’était pas forcément l’art des Princesses, et Alice, dans ce genre de situations, ne l’était pas beaucoup. Elle sentait des frissons à hauteur de son fondement, une sorte de démangeaison, qui lui donnait envie de se frotter là. Depuis que Melendil avait glissé son doigt ici, elle rêvait d’être prise avec force, de sentir toute la virilité de cet homme la prendre, la remplir de l’intérieur. Melendil remonta son sexe, qui glissa lentement le long des fesses d’Alice, avant de heurter son anus. Ce petit trou étroit... La première fois qu’on l’avait sodomisé, Alice avait senti une douleur terrible dans tout son corps, et avait gesticulé dans tous les sens, pensant devenir folle. Elle n’avait alors jamais eu autant mal de sa vie, et se souvenait avoir pleuré, sous la douleur, suppliant qu’on arrête ce supplice... Le plaisir était progressivement venu, mais sans que la douleur ne parvienne vraiment à s’atténuer en elle-même, ne diminuant que parce qu’une sorte de plaisir masochiste montait. À force, Alice avait compris qu’il existait des femmes adorant les sodomies, comme Mélinda Warren, sa fameuse amie esclavagiste, et d’autres qui en avaient horreur, parce que ça faisait trop mal.

Quand le bout de la verge se rapprocha, et heurta sa peau, Alice grogna en serrant les dents, mais ne put retenir un cri bref, aigu, quand le sexe commença à s’avancer. La douleur monta d’un cran, explosant depuis ses fesses, et elle hurla à nouveau, sentant toute éventuelle forme de fatigue fondre comme neige au soleil, une sorte de frisson électrique traversant son corps de part en part. Elle poussa un nouveau hurlement, et remua son cul de gauche à droite, comme pour mieux enfoncer ce membre, avançant son bassin, se soutenant avec ses jambes. Elle grogna et soupira, de la sueur coulant le long de ses mèches de cheveux, ses joues devenues toutes rouges. L’elfe n’allait pas la ménager, et elle ferma les yeux en soupirant longuement, essayant de se visualiser la scène d’un point de vue extérieur. Elle, à quatre pattes, au milieu du lit... Lui, derrière elle, ses douces mains chaudes se crispant sur son corps, sa vigueur la pénétrant, son beau visage poussant des soupirs, son torse luisant de sueur, alors que son sexe, progressivement, s’enfonçait.

Le passage de la langue de Melendil, puis de son doigt, avaient permis de répandre un peu de sa live, ce qui, avec cette verge remplie de mouille, facilita la dilatation de ses parois, le sexe s’y adaptant. Contrairement à une intimité, où un sexe avait plus de place, un cul était extrêmement étroit, donnant l’impression qu’on vous étouffait à l’intérieur, qu’on vous comprimait dans une chair qui n’attendait qu’une chose : que vous disparaissiez pour reprendre ses droits. C’était une sorte de lutter perpétuelle, et c’était ça qui était particulièrement jouissif, particulièrement délectable, merveilleux et exquis. Petit à petit, le membre de Melendil s’enfonçait, de plus en plus loin, et le lit craquait sous les mouvements d’Alice. La Princesse gémissait, une main en appui, avançant lentement l’autre pour se caresser. Sous un nouveau coup de butoir, elle glissa, et sa tête s’écrasa contre l’oreiller, relevant davantage son cul. Elle frottait son intimité avec ses doigts, enfonçant deux doigts dans sa fleur pour appuyer sur le bourgeon, faisant venir le nectar, qui maculait ses gants, avant de toucher le lit. Elle retourna ensuite s’appuyer sur ses deux mains, se soutenant, expirant longuement.

« Ouuui... Ouuuuiiii-ooouuuuuiiii, haaaaaaaaaaannnn... Melendil, haaaaaannn ! Haaaaaaaaaaaannnn-HAAAAAAAAAAANNN !! »

Alice se mit à pousser des cris, cris qu’on aurait alors pu entendre de l’autre côté de la porte, si une oreille distraite avait daigné s’attarder. Elle ne pouvait pas retenir les hurlements. Autrement, elle exploserait sur place. C’était tellement intense ! Elle se sentait pleinement vivante, et remuait d’avant en arrière, ses cheveux voltigeant dans tous les sens, tandis que l’homme y allait de plus en plus vite, son sexe se plaisant dans ce corps, s’y installant bien confortablement.

« HAAAAAAAAAAAAAAAAAA !!! HAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA !!!! »

La Princesse serrait les poings, et était tellement secouée qu’elle se mit à cracher par mégarde, n’arrivant plus à retenir sa salive. Un filet de bave coula le long de ses lèvres, et ses cris se transformèrent en petits couinements, puis en longs soupirs. Fermant les yeux, elle sentait le rythme s’accélérer... Et trembla quand elle le sentit jouir. Elle sentit quelque chose taper contre son corps, remontant jusqu’à son estomac, et porta instinctivement une main à ce dernier, espérant peut-être y sentir quelque chose... Lentement, les mouvements décrurent, et, dans un soupir, son bel amant termina sa sodomie, pour s’étaler sur le lit, dans un soupir.

Alice respirait également lourdement, et se redressa, utilisant ses genoux pour se soutenir. Elle tourna alors la tête vers Melendil, et esquissa un léger sourire, en voyant sa verge, qui avait plutôt bien décru. L’homme était en sueur, et Alice avait mal aux fesses. Maintenant que cette verge n’était plus là, elle sentait des frissons à hauteur de son cul, l’imaginant toute rouge, avec un beau trou à hauteur de sa croupe. Les sifflements de l’air la faisaient frissonner, et elle se mit à caresser le corps de l’homme, avant de se coucher sur lui, de flanc, à hauteur de son estomac.

« J’adore quand on jouit en moi, Melendil... Je dois admettre que tu es un amant plein de fougue et de vigueur... Tu satisferais pleinement n’importe quelle femme avec ta prestation... »

Tout en parlant, elle jouait avec l’une de ses mains. Sa respiration était lourde et précipitée, et elle remonta ses doigts pour titiller les lèvres de l’homme, les caressant, glissant dessus.

« ...Mais je suis une Princesse, mon beau. Et, à ce titre, mon rôle est de redonner de la force à mes hommes... Ou à mes amants. »

Elle embrassa sa peau, la léchant, puis se déplaça ainsi, tout en ramenant ses jambes. Elle descendit le long de son ventre, glissant sous le nombril, léchant sa peau, le mordillant brièvement, sentant son sexe à hauteur de son cou, puis en continuant sa chute, elle arriva au rebord du lit. Ses jambes se posèrent sur le sol, mais sa tête se trouvait à hauteur du sexe de l’homme, sexe qu’elle attrapa entre chacune de ses mains, le pétrissant. Il était maculé de sperme et de mouille, tout gluant.

« Alors, ton soldat est au repos ? Ne sait-il pas que, devant sa Princesse, il faut toujours se mettre au garde-à-vous ? Aurait-il pris froid ? On dit qu’une verge ne doit jamais rester à l’air libre, car elle est très frileuse... »

Elle parlait pour exciter Melendil, mais aussi pour que son rythme cardiaque redevienne normal. Mine de rien, se faire latter le cul, c’était tout de même crevant ! Elle commença à lécher le bout de ce sexe, remontant sur sa peau, tout en écartant ses mains, les abaissant. Elle glissa sa langue le long de cette hampe, et fila sous la verge, embrassant les testicules, suçotant délicatement les poils pubiens, léchant les poils, sans tirer, car elle savait que cette zone était sensible. Elle remonta ensuite, venant frotter ce sexe entre son nez et sa lèvre supérieure, le sentant peu à peu se tendre à nouveau. Elle l’attrapa ensuite, et le poussa en avant, lui permettant ainsi, tout en coinçant le bout de cette verge sous sa main, de lécher la partie inférieure, de l’embrasser, d’y déposer quelques suçons.

Elle relâcha ensuite cette verge, qui se releva.

« N’espère pas te reposer si facilement, Melendil... Tu ne dormiras que quand je suis rassasiée, et, bien que je sois une petite humaine chétive, le sang du Dragon coule dans mes veines... »

Alice entreprit ensuite de lui faire une fellation, enfournant ce membre dans sa bouche.

Melendil Korvander

Créature

Re : La Princesse et le Vagabond [Melendil]

Réponse 35 jeudi 09 avril 2015, 20:41:41

Faire l'amour à une femme était aussi plaisant que fatiguant, surtout pour un homme sortant tout juste de plusieurs heures en salle de torture. Melendil appréciait d'autant plus la douceur d'une belle femme, après avoir vécu l'enfer dans les sous-sols de ce château, mais n'était paradoxalement pas au meilleur de sa forme non plus. Il s'était allongé par nécessité, celle de reprendre son souffle, après s'être copieusement vidé dans le cul de cette Princesse, qui indéniablement le rendait fou. Elle était belle, possédait un esprit bon, mais surtout à l'instant, était bien plus perverse que bon nombre de femmes qu'il avait pu connaître. Et puis bon, c'était une princesse tout de même, cela avait le mérite de gonfler son amour propre que d'avoir pu conquérir la couche d'une si noble demoiselle, lui un pauvre vagabond sans véritable statut.
Melendil était en sueur, allongé, mais rapidement Alice s'approcha de lui, posant son visage sur son corps, à hauteur de son ventre. Sentir la respiration forte et accélérée de la jeune femme sur son bas-ventre ne laissait pas l'elfe indifférent. Il était toutefois encore épuisé par la torture, certaines de ses nouvelles cicatrices étaient encore fraîches, mais malgré ça la princesse avait un don, le don de réveiller son désir malgré tout. Elle se mit à le caresser, avec ses mains fines et douces, et rien que le fait d'attarder son regard sur les courbes de son corps suffisaient à, peu à peu, raviver son feu intérieur.

Alice n'en avait pas encore fini avec lui, cela se confirma autant à ses paroles qu'à ses actes, et le bel elfe la regarda alors agir avec un léger sourire, et un air intrigué. Elle déposa de multiples baisers sur son torse, son ventre ensuite, en continuant de descendre de plus en plus bas. Puis, Alice se positionna sur le sol, juste au rebord du lit, à genoux. Melendil, bien conscient de ce qu'il convenait de faire, ne se fit pas prier pour lui s'asseoir sur le rebord, bien installé sur le Matelas, avec Alice agenouillée face à lui. Ses mains s'emparèrent de son sexe, faisant soupirer Melendil, qui prenait un plaisir non feint à regarder cette beauté masturber son sexe, encore tout chaud après avoir visité la Princesse de fond en comble, et il semblait bien que ce n'était pas terminé.

Je dois admettre, votre majesté, que votre corps est bien plus hospitalier que l'extérieur...mais je suis certain que vous saurez rappeler à ce soldat son devoir.

Alice s'en occupa en effet. Tout en le masturbant, elle vint lécher son sexe avec sa délicieuse petite langue, la faisant glisser tout le long de sa hampe de chair qui à force reprenait  sa dureté en une belle érection. Melendil lui ne resta pas sans rien faire, car positionné ainsi il avait un bel accès à plusieurs zones intéressantes du corps de la Princesse. Ses seins notamment, qu'il ne se priva pas d'aller malaxer avec l'une de ses mains, sentir sous ses paumes ces masses de chair chaudes était divin, et contribuait à lui redonner sa vigueur. De son autre main, il caressait les cheveux d'Alice, puis fila le long de son dos pour sentir sous ses doigts sa peau, avant de revenir à sa longue chevelure dorée.

Oh Alice...hum...

Puis, après avoir bien mis au clair le fait que leurs ébats étaient loin d'être terminés, la Princesse prit alors les choses en main...ou plutôt en bouche, sa merveilleuse petite bouche qui une nouvelle fois acceuillit son sexe. Sentir les lèvres se refermer sur son gland, les dents frotter légèrement contre son sexe, et la langue danser dessus, Melendil ne put pas sur le moment se retenir de donner un léger coup de bassin pour s'enfoncer légèrement plus. La chaleur de sa bouche, et la salive qui commençait à recouvrir son sexe tendu, achevaient de le rendre opérationnel.
Il se reposerait plus tard, car il avait une Princesse à contenter.

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : La Princesse et le Vagabond [Melendil]

Réponse 36 jeudi 09 avril 2015, 21:51:16

Alice ne comptait pas laisser ce bel et magnifique elfe se reposer trop vite... Oh que non ! Elle avait rarement vu un homme aussi beau... Et, de fait, elle se demandait même s’il n’était pas son plus bel amant masculin. De plus, Melendil n’était pas que beau, il était aussi charmant et très attentionné. Alice avait envie de lui faire l’amour, encore et encore, et le bel homme n’était pas au bout de ses peines avec elle. Son fier soldat n’allait pas retourner à la caserne tout de suite, et Alice le prit rapidement en bouche, à genoux devant l’homme. Elle comptait l’embrasser partout, elle comptait explorer tous les tréfonds de son corps, encore et encore, sans relâche. Sa bouche filait d’avant en arrière sur son sexe, et elle gémissait longuement, en goûtant à ce gros sexe.

Melendil avait un chibre très gros, qui se mit à enfler au fur et à mesure qu’elle jouait avec. Fermant fréquemment les yeux, et respirant par le nez, Alice se concentrait. La plupart du temps, elle le suçait, remuant sa tête d’avant en arrière, puis retirait ensuite sa bouche, et déposait de petits baisers sur tout le pourtour de son sexe. Elle remuait dessus, le léchait, le suçotait, et allait ensuite s’attaquer à ses testicules, déposant des baisers dessus, tout en évitant de trop tirer sur ses poils pubiens. Et, tandis qu’elle faisait ça, Alice s’empressait de masturber son bel amant, relevant les yeux pour le regarder, pour lire le plaisir s’exprimer sur son visage, pour voir ce corps magnifique, ce corps qui aurait pu faire tourner bien des têtes. Elle retournait ensuite le prendre en bouche, et s’enfonçait en lui, reprenant son souffle quand elle enfonçait ce membre turgescent aussi loin que possible.

« Hmmm... » gémit-elle, encore et encore.

Le membre de l’homme retrouva sa dureté naturelle au bout de quelques minutes, et Alice continua encore à le sucer... De fait, il y avait une sorte de plaisir ancestral à l’idée de sentir une aussi grosse queue en elle. Peut-être aurait-elle dû, vu sa nature de Princesse, trouver cette position choquante, mais, en réalité, seule dominait une sensation forte de plaisir. Elle le prenait encore et encore, tout en remuant ses doigts dans son intimité, et en gémissant tendrement. Elle mouillait ainsi, et finit finalement par relever sa tête, et par reprendre son souffle.

« Et bien, voilà qui est mieux, Melendil... »

Un gros chibre la regardait, et elle restait à genoux... Puis, toujours pour exciter l’homme, elle avança ses doigts enduits de mouille, et les suça sous ses yeux, enfonçant deux doigts dans sa bouche, sans que jamais son regard ne se détache de celui de l’homme. En souriant lentement, elle les retira ensuite, dans un claquement sonore, et caressa avec ses deux doigts le sexe de l’homme.

Qu’allait-elle faire ensuite ? La réponse à cette question vint immédiatement quand Alice se redressa, et posa chacune de ses mains sur ses seins. Elle se pinça les tétons, et se déplaça un peu, venant glisser le sexe de Melendil entre ses seins, et se débrouilla pour que son membre se redresse un peu, et se frotte entre ses seins. Un sourire sur le coin des lèvres, Alice expérimentait de nouvelles positions, des choses qu’elle avait vu faire chez les esclaves de Mélinda. Le gros vit de Melendil formait comme une chaude et gluante sucette, qui se frotta d’avant en arrière contre ses seins.

« Là... Hummm... »

Le bout de son sexe frottait contre son menton, et Alice entreprit de le lécher en sortant timidement sa langue, venant le caresser et le titiller.

Avec ses joues rouges, son plaisir était à son paroxysme, et elle espérait qu'il en serait de même pour ce bel elfe.

Melendil Korvander

Créature

Re : La Princesse et le Vagabond [Melendil]

Réponse 37 samedi 07 novembre 2015, 10:38:19

Indéniablement, Melendil n'avait encore jamais eu l'occasion de croiser de jeune femme de haute lignée aussi portée sur le sexe qu'Alice. Il avait eu déjà l'occasion, quelques fois seulement, de coucher avec des nobles, et ce dans le plus grand secret, mais aucune n'avait manifesté un appétit comparable à celui de la belle princesse blonde qui lui suçait la queue. L'elfe, bien qu'encore marqué par les tortures qu'on lui avait infligé, avait réussi à retrouver sa vigueur sous le délicieux traitement de sa partenaire, et sa respiration lourde témoignait de la douleur et du plaisir qu'il ressentait en ce moment. Melendil se poussait un peu, car en l'état actuel des choses il aurait aimé se reposer mais...n'était-il pas désormais un serviteur de cette jeune femme après tout ? Alice désirait qu'il s'occupe encore d'elle, et elle le suçait tellement bien que malgré la fatigue, Melendil se sentait pour ainsi dire chargé de la satisfaire.

*Elle va très probablement m'achever pour ce soir mais...hum...*

Melendil adorait la façon qu'elle avait de sucer ses boules, tout en caressant le reste de son sexe couvert par sa salive, et son regard, comment ne pas fondre devant un regard qui vous dévorait littéralement ? Melendil lui n'en perdait pas une miette, dans sa position actuelle l'elfe avait un rôle passif, qui lui permettait de regarder complètement Alice à l'oeuvre. Il était particulièrement excitant de la voir sucer sa queue, en plus de la sensation en elle même bien sûr, il passait à l'occasion une main dans ses cheveux, suivant le rythme des va et viens contre son sexe. Ce dernier était redevenu très dur, et lui faisait même assez mal, mais le sexe était aussi une part de souffrance, tant qu'elle n'obscurcissait pas le reste. Et en l'état actuel des choses, Melendil adorait ce que la princesse lui faisait. Le corps en sueur, qui faisait légèrement luire son torse musclé à la lumière des bougies, et la respiration haletante, il semblait être tel un esclave scotché au bon vouloir de sa maîtresse, qui lui sussura que l'état de son sexe était désormais bien plus satisfaisant.

Tout soldat à de temps en temps besoin qu'on prenne soin de lui, et je dois admettre que tu sais très bien remonter le moral de tes troupes ma belle.

Nul besoin d'être formel, vu qu'ils n'étaient que tous les deux. Alice se redressa alors, et Melendil se sentit fondre quand il comprit ce qu'elle avait l'intention de faire. Il se retrouva vite avec sa queue prise entre les deux seins lourds et délicieux d'Alice, qui en se servant de ses mains les resserra contre, avant de se mettre à le masser ainsi.

A...Alice...Hmm...

Le sexe de l'elfe trempé de salive n'avait aucun mal à glisser contre ses deux masses de chairs chaudes qui l'ensserraient, et Melendil se mit à remuer un peu son bassin tant le plaisir était à son paroxysme. Alors qu'il remuait de concert, il sentait la langue, timide, d'Alice titiller le bout de son sexe à chaque fois qu'il poussait,rajoutant encore un peu de plaisir à cet océan dans lequel il se trouvait. L'elfe ne tarda concrètement pas à sentir l'orgasme pointer le bout de son nez, il aurait pu prévenir Alice, mais l'envie soudaine de mâculer son visage et ses seins avec son sperme se manifesta dans son esprit. Il se contenta alors d'accélérer le rythme, se servant de ses bras en appui sur le lit pour s'aider dans ses mouvements, puis il vint au bout de quelques minutes. Le bout de son sexe hors des seins de la princesse, il éjacula à plusieurs reprises contre son visage, sur ses joues, son nez et ses lèvres, avant de disparaitre dans le creux des seins d'Alice, et de finir à cet endroit.

Oooooh...hum...

Melendil resta ainsi un moment, son sexe trempant dans son propre sperme, puis il baissa son visage pour voir l'état dans lequel se trouvait Alice, et il se permit alors un sourire coquin.

Toutes mes excuses majesté, je n'ai pas sû me retenir face à votre doigté royal...mais si je puis me permettre, je te trouve magnifique ainsi.

Mâculée de sa semence, Melendil la trouvait attirante pour une raison qu'il ne s'expliquait pas trop, mais chercher à expliquer les fantasmes était en soit une perte de temps, il étaient tout simplement. Melendil approcha alors une de ses mains du visage d'Alice, et frotta délicatement son pouce de façon à récupérer son sperme qui commençait à couler le long de la peau de la princesse, avant de le porter aux lèvres de sa belle partenaire.

Permet moi au moins de t'aider.

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : La Princesse et le Vagabond [Melendil]

Réponse 38 samedi 07 novembre 2015, 11:57:53

Entendre et voir Melendil sous l’effet du plaisir, voilà un délice dont Alice pensait bien ne jamais devoir se laisser. L’elfe était beau, si beau... Une beauté incroyable, qui était en train de la transporter. Elle regardait l’homme remuer lentement devant elle, soupirant faiblement, avec ses lèvres magnifiques. Depuis quand était-elle devenue si douée avec le sexe ? C’en était presque effrayant ! Alice était comme à la place de Mélinda en ce moment, excitant son amant, en lui montrant tout ce dont elle était capable. Il n’y avait que dans les contes que les nobles dames étaient des femmes dévergondées et ineptes au sexe. Dans les faits, Alice avait souvent été une exception... Mais, grâce, à l’entraînement de Mélinda, cette exception n’avait plus vraiment lieu d’être.

Elle remuait cette saucisse de chair entre ses seins, un membre tendu, érigé, un mât imposant. Une belle queue, fière et grande, élancée et impériale, qui finit, sous les multiples traitements d’Alice, â relâcher sa semence. Alice sentit cette queue remuer, puis, alors qu’elle en suçotait le bout, le sperme jaillit, fusant à toute allure, et vint inonder son visage pendant plusieurs secondes. Melendil juta plutôt bien, venant recouvrir le doux visage de la Princesse de sa liqueur blanche, recouvrant sa figure, allant jusqu’à rebondir contre quelques mèches de cheveux. Alice ne l’avait pas pris en bouche, se contentant juste de faire juter l’homme.

Quand il eût terminé, elle était avec du sperme sur son visage, ainsi que sur son torse, formant quelques lignes qui allaient se nicher entre ses seins, descendant lentement vers son ventre, la Princesse clignant des yeux à plusieurs reprises.

*Ça tient chaud...*

Aussi curieuse soit-elle, ce fut cette première réflexion qui s’imposa en elle. Melendil venait de jouir sur elle, et lui présenta ses excuses... Avec un sourire tel et une lueur telle dans les yeux qu’elle se doutait que ses excuses n’en étaient pas vraiment, et n’étaient qu’une façon de parler. L’homme approcha alors sa main, et elle frissonna en sentant son pouce venir récolter un peu de sperme.

« M’aider, hum... »

Alice sourit, puis alla sucer le pouce de l’homme, avant rapidement ce sperme. Elle entreprit alors d’en prendre à son tour avec ses doigts, et les lécha.

« Hmmm... Tu as vraiment très bon goût, Melendil... »

Elle sourit. Sensuellement. Puis elle opta pour une autre idée, en s’humectant les lèvres, le cœur battant tendrement la chamade :

« Pourquoi ne pas venir... Me lécher ? Tu sais combien je raffole de tes lèvres, mon beau... »

Melendil Korvander

Créature

Re : La Princesse et le Vagabond [Melendil]

Réponse 39 dimanche 24 janvier 2016, 18:12:35

La perversité dont cette jeune femme pouvait faire preuve au lit était, dans l'esprit de Melendil, un contraste très excitant par rapport à son statut social très haut. Elle ne rechigna pas lorsque l'elfe juta sur son visage, et entre ses seins, pas plus que lorsque Melendil, poussé par une inspiration subite, s'était mis à récupérer de son propre sperme avec son pouce pour ensuite l'ammener à la bouche de la princesse. Cette dernière n'avait alors pas hésité à sucer le pouce de Melendil, et à ainsi aspirer sa semence encore tout chaude. Melendil réitéra ce geste à deux reprises, allant nourrir Alice de son sperme, avant que cette dernière ne lui suggère d'achever de la nettoyer avec sa langue. L'elfe ne fût cette fois pas surpris, cela dit, pas cette fois et n'allait probablement plus tellement l'être, mais il trouvait à chaque fois de plus en plus excitant les idées coquines d'Alice, qui adorait jouer avec lui.

Ma foi, vos désirs sont des ordres, majesté...


Meledil lui adressa un sourire malicieux, puis délicatement passa ses mains sous ses épaules pour la soulever, et l'allonger sur le lit, où ils seraient installés bien plus confortablement. Positionné à ses côtés, allongé, le jeune elfe prit toutefois un moment pour la contempler un peu, avant de pencher son visage près de ses seins, là où restait la plus grosse partie de sa semence. D'une main, toutefois, l'elfe se permit d'aller explorer la douce peau d'une des cuisses de sa belle princesse, dont il caressa l'intérieur, et empoigna sa chair. Suivant les filets de sperme qui s'étaient dessinés le long de sa poitrine, Melendil lécha donc, à plusieurs reprises et doucement, en prenant bien son temps pour qu'Alice aie tout le temps de savourer sa langue parcourant sa belle peau. Puis, une fois qu'il en eu avalé assez, Melendil se redressa et approcha ses lèvres de celles d'Alice, pour ensuite aller l'embrasser. Il amenait ainsi à Alice tout le sperme qu'il récupérait ainsi, en l'embrassant brièvement, juste assez pour qu'elle puisse tout récupérer et avaler.
Melendil répéta l'opération à quelques reprises, tandis que pendant ce temps, il s'était mis à glisser deux doigts dans l'intimité chaude et humide d'Alice, et remuait à l'intérieur doucement, juste afin de la conserver dans un bon état d'excitation. Lui, allongé comme il l'était, et blotti contre le flan de la princesse, avait sa verge tendue blottie contre Alice.
Ainsi, une fois qu'il eu fini de partager ses baisers avec la princesse, le beau vagabond, joueur, continuait à la doigter, car il appréçiait cette sensation d'avoir, littéralement au bout des doigts, le plaisir qu'elle éprouvait.

A présent que sa majesté a été correctement nettoyée, désire-t-elle autre chose ? Comme je suis désormais votre garde du corps, il est de mon devoir de m'en occuper n'est-ce pas ?

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : La Princesse et le Vagabond [Melendil]

Réponse 40 dimanche 24 janvier 2016, 22:31:45

Quelle rencontre ! Alice était ravie d’être tombée sur un tel individu. Melendil était un homme charmant, d’une beauté incomparable, le tout s’accompagnant d’une joyeuse perversion, et d’une sorte de soumission qui ne pouvait que plaire à Alice. La belle tête blonde n’aurait jamais pensé pouvoir tomber sur un tel homme en se rendant à Kalkeïn. Indiscutablement, Melendil était un individu d’exception, et, maintenant qu’Alice s’était attachée de cet homme, elle ne comptait pas le laisser partir. Se laissant couchée sur le lit, elle laissa Melendil la lécher, sa belle langue filant sur elle, et, bien conscient de l’effet magique de ses lèvres, l’elfe s’empressa d’aller l’embrasser, tendrement, fourrant dans sa bouche son sperme, et, à chaque fois, on pouvait entendre Alice soupirer, gémir, et glisser sa main dans les cheveux de l’homme, l’autre se posant sur l’une de ses épaules, se crispant sur sa peau.

« Mmmhmmm... »

Oh, oh, elle était vraiment folle des lèvres de Melendil ! Son amant elfique était terrible, et sa bouche, oh, sa bouche... Même Mélinda n’avait pas des lèvres aussi belles que les siennes. Elles avaient la douceur de lèvres féminines, ainsi que la fermeté de lèvres masculines. Du moins, Alice ne voyait pas comment l’expliquer autrement. Ou peut-être que ça venait juste d’elle ? Melendil léchait son corps, encore et encore, et on pouvait entendre la jeune Princesse soupirer et gémir, en se frottant tout le long du lit, ses mains s’étirant le long du lit. Quel spectacle ! Quelle beauté ! Ses seins étaient tendus, et Melendil, lui, continuait à remuer sur elle, tandis que son sexe, régulièrement, revenait caresser sa peau. Il alla même jusqu’à glisser deux doigts en elle, et put sentir combien Alice é&tait excitée, combien elle tremblait de plaisir.

« Melendil, hmmm... »

Alice se mordilla encore les lèvres, puis Melendil se nicha contre elle, couché sur son flanc, et les deux amants s’embrassèrent tendrement, tendrement et sensuellement, les mains d’Alice se posant sur son torse. Elle caressait ses muscles, sa peau douce et chaude, en sueur, ses seins s’enfonçant contre lui, tout en l’embrassant, encore et encore, se refusant à rompre le baiser.

*C’est fou, je pourrais l’embrasser toute la nuit sans jamais me lasser...*

Oh oui ! Le baiser finit toutefois par se rompre, et Alice le regarda, en se mordillant encore les lèvres, avec une lueur amoureuse dans les yeux... Melendil lui demanda ensuite si Alice voulait autre chose, et la jeune femme lui sourit.

« J’ai déjà ce que je veux, Melendil... Toi. »

Elle bondit alors sur lui, et l’embrassa plus voracement, mais chercha surtout à le pousser, et l’amener ainsi à se coucher sur le dos. Alice se redressa alors, se mettant à califourchon sur l’homme, en lui souriant. Son sexe se glissait alors contre ses fesses, tapant dans son dos, et elle aventura l’une de ses mains derrière elle, pour venir le caresser du bout de ses doigts gantés, ses doigts filant le long de sa hampe de chair.

« Et bien, tu es un elfe très gourmand, Melendil... »

Alice lui sourit de nouveau, avant de se mordre encore les lèvres.

« Mais, quand tu as caressé mon sexe en me léchant, je me suis dit que ce dernier n’était vraiment bien que quand il était rempli par toi... »

Elle lui sourit de nouveau, et se déplaça un peu, raffermissant sa prise sur le sexe de l’homme... Puis elle s’empala dessus, enfouissant son membre en elle, en poussant un cri de plaisir :

« HAAAAAAAAAAAAAAA... !! »

Melendil Korvander

Créature

Re : La Princesse et le Vagabond [Melendil]

Réponse 41 lundi 25 janvier 2016, 13:18:56

Melendil fût surpris par la fougue soudaine dont fit preuve Alice, en lui sautant dessus. Le baiser vorace qu'il échangea avec elle ne fût qu'un prétexte pour la princesse d'inverser les positions, et d'allonger le bel elfe sur le lit...avec elle au dessus de lui. Melendil était lui même assez surpris de sa propre endurance, car malgré le fait qu'il aie joui à plusieurs reprises, sa queue demeurait tendue et solide. Il devait admettre, même si il ne se l'expliquait pas complètement, qu'Alice lui faisait un effet très...particulier, et la retrouver assise à califourchon sur lui, alors qu'il ne s'y attendait guère, ne faisait que le confirmer. Melendil se trouva ainsi dans une position très passive, avec cette belle femme qui le maintenait prisonnier, et il se tendit quand, avec l'une de ses mains gantées, elle se mit à lui caresser son sexe.

La queue de Melendil frottait contre les fesses de la princesse, et était câlée dans le creux de son cul, tandis que du bout de ses doigts gantés elle était en train de le masturber délicatement. L'elfe frisonnait sous le contact de ses doigts couverts de soie, et qui de fait plaquait d'avantage son sexe dans le creux des fesses de la princesse. Melendil était en sueur, et assez épuisé, mais malgré tout Alice parvenait à rallumer la flamme de son désir à chaque fois, et le fait de se trouver ainsi dans une position de presque dominé, n'était pas complètement pour lui déplaire.

Gourmand ? Dixit celle qui rythme cette danse ma chère, je ne fais que te suivre.

Melendil adorait particulièrement le côté pervers de cette femme, et se sentir désiré à ce point était dans tous les cas particulièrement flatteur. Si il plaisanta sur le moment, il retint toutefois son souffle quand Alice déclara ne se sentir vraiment bien que lorsque son sexe était fourré en elle, et il la regarda alors avec passion se mouvoir, afin d'aligner sa verge avec l'entrée de son intimité.

Alice...Aaaaaaaaaaaah !!!!!

En sentant la princesse s'empaler sur son sexe, Melendil donna instinctivement un coup de bassin pour accompagner le mouvement et s'enfoncer en elle, avant de retourner pleinement s'allonger contre le matelas. Alice se mit à remuer, de haut en bas, le long de son sexe qui baignait à nouveau dans son intimité toute chaude, dans laquelle il remuait avec un plaisir inouï. Melendil posa alors ses mains sur les hanches d'Alice, tandis que cette dernière dansait sur lui, et menait le rythme, car elle contrôlait cette fois-çi tout.  Melendil, qui avait donc cette fois un rôle passif, se trouva à pouvoir la regarder sous toutes les coutures, car il n'avait aucun autre effort à faire que celui de se retenir pour en profiter le plus possible. Il pouvait donc voir, en redressant légèrement la tête, le spectacle de son sexe disparaîssant dans l'intimité d'Alice, ou encore ses seins qui rebondissaient au rythme de ses mouvements, ou même encore son visage et les expressions qui le parcouraient.
L'elfe respirait lourdement, tandis qu'il déplaça ses mains des hanches d'Alice jusqu'à ses fesses, qu'il empoigna fermement, et se mit à malaxer, ce qui lui permit aussi d'aider un peu la princesse dans ses mouvements, en lui donnant un petit coup de main sur les impulsions pour se redresser à chaque fois. Puis, c'est alors qu'il en profitait pleinement, que lui vint la réalisation d'un détail qu'ils avaient oublié.

A...Alice il faut...il faut que tu te retires...je...il ne faut pas que...que je te...aaaah...

Que je te rendre enceinte, étaient les mots qu'il ne parvint pas à prononcer, car sa verge lui faisait un mal de chien rien qu'à l'idée de se retirer. La question ne s'était pas posée jusque là, car Melendil, par précaution de base, n'avait pas joui dans l'intimité de la princesse, car il ne souhaitait pas qu'elle se retrouve avec un bâtard sur les bras par sa faute. Il ne venait après tout pas d'un milieu où les femmes avaient les moyens de se payer les services d'alchimistes pour assurer leur contraception, et dans le cas d'Alice, il n'avait absolument aucune idée de si c'était le cas. Et pourtant, même si c'était complètement fou et impossible, dans son excitation il vit brièvement l'image de lui la mettant enceinte...et cela ne fit rien pour le calmer.

A...Aaaaaaaah...

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : La Princesse et le Vagabond [Melendil]

Réponse 42 lundi 25 janvier 2016, 13:46:03

Sentir cette queue se glisser contre son cul était particulièrement excitant. Parfois, il en fallait peu pour émoustiller Alice, et elle estimait que c’était surtout ça, cette sensation de sentir ce bout de chair niché dans sa croupe, qui l’avait amené à vouloir continuer leur danse. Ce n’était pas raisonnable, car elle aussi était fatiguée. Ils faisaient l’amour depuis fort longtemps, maintenant. Melendil l’avait sodomisé, il s’était perdu en elle, et elle aurait tout à fait pu s’arrêter après leur ultime baiser, en dormant contre le torse parfait de l’elfe.  Mais, au lieu de ça, elle était là, à califourchon sur lui, avec ses longs gants et ses collants blancs, à masturber ce sexe, à le sentir se tortiller contre sa croupe, une partie de sa massive queue venant taper contre sa porte arrière, qui était encore bien ouverte suite au passage de son membre. C’était ça, cette ultime sensation, qui l’avait convaincue de s’empaler sur lui... Et... Et, han, quelle sensation superbe ! Magnifique et magique, même !

« Haaaa... O-Ouuuiiii... !! »

Oui, que de sensations magnifiques ! La Princesse soupirait généreusement, se déplaçant de haut en bas, dansant sur ce corps. Ce n’était pas la première fois qu’elle était au-dessus, et elle aimait généralement cette position, mais il fallait bien reconnaître qu’elle était très physique. En-dessous, elle avait, en effet, juste à se laisser porter, mais là, dans cette configuration, c’était à elle de mener le rythme. On pouvait donc l’entendre gémir et soupirer, tandis qu’elle s’évertuait à s’asseoir totalement sur le corps de l’homme, de telle sorte que sa queue tapait jusque dans les tréfonds de sa cavité, la faisant déglutir et gémir. Elle restait alors là, assise pendant quelques secondes, avant que les sensations ne soient trop fortes, et qu’elle ne doive, à nouveau, se déplacer de haut en bas.

Alice dansait ainsi sur lui, avant de sentir les mains de l’homme venir malaxer ses fesses, ce qui ne put que la faire frissonner. Elle gémit de nouveau, sa tête partant vers l’arrière, tout en continuant à bouger, encore et encore. Des mouvements simples, rapides à comprendre, mais ô combien excitants... Excitants à la hauteur de leur ultime séance de débauche et de sexe. Et, quand Alice ne fermait pas les yeux, elle s’évertuait à regarder son amant, à voir ce corps magnifique, couvert de sueur, à le voir tout excité, ses beaux yeux bleus remplis d’envie et de désir. On disait que les elfes pouvaient être des amants terribles au lit, et Melendil était à la hauteur de cette réputation. Lui aussi haletait et soupirait, mais l’homme ressentait visiblement la même chose qu’Alice, cette même envie de coucher, encore et encore, sans tenir compte des fatigues physiques.

« Hmmmmm... »

Elle crispait parfois ses épaules, et alla même, à un moment, se pencher vers lui, courbant son corps vers l’avant, pour l’embrasser, sentant, ainsi, davantage les mains de Melendil se raffermir sur son cul trempé, puis Alice se redressa, et continua à danser, encore et encore, en soupirant et en gémissant. Le lit craquait, son corps était en feu, mais rien ne semblait devoir les arrêter. Alice mouillait généreusement autour du mât de son amant, qui ne ressortait jamais de son corps. On pouvait entendre la chair claquer, des claquements amplifiés par leur sueur, et rythmés par les halètements de la Princesse. La tête blonde était très excitée par ce moment.

Et elle se mit à sourire quand Melendil, visiblement très excité, lui demanda de se retirer, de peur qu’il ne vienne à jouir dans son corps. En soupirant, Alice secoua la tête, et répondit, d’une voix épuisée :

« N-Non... En... En moi, Melendil, haaaa... C’est... C’est en moi que... Haaaaannn... Que je veux t-te... Te sentir ! »

Melendil Korvander

Créature

Re : La Princesse et le Vagabond [Melendil]

Réponse 43 mardi 03 mai 2016, 22:42:04

Le visage de Melendil se couvrit d'une expression sincère de surprise lorsque Alice fit part de son refus de le laisser se retirer, et voulait au contraire sentir l'elfe jouir en elle. Ainsi malgré la difficulté de la tâche au vu du fait qu'il avait sa queue plantée dans l'intimité très acceuillante d'une très belle femme, Melendil du réfléchir à toute vitesse, car au rythme où la princesse s'empalait sur son chibre il ne pourrait plus se retenir éternellement. La peur de la rendre enceinte d'un bâtard était évidemment là, c'était d'ailleurs la raison principale pour laquelle, presque au dernier moment, il s'était rappellé qu'il devait se retirer avant de jouir. Melendil avait beau apprécier ce qu'il avait vu jusque là de cette femme, la vérité était qu'il ne la connaissait qu'à peine, et outre les ennuis inhérent au fait d'engrosser une jeune femme de très haute lignée, il ne se voyait pas père d'une femme dont il ne connaissait pas assez le tempérament. Mais il se mit à raisonner, car de ce qu'il en avait vu, Alice ne correspondait guère à certains racontards qu'on pouvait faire sur les femmes aux cheveux blonds, et avait l'air assez intelligente pour savoir ce qu'elle faisait.
Après tout...peut-être ne voulait-elle pas briser l'élan dans lequel ils se trouvaient car il n'y en avait pas besoin ? Melendil savait que mages et apothicaires pouvaient concocter des potions prévenant toute grossesse non voulue chez les femmes, mais ce genre de potions avait son prix, que la plupart ne pouvaient se payer, même chez les jeunes femmes issues de maisons nobles modestes. Mais Alice était une princesse royale, et qui, pour être visiblement très portée sur le sexe, avait sans doute recours à ce genre de potions. C'était au final ce qu'il y avait de plus logique, car après tout elle n'avait aucun intérêt à se faire engrosser par un elfe vagabond, qui certes l'avait sauvé d'une mort certaine, mais qu'elle ne connaissait au final pas plus. C'est donc en tâchant de se rassurer, que Melendil s'abandonna complètement dans les plaisirs qu'Alice lui offraient en se balançant le long de son sexe, qui ne sortait quasiment plus de son intimité trempée et chaude. Lui, posait ses mains sur les hanches de la princesse, l'accompagnait dans ses mouvements, et donnait même des coups de bassin pour qu'elle ne soit pas seule dans l'effort. Il suait, de multiples gouttes parcouraient son torse musclé et imberbe, signe de l'intensité de leurs ébats, qu'ils prolongeaient au delà du raisonnable...mais c'était plus fort qu'eux. Il était certain que même si Melendil n'en savait que peu sur cette princesse, ce qu'il en avait vu avait été suffisant pour le convaincre d'accepter son offre de la servir, et qu'il éprouvait une attirance certaine à son égard.

A...Alice...

Melendil était toutefois épuisé, la faute à la journée de torture dont il était sorti juste avant de voir la princesse. Même si le fait de faire l'amour lui avait permis de se revigorer un peu, son corps le rappellait toutefois à la raison, et concrètement si Alice n'avait pas pris les devants en se mettant à califourchon sur lui, l'elfe aurait eu bien du mal à assurer cette einième étreinte. Il était bien toutefois, allongé sur ce lit, avec cette merveilleuse jeune humaine qui s'empalait sur sa verge. Le bruit des chairs claquant, la vue de son corps lui aussi en sueur, et la sensation de sa peau chaude étaient autant de facteurs qui, malgré l'épuisement, lui donnaient la force d'offrir à Alice ce dernier round. La perspective de jouir dans son vagin l'excitait aussi, car il était rare qu'il puisse le faire, la plupart de ses partenaires exigeant qu'il se finisse ailleurs...donc là, c'était un plaisir rare auquel il allait avoir droit.
Et il approchait à grande vitesse, Melendil sentit une ultime fois la vague approcher, alors que son sexe était tendu comme jamais dans l'intimité de la princesse. Ses mains alternaient entre ses hanches, ses fesses, et ses seins, mais là il empoigna ses hanches afin de l'aider à aller plus vite, et rapidement, le bel elfe se crispa tandis qu'il se mit à jouir. Melendil poussa un long râle, trahissant à la fois son plaisir et son épuisement tandis que, secousse après secousse, il se vidait au plus profond du vagin d'Alice, qui acceuillait sa semence chaude. Puis il finit par se détendre, la respiration encore lourde, il sourit alors à Alice, dont il avait la sensation qu'elle avait joui en même temps que lui.

P...pardonnez moi, votre altesse...mais je crains de ne pas pouvoir vous satisfaire d'avantage...à ma décharge, prendrez vous en compte ma belle performance malgré les récents coups de fouets que j'ai subi ?

Il la taquinait, bien entendu, c'était plus fort que lui surtout face à des nobles, mais cet apparent irrespect n'en était ici vraiment pas. Il avait surtout la sensation qu'il pouvait se laisser aller à ce mélange de formalité et de familiarité avec elle, du moins en privé, car Alice avait indéniablement quelque chose de plus que les nobles qu'il avait pu croiser jusque là. Toutefois il ne mentait pas, en sueur, l'elfe était exténué, surtout après s'être vidé en elle. Tout ce dont il avait besoin maintenant, c'était d'un peu de repos, et de préférence, dans les bras de cette très jolie femme.
Était-il sur le point de tomber amoureux ? Possible...

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : La Princesse et le Vagabond [Melendil]

Réponse 44 mardi 03 mai 2016, 23:28:42

Alice n’aurait jamais cru faire une rencontre aussi... Alléchante ici, à Kalkeïn. Elle était pourtant en train de prendre son pied comme elle l’avait rarement pris auparavant. Melendil était un amant exceptionnel, insatiable, beau au-delà de toute commune mesure, et très doué. Il savait faire plaisir aux femmes, et la Princesse appréciait beaucoup le fait de le sentir entre ses cuisses. Les deux étaient dans une véritable transe de sexe, et, si Alice avait été moins transie d’excitation, elle aurait pu lui dire qu’un accouchement n’était pas à l’ordre du jour. Les pilules de contraception tekhanes étaient très en vogue dans les autres pays de Terra, et ce même si, légalement, le recel de technologies tekhanes était considéré comme un délit. Alice en prenait régulièrement, car elle voulait être enceinte quand elle le désirerait, et quand elle se sentirait capable d’avoir un enfant.

Néanmoins, avoir un enfant ne serait pas aussi facile que ça, car, en théorie, elle était censée l’obtenir auprès de sa femme, Sakura. Or, cela faisait maintenant plusieurs semaines que sa femme avait disparu... Ou, plutôt, que les Formiens l’avaient emmené. Kerrigan avait attaqué Sylvandell, vraisemblablement pour obtenir de l’ADN de dragon, et, si elle avait été vaincue, la Reine des Lames avait néanmoins emmené Sakura avec elle. Le plus terrible est que Sakura avait choisi d’elle-même de partir, car Kerrigan lui avait expliqué qu’elle avait des gènes formiennes dans le corps. Tout le talent d’Alice n’avait su retenir sa femme, qui était partie, sous la promesse de revenir... Une promesse qui s’estompait au fur et à mesure que le temps passait.

Déjà conquise par le sexe avant, Alice avait choisi de noyer sa solitude dans des rapports sexuels intenses, notamment avec Mélinda et toutes les esclaves de cette dernière. C’était largement préférable, en un sens, que de se mettre à boire, ou à faire une dépression. Secrètement, elle espérait trouver un moyen de ramener sa femme, mais, pour l’heure, tout était encore flou. Bien sûr, elle ne disait rien de tout cela à Melendil pour le moment, car elle-même était bien loin de se douter de l’affection profonde qu’elle était en train de ressentir pour l’homme, ce bel elfe qui, sous elle, soupirait. Oh, qu’il était beau ! Par tous els dragons, entre ses soupirs et ses mouvements de reins, elle se prélassait à le regarder, à voir ses muscles saillants, sa longue chevelure brune trempée, ses beaux yeux bleus étincelants, et, de manière générale, tout ce corps anguleux. On disait que les elfes étaient beaux, mais elle n’avait encore jamais vu un homme aussi beau. Oui, indéniablement, le spectacle visuel était à la hauteur de cette verge qui s’enfonçait nerveusement en elle, au fur et à mesure qu’elle remuait d’avant en arrière, faisant doucement grincer le lit.

« Haaa... Hmmmm... »

Melendil aurait pu jouir sur elle, mais Alice ne voulait pas laisser trop de saletés dans la chambre. Et puis, au-delà de ça, il y avait tout simplement le fait qu’elle aimait bien sentir ses partenaires s’abandonner en elle, lui donnant l’impression exquise, pendant quelques instants, d’être délicieusement remplie, comme il convenait de l’être dans sa position. C’était une sensation extrêmement agréable, à n’en point douter, et c’était bien pour ça qu’elle remuait, encore et encore, glissant le long de cette queue, sans relâche, haletant, soupirant, gémissant de plus en plus fort.

« Haaaaaaaaaaa... HAAAAAAAAAAAAAAAAAA... !! »

Sa tête partait parfois en arrière, et ce fut d’ailleurs comme ça qu’elle jouit. Sa mouille glissait le long de la queue de l’homme. Alice n’avait jamais vraiment été une femme-fontaine, mais, sous l’effet d’une intense excitation, elle pouvait néanmoins larguer de belles quantités de cyprine, ce qu’elle faisait en ce moment. L’éclair la traversa, et, quand Melendil jouit en elle, elle eut également un orgasme. Ses deux bras partirent en arrière, poings serrés avant de se détendre, et sa tête se redressa vers l’arrière, en pure position d’extase, tous les muscles détendus sous l’effet d’une explosion de sens qui rugit dans son bas-ventre.

Ses hurlements moururent en un long soupir, comme si leur partition endiablée, leur folle danse, venait de se suspendre sur une note aigue pendant de longues secondes, qui parurent durer des heures. Alice soupira alors, comme si elle sortait d’apnée, d’une merveilleuse, idyllique, et féérique apnée, puis ramena sa tête devant elle, la respiration lourde, et le souffle haletant.

« Me... Melendil, hmmm... »

Ses mains se posèrent sur son torse glabre, et elle lui sourit, courbée vers l’homme, les cheveux d’Alice filant de part et d’autre de sa tête, son regard bleu azur planté sur celui de Melendil. Il se mit à parler, s’excusant d’être fatigué, et, en retour, Alice sourit malicieusement, et posa rapidement un doigt sur les lèvres de l’elfe.

« Shhhttt... ! »

Le cœur d’Alice battait joyeusement la chamade, mais, au-delà de ça, elle se sentait aussi fatiguée, et finit par se laisser tomber. Le sexe de l’homme était encore partiellement enfoncé en elle, glissant lentement pour se retirer, et elle se posa contre son torse, ses seins s’enfonçant moelleusement contre sa peau en sueur, posant ses mains sur ses épaules, avant de doucement laisser le sommeil la prendre.

Elle était au plus bel endroit du monde.


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