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[FINI] La Princesse et le Vagabond [Melendil]

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Melendil Korvander

Créature

Re : La Princesse et le Vagabond [Melendil]

Réponse 15 samedi 05 janvier 2013, 23:44:03

Hum... Le connaissant, il risque plutôt de vous donner une tape dans le dos en vous demandant si j’ai réussi à résister à vos fougueux assauts.

Melendil se mit à rire à cette blague, Alice et lui avaient à peu de choses près le même sens de l'humour, mais plus que ça, ces paroles le rassurèrent. Si le terrible Tywill Kovander ne voyait pas d'un mauvais œil les amants de son héritière, alors cela serait une grosse pression qui s'enlevait des épaules de Melendil. La plupart de temps, les demoiselles de haute naissance étaient des partenaires qui pouvaient réserver de mauvaises surprises, dans le sens où un amant pouvait se trouver enfermé dans un donjon pour avoir eu le malheur de déshonorer la fille d'un seigneur. En l'occurence, il ne s'agissait pas d'un petit nobliau, mais d'un roi avec des dragons.
Le problème ne se poserait donc pas, et c'était tant mieux, car même si Alice lui avait dit le contraire, Melendil doutait qu'il aie à présent la volonté pour se défaire de l'étreinte que la princesse maintenait sur lui. Lui à genoux, elle en face de lui, toujours assise sur le rebord de son lit, elle avait une position idéale pour entourer le bassin du semi-elfe avec ses longues jambes, et elle l'avait fait, comme pour s'assurer que quoi qu'il en coûte Melendil ne partirait pas. Et pour le coup, le semi-elfe n'avait vraiment aucune envie de partir. Il était bien là, prisonnier entre les cuisses d'une délicieuse jeune femme, et qui était en plus une séductrice confirmée. Cela allait à l'encontre de l'image de la princesse toute sage que son apparence laissait suggérer, mais très honnêtement, Melendil trouvait que cela rajoutait un goût délicieux à leur étreinte. Cette jeune femme le voulait, le désirait, et il n'y avait rien de plus gratifiant que de se savoir être l'objet du désir d'une belle femme.

En revanche, si vous n’êtes pas à la hauteur de mes espérances, c’est moi qui vous enverrais des dragons.

Nouveau sourire. Melendil aimait définitivement bien cette princesse.

Dans ce cas, il ne me reste plus qu'à vous prouver que je vais les dépasser.

Et il l'embrassa à nouveau. Melendil ne se lassait pas des lèvres de la princesse, et avec ses doigts fins et agile il caressait son dos. Outre ses baisers divins, Melendil avait un sens du toucher particulièrement développé, des mains fines et à la fois puissantes, qui étaient l'héritage des deux côtés de son sang d'hybride. Tandis qu'il embrassait Alice, les yeux clos, il parcourait le dos de la jeune femme avec un excellent doigté, qui prodigueraient à Alice de délicieux frissons. Melendil n'était pas seulement beau, il avait aussi appris comment prodiguer du plaisir aux femmes, et il plaçait même volontiers le plaisir de ses partenaires avant le sien.
Alice serra encore un peu plus ses jambes autour du bassin du semi-elfe, qui l'embrassa passionnément. Non vraiment, il ne s'en lassait pas, il s'en lassait d'autant moins qu'il fallait qu'il compense ces heures de douleur dans le donjon. Ce baiser dura à nouveau de longues minutes, mais pour ces deux amants les minutes s'écoulaient telles des secondes, le plaisir était tel que le temps passant était subjectivement bien plus court. Alice parcourait les longs cheveux de son amant avec ses doigts, le serrait contre lui, et ce n'est qu'au bout d'un long moment que leurs lèvres se séparèrent à nouveau. Melendil frotta le bout de son nez contre celui d'Alice, en remuant tout doucement son visage de gauche à droite, et en lui lançant un regard digne des plus grands séducteurs de ce monde.

Tu embrasses comme un Dieu, Melendil... C’est un avant-goût très prometteur.

Il faut des performances divines pour contenter une Déesse. Et rassures toi, j'ai encore plus d'un tour dans mon sac.

Ils en étaient désormais à se tutoyer, et venaient de fait de passer une barrière, celle de la différence de rang. Qu'il soit un gredin des rues et elle une princesse n'avait plus autant d'importance en ce moment, ils étaient juste deux êtres qui avaient envie l'un de l'autre, et pour qui rien d'autre ne comptait. Melendil fourra son visage dans le creux droit du cou de la princesse, et alla déposer des baisers dans cette zone sensible, et même volontiers mordre délicatement sa peau tout aussi délicate. Les mains du semi-elfe quand à elles se mirent à élargir leur champ d'action, en passant notamment le long des jambes d'Alice, qui lui entouraient toujours le bassin.
Il descendit peu à peu son visage, toujours en embrassant cette peau douce, jusqu'à arriver au niveau du décolleté plongeant d'Alice. Le visage de Melendil se trouva au niveau de ses seins, et il n'eut besoin que d'un rapide coup d'oeil pour discerner ses têtons pointant fièrement au travers du fin tissus de la nuisette. Cela éveilla en lui une envie, celle que tout homme aurait dans cette situation, et ses mains glissèrent le longs des cuisses d'Alice, remontèrent le long de ses hanches et de ses flancs, jusqu'à se poser sur ses épaules. Melendil se redressa légèrement, son visage se retrouvant face à celui de la belle princesse.

Tu permets ?

C'était une question purement réthorique, car déjà il fit glisser les deux bretelles de la nuisette de ses épaules, puis il fit découvrir lentement les deux magnifiques globes de chair qui formaient la poitrine de la princesse. Sans aucune hésitation, comme attiré par un aimant, Melendil avança son visage vers l'un d'eux, et il engloba son têton entre ses lèvres pour commencer à le sucer. L'une de ses mains épousa les formes de l'autre, comme un moule de sculpture, afin qu'il ne se sente pas délaissé. Mais sa main droite n'allait pas rester inactive, alors il la posa sur le ventre d'Alice, et fit glisser ses doigts plus bas, puis encore un peu, jusqu'à atteindre un bout de tissu qui n'était pas sa nuisette, mais sa petite culotte blanche qui formait un rempart protégeant son intimité. Un rempart dont Melendil entreprit de faire le siège, son majeur se mit à frotter délicatement, en décrivant de petits cercles, à l'emplacement du clitoris de la belle.

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : La Princesse et le Vagabond [Melendil]

Réponse 16 dimanche 06 janvier 2013, 00:17:13

« Il faut des performances divines pour contenter une Déesse. Et rassures toi, j'ai encore plus d'un tour dans mon sac. »

Alice rougit devant ce compliment. Elle se sentait si bien, contre le torse de cet homme. Il était beau, tendre, et puissant. Elle sentait les muscles, ce corps harmonieux, ces formes parfaites. Ils s’étaient embrassés pendant de longues minutes, et Alice avait sur le goût de ses lèvres la merveilleuse bouche de Melendil. Ce dernier se pencha alors vers son cou, se mettant à l’embrasser là. Une zone très sensible, qui la fit soupirer. Elle leva un peu la tête, avant de sentir les dents de ce dernier la mordiller. Elle poussa un petit cri de plaisir, remuant lentement sur le matelas. Ses mains se posèrent alors sur les épaules de l’homme, ce bel elfe qui se faisait un peu plus séducteur et entreprenant, maintenant que, une à une, toutes les barrières susceptibles de réfréner ses pulsions s’écroulaient. Alice savait que Melendil était un vagabond, un roturier, et elle savait que, généralement, ce genre de relations étaient très mal vus. Sylvandell était toutefois un royaume différent. Sakura, sa femme, une ancienne esclave, en était un excellent exemple. Melendil comprenait qu’il n’avait plus rien à craindre, qu’il n’y aurait eu aucune conséquence négative, et commençait à se révéler sous son vrai visage. Celui d’un homme doux, romantique, passionné, qui aimait faire plaisir aux femmes, et qui, Alice l’espérait, serait un brin pervers et viril.

En sentant la bouche de l’homme descendre, Alice fut rassurée. Il se rapprocha des seins de la Princesse, qui gémissait de plaisir, que ce soit sous les effets de ses lèvres, ou sous ses tendres et longues caresses, qui provoquaient de longs frissons de plaisir sur son corps. Elle se mit à espérer qu’il la prenne, elle faillit même le lui hurler... Cet homme, il la rendait folle ! Elle voulait qu’il arrache ses vêtements, et voulait sentir sa puissante virilité la défoncer, la faire hurler comme une possédée. Elle voulait sentir ses mains puissantes la prendre, ses muscles saillants s’enfoncer contre son corps. Elle imaginait son membre, dur et pointu, à la hauteur de cette beauté surréaliste. Son visage revint devant elle, avec ses yeux hypnotiques.

« Tu permets ? demanda-t-il alors.
 -  Oh oui..., soupira-t-elle. Vas-y… »

Ses douces mains agrippèrent les deux bretelles de sa nuisette, les écartant. La nuisette tomba à hauteur de ses cuisses, exhibant sa poitrine à l’air vif. En sentant les caresses du vent sur sa poitrine, elle eut un frisson, sa poitrine se soulevant et s’abaissant. L’homme se rapprocha, et elle se sentait comme dans un rêve, ce rêve où le prince charmant venait cueillir la belle Princesse. Le cœur d’Alice était déjà pris par celui de sa femme, mais elle avait le sentiment que Melendil y aurait une place bien au chaud. Elle sentit les lèvres de l’homme, ces chaudes lèvres, s’emparer de l’un de ses seins, la faisant gémir. Om s’attaqua à son téton, et elle soupira de plaisir, sentant le plaisir monter, la soulageant de la frustration qu’elle ressentait au niveau de ses seins.

Sa main gauche vint empoigner son sein droit, le caressant et le malaxant respectueusement. Elle se mit à gémir, écartant les lèvres l’une de l’autre, et ses mains vinrent caresser les joues de Melendil, ainsi que ses cheveux.

« Hum... » gémit-elle.

Alice sentit l’autre main de l’homme glisser le long de sa peau, la faisant trembler. Il caressa son petit estomac, qu’Alice, instinctivement, replia à l’intérieur. Elle n’était pas grosse, mais, comme elle ne faisait pas de sport, son estomac était légèrement arrondi. Les doigts glissèrent, continuant à descendre, sous son nombril, et Alice se sentit mouiller, sous cette lenteur, une lenteur exquise, et à la fois exaspérante. Il se mit à s’arrêter devant le fin tissu blanc recouvrant son intimité, et elle se mit à espérer qu’il ne cherche à la doigter, mais Melendil était bien décidé à la faire patienter. Il caressa son tissu, et caressa, avec un savoir-faire renversant, et une maîtrise de soi qui était plutôt rare chez les mâles, son intimité. Il la caressait avec son majeur, à travers le tissu, et Alice se mit à remuer sur son fessier, de gauche à droite, excitée, impatiente.

Ses mains s’agrippaient à la tête de l’elfe, la plaquant, et elle écartait ses jambes, afin de faciliter l’accès de l’homme à son entre-jambes.

« Hooo, Melendil… Si tu continues, je sens que je vais devenir folle, haaa… »

Melendil Korvander

Créature

Re : La Princesse et le Vagabond [Melendil]

Réponse 17 vendredi 25 janvier 2013, 13:19:42

La jeune princesse était très réceptive à la façon dont Melendil s'occupait d'elle, son doigté avait toujours été une source de compliment de la part de ses amantes, et cette jeune femme n'allait pas faire exception à cette règle. Le semi-elfe pouvait le sentir à la façon dont Alice remuait son corps, son bassin surtout, alors qu'une de ses mains caressait son petit bouton intime au travers du tissu de sa culotte blanche.

Hooo, Melendil… Si tu continues, je sens que je vais devenir folle, haaa…

Alice s'offrait à lui comme une fleur ouverte qui s'offrait aux butinements d'une abeille, et le fait qu'elle soit une princesse rendait cela encore plus gratifiant pour Melendil. Les princesses étaient ce genre de femmes que l'on rêve d'avoir dans son lit, et Melendil passait ici du rêve à la réalité. Le jeune semi-elfe remonta son visage qui était jusque là bien occupé avec la poitrine de la jeune femme, et il repartit à l'assaut de ses lèvres, tandis que son autre main continuait à malaxer les seins de la belle.
Il l'embrassa un long moment, tandis qu'il glissait sa main dans sa culotte pour la caresser plus directement.

Mais j'y compte bien belle princesse, te rendre folle de désir.


Il alla alors lui mordiller le lobe de son oreille droite, et se colla un peu plus contre elle, afin de sentir ses seins ronds heurter son torse musclé. Ils formaient indéniablement un merveilleux couple d'amants, mais même si Melendil avait une apparence calme, il n'en demeurait pas moins un mâle que tout ceci excitait au plus haut point.
Ses caresses et ses baisers se faisaient en conséquence plus passionnés, puis il finit par utiliser son poids pour faire basculer Alice sur le lit en la suivant, s'allongeant sur son corps divin. Son sexe tendu, encore emprisonné dans son pantalon de toile, heurtait la barrière de la culotte de la princesse, comme un aperçu de ce qui allait se produire dans un avenir très très proche. Melendil donna à cet instant quelques petits coups de bassin de façon tout à fait instinctive, avant de le bouger afin de créer un frottement, tout en continuant d'embrasser la princesse. Sa respiration était forte et accélérée, un désir fou s'emparait de lui.
Puis il se sépara à regret des lèvres d'Alice, mais c'était pour une bonne cause, lui ôter ce qu'il lui restait de vêtements. En se déplaçant, le semi-elfe alla se saisir de la culotte de la princesse avec ses dents, et la fit ainsi glisser le long de ses jambes. La vue de son entrejambe imberbe provoqua une décharge en lui, elle était presque nue, il ne lui restait que ses longs gants blancs et ses collants de même couleur, mais Melendil ne souhaitait pas les enlever, ils donnaient à la princesse un côté sexy.

Melendil déglutit pour humidifier à nouveau sa gorge qu'il sentait sèche, et regardait la belle femme qui était allongée face à lui. Oui il trouvait Alice particulièrement belle. Ses yeux bleus et sa longue chevelure blonde, son corps de déesse aussi, qui était un appel au désir charnel.

Tu sais, je crois bien que toi aussi tu va me rendre fou.

Lui dit-il avec un sourire. Il se place alors, le visage entre les cuisses d'Alice, et va commencer à lui lécher ses lèvres intimes.

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : La Princesse et le Vagabond [Melendil]

Réponse 18 vendredi 25 janvier 2013, 14:03:44

Il était d’une telle beauté... Alice avait toujours un peu de mal à y croire. Melendil était un être magnifique, et elle se sentait revenir des années en arrière, à cette époque où elle croyait encore aux contes sur le prince charmant. Elle s’imaginait toujours, en se couchant le soir, que, demain, son Prince viendrait. Un bel amant, fort et valeureux, qui lui ferait connaître l’extase romantique. Des prétendants beaux, il y en avait eu, mais ces derniers n’avaient pas vraiment l’allure du prince charmant. Soit ils étaient condescendants, soit la simple vue des dragons suffisait à les effrayer. Telle la princesse Jasmine employant le tigre Rajah pour chasser des prétendants, elle avait, en grandissant, utilisé les dragons pour faire fuir ses prétendants. Grande amatrice d’équitation, elle allait sur une plaine éloignée avec eux, et se débrouillait pour qu’un dragon doré débarque pile à ce moment, et prenne en chasse le prétendant. Les dragons étaient fort heureusement plutôt joueurs, et cette scène l’avait toujours fait mourir de rire. Et lui, son bel elfe ? Fuirait-il aussi en voyant un dragon le poursuivre ?

*Serais-je assez cruelle pour lui offrir un dragon en l’emmenant à Sylvandell ?*

Cet elfe lui avait sauvé la vie, et n’était rien de plus qu’un vagabond, mais, à Sylvandell, on avait une conception particulière de la noblesse. Un vulgaire paysan pouvait devenir Commandeur, s’il témoignait de compétences particulières. Les origines sociales n’avaient qu’une faible importance, et elle s’imaginait mal se séparer de cet homme. Elle ne le connaissait que depuis peu, mais elle n’avait jamais vu un homme aussi beau. Le laisser repartir serait criminel. Cette idée lui traversa la tête alors qu’il se releva, pour tendrement lui mordiller l’oreille. Romantique, il restait aussi un homme très excitant, capable de manipuler le désir de sa partenaire pour l’exciter, et l’impatienter. C’était un homme plein de ressources, et elle se laissa écraser sur le lit, avant de sentir Melendil s’allonger sur elle. Ses seins s’enfoncèrent contre son torse musclé et propre, et elle sentit surtout une forte protubérance à hauteur de son pantalon. Un membre tapait contre le tissu, désirant sortir, s’exprimer. Et, vu ce qu’Alice ressentait, ce n’était pas vraiment un petit membre. Il aurait été criminel qu’un homme si poli, si talentueux, si beau, soit doté d’une petite pétoire qui s’enrayait dès qu’on la chargeait. Au lieu de ça, ce qu’elle sentait ressemblait plus à un puissant pistolet, un genre de fusil à pompe qui s’apprêtait à la défoncer à l’aide de ses chevrotines.

Et ils s’embrassaient. Encore. Comme aimantés les unes aux autres, leurs lèvres revenaient frénétiquement se caresser, se toucher, se presser, se mordiller. La Princesse gémissait, continuant à mouiller, se tortillant faiblement sur le lit, pendant un temps qui lui semblait infini, avant que Melendil ne rompe le baiser. L’homme la dirigeait, et elle se laissait faire, en proie au charme magique de cet homme. Il rompit le baiser, et approcha sa bouche de ses cuisses. Elle frémit, haletant, et posa l’une de ses mains gantées sur l’un de ses seins, pressant son téton. Pour le coup, Alice se sentait pleinement réveillée, et sentit les dents de l’homme sur sa peau, filant sous sa fine culotte, la faisant mouiller encore un peu plus.

« Hunnn... » gémit-elle.

Il se mit alors à tirer sur la culotte, comme une espèce de chien affamé, et elle sentit sa culotte, enfoncée dans ses fesses, se retirer en frottant sa peau, glissant le long de sa croupe. Elle ferma encore les yeux, pinçant son téton, se mordillant les lèvres. Le semi-elfe fit descendre sa culotte le long de ses jambes, les faisant glisser sur ses collants, jusqu’à l’ôter. La culotte tomba alors mollement sur le sol, laissant la Princesse quasiment nue. Elle n’avait plus que ses collants et ses gants, mais quelque chose lui disait que l’homme ne souhaitait pas les lui retirer. Il l’observa, et elle lui rendit son regard, les joues rouges, le visage figé en une expression de désir vorace.

« Tu sais, je crois bien que toi aussi tu va me rendre fou » lança-t-il de sa voix séductrice.

L’homme se pencha alors entre ses cuisses, et vint s’attaquer à ses lèvres intimes. Sa langue s’enfonça en elle, lui procurant un bien fou, et elle soupira à nouveau, basculant sa tête en arrière, la reposant sur le grand lit, fermant les yeux, en ne pensant à rien d’autre qu’à ça. Au loin, sa tentative d’assassinat. Au loin, cette situation politique trouble. Au loin, ce gouverneur imbécile. Dans un comportement égoïste, rien d’autre ne comptait pour l’heure à ses yeux qu’elle et l’elfe. L’amant s’occupait d’elle avec un indéniable talent, et elle remuait lentement son corps, glissant une main pour lui caresser sa longue et magnifique chevelure. Elle avait toujours cru, par expérience, que les elfes étaient hautains, prétentieux, voyant les humains comme des « dh’oine », des imbéciles heureux. Avec cet homme, elle découvrait aussi pourquoi les elfes étaient si fiers d’eux. Certains étaient beaux comme des Dieux, et doués comme mille amants.

Alice lui caressa ainsi les cheveux pendant un certain temps, avant d’entreprendre de se relever. Elle tira sur sa chevelure, glissant son autre main sur sa joue, et écarta la tête de l’homme. Elle la releva, glissant quelques-uns de ses doigts sur son menton, puis posa un doigt sur les lèvres de l’homme, pour qu’il ne dise rien.

« Laisse-moi te montrer qu’une Princesse sait aussi agir... »

Elle allait jouer avec lui, car Alice était joueuse. Elle lui caressa une joue, et l’amena à s’allonger sur le dos, puis se rapprocha de son sexe. Son membre était emprisonné sous le pantalon de toile du semi-elfe, et elle se mit à embrasser son pantalon, à l’emplacement de son sexe, sentant ainsi, sur ses lèvres, la pression que sa verge exerçait. Elle lécha ensuite la toile, tout en posant ses mains sur le rebord du pantalon, l’agrippant, excitant l’homme. Par expérience, la Princesse savait que cette zone était très sensible pour un homme. Elle continua ainsi à l’embrasser, frottant son nez sur la toile. Ce n’était pas aussi délicieux que du cuir à embrasser, mais, ce qui l’excitait vraiment, c’était d’entendre ce bellâtre soupirer, de sentir son excitation. Tout en agissant, elle observait le mécanisme retenant le pantalon, et vit qu’il y avait un joli nœud retenant les lacets. En souriant, elle posa son menton sur sa verge, le faisant délicieusement souffrir, tout en s’attaquant à ses doigts à ses lacets.

« Je sens une grande tension entre tes jambes, Melendil... Il va falloir que je regarde ça de plus près. »

Elle joua avec les lacets, formant des boucles pour tirer dessus, utilisant parfois ses lèvres pour attraper le lacet entre ses dents et tirer dessus. Progressivement, elle parvint ainsi à ôter le lacet, relevant sa tête, le retirant complètement du pantalon. Elle tint le lacet entre ses lèvres, et le relâcha, puis écarta le pantalon de l’homme, le faisant glisser, l’en délestant, puis observa la protubérance à travers sa culotte.

« Mmmh... Aussi grosse que ce à quoi je pensais... »

Elle se rapprocha de la culotte, et l’attrapa également, l’écartant suffisamment pour que le sexe de l’homme se mette à pointer devant elle. La Princesse mit alors à frotter son nez dessus, et le lécha de bas en haut, avant de lentement le masturber.

« Demande-moi de te sucer, Melendil... J’en ai tellement envie... Mais je veux l’entendre de ta magnifique bouche... »
« Modifié: vendredi 25 janvier 2013, 14:23:20 par Princesse Alice Korvander »

Melendil Korvander

Créature

Re : La Princesse et le Vagabond [Melendil]

Réponse 19 vendredi 25 janvier 2013, 15:55:44

Melendil demeura quelques temps ainsi, le visage bien calé entre les cuisses de la princesse, a lui lécher l'entrée de son vagin. C'était un préliminaire qu'il adorait faire, qui ne demandait pas beaucoup d'efforts pour un maximum de résultats, que demander de plus ? Alice appréciait, comme pouvait en témoigner cette main qu'elle glissait dans les cheveux de l'elfe, son corps qui se cambrait à chaque fois un petit peu quand il donnait un coup de langue sur son clitoris, ou même plus simplement les gémissements qu'elle poussait.
Melendil avait toujours mis un point d'honneur à ce que ses partenaires éprouvent du plaisir, c'était un de ses états d'esprits qui l'avait amené plus d'une fois à satisfaire des petites nobles, mariées pour des raisons politiques à des hommes qu'elles n'aimaient pas et ne voulaient pas les satisfaire. Et puis, que pouvait-il y avoir de plus gratifiant qu'une femme vous disant en toute sincérité que vous avez été un amant formidable ?
Le semi-elfe ne continua toutefois pas jusqu'au moment de donner un orgasme à Alice, cette dernière se redressa et se saisis doucement du visage de son amant, lui indiquant de ne rien dire. Melendil se laissa faire, et il se trouva à son tour allongé sur le lit, avec Alice qui cette fois prenait sa place. Il devinait ce qu'elle comptait faire, mais ce qu'il n'avait pas anticipé, c'était la façon dont elle s'y prenait. La jolie princesse joua avec lui, une chose à laquelle il ne s'était pas attendu. Oh ce n'était pas désagréable, mais c'était bien la preuve qu'il ne fallait pas se fier aux apparences, cette jeune femme était bien plus perverse qu'elle ne le laissait voir.

Melendil se surprit à serrer les draps du lit avec ses poings afin de se concentrer sur quelque chose, car Alice, avec ses coups de lange et ses caresses millimétrées, mettait à mal le sang froid dont il avait fait preuve. Il n'irait certes pas jusqu'à faire violence, mais Melendil demeurait un homme, et que l'on torture ainsi sa verge était presque douloureux.

Je sens une grande tension entre tes jambes, Melendil... Il va falloir que je regarde ça de plus près.

Melendil bien qu'allongé, gardait sa tête relevée afin de voir ce qu'Alice lui réservait. Il lui souriait d'un air complice, mais un sourire un peu crispé, c'était le doux paradoxe de jouer avec les désirs de son partenaire en plein ébat. Cela rajoutait autant de piment que de frustration, mais il avait fait la même chose tout à l'heure, alors qui était-il pour blâmer la princesse ? D'autant que la voir ainsi, à jouer avec lui, dénotait bien son envie, et c'était tout sauf un mauvais point.
Melendil poussa un soupir de soulagement lorsque son sexe se trouva à l'air libre, n'étant plus entravé par quoi que ce soit, il pointait fièrement vers le plafond.

Mmmh... Aussi grosse que ce à quoi je pensais...

Ma foi, tu me vois soulagé de correspondre à tes attentes.

Melendil était pour ainsi dire bien monté. Il ne pouvait pas rivaliser de ce point de vue avec des créatures plus massives que lui, comme les ogres, les géants, ou autres créatures peuplant Terra, mais pour un humanoïde il n'avait pas à se plaindre auprès de mère nature. Il sentit des décharges éléctriques lui remonter le long de la colonne lorsque Alice commença à déposer des baisers sur sa verge et à le masturber.

Demande-moi de te sucer, Melendil... J’en ai tellement envie... Mais je veux l’entendre de ta magnifique bouche...

Alice...j'ai envie que tu me prennes dans ta bouche. J'ai envie de ressentir tout ce dont une belle femme comme toi est capable.


Pour appuyer ses dires, Melendil avait tendu l'une de ses mains vers le visage d'Alice, lui caressant la joue doucement, et passant même ses doigts sur ses lèvres délicates, mais une idée lui vint en même temps.

Mais peut-être que tu pourrais te positionner autrement ? Afin que nous en profitions tous les deux.

L'elfe l'invitais à se mettre sur lui, dans la position que beaucoup appellaient le 69.

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : La Princesse et le Vagabond [Melendil]

Réponse 20 vendredi 25 janvier 2013, 17:16:30

« Alice...j'ai envie que tu me prennes dans ta bouche. J'ai envie de ressentir tout ce dont une belle femme comme toi est capable. »

Oui, c’était un beau morceau, et la demande de Melendil fit sourire Alice. Il était très poli... C’était presque dommage, en un sens. Le voir devenir un peu vulgaire, ça l’aurait excité, mais il était un genre de prince charmant. On ne pouvait pas trop lui en demander. La Princesse lui sourit donc, observant sa grosse verge tendue. Une belle veine pulsait le long de cette dernière, et elle avait très envie de la sentir en elle. Rien qu’à cette idée, elle sentait un vide abyssal s’emparer d’elle. Elle voulait se faire remplir, pénétrer sauvagement, elle voulait sentir ce beau membre la défoncer, l’homme s’écraser sur elle, la faire hurler de douleur... Rien qu’à cette idée, la Princesse tremblait. Alice masturbait son sexe lentement, sentant cette queue chaude entre ses doigts, impatiente, ayant très envie de s’enfoncer quelque part.

Une main la tira de sa réflexion. Elle releva la tête, revenant à la réalité, en sentant la main du semi-elfe caresser sa joue et ses cheveux. Elle cligna lentement des yeux, alors que Melendil commençait à comprendre à quel point Alice était tout, sauf une petite femme chaste et innocente. Elle n’en avait que l’apparence. Alice le regarda, et sentit alors les doigts de l’elfe caresser ses lèvres. Sa langue vint brièvement les caresser, et elle entrouvrit les lèvres, espérant qu’il enfoncerait ses doigts en elle. Elle lui était volontiers soumise, et, si elle s’était amusée à l’exciter, c’était uniquement pour le rendre encore plus masculin, plus dominateur. Oh, comme ça l’excitait, un homme viril ! Un homme fort, beau, et romantique, qui la prendrait violemment !

« Mais peut-être que tu pourrais te positionner autrement ? proposa-t-il rapidement, suscitant la curiosité de la Princesse. Afin que nous en profitions tous les deux » rajouta-t-il, comme s’il avait peur de ne pas se faire comprendre.

Alice se mit à légèrement sourire.

« Oh, je vois... Hum... C’est une idée, oui. »

La Princesse libéra le sexe de l’homme, sa belle queue tendue, et se releva, avant de se mettre au-dessus de Melendil, se retournant lentement, se débrouillant pour placer ses cuisses au-dessus de sa tête. C’était une position qu’elle aimait bien faire avec sa femme. Et, de plus, Alice adorait les fellations. Généralement, elle aimait être assise sur le sol, entre les jambes d’un homme, afin de lui sucer longuement sa grosse queue, en entendant ce dernier gémir, et la gifler. Oh, rien que cette pensée la fit mouiller. Elle remuait ses cuisses de droite à gauche, les frottant l’une contre l’autre. Elle retourna au monde présent, et tendit sa main, la passant de l’autre côté de la verge, faisant remonter ses doigts, sentant cette queue dure se dresser.

« Mon pauvre petit elfe, tu as l’air d’être en manque... Je suis vraiment vilaine, de te faire souffrir ainsi... »

Alice pencha alors sa tête, et se décida à le satisfaire. Elle écarta ses lèvres, et enfonça ce sexe dans sa bouche, commençant par le gland, écartant bien ses lèvres, avant de les rabattre, sentant cette peau tendre et moelleuse contre ses lèvres. Sa queue était chaude et tendre, avec cette texture si particulière, propre au sexe masculin. Comment dire ? C’était à la fois, très dur, mais aussi mou. Elle se mit à enfoncer cette queue en elle, tout en abaissant ses cuisses, ses seins s’enfonçant contre le bas du ventre de l’homme. Le sexe continuait à s’enfoncer en elle, et elle s’arrêtait de temps en temps, ramenant sa tête en arrière, puis continuait à le sucer. Sa bouche remuait dessus, de haut en bas, alors qu’elle se mettait à gémir, yeux fermés. Sa main qui avait tenu sa verge vint titiller ses testicules, un doigt sur chacune d’entre elle, les soulevant. Sa bouche continuait à s’enfoncer, et elle se mit peu à peu à faire une fellation digne de ce nom, gémissant de bonheur en sentant Melendil jouer avec son intimité, remuant son bassin de haut en bas, pour mieux l’exciter.

Dans sa tête, elle imaginait cette grosse verge qui emplissait sa bouche la défoncer, la faisant mouiller. A chaque fois que le plaisir montait trop, elle mordillait un peu son sexe, et aspirait l’air entre ses lèvres, creusant ainsi ses joues, tout en remuant sa bouche, jusqu’à sentir son sexe taper dans sa gorge. Elle grogna, et ramena ensuite sa tête en arrière, puis à nouveau en avant, faisant baigner la queue du semi-elfe dans sa salive, sa langue la léchant longuement.

« Hummmmmm... »

Melendil Korvander

Créature

Re : La Princesse et le Vagabond [Melendil]

Réponse 21 mercredi 03 avril 2013, 11:01:16

Melendil se trouvait au paradis tout juste après avoir passé un séjour en enfer, séjour dont il n'avait pas cru revenir un jour. C'était étrange comme la chance tournait, et parfois bien plus vite qu'on ne pouvait l'assimiler. Mais en l'état actuel des choses, l'elfe n'était pas en position de se poser des questions, de philosopher sur le destin ou le hasard, ce serait probablement pour une autre fois.
Non en l'état actuel des choses il se trouvait allongé dans un lit confortable, nu, et accompagné d'une très charmante femme nue également, et tous les deux s'apprêtaient à s'accoupler longuement. Melendil n'avait aucun doute désormais sur l'appétit sexuel de la Princesse Alice, son jugement avait été faussé par l'idée toute faite qu'il avait des Princesses, mais il se faisait à l'idée que celle ci avait des désirs tout ce qu'il y a de plus humains. Alice répondit favorablement à sa proposition, et très vite, cette dernière commença à se positionner de façon adéquate. La position communément appellée le 69, en référence à la forme que prenait les corps des amants durant cette étreinte. Melendil regarda les fesses de la Princesse se rapprocher de son visage, son entrejambe être à portée de ses lèvres à nouveau. Alice mouillait, il pouvait très aisément distinguer que ses lèvres intimes luisaient se cyprine, ce qui le fit sourire alors qu'il glissa sensuellement ses mains sur les fesses de la Princesse.

Tout était beau chez cette femme, mais en l'occurrence Melendil allait pour les minutes à venir focaliser son attention sur ce divin cul rebondi et ferme qui lui était offert, et qu'il prit le temps de découvrir. Ses mains le pétrirent avec attention, ses doigts s'enfonçaient dans cette chair et en éprouvait le mélange subtil de fermeté et de douceur. L'elfe savait qu'en ne s'attaquant pas tout de suite à l'intimité de la Princesse il faisait patienter celle-ci, mais c'était un juste retour des choses après qu'elle en aie fait de même. Le sexe de Melendil se dressait fièrement, il en avait presque mal tant il réclamait qu'on s'occupe de lui, et les quelques caresses du bout des doigts de la Princesse n'arrangeaient en rien son impatience croissante.
Quand enfin Alice se décida à prendre sa verge en bouche, Melendil poussa un long soupir et serra un peu plus fortement les fesses de sa partenaire entre ses mains. Il redressa alors légèrement afin d'approcher ses lèvres de l'intimité trempée de la Princesse, où sa langue allait faire son office. Il tira la langue, et suivit avec le tracé de la fente intime de la jeune femme, il se ballada ainsi sur ses lèvres et surtout sur son clitoris où il s'attardait plus particulièrement. Parler était en l'était une possibilité très limitée, et de toutes manières Melendil avait déjà bien trop de choses à gérer en même temps pour même songer à parler. Son visage fourré entre les cuisses de la Princesse, ses mains dont il se servait pour pétrir ses délicieuses fesses, et sa verge qui subissait les assauts fort bien menés d'Alice. Très excité, Melendil se mit à donner de légers coups de bassin pour faire aller et venir sa verge dans la bouche de la Princesse, trop légers pour la surprendre, mais l'elfe ressentais le besoin de remuer et d'augmenter les frottements sur sa verge.

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : La Princesse et le Vagabond [Melendil]

Réponse 22 mercredi 03 avril 2013, 13:19:33

Melendil avait largement le potentiel de rehausser aux yeux d’Alice toute la beauté du peuple elfique. Que ce soit l’Omniprêtre, cet elfe borgne à l’air bourru, ou Tinuviel, cette elfe prétentieuse qui oscillait entre le rôle d’amie et de mère-poule, Alice n’avait pas vraiment eu une bonne opinion de la civilisation elfique, voyant ce peuple comme un regroupement d’individus arrogants, ancrés dans un temps passé, dans une époque où les elfes dominaient les sociétés, avant que les humains n’investissent les villes, ne développent l’urbanisme, l’État moderne, et ne finissent par chasser les elfes dans les forêts, dans leurs retranchements naturels. Melendil était différent, un pauvre elfe victime du racisme non-humain, que la Princesse méprisait cordialement. Un bel éphèbe, qui s’était offert à elle, et lui offrait la possibilité de satisfaire les fantasmes de la Princesse : coucher avec un homme beau, romantique, et dont le corps semblait empreint de douceur et de tendresse. Un genre de prince charmant, à cette différence près que le sang bleu ne coulait pas dans ses veines. Il n’était qu’un vagabond, un individu sans origine, quelqu’un avec qui Alice, normalement, n’aurait jamais du trainer. Mais la Princesse était ainsi, proche de la philosophie du Premier, Erwan Korvander, un fils de pêcheur qui avait su fonder un royaume, et qui avait toujours prodigué de ne pas faire de distinctions sociales fondées sur l’appartenance sociale. Alice appliquait ces principes, et sentait qu’elle aurait bien du mal à se séparer de Melendil. Elle voulait ce bellâtre avec elle, elle voulait sentir ses yeux charmeurs la dévorer du regard, elle voulait embrasser pendant des heures sa bouche, mordiller sa peau parfaite, son torse glabre, glisser ses mains sur ses pectoraux, et savourer sa virilité en elle. Rien qu’à y penser, elle continuait à mouiller.

Elle s’attaquait ainsi au morceau du roi, pour ainsi dire, engloutissant le sexe entre ses lèvres, étouffant ses gémissements. Plutôt que de s’attaquer à son intimité trempée, Melendil avait choisi de caresser vigoureusement ses fesses. Un choix qui ne l’étonnait guère. Tout le monde disait qu’Alice avait un « cul royal », et elle sentit clairement, quand elle prit ce sexe en bouche, toute la frustration de Melendil se libérer, partir comme neige fondant au soleil. Elle avait senti les vibrations de son corps, cette tension, cette tension qui se dilua à travers le soupir de soulagement de l’homme. C’était une constante que les femmes comme elle, généralement, aimaient bien pousser les hommes doux et calmes dans leurs retranchements, transformer l’ourson en un sauvage grizzly. Cependant, Alice n’avait pas la cruauté de faire à ce point souffrir son chevalier servant, qui l’avait sauvé. Elle avait envers lui une dette de vie, d’autant plus forte que sa rétribution pour son intervention avait été de se faire battre. Elle lui offrait son corps comme un acompte pour payer sa dette.

« Huuun-hunnnn... »

Les mains de Melendil frottaient vigoureusement ses fesses, les pressant. De belles petites fesses rondes et bosselées, qu’on prenait plaisir à caresser, à toucher, à apprécier leur fermeté, à écarter, à ramener. Sa langue finit par venir s’attaquer à la partie négligée du corps d’Alice : son intimité. Elle mouilla lentement, sa cyprine glissait sur les lèvres merveilleuses et enchanteresses de cet homme. Elle aurait presque pu confondre ce qu’elle ressentait avec de l’amour, et elle finit par poser ses deux mains gantées sur la couverture, de part et d’autre de son corps, pour enfoncer, toujours un peu plus, ce sexe en elle. S’appuyant sur sa grande expérience, elle ne retirait pas ses lèvres, respirant par le nez, insufflant longuement, essayant de ne pas perdre le fil, tout en remontant d’avant en arrière, répétant la même litanie avec plus d’insistance, sa langue jouant un rôle assez important. Elle essayait de jongleravec le bout de la verge, de le coincer entre ses dents supérieures et sa langue pour pousser dessus avec son organe rose. C’était ça qui la fascinait chez un sexe masculin : dur et mou. Comment l’expliquer ? La verge avait cette chose fascinante que le durétait mou. Comme une espèce de chienne, elle mordillait parfois légèrement le sexe, afin de le bloquer, et aspirait alors violemment avec sa bouche, creusant ses joues, sentant la queue de l’elfe vibrer entre ses lèvres closes. Ses mèches de cheveux glissaient le long de ses joues, et elle se forçait parfois à les rabattre.

Elle allait sans doute trop lentement, car elle sentait le corps de Melendil remuer parfois, sous l’effet d’un certain empressement. Ceci la faisait sourire. Pauvre homme... Il était solidement excité, et elle accrut donc le rythme, tout en remuant son bassin, lentement, de gauche à droite. On pouvait entendre la Princesse gémir, on pouvait entendre les bruits de succion de sa bouche sur son sexe, et elle frottait également son corps contre le sien, glissant ses seins sur sa peau nue. La jeune Princesse mouillait toujours un peu plus, au fur et à mesure que le sexe de l’homme, cette grosse sucette, s’enfonçait dans sa bouche. Finalement, elle glissa l’une de ses mains, et vint jouer avec les testicules, les titillant, tout en faisant des gorges profondes.

« Huuuuummm !!! » soupira-t-elle encore.

Melendil Korvander

Créature

Re : La Princesse et le Vagabond [Melendil]

Réponse 23 mercredi 03 avril 2013, 15:52:45

Melendil commençait peu à peu à oublier ces longues heures passées dans la salle de torture du palais, pour peu, il aurait presque considéré ça comme un moindre mal en comparaison du fait de coucher avec une Princesse. Dans un sens en effet, on pouvait considérer qu'il aie été torturé avait facilité sa propulsion dans les bras d'Alice, qui se sentais hautement redevable envers lui.
Melendil avait toujours éprouvé une certaine attirance envers les filles de haute naissance, non pas qu'il n'aie d'yeux que pour elles, mais pour le vagabond, voleur, et roturier qu'il était, il y avait un plaisir certain à coucher avec une fille de noblesse, à la faire crier de plaisir. Que lui le moins que rien, arrive à offrir à ces dames ce que beaucoup de nobles manquaient à avoir, de la vigueur au lit.
C'était toutefois la première fois qu'il couchait avec une femme d'une telle stature sociale. Des Baronnes ou des Comtesses, il en avait quelques unes à son tableau de chasses, mais une Princesse, c'était comme décrocher le jackpot, surtout que pour ne rien gâcher la Princesse en question n'avait rien d'une sainte nitouche. Il y avait cru pourtant, avec son air innocent et fragile, ses longs cheveux blonds, mais alors qu'Alice enchaînait les gorges profondes sur sa verge, il était persuadé et convaincu qu'il était loin d'être le premier homme à partager sa couche.

Ah...hum...

Melendil soupirait de temps en temps entre deux coups de langue qu'il donnait à l'intimité de la Princesse, il se devait bien de lui rendre la pareille car elle était en train de le sucer avec brio, son sexe dur allait et venait dans la bouche acceuillante de sa partenaire, et il sentait qu'il n'allait pas tarder à venir. Melendil tenta de se concentrer un peu pour retarder l'échéance, à la fois pour ne pas jouir trop vite, et pour profiter encore un peu plus. Mais entre son intimité dont il léchait la cyprine et le clitoris, ses fesses qui étaient un délice sous ses mains, ses seins qui frottaient sur son ventre, et sa bouche qui acceuillait son sexe, Melendil avait de nombreux facteurs contre lui.
Alice poussait de longs soupirs de plaisir, et le suçait de plus en plus vite, se retenir devenait douloureux. Le pire était sans doute les seins volumineux de la Princesse qui s'écrasaient sur son ventre, comme deux ballons de chair dont il sentait en plus les têtons durcis, elle remuait son corps de façon à le caresser contre le sien, cette femme était une séductrice redoutable. Le jeune elfe tint bon encore un peu, mais toute résistance finissait par atteindre son point critique, et quand il sentit le sperme venir, il donna un coup de bassin pour s'enfoncer bien profondément dans la bouche d'Alice tout en serrant ses fesses. Son sexe se mit à tressauter dans sa gorge, et il envoya plusieurs giclées de sperme chaud tout en continuant à remuer dans sa bouche. Melendil vint généreusement en elle, en poussant de longs râles de plaisir et de soulagement, et son corps se détendit quand il cracha ses dernières vagues de semence. C'est la respiration lourde qu'il continua à masser le cul de la Princesse, il était loin d'avoir terminé, mais avait besoin d'un léger moment de pause avant de reprendre la chevauchée.

Alors Princesse, cet avant-goût vous a-t-il plû ?

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : La Princesse et le Vagabond [Melendil]

Réponse 24 mercredi 03 avril 2013, 16:14:49

Les apparences étaient parfois trompeuses, surtout avec Alice. La Princesse, en apparence, était une jeune femme candide et naïve, une sorte de princesse sortie tout droit d’un conte de fées. La princesse naïve et innocente que le prince charmant devait secourir d’un vilain dragon qui la retenait dans sa tour... Mais, à Sylvandell, les dragons étaient des gardiens, et les beaux parleurs étaient des individus qui finissaient souvent rôtis entre deux dents de dragon. Les Commandeurs n’étaient pas des princes charmants. Alors, tomber sur quelqu’un qui en avait l’apparence, c’était suffisamment exceptionnel pour qu’Alice s’y cramponne avec l’énergie d’une désespérée. Elle suçait ce sexe avec énergie et passion, retrouvant le plaisir simple de la fellation, où elle pouvait dominer, et imposer son rythme, un jeu où la femme, dans un certain sens, acquérait un pouvoir sur le partenaire masculin. Le mâle était soumis, vaincu, à ses pieds... Ou, plutôt, à ses lèvres. Elle savait qu’elle rythmait, et qu’il jouirait en premier. Malheureusement, les hommes pouvaient difficilement cacher ce genre de choses, et cette solide proéminence, cette queue de plus en plus dure, témoignait d’une chose simple : Melendil, son bellâtre, approchait du point de rupture. Il jouirait en elle, dans sa bouche, car elle le voulait ainsi. Elle agissait donc en conséquence, glissant le long de sa queue, enfonçant toujours un peu plus ses seins contre sa peau douce et ferme.

Et il vint. Elle sentit son sexe se braquer, avant de cracher cette substance visqueuse qui, la première fois, lui avait fait faire un bond effrayé en arrière, alors qu’elle avait manqué s’étouffer. Elle savait que la venue du sperme était violente, comme une espèce d’explosion blanche et gluante. Elle campa sur ses positions, comme la gardienne de but qui arrêtait une balle lancée à toute allure. Elle sentit le sperme venir, éclater sur ses lèvres, et recula légèrement sa tête, continuant à poser ses lèvres sur le sexe, un sexe trempé de salive, tandis que Melendil, par à-coups, libérait en elle une quantité de sperme impressionnante. Fallait-il croire ce que les prostituées disaient quand elles vantaient les capacités sexuelles des amants elfiques ? En tout cas, Melendil ferait honneur à cette réputation. Il se vida pendant de nombreuses secondes en elle, et elle ne dit rien, ni ne bougea plus, sentant ses joues grossir, au fur et à mesure que le sperme giclait en elle. Elle le retenait, s’empêchant de trop en avaler, afin de ne pas être étouffée, contrairement à ce qu’elle faisait jadis. Quelques filaments blanchâtres glissèrent ainsi le long de la verge de l’homme. Le sperme était plus collant que la mouille, et restait donc là. Quand Alice masturbait ses amants, elle s’amusait parfois à « tirer » sur le sperme, à le sentir se coller sur ses doigts. Il jouit, se déchargeant en elle, et la taille de son sexe décrut légèrement.

La Princesse finit lentement par se retirer, en s’aidant de ses bras, avalant le sperme, qui dégoulinait de ses lèvres.

« Alors Princesse, cet avant-goût vous a-t-il plû ? » lui demanda-t-il.

Avant-goût... Ainsi donc, il avait encore envie de s’amuser avec elle ? Alice l’espérait, car elle, après tout, n’avait pas joui. Elle s’était retirée, et se retourna lentement, avant de s’asseoir à califourchon sur l’homme. Ses mains se posèrent sur son torse, et elle lui fit un sourire ravissant. Un peu de sperme glissa le long de sa lèvre inférieure, et elle le sentit.

« Oups... Tu as du confondre ma bouche avec un autre trou de mon corps, mon bel elfe... »

La langue d’Alice jaillit, léchant sa peau, et elle avala ce sperme, avant de le sucer. Elle remua ensuite la tête, balayant ses cheveux, puis s’allongea sur l’homme, s’affalant sur lui, ses seins s’enfonçant dans son torse. Avec ses doigts, elle vint caresser ses lèvres.

« A ma table, j’ai des assassins, des meurtriers, des bourreaux, des repris de justice... Mais je n’ai encore aucun voleur. »

La conception de la noblesse sylvandine était typiquement ashnardienne, en ce qu’elle accordait peu d’importance au statut social, mais bien plus aux faits d’armes. Un Commandeur bénéficiait d’une amnistie générale pour toutes les infractions commises, étant entendu que l’individu ayant commis des infractions trop lourdes, soit des infractions impériales, ne pouvait jamais bénéficier de ce statut. Elle continuait à rêveusement caresser les lèvres magnifiques, tellement envoûtantes, de Melendil, puis l’embrassa sur les lèvres, soupirant de plaisir dans sa bouche, se lovant contre lui. L’une de ses mains gantées s’attarda sur le téton droit de l’homme, et elle le pinça, tout en allongeant sa tête sur son torse.

*Il ferait un très bon oreiller...*

Elle ne tarda pas à enchaîner :

« Je suis une Princesse capricieuse... Et je crois que je vais avoir du mal à t’oublier, mon beau Melendil... Tout comme à te relâcher dans la nature... Alors, dis-moi... »

Et, tout en parlant, elle s’était redressée, l’embrassant dans le cou, près de ses longues oreilles, la main jouant avec son téton se glissant contre le sexe de l’homme, qu’elle caressait lentement, veillant à le relever, pour le plaquer contre sa peau :

« Être au service d’une Princesse, vivre dans un royaume situé dans un ancien sanctuaire elfique... Et baiser Sa Majesté bien fort te séduirait-il ? »

Melendil Korvander

Créature

Re : La Princesse et le Vagabond [Melendil]

Réponse 25 mardi 09 avril 2013, 15:24:32

Melendil reprenait peu à peu son souffle après cet orgasme libérateur, Alice avait bien jouée avec lui, avec ses désirs purement masculins, et jouir avait été un véritable plaisir autant que le signe annonciateur de la fin d'une souffrance réelle, même si elle n'avait été en rien comparable avec la torture qu'il avait subi plus tôt. La princesse n'avait pas bronché quand il s'était mis à cracher son sperme dans sa bouche, et l'entendre déglutir, avaler sa semence, le fit sourire un peu avant qu'elle ne se retourne, et ne vienne s'allonger sur lui.
Oui, Alice tranchait pas mal avec l'idée préconçue qu'il se faisait de certaines filles de la haute noblesse, c'était surtout sa perversion qui l'avait surpris, et qui continuait à le surprendre. Elle était même allée jusqu'à récupérer, avec sa langue, un fin filet de sperme qui dégoulinait de sa bouche, avant de ponctuer le tout d'une remarque bien salace.

Oups... Tu as du confondre ma bouche avec un autre trou de mon corps, mon bel elfe...

Absolument pas Princesse, je les traite tous avec l'égard qui leur est dû.

Alice était maintenant allongée sur lui, placée à califourchon, sa tête reposait sur son torse musclé et elle le caressait de diverses manières, le temps pour lui de reprendre un peu de forces pour se lancer dans un deuxième round. Il n'avait en effet pas encore fini, non seulement parce que sa partenaire n'avait pas encore joui, et que ce serait intolérable de finir dans de telles conditions, mais aussi parce que lui même avait encore envie.
L'elfe fronça néanmoins les sourcils à certaines des paroles d'Alice, il avait l'impression qu'elle tournait autour du pot durant un certain temps, jusqu'à ce qu'elle ne se décide à en venir au fait.

Être au service d’une Princesse, vivre dans un royaume situé dans un ancien sanctuaire elfique... Et baiser Sa Majesté bien fort te séduirait-il ?

La dite proposition avait été agrémentée d'un autre argument, celui de l'une des délicates mains de la princesse sur son sexe, qui reprenait du volume rapidement. Cela lui arracha un soupir, néanmoins il devait réfléchir à cette proposition. Il n'était guère plus qu'un voleur doué, mais de là à côtoyer la cour d'une grande maison noble, il y avait un grand pas à franchir, d'autant que Melendil était de nature vagabonde.
Néanmoins, c'était une proposition qui pouvait lui offrir des opportunités non négligeables, une certaine protection, ainsi que pourquoi pas la possibilité de revoir cette belle jeune femme. Il resta quelques secondes silencieux, le temps de peser le pour et le contre. Puis il balança son corps de façon à retourner Alice, l'allonger sur le dos avec lui au dessus.

C'est une proposition intéressante que je me verrais mal refuser, même si je dois avouer que je vois difficilement ce qui me vaudrait une telle place Alice. Je sais me défendre mais suis un piètre garde du corps, et pour être honnête, vos soldats me foutent la chair de poule.
Par contre, pour ce qui est de baiser sa majesté bien fort...là...


Ses mains commencèrent à remonter le long des cuisses d'Alice, tandis que sa verge désormais bien au garde à vous était très proche de l'intimité ouverte de sa partenaire. Il lui suffit d'avancer un peu son bassin pour se glisser sans aucune difficulté en elle.

Je peut faire des miracles. Hum vous êtes toute chaude Princesse.
« Modifié: mardi 09 avril 2013, 15:43:38 par Melendil »

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : La Princesse et le Vagabond [Melendil]

Réponse 26 mardi 09 avril 2013, 16:37:03

Enlacés ainsi, avec son corps reposant sur le sien, Alice se fit l’idée de deux amants se remettant d’une longue étreinte, pour mieux recommencer. Si la Princesse avait fait l’amour avec beaucoup de personnes depuis que Cirillia l’avait, un peu brutalement, déflorée, il était rare qu’elle rencontre des amants qui l’excitent à ce point. A dire vrai, elle pouvait les compter sur les doigts de la main. Il y avait, certes, sa femme, mais aussi Ciri’, dont la seule vue de ses petites fesses dans son pantalon en cuir l’émoustillait follement, Sélène, l’Amazone à qui elle avait offert son corps lorsque les Amazones avaient demandé l’hospitalité de Sylvandell, et elle allait maintenant devoir rajouter, à cette liste aux frontières indistinctes, Melendil. Le bel elfe était aussi beau que fougueux, et sentir son sexe avait été un véritable délice, aussi fort que ses lèvres, ses merveilleuses lèvres. A Sylvandell, le brave risquait fort de passer bien plus de temps que d’autres soldats à faire les patrouilles dans les plaines. Alice savait que les hommes de Sylvandell n’étaient pas vraiment des Apollon. Soit il s’agissait de gros fermiers gras, soit de soldats musclés buvant de la bière, et ayant une haleine assez imbibée. Melendil avait pour lui un charme surréaliste, des yeux romantiques, des lèvres d’une douceur inégalable, et un corps ferme et mâture. Oui, Alice ne doutait pas qu’il aurait l’occasion de culbuter beaucoup de fermières et de servantes à Sylvandell. Son offre était sérieuse. Elle avait quantité de raisons de vouloir cet homme auprès de lui. Il lui avait sauvé la vie, et il était d’une beauté à en tomber par terre. Et elle était une Princesse, soit une femme qui aimait bien que ses désirs soient exaucés. Et, en l’état, elle voulait son Apollon avec elle, son bel éphèbe, qui la pénétrerait, et l’embrasserait pendant des heures.

Melendil réfléchit, et remua alors, retournant Alice, qui se retrouva sous lui. Une position également très confortable, et elle sentit des frissons remonter dans tout son corps, alors qu’elle fixait les lèvres maudites de cet homme, posant ses mains gantées sur ses épaules et sur ses joues. Il était tellement beau, Seigneur ! Par tous les dragons, comment un être aussi beau avait-il pu être torturé par ces primates qui surveillaient cette ville ? Elle fondait rien qu’à le voir, se sentant empreinte d’une curieuse vulnérabilité, qui l’amenait à être très conciliante avec lui. Elle aurait volontiers exaucé tous ses désirs dans la limite du possible. La beauté a tous les droits, disait-on. Voilà qui se confirmait. Réfléchissant donc à sa proposition, Melendil lui répondit, lui avouant qu’il était très intéressé, mais qu’il doutait de ses capacités à réussir à la défendre efficacement, ce qui la fit sourire. Il glissa alors ses mains le long des chaudes et douces cuisses de la Princesse, qui en frissonna, avant de relever ses jambes, et de les serrer autour de sa taille. Elle sentait le sexe de l’homme, emprisonné entre eux, glissant sur son ventre. Son érection allait probablement se réveiller sous peu.

« Je peut faire des miracles lâcha-t-il. Hum vous êtes toute chaude Princesse. »

L’intéressée sourit, et caressa la nuque de l’homme, avant de l’embrasser sur les lèvres, ses seins s’enfonçant contre sa poitrine.

« Rassure-toi, mon beau Melendil, mes gardes m’effraient aussi... C’est bien pour ça qu’avoir un garde qui ne m’effraie pas soit particulièrement intéressant. Sous ma protection, personne ne te battra comme ces idiots l’ont fait. Je ne le tolérerai pas. »

Elle l’embrassa encore. Décidément, il était difficile de se lasser de ses belles lèvres.

« Tu es tellement beau, Melendil... Comment pourrais-je ne pas avoir envie de te garder près de moi, de goûter encore à ton corps, à tes lèvres délicieuses ? »

Cette question n’appelait pas vraiment de réponse. Tout en parlant, l’autre main de la Princesse, celle qui ne caressait pas sa nuque, se glissa dans son dos, descendant le long de son corps, sur son dos, jusqu’à atteindre ses fesses. Elle les caressa lentement, avec un sourire sur les lèvres.

« Il y a deux choses que tu dois savoir, mon beau Melendil, sur les Princesses. Nous n’aimons pas qu’on nous contredise, et nous sommes très sceptiques. Tu as certes des lèvres magnifiques, mais, de là à te faire passer pour un faiseur de miracles... »

Elle esquissa un sourire, et termina :

« Il va falloir que tu me montres par toi-même cette vantardise, mon bel elfe... »

Melendil Korvander

Créature

Re : La Princesse et le Vagabond [Melendil]

Réponse 27 lundi 18 novembre 2013, 17:11:14

Melendil observait la princesse, allongée juste sous lui, presque intégralement nue, collée contre son corps qui lui ne s'encombrait plus de vêtements. Ils étaient tous les deux allongés dans un large lit avec des matelas confortables et d'épaisses couvertures, nus l'un contre l'autre, Melendil avait le bonheur de sentir la peau douce de la jeune femme contre la sienne, et c'était une sensation des plus agréables, surtout quand on sort tout juste d'une salle de torture.
Peu à peu son sexe reprenait sa dureté, son ardeur lui revenait, il était impossible de rester de marbre face à une telle beauté. Ses longs cheveux blonds et ses yeux bleus, sa peau douce, ses seins vers lesquels Melendil ne pouvait s'empêcher de diriger son regard de temps à autres. Mais malgré toutes ces sources de distraction, l'elfe continuait de suivre le fil de leur discussion, et Alice était très sérieuse quand à sa proposition, elle voulait le garder auprès d'elle. Melendil aurait pu presque s'offusquer qu'on puisse le considérer comme une sorte d'objet, mais cela aurait été avec ironie dans le cas d'Alice, qui au contraire de pas mal de nobles n'avait pas cet orgueil les rendant invivables.

Tu es tellement beau, Melendil... Comment pourrais-je ne pas avoir envie de te garder près de moi, de goûter encore à ton corps, à tes lèvres délicieuses ?

Et bien. Melendil haussa un sourcil tout en gratifiant la princesse d'un sourire amusé, c'était un compliment et il le prenait comme tel, mais ne pouvait s'empêcher de trouver la situation amusante.

J'aurais pensé qu'une princesse de ton rang aurait un plus large choix de prétendants et d'amants, mais je suis flatté, et te renvoie le compliment.

Un frisson le parcouru quand Alice posa une de ses mains gantées sur ses fesses musclées. Vivre dans les rues et vagabonder lui avait forgé une musculature. Il n'était pas en position de rivaliser avec de grands guerriers légendaires, mais sa musculature était suffisante pour faire fondre le coeur de pas mal de dames, et il était même plutôt bien musclé pour un elfe, une race pourtant connue pour leur constitution moins élevée que les humains ou les nains. Puis, elle mis en doute les capacités de l'elfe à pouvoir faire des miracles dans le domaine qu'ils étaient en train d'explorer, afin sans nul doute de le pousser à agir. Melendil lui rendit son sourire, et sans un mot commença à se déplacer, amenant son visage entre les cuisses de la princesse, il se dirigea vers l'une d'entre elles, et se mit à embrasser sa peau à cet endroit. Melendil savait qu'Alice n'avait qu'une envie, qu'ils fassent l'amour, mais comme elle avait jouée avec lui, il n'était que justice qu'il lui rende la pareille, princesse ou pas. Ses mains habiles lui caressaient les hanches, son ventre, moulant les formes de son corps divin, tandis qu'il s'attaquait avec sa langue à tout sauf à l'endroit précieux de la jeune femme.
La sentir frémir, frustrée, sous ses caresses dosées et expertes, voilà aussi qui était une partie du plaisir qu'il ressentait. Oh bien sûr lui aussi avait envie de lui faire l'amour, et même sauvagement, car goûter à ce corps faisait renaître en lui un appétit dévorant, mais Melendil savait aussi se contrôler tandis qu'Alice, probablement plus habituée à ce qu'on réalise directement ses désirs, n'était probablement pas aussi experte en la matière.

Pressée dirait-on ? Navrée ma belle princesse, mais j'adore faire languir mes partenaires.

Ses lèvres se déplacèrent sur son bas ventre, juste au dessus de son intimité et de son clitoris. Il léchait, mordillait sa peau en s'approchant dangereusement de sa zone sensible, mais jamais il n'y allait véritablement. Ses mains elle se déplaçaient, pour pétrir ses deux seins qu'il sentait terriblement durcis sous ses paumes. Il jouait avec, les palpait avec plaisir et douceur, le bout de ses index dessinait le contour de ses têtons qui pointaient fièrement. Oh oui, tout indiquait qu'Alice avait très envie qu'on la prenne. Melendil voulait la faire languir pour que le moment où il se déciderait enfin à lui faire l'amour soit une délivrance, une extase, et ce moment se rapprochait. Le sexe de l'elfe était tendu, et au moment où les gémissements d'Alice commençaient à devenir plus pressants, il comprit qu'il serait cruel de la faire patienter d'avantage. Il retira ses lèvres, puis se déplaça pour se mettre au dessus d'Alice. Puis il avança son bassin, et sa verge coulissa toute seule dans le vagin de la belle princesse, en s'enfonçant entièrement en elle, il ne faisaient plus qu'un. Melendil vint l'embrasser précisément à cet instant, alors qu'il s'allongeait pleinement contre elle, collant son torse musclé contre sa poitrine agréable. Naturellement il commença à faire des va et viens, instinctivement même, le lit se mit à grincer alors que sous l'effet de l'excitation, et de l'envie de la princesse, Melendil accélérait rapidement le rythme.

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : La Princesse et le Vagabond [Melendil]

Réponse 28 mardi 19 novembre 2013, 02:20:29

Dieu, que cet elfe était beau ! Oh, s’il était beau ! Alice comprenait mieux, maintenant, ces troubadours, ces chanteurs, ces conteurs itinérants vantant le « beau peuple », un peuple d’artistes, proches de la Nature, d’une beauté presque « céleste ». Cet homme n’avait rien à voir avec le seul elfe que, jusqu’alors, Alice connaissait : l’Omniprêtre. Et, même, il était à la fois semblable et différent des elfes traditionnels. Il était musclé comme un homme, comme un beau chevalier. Oui, voilà, c’était un chevalier elfique, un homme à la beauté terrifiante. Alice se sentait fondre sous le contact de cet homme, sous ce torse qui la heurtait. Elle avait vaguement conscience que la manière dont elle lui parlait pouvait être offensante, mais Alice parlait tout simplement avec l’honnêteté et l’innocence de son âme, d’une âme échaudée par le désir et le sexe. On aurait presque pu croire qu’elle était amoureuse de lui, vu la manière dont elle le couvait, dont elle avait envie de le caresser, de se blottir contre son corps... Et elle devait bien admettre que, dans une certaine mesure, elle était bel et bien amoureuse de ce corps, de cet elfe bon, propre, doux, au corps musclé. Elle était comme une espèce de groupie qui bavait devant sa star d’enfance, à quelques degrés près.

« J'aurais pensé qu'une princesse de ton rang aurait un plus large choix de prétendants et d'amants, mais je suis flatté, et te renvoie le compliment. »

Le compliment la fit sourire. Une Princesse de son rang... Le pauvre s’imaginait-il que Sylvandell était un royaume aussi grand que Nexus ? Elle n’était pas la Reine Ivory, et Sylvandell, en réalité, n’était pas très intéressant pour beaucoup de nobles. Le royaume était éloigné de tout, et les seuls prétendants qu’elle avait eu, avant d’épouser une esclave issue de nulle part, voulaient surtout avoir la puissance militaire de Sylvandell à disposition... Ce qui expliquait pourquoi ils avaient tous été congédiés. Les Sylvandins étaient des autochtones un peu rudes, des provinciaux qui ne supportaient pas que les gens venant du centre de l’Empire se permettent de leur marcher dessus, et de mésestimer leurs coutumes.

« Détrompe-toi, mon beau, mon cœur est encore suffisamment grand pour contenir quelques amants de ton gabarit... »

Et toc ! Pour une femme, il était toujours bon de malmener un peu l’ego des hommes, si prompts à se sentir fiers de plaire à une femme. Melendil, son bellâtre, se mit alors à descendre, et fit preuve de tout son talent en « torturant » cruellement la pauvre Princesse. Elle se mit à se tortiller sous le lit, gémissant et soupirant, ses mains gantées agrippant les longs cheveux de son amant, les empoignant, alors qu’il embrassait ses cuisses, tournant autour de la zone qu’il était supposé cibler.

« Haaan... Hum-hummm... Me… Melendiil !! »

Dans la voix d’Alice, dans son intonation, on pouvait entendre la supplique, le désir naissant, qui était lentement en train d’exploser dans son corps. Ses doigts glissaient sur les beaux cheveux de l’homme, et elle frissonna davantage quand elle sentit les mains de l’homme empoigner fermement ses seins, les malaxant. Elle pouvait sentir son talent, et, si elle savait que lui aussi devait être en train de souffrir, avec son membre qui devait le démanger, en l’état, elle souffrait aussi. Melendil avait pleinement raison : la Princesse n’avait pas l’habitude qu’on la fasse patienter ainsi. Sa première séance de sexe, avec Cirillia, avait été quelque chose d’assez forcée, et, depuis lors, Alice n’avait eu d’amants joueurs, de partenaires qui avaient cherché à la frustrer, exactement comme Melendil le faisait en ce moment.

Ses seins pointaient, ses tétons durcissaient, chauffant, et, tandis que l’une de ses mains restait en appui sur la tête de Melendil, glissant dans ses mèches, l’autre main attrapa le poignet d’une des mains du bel elfe, alors qu’elle continuait à partir.

« Pourquoi faut-il que... Haaa... Tous les beaux hommes soient... Si cruels ? »

D’une manière ou d’une autre, elle allait trouver un moyen de le faire payer ! Ses fesses remuaient de droite à gauche, alors que l’homme continuait à jouer. Au bout d’un temps qui lui semblait interminable, alors qu’elle mouillait, le lit se mit à rmeuer. Melendil se déplaça, elle eut un aperçu de son torse, et il s’écrasa ensuite sur lui. Elle retint son souffle, sentit son sexe glisser entre ses cuisses, avant de s’enfoncer en elle. Son intimité était alors bien lubrifiée, et, par conséquent, son membre put s’enfoncer fermement en elle. Son cri fut étouffé par le baiser de l’elfe, et elle posa ses mains autour du cou de l’homme, caressant ses cheveux, griffant ses omoplates, gémissant langoureusement dans sa bouche en sentant son épaisse virilité s’enfoncer en elle.

*La beauté naturelle d’un elfe, la musculature d’un humain... Et la vigueur d’un nain ?*

Les nains étaient tellement petits qu’on disait que, paradoxalement, leurs sexes apparaissaient comme disproportionnés... C’était fou, le genre d’anecdotes, qu’Alice apprenait lors des dîners à Sylvandell ! Un beau membre s’enfonçait en elle, et Melendil s’écrasait contre elle, dans un long baiser, terriblement romantique. Alice fourrait sa langue dans sa bouche, respirant lentement, lourdement, sa poitrine formant comme deux tisons de douceur heurtant les pectoraux solides de ce bel elfe.

Le baiser finit par se rompre. Alice haletait et gémissait, et fit glisser sa main, griffant le dos de l’homme en retournant vers ses fesses. Elle en pressa une, et donna une petite gifle... Comme si elle cherchait à se venger.

« Haaa... Maudit... Maudit elfe, hum... Tu… Tu as intérêt à bien me… Me baiser, aaaahhh… »

Encore une fois, les dîners royaux avec son père et tous ses Commandeurs, qui passaient un temps infini à raconter leurs aventures grivoises, continuaient à enrichir le vocabulaire de la Princesse. Elle savourait le contact de cette vigueur en elle, cette sensation d’être ouverte, d’être remplie, pleine. Cette douleur fulgurante en elle était libératrice, jouissive, comme si elle se sentait pleinement vivante. Et ce corps beau, musclé, tendu, chaud, qui la heurtait...

Existait-il plus belle sensation en ce bas-monde ?

Melendil Korvander

Créature

Re : La Princesse et le Vagabond [Melendil]

Réponse 29 dimanche 05 janvier 2014, 18:45:26

Ne faire qu'un avec le corps d'une superbe femme, existait-il meilleure sensation que celle là ? Ce moment où les deux ne font plus qu'un, dans une longue étreinte amoureuse. Après être passé par la case salle de torture, dont il allait conserver des marques indélébiles sur son corps, Melendil trouvait donc cela encore plus agréable qu'à l'accoutumée. Certes, le fait qu'Alice était une princesse avait aussi son charme, mais ce qui était plus intéressant dans le cas présent ce n'était pas son rang social, mais sa beauté, et aussi sa perversité.
Alice, malgré ses apparences, n'était en rien une princesse chaste, ce qui surprenait Melendil, mais pas dans le mauvais sens du terme. L'elfe n'était pas quelqu'un à juger les gens quand à leur vie sexuelle, chacun faisait bien ce qu'il voulait, et puis en l'occurence, tomber sur une belle femme avec un esprit aussi...ouvert, ce n'était pas pour lui déplaire.
Il s'unissaient à présent, Melendil avait pénétré Alice après l'avoir fait un peu patienter. Cela pouvait sembler cruel que de jouer ainsi avec les désirs d'une femme, mais ce n'était que pour faire monter la pression pour mieux la satisfaire par la suite. Melendil ne parlait pas, mais oui, il avait bien l'intention de la baiser fort comme elle le souhaitait.

Collé contre le corps de la princesse, Melendil ondulait lui pour faire aller et venir son sexe dans l'intimité chaude et humide de sa partenaire. Lui était intégralement dénudé, elle pas tout à fait. La majeure partie de son joli corps l'était, mais Alice portait encore des gants et des collants blancs, faits dans un tissu fin et doux, ce qui avait don de l'exciter d'avantage. Melendil aimait bien ce qui lui restait de vêtements, expliquer pourquoi était impossible, dans son état tout ce qu'il pouvait formuler comme pensée rationnelle, c'était que cet accoutrement bien que simpliste la rendait extrèmement sexy.
Le lit se mettait à grincer, le matelas sur lequel les deux amants se trouvaient remuait, bondissait, alors que Melendil accentuait tout naturellement le rythme de ses va et viens. Sa verge n'avait aucun mal à se frayer un chemin dans les parois internes de la princesse, qui ne simulait pas son plaisir. La moitié de sang humain qui coulait dans ses veines, avait au moins eu l'avantage de lui conférer une masculinité avec laquelle il se sentait confortable, mais Alice de son côté n'était pas pour rien dans l'ardeur qu'il mettait à lui faire l'amour. Se redressant en prenant appui sur ses bras, Melendil pouvait ainsi se laisser aller à des pénétrations plus intenses, mais aussi voir le visage d'Alice, qui appréciait ce qu'il lui faisait. La voir aimer ça était en soit une récompense, puis son regard fut vite capté par ses seins, opulents, qui se balançaient.
Il ne résista pas, et plongea son visage vers l'un de ses seins, et en goba le téton entre ses lèvres pour le sucer, et le coincer entre ses dents. Sa respiration, rapide, provenait du mélange de désir et d'effort physique qu'il devait fournir en ce moment. Ces seins, il en était amoureux, et peut-être même en était-il de même pour le reste aussi. Dire que cette princesse le laissait de marbre aurait été un honteux mensonge, mais il n'y avait pas que son corps qui lui plaisait, son âme aussi, Alice s'était montrée compréhensive, bienveillante, tout le contraire de beaucoup de nobles. Alice semblait quelqu'un de juste, et c'était aussi pour ça qu'il allait mettre un point d'honneur à la satisfaire, au contraire d'une gosse de riche capricieuse, elle méritait ça.

Melendil passa un long moment au niveau de la poitrine d'Alice, mais il fini par remonter à hauteur de son cou, embrassant sa peau à cet endroit tandis que son corps s'allongeait donc de nouveau sur celui de la princesse. Il avait accéléré progressivement ses va et viens pendant ce temps, et maintenant c'en était au stade où Alice s'enfonçait dans le matelas à chaque coup de rein qu'il donnait. Il aurait pu se montrer bien plus tendre, c'était d'ailleurs comme ça qu'il faisait la plupart du temps, mais Alice avait fait le voeu d'être prise de façon moins subtile, et ça aussi il pouvait le faire.

Alors majesté...mes compétences vous...conviennent-t-elles ?

Il souriait en rammenant son visage à sa hauteur, ses mains se posèrent de part et d'autres de son visage, et il caressa ses douces lèvres avec ses pouces.


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