Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Une camarade un peu particulière [Erotica]

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Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Une camarade un peu particulière [Erotica]

mercredi 19 décembre 2012, 10:37:58

Confortablement assise sur un banc dans l’une des nombreuses cours du lycée, Alice profitait de la fin de journée pour continuer la lecture d’un livre qu’elle avait acheté à une librairie. Un livre assez volumineux, puisqu’il faisait plus de mille pages, mais qu’un camarade lui avait fortement recommandé, ainsi que toute une autre série de livres, quand elle avait confessé adorer l’Histoire. Au Japon, elle pouvait très facilement se renseigner sur l’Histoire de ce continent, ou sur n’importe quelle civilisation, mais elle trouvait les manuels un peu rébarbatifs, un peu trop... Ennuyeux. Elle avait donc été à l’une des grandes librairies de Seikusu, et avait acheté une série de livres, utilisant l’argent fourni par celle qui se chargeait de l’héberger dans ce monde qu’elle fréquentait de plus en plus, Mélinda. Elle avait ainsi acheté un livre de Ken Follett, Les Piliers de la Terre, et se plongeait avec passion dans la construction difficile d’une cathédrale à Kingsbridge, dans l’Anlgterre du 12ème siècle, à l’époque de l’anarchie anglaise. Ce livre la passionnait à vrai dire tellement qu’elle en arrivait presque à le feuilleter lors d’un cours rébarbatif, malmenant ainsi son image de fille studieuse. Elle l’aimait tellement qu’elle avait aussi été jusqu’à embrasser le camarade le lui ayant recommandé, faisant rougir ce dernier comme une grosse tomate.

Maintenant, Alice lisait sur un banc, entre plusieurs bâtiments. Elle avait fini ses cours, mais avait préféré lire dehors, sur un banc. Elle se sentait mieux que dans une bibliothèque. Étant après tout une Sylvandine, elle préférait les grands espaces à être cloîtrée dans une pièce. L’air était bon, un léger vent faisant virevolter ses cheveux, et elle lisait. Quelques lycéens qui passaient par là avaient bien du mal à la faire sortir de son livre, et s’éloignaient donc. C’était aussi la fin de journée, et, à cette heure, on avait généralement plutôt tendance à se dépêcher de sortir du lycée, plutôt qu’à y rester. Alice préférait lire, car, même si elle aimait le manoir de Mélinda, ce n’était pas un lieu très propice à une lecture saine. Et, de toute façon, en sortant de son cours, la Princesse n’avait pas eu la patience d’attendre de rentrer au manoir. Il lui aurait fallu prendre le métro, puis le bus, et marcher un peu. Et lire dans le métro, bondé à cette heure, était impossible pour elle, une provinciale. La Princesse dévorait donc les pages, assise sur son banc. Les légères bourrasques faisaient remuer la petite jupe de son sailor fuku, révélant ses belles jambes à celui ou celle qui aurait l’œil suffisamment attentif pour le voir.

Erotica

Dieu

Re : Une camarade un peu particulière [Erotica]

Réponse 1 mercredi 19 décembre 2012, 11:45:31

S'il y avait bien un endroit chez les mortels que la jeune déesse aimait fréquenter, c'était bien le lycée. Premièrement, le lieu était suffisamment bien connu pour les moment chaud que ses élèves et enseignants pouvaient passer en intimité. Secundo, sa tante en était la directrice et tertio, Erotica avait entendu parlée d'un club secret dont les membres étaient passionnées par la luxure. D'un coté, la fille de Lust – et nièce d'Aphrodite – aimerais passer du temps avec elles, mais elle voulait prouver ainsi à sa mère qu'Aphrodite... penchait de plus en plus vers le sexe plutôt que l'amour. Venant de cette déesse, créer un club sexuel, dans un lycée aux mœurs légères, relevait pratiquement du plagiat. Lust serait plus apte à en être la directrice, vu que la Luxure était d'avantage du domaine de Lust, que celui d'Aphrodite. Il y'avait une certaine injustice envers sa mère... Du point de vue d'Erotica, Aphrodite avait en effet rejetée sa sœur avec dégout, pour finalement agir comme elle.

Mais pour pouvoir intégrer ce club des plus agréable, il fallait déjà se faire remarquer par les membres. Et justement, ce faire remarquer était la base de son caractère, surtout dans un domaine aussi amusant. Il lui fallait donc trouver un endroit fréquenter, mais pas trop. Un endroit de passage où les élève allait d'un point A à un point B, et ou elle-même serait la ligne d'interception. Pourquoi se mettait-elle à penser comme un cours de géométrie ? L'environnement scolaire sans doute... Mais elle dénicha finalement le lieu idéal, derrière le bâtiment principale. Un chemin pavé qui permettait de rejoindre les dortoirs depuis le terrain de gym, avec quelques banc. Pour le moment, seule une belle blonde était présente, assise sur un banc et lisant un épais volume. Elle pourrait paraître studieuse, mais Erotica voyais en elle une jeune femme perverse, qui aimait passer de long moment de luxure avec sa femme. Intéressant...

Comme elle ne semblait pas l'avoir encore remarquée, la déesse alla s'installer sur un banc, écarta ses jambes en les repliant contre elle, et débuta une lente et sensuelle masturbation, faisant des vas et viens dans son vagin humide, avec de doux bruits et de faibles gémissements, sans la regarder particulièrement. Elle ressemblait à une jeune fille complètement dans sa bulle et ne faisant pas attention à ce qui l'entourait, mais sachant que l'élève ne partirait pas malgré la scène. Il y avait peut être même quelques chances que d'autres élèves ne viennent et ne finissent par la reluquer. D'autant plus que son uniforme était très sexy.

- Huuuummm... Haa—Haannn... Haaaan...

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : Une camarade un peu particulière [Erotica]

Réponse 2 mercredi 19 décembre 2012, 12:41:30

Absorbée, elle dévorait les pages, les avalant. Elle succombait aux intrigues politiques, aux machinations permanentes de ce livre, à l’abnégation des uns, à la folie des autres. La Princesse avait toujours aimé lire. C’était sûrement une qualité héritée de sa mère, car son père était à peu près autant porté sur la lecture qu’un ours pouvait être tenté par la broderie. Elle adorait les romans de ce genre : bien écrits, avec une intrigue riche, et un sens du détail méticuleux. Il y avait même une touchante histoire d’amour, qui ne pouvait que ravir le petit cœur sentimental de la Princesse. Elle se laissait bercer par les pages, s’enfermant dans une espèce de bulle, et elle mit assez longtemps à en sortir. Ce ne fut pas les minutes qui s’écoulèrent qui finirent par l’arracher de son activité, mais des espèces de curieux gémissements, à proximité d’elle. Alors qu’elle continuait à lire, elle les entendait, à quelques mètres, et releva la tête. On aurait dit... Une femme. Mais les gémissements qu’elle poussait... Alice les reconnaissait. Elle tourna la tête à gauche et à droite, le doigt glissé dans le livre, retenant la page sur laquelle elle s’était arrêtée... Et elle rougit en voyant, sur un proche banc, un spectacle assez cocasse, pour ne pas dire franchement impudique.

Une superbe rousse ayant oublié la moitié de son uniforme scolaire était en train de se toucher. Elle avait visiblement aussi oublié ses sous-vêtements, et son chemisier était remonté le long de ses seins, découvrant la moitié de son ventre. Alice en fut tellement surprise qu’elle cligna des yeux à plusieurs reprises, ses joues prenant une teinte cramoisie. Elle regarda autour d’elle. Personne. Il n’y avait qu’elles, pour le moment, mais, dans un lycée, on n’était jamais vraiment seuls. Elle se mordilla les lèvres. Cette Rousse était plutôt belle, mais ce qu’elle faisait... Certes, on était à Mishima, un lycée réputé pour ses frasques sexuelles, mais tout de même... Comment pouvait-elle lire, alors qu’une femme à moitié à poil se touchait devant elle ? Alice en rougit à nouveau, et attrapa son marque-pages, puis reposa le livre sur le banc. Le barouf de cette fille la gênait particulièrement, d’autant plus qu’elle avait l’air plongé dans son monde. Alice pouvait la voir mouiller, et elle se rapprocha rapidement, de préférence avant qu’un surveillant, ou d’autres lycéens, n’arrive. La Princesse aurait tout aussi bien pu s’éloigner, mais, dans l’immédiat, elle préférait dire à cette femme d’arrêter son cirque. Elle restait une Princesse, après tout, et une Princesse ne partait pas.

Elle se rapprocha ainsi assez rapidement de la lycéenne rousse, et attrapa autoritairement le poignet de la main qu’elle utilisait pour se toucher, avant de parler d’une voix assez autoritaire, sur un ton ferme :

« Pour ce genre de choses, ma belle, il y a les toilettes, ou ta chambre. Si les surveillants te voient ainsi, tu peux être renvoyée du lycée ! »

C’était, en tout cas, ce que le règlement intérieur prévoyait. Pour le reste, Alice avait réalisé que les dispositions du règlement étaient surtout symboliques, et rarement appliquées. Alice croisa les bras sur sa poitrine.

« Et où est-ce que tu as mis tes vêtements ? » s’étonna-t-elle.

La jeunesse de ce monde avait vraiment des spécimens dépravés... Alice ne savait quoi en penser. Faire ça aux yeux de tout le monde... Il fallait être cinglée !

Erotica

Dieu

Re : Une camarade un peu particulière [Erotica]

Réponse 3 mercredi 19 décembre 2012, 14:12:55

Décidément, Erotica adorait prendre son pied dans des lieux publique, qu'elle soit pratiquement ou complètement nue. Le plaisir augmentait crescendo et le risque que quelqu'un d'autre la surprenne l'excitait d'avantage encore. Elle était sur le point d'atteindre un merveilleux orgasme, lorsqu'on lui agrippa la main pour l'empêcher de continuer. Frustrée qu'on l'interrompe ainsi, la jeune déesse rouvrit les yeux... pour contempler la lycéenne blonde visiblement en colère, décrochant à Erotica un sourire. Comme elle l'avait prévue, elle n'avait pas fuit en l'apercevant. Mais de là à l'approcher d'aussi près, elle ne pensait qu'elle irait jusque là. La fille de Lust avait même prévue l'inviter mais apparemment, ça ne sera pas nécessaire.

- Pour ce genre de choses, ma belle, il y a les toilettes, ou ta chambre. Si les surveillants te voient ainsi, tu peux être renvoyée du lycée !

Ma belle ? Erotica était donc à son gout ? Décidément, elle allait s'amuser ce soir.

- Hum... Il y a peu de chance ma jolie... D'une part, les pions sont trop occupé au réfectoire et d'autre part, la directrice n'est autre que ma tante. Et puis, le jours où les surveillants arrêteront de mater les lycéennes n'est pas pour tout de suite...

Comme la blonde l'avait agrippée, celle-ci devait sentir sa libido et son désir envers la jeune déesse augmenter relativement vite, d'autant plus que sa tenue actuelle ne devait pas aider. Avec son autre main, elle continua son petit jeu, bien décidée à jouir devant elle... et peut être même sur son corps ? Après tout, son petit jus intime était assez aphrodisiaque.

- Et où est-ce que tu as mis tes vêtements ?

- Mais voyons, je suis habillée... Et de ce que je vois, je ne te laisse pas tout à fait indifférente, n'est-ce pas ?


Si elle pensait que son haut était remonté, elle se trompais lourdement. Il était en réalité très court, le bas de celui-ci étant à peine en dessous de sa poitrine. Sa jupe quant à elle, était tellement courte que, en position debout, elle s'arrêtait tout juste en dessous des fesses. Ce qui permettait de tout voir lorsqu'elle se penchait ou écartait ses jambes, pour le plus grand plaisir des mâles de ce lycée. Lorsque la libido de la jeune fille fut suffisamment élevée, celle-ci lui lâcha la main. Mais plutôt que de se tripoter les tétons, Erotica lui caressa doucement son visage cramoisi.

- Je sais que je te fait envie ma mignonne... Là, régale toi de ce spectacle et ne t'en fait pas pour de possibles passants...

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : Une camarade un peu particulière [Erotica]

Réponse 4 jeudi 20 décembre 2012, 23:04:55

« Mais voyons, je suis habillée... Et de ce que je vois, je ne te laisse pas tout à fait indifférente, n'est-ce pas ? »

L’intéressée se mit à rougir, sentant en effet quelque chose remonter en elle. C’était... C’était troublant, car c’était particulièrement inattendu. Elle se mit à froncer les sourcils, sans savoir quoi faire, se mordillant les lèvres, regardant avec un peu plus d’appétit cette petite effrontée. Elle utilisait son autre main pour se toucher, et Alice sentait sa détermination vaciller, en même temps qu’une envie croissante de faire l’amour à cette femme. Si Mélinda était là, elle aurait probablement affirmé à Alice que son délicieux sang dragonique était en train de s’exciter entre ses veines. Alice ne comprenait pas ce qui lui arrivait, elle n’en comprenait pas les raisons, mais savait ce qu’elle ressentait. Le regard qu’elle portait à cette femme était bien plus tendre, bien moins sévère... Mais elle restait encore nerveuse à l’idée que quelqu’un puisse les observer. Faire l’amour en public... Elle n’avait fait ça qu’une fois, avec Cécile la succube, l’une des copines de Mélinda, mais cette dernière avait figé le temps, ce qui leur avait permis de faire l’amour sans être réellement observée. Ici, la situation était différente.

Que cette fille soit la nièce de la directrice ou pas était bien indifférent aux yeux d’Alice. En revanche, son corps... Sa plastique, son corps fin, sa longue chevelure, et cette air d’insolente sur le regard... Elle rougit encore plus, et sentit l’une des douces et chaudes mains de la femme se poser sur sa joue. Elle rougit encore plus, se contorsionnant sur place, et attrapa doucement avec l’une de ses mains celle de la femme. Elle ignorait complètement avoir affaire à une Déesse, et lui pressa lentement les doigts, avant de sentir le pouce de cette dernière glisser sur ses lèvres. Elle vint tendrement écarter les lèvres, pour le suçoter, gémissant faiblement.

« Je sais que je te fait envie ma mignonne... Là, régale toi de ce spectacle et ne t'en fait pas pour de possibles passants... »

La voix de cette femme était délicieusement enivrante, obsédant ses pensées, et elle obtempéra silencieusement. Elle avait une voix mielleuse, magnifique, qui l’envoûtait, et gémit faiblement, la regardant se caresser, se toucher. Cette femme était magnifique, et elle avait du mal à se retenir. Alice lui mordilla le pouce, la voyant se caresser, sa mouille glissant entre ses cuisses pour mouiller le banc. Elle ferma les yeux, gémissant à nouveau, et, sans crier gare, attrapa alors la seconde main de la femme par le poignet.

« Arrête... s’exclama la Princesse. Laisse-moi le faire... » rajouta-t-elle sur un ton plus doux.

Joignant le geste à la parole, Alice fléchit les genoux, les posant sur le sol sablé, et approcha sa bouche de l’intimité de la femme, fourrant sa langue dans son intimité, se plaquant contre elle, et la lécha. Elle n’eut aucune difficulté à rencontrer son clitoris, le léchant avidement, l’une de ses mains se glissant sous sa propre jupe pour caresser sa culotte. Son intimité la démangeait, comme si un feu était en train de brûler à l’intérieur. En enfonçant son doigt, elle eut une espèce de hoquet, clignant des yeux, puis continua à lécher, avant d’enfoncer un doigt dans la fente intime de cette femme sensuelle. Elle était presque persuadée d’avoir affaire à une sorcière qui l’aurait ensorcelé sans qu’elle ne le réalise. Comment expliquer autrement qu’elle ait autant envie de lui faire l’amour, alors qu’elle ne la connaissait même pas ? Il devait forcément y avoir quelque chose de paranormal là-dessous.

Erotica

Dieu

Re : Une camarade un peu particulière [Erotica]

Réponse 5 mardi 08 janvier 2013, 10:42:38

C'était la seconde fois que cette fille l'empêchais de jouir en seulement dix minutes. Avait-elle si peur que ça de le faire en public ? Mais c'est en voyant son visage rouge d'excitation que la déesse compris. Et dire que pendant un moment, elle avait crut que cette humaine allait rester sur ses positions, vis-à-vis de la situation. La lycéenne se mit donc à genoux, avant de pénétrer sa langue directement en elle et avec avidité, comme une affamée en manque depuis des jours, ce qui surpris un peu Erotica. Habituellement, son pouvoir incitait les gens à se décoincer... graduellement. Hors, celle-ci lui avait pratiquement sautée dessus. Fermant les yeux, elle se cambra légèrement vers l'arrière, pour apprécier d'avantage encore les caresses buccales.

- Haaaan Ouuuiiiii.... Tu es si douée.... Hmmm... C'est à ce demander qui t'as appris à lécher ainsi... Haaaaaa...

L'une de ses mains vint se perdre dans la chevelure d'or de cette fille, l'autre malaxant doucement son sein droit. Le cuni dura ainsi de longues minutes, avant qu'Erotica n'atteigne enfin l'orgasme tant attendu, envoyant de longs jets de jus intime dans la bouche et sur le visage de la belle. Jus intime fortement aphrodisiaque au passage. La déesse fini de se déshabiller complétement, se retrouvant nue au beau milieu de l'allée.

- Je suis certaine que tu veux jouir toi aussi... Et comme tu as l'air d'apprécier mon intimité... Attend...

Elle retira l'uniforme de la lycéenne, agrémenté de moult caresses sur son beau corps, de coups de langues bien placés sur ses tétons dressés, ses seins rond et moelleux, sa douce peau et son tendre fessier. Mère déesse, cette femme était délicieuse. Elle ferait une bonne prêtresse, si elle se libérait totalement de ses inhibitions. Pourtant, Erotica pouvait voir au fond d'elle un esprit pervers et appréciant le sexe plus que de raison. La fille de Lust fini par se mettre en 69, la belle blonde étant au dessus, afin de lui rendre la pareille.

- Au fait... Comment se nomme la belle créature que je vais faire jouir ?

Avant même qu'elle ne lui réponde, Erotica fit glisser sa langue sur les lèvres intimes de la belle, caressant doucement la chair rose et déjà fort humide avec celle-ci. Une délicieuse odeur en sortait et l'intimité de la lycéenne semblait palpiter, impatiente d'être explorée. Ses mains se posèrent sur les fesses de la blonde et caressèrent sensuellement ces dernières.

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : Une camarade un peu particulière [Erotica]

Réponse 6 jeudi 10 janvier 2013, 17:46:50

« Haaaan Ouuuiiiii.... Tu es si douée.... Hmmm... C'est à ce demander qui t'as appris à lécher ainsi... Haaaaaa... »

Personne, à part elle-même, et les nombreuses fois où elle avait fait ça... Surtout avec sa femme. S’il y avait bien une responsable, c’était sa petite Sakura. L’un des héritages de son existence d’esclave sexuelle sous Hiro Atayoshi avait été de renforcer sensiblement la libido de sa femme, qui avait pu pleinement s’exprimer avec la Princesse. Cette dernière était donc assez habile avec sa langue, et, de plus, elle sentait une violente excitation, complètement inattendue, monter en elle furieusement. Un feu la dévorait entre ses cuisses, et elle se touchait volontiers, se doigtant, tandis que la mystérieuse femme aux longs cheveux plaquait sa tête entre ses cuisses.

« Hunnn-hunnnnnnnnnn... » gémissait la Princesse.

Elle sentit la main de la femme se poser sur ses cheveux, la caressant tendrement. Alice frémissait de plaisir, frissonnant, et remuait sur place, terriblement excitée. Cette femme avait une peau incroyablement aussi douce, aussi tendre et chaleureuse que pouvait l’être la peau divine de Sakura. Alice frottait avec plaisir ses joues contre ses cuisses, remuant lentement la tête, yeux clos. Son nez glissait sur le bassin de la femme. Elle n’avait aucun poil intime, tout était parfaitement rasé, ce qui était assez impressionnant. Elle respirait difficilement, son nez étant partiellement bloqué, mais se devait de ne pas retirer sa langue. C’était si bon, si inattendu... Elle adorait entendre cette énigmatique femme gémir, et, alors que la lycéenne se mit à jouir, Alice se rappela qu’elle ignorait totalement son nom.

La femme jouit avec puissance, crachant de longs jets de semence qui filèrent dans la gorge d’Alice, mais aussi sur ses joues et ses lèvres. Elle cligna des yeux, surprise, et sentit la lycéenne la relâcher. Sa cyprine avait un goût bizarre, très chaud, ce qui acheva de la convaincre que cette fille était tout, sauf une simple lycéenne. Alice entreprit de lentement se relever, essuyant la mouille sur ses joues, tandis que la lycéenne vint tout simplement se déshabiller. La Princesse vit son dos, avec son magnifique fessier, son corps parfait, et rougit, autant de désir que de honte, avant que la femme ne revienne vers elle. Alice frissonna, et ne résista pas, sentant cette dernière la déshabiller.

« Je suis certaine que tu veux jouir toi aussi... Et comme tu as l'air d'apprécier mon intimité... Attend...
 -  Hum... » gémit Alice.

Elle ne dit rien, sentant la femme s’asseoir sur elle, et lentement la déshabiller, à califourchon sur son corps. Ce qu’elle était belle ! Alice la sentait caresser son corps, et elle répondait en pressant les belles fesses de la femme. Elle les remuait lentement, avant que cette dernière ne s’écarte pour continuer à la déshabiller. La belle femme agissait vite, électrisant Alice, et la déshabilla totalement. Les joues d’Alice étaient cramoisies, et elle serra les cuisses, mais sentit en même temps l’excitation remonter. La femme prit ensuite Alice par la main, et l’écarta un tout petit peu du chemin, afin de s’allonger sur la pelouse. Alice la vit écarter les jambes, la regardant de manière insistante, avec ses si beaux yeux. La Princesse rougit en se mordillant les lèvres, et regarda le sentier. Personne... Mais on pouvait très aisément l’observer depuis le bâtiment en face, même si on était à la fin de la soirée.

La Princesse se mit à s’allonger sur l’herbe, ses mains sur les cuisses de la jeune femme. Son désir était effectivement brûlant, et son propre bassin s’approcha de la lèvre de la femme.

« Au fait... Comment se nomme la belle créature que je vais faire jouir ? »

Alice rougit, se mordillant les lèvres, son nez glissant entre les lèvres intimes de la jeune femme. Elle embrassa peau, et lui répondit rapidement :

« Alice... Et toi ? Je réalise que je ne sais rien de toi... Et je me doute bien que tu ne dois pas être une lycéenne normale... »

Elle posa alors ses mains sous le corps de la femme, s’appuyant sur ses fesses, et retourna la lécher, tout en mouillant sur le visage de la femme aux longs cheveux rouges.

Erotica

Dieu

Re : Une camarade un peu particulière [Erotica]

Réponse 7 jeudi 24 janvier 2013, 15:47:00

- Alice... Et toi ? Je réalise que je ne sais rien de toi... Et je me doute bien que tu ne dois pas être une lycéenne normale...

Erotica mis un moment avant de pouvoir lui répondre, soupirant d'aise sous les coups de langue habiles de la belle Alice. L'excitation la faisait remuer lentement des hanches sur son visage, tandis qu'elle-même suçotait avidement la petite boule d'amour de la blonde, léchant ses lèvres intimes fort appétissante, lubrifiant deux de ses doigts dans sa fente, avant de les promener dans les environs de son anus, les pénétrants tendrement et pétrissant sa fesse gauche. La rousse plongea sa langue au plus profond de son vagin et ses gémissements redoublèrent d'intensité, appréciant la texture et le gout de l'intimité d'Alice. Celle-ci mouillait abondement, une vraie petite fontaine. Il était étonnants que leurs bruits érotiques n'aient pas encore attirés qui que ce soit. Au bout de plusieurs minutes de supplice, Erotica jouis de nouveau sur le beau visage d'Alice, plantant ses doigts au fond de son fondement.

- Haaaaaaaaaaaaaann.....

En récompense, elle eu également droits aux fluides intimes de la lycéenne, un petit jet qui fut projeté en l'air et attrapé en vol par la déesse. Son jus était délicieux. Reprenant son souffle, elle changea de position pour se retrouver en face d'elle, leur lèvres intimes sur l'une des cuisse de l'autre, en ciseau. Erotica se pencha sur Alice pour l'embrasser langoureusement, partageant ses fluides avec elle, avant de se redresser.

- Humm... Tu es perspicace... Je te dirais ce que je suis à la fin de nos ébats... Mais tu peux m'appeler... Erotica...

La déesse lui caressa tendrement le visage, et se pencha vers ses seins, prenant un de ses tétons en bouche pour le suçoter, son autre main roulant son voisin entre deux doigts. Plus bas, son intimité se frotta de plus en plus à la cuisse d'Alice, alors que celle de la blonde en faisait de même sur la sienne.

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : Une camarade un peu particulière [Erotica]

Réponse 8 vendredi 25 janvier 2013, 15:35:12

La mystérieuse femme, qui devait être tout, sauf une lycéenne, ne lui répondit pas sur le coup. Le désir violent que la Princesse ressentait était curieux, troublant. Elle avait été empoisonnée, probablement en la touchant. Oui, cette fille était sûrement une magicienne, experte de la magie rose. En la touchant, la Princesse avait été attaquée par ce sort qui avait joué sur ses hormones. Elle semblait très douée, car Alice en oubliait tout sens des convenances, léchant l’intimité de cette femme, aux yeux et au su de tous. Elle était devenue une espèce de catin, et sentit les doigts de la femme, qui ne lui avait toujours pas divulgué son nom, s’enfoncer dans son anus, glissant entre ses fesses. Elle poussa un long gémissement, et continua à la sucer, utilisant surtout sa langue. Elle aimait surtout ça, bien plus que se servir de ses doigts, qui s’appuyaient sur les fesses de la femme. Elle était belle, très belle même, et avait une peau chaude et magnifique. Sa langue s’acharnait sur son clitoris, et elle entendait cette dernière gémir, tout en mouillant. Alice buvait sa mouille, et finit par avoir un orgasme, peu après celui de la femme. Elle se retrouva avec de la cyprine sur le temps, et la femme vint ensuite s’allonger sur elle, l’embrassant avec passion. Alice lui répondit, posant une main sur les fesses de la femme, les pressant, tout en lui grattant le dos avec envie. Elle était d’une telle beauté... Oh oui, la Princesse était sous le charme, tout simplement ! Le baiser se prolongea pendant un certain temps, avant que la femme ne retire ses lèvres, pour pouvoir enfin se présenter :

« Humm... Tu es perspicace... Je te dirais ce que je suis à la fin de nos ébats... Mais tu peux m'appeler... Erotica... »

Ce qu’elle était... Ainsi donc, la Princesse avait raison.

« D’a... Haaan ! »

Elle poussa un petit cri en sentant la bouche d’Erotica (un nom très curieux !) se poser sur son sein. Était-ce son vrai nom ? C’était peu probable, car c’était un nom atypique, qui ressemblait plutôt à un surnom. Était-ce une espèce de strip-teaseuse ? C’était possible... En tout cas, Alice lui faisait l’amour en étant nue, au milieu de la cour, et n’en pouvait plus, toujours aussi excitée. Elle devenait vulgaire, ayant du mal à se contrôler.

« Hum... Oh, je suis si chaude, haaa... Mes seins me font mal. Suce-les, E... Erotica, ou quel que soit ton nom... Suce-les bien, ma belle ! »

La Princesse ne pouvait rien dire de plus. Elle tenait les cheveux d’Erotica à hauteur de la nuque avec l’une de ses mains, tout en glissant l’un de ses doigts dans le fondement de la femme, le remuant. Erotica... C’était vraiment un surnom bizarre. Il fallait très cliché, mais il lui allait plutôt bien.

Erotica

Dieu

Re : Une camarade un peu particulière [Erotica]

Réponse 9 lundi 04 février 2013, 15:36:10

- Hum... Oh, je suis si chaude, haaa... Mes seins me font mal. Suce-les, E... Erotica, ou quel que soit ton nom... Suce-les bien, ma belle !

Ça, la déesse sexuelle ne se faisait pas prier pour prendre en bouche les tendres seins de la jeune fille, les suçant et les mordillant avidement. Toujours en position de ciseaux, leurs intimités de frottaient toujours plus, inondant la pelouse de leurs mouilles. Oui, cette humaine avait une poitrine de rêve, elle pouvait en être fière...

Malgré tout, les deux filles se faisaient intensivement l'amour dans un lieu publique, à la vue du premier passant venu. Mais d'une part, Erotica aimait se montrer nue devant autrui et y prenait énormément de plaisir, à être ainsi matée et, d'autre part, Alice était dans un tel état qu'elle ne montrera probablement aucune honte. Ou si peu que celle-ci serra vite balayée. Et c'est tant mieux, car un groupe de lycéens se rapprochaient dangereusement de leur petit coin d'amour, même si ils ne remarquèrent pas tout de suite ce qu'il se passait à seulement quelques mètres d'eux.

- ... et là, je me suis retrouvé dans une ville genre iRobot avec que des meufs dans les rues et des combi ultra sex comme Métroid. Elle m'ont poursuivit comme si j'était un criminel, jusqu'à ce que...

- Tu tombes de ton lit en sueur
, explosa de rire l'un des mecs.

- Naaaan ! Je me suis retrouvé en plein milieu de centre commercial !

- Ah parce que tu dors en marchant toi ? T'es pas un peu Narcoleptique sur les bords des fois ?

- Haaaaaaaa.... Haaaaaaaa... Haaaaaaaaaaaaaaaaa ♥ ♥ ♥

- Heu... Les mecs ? Vous entendez pas un drôle de truc là ?

- Si...


Et c'est exactement au moment où le groupe arriva au niveau des deux "lycéennes", que celles-ci jouirent à l'unisson, expulsant de grandes quantités de cyprine au sol, juste aux pieds des lycéens...

- Bah la vache... Je pensais pas tomber sur ça un jour...

Si Alice était connue comme étant une lycéenne assidue en cours, Erotica elle, l'était justement pour souvent s'envoyer en l'air un peu partout dans l'établissement ou en dehors. Instinctivement, ils sortirent tout les trois leurs portables pour filmer la scène torride sous leurs yeux ou prendre des photos.

Dans l'hypothèse où Alice aurait légèrement paniquée, Erotica la rasurra un peu – bien qu'en écartant ses jambes pour montrer sa belle chatte humide aux objectifs – el lui murmurants de douces paroles au creux de l'oreille.

- Ne t'en fait pas ma belle... Il vont seulement se contenter de t'observer jouir... Prend ton pied et imagine comme il peut être frustrant pour eux de ne pas pouvoir en profiter plus...

Après tout, il y avait une part de domination dans l'exhibitionnisme. Dans un sens, l'observateur était souvent frustré de ne pas pouvoir profiter pleinement du corps nu devant lui, réduit à devoir se masturber ou filmer. Les femmes pratiquant cette activité s'amusaient souvent à frustrer les voyeurs, jouant avec leurs corps... Au début, la déesse se contentait de guider sa jeune élève, lui caressant l'intimité et les seins avec ses propres mains. Mais vu l'excitation de la blonde, il était évidant que celle-ci n'allait pas tarder à agir de sa propre initiative.

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : Une camarade un peu particulière [Erotica]

Réponse 10 mercredi 06 février 2013, 22:11:25

Sous le corps de cette femme, Alice ne se reconnaissait plus. Certes, la Princesse n’était pas de ces femmes qu’on trouvait dans les contes de fée, ces jeunes femmes candides, innocentes, et stupides, qu’on caricaturait parfois en arrogante petites femmes. Elle connaissait le sexe, et l’appréciait beaucoup, au point de pouvoir elle-même se considérer comme une perverse, mais elle restait quand même attachée à une certaine image de marque du pouvoir. Quand on était destinée à devenir une souveraine, il fallait être un exemple, un idéal.  Faire l’amour en public était autant un luxe pernicieux qu’une sorte de crime de lèse-majesté, une manière de déshonorer la fonction royale, de caricaturer le message et le rôle des dirigeants. Dans une monarchie, le pouvoir reposait essentiellement sur le charisme du dirigeant. On n’était pas dans une démocratie, où on changeait de dirigeant comme de chemises, mais dans un système où on avait le dirigeant à vie, sauf circonstances exceptionnelles. La Princesse se devait donc d’être irréprochable. Et voilà qu’elle était en train de lécher l’intimité d’une fille en plein air, le cul à l’air, sur une pelouse. Elle était affreusement gênée, mais bien trop excitée pour repousser cette pulsion. On l’avait ensorcelé, elle le savait. Un sortilège à base de magie rose, et, dans son état, elle était trop excitée pour utiliser le talisman magique dont elle disposait, cette petite croix dragonique qui libérait des impulsions permettant de bloquer les effets magiques, afin de la protéger. En l’état, elle ne pouvait rien faire d’autre que subir, et se laisser aller, mouillant, jusqu’à enfin, probablement sous l’effet d’une quelconque générosité divine, se soulager. Elle eut un orgasme, et en aurait presque pleuré, car, ce faisant, son désir fut satisfait, et, partant de là, l’insatisfaction résultant de la frustration à l’idée d’un désir inassouvi disparaissait de concert.

Les Dieux ont malheureusement parfois un sens de l’humour assez ambivalent. Revenant de son orgasme, Alice réalisa alors, alors qu’Erotica s’écartait, qu’il y avait, devant elles, des lycéens ! Un frisson d’horreur parcourut le corps de la Princesse, alors qu’Erotica se mettait à se dandiner devant elle, leur offrant, de la manière la plus indécente possible, la vue de son sexe, de son corps.

« Ne t'en fait pas ma belle... glissa la jeune femme dans le creux de son oreille. Ils vont seulement se contenter de t'observer jouir... Prend ton pied et imagine comme il peut être frustrant pour eux de ne pas pouvoir en profiter plus... »

Hein ? Est-ce qu’elle se voulait drôle ?! Alice ne dit rien, toujours aussi rouge, et vit l’un des portables se tourner vers elle, la filmant comme une vulgaire prostituée.

*C’est pas vrai ! Mais qu’est-ce que je fous là ?*

L’homme souriait, ayant probablement une érection.

« Ouais, la vache, mate ce boule... Je vise au moins le million de vues sur YouTube dans la journée. »

A cette idée, Alice fronça les sourcils, et réagit rapidement. Elle se retourna.

« Arrêtez ça ! s’exclamait-elle d’une voix déformée par la peur.
 -  On ne fait rien de mal, on se contente juste d’observer.
 -  Ouais, ce qu’elle est bandante, cette nana... Putain, cette salope ! »

Alice attrapa ses affaires, à proximité, et fouilla dans son sac, allant chercher son collier, et parvint à el trouver, entre deux cahiers. Elle le retira, et l’enfila autour de son cou. Lorsque la croix, en forme de dragon, heurta sa peau, près de ses seins, elle se mit à légèrement briller, et Alice, en fermant les yeux, se sentit mieux. Le talisman se mettait à opérer. Il ne fonctionnait qu’avec elle, car la croix comprenait une goutte de son sang. Elle se releva, ses vêtements cachant une partie de son corps. Sa gêne laissait place à la fureur, son sang battant dans ses veines.

« Hey, fais pas ta timide, ma chérie ! »

La Princesse se rapprocha de lui, laissa tomber ses vêtements, et lui attrapa son portable. Surpris, l’homme cligna des yeux.

« Hey, rends-le moi ! »

Il s’avança pour le récupérer, mais Alice fut plus rapide, et envoya de toutes ses forces son genou se loger entre les jambes de l’homme. Il poussa un petit couinement, et elle le poussa ensuite sur le sol, puis hésita, maintenant le portable. Finalement, elle se contenta de retirer le boîtier, puis attrapa la carte SIM, puis jeta le portable sur le sol, avant de balancer la carte SIM dans les feuillages. Elle se retourna ensuite vers les deux autres. La lueur dans son regard semblait suffisamment convaincante, car ils déguerpirent rapidement. Alice, de son côté, entreprit rageusement de s’habiller, n’accordant aucun regard à l’autre traînée qui était allongée dans l’herbe. Filmer Alice, la Princesse héritière de Sylvandell, comme une vulgaire pute... Elle regarda l’homme, qui gémissait sur le sol.

« En d’autres circonstances, tu aurais été condamné à mort. Estime-toi heureux. »

La Princesse se retourna ensuite vers la femme qui avait provoqué tout ça :

« Utilise encore une fois ta saloperie de magie sur moi, et il en ira de même pour toi. Je suis une Princesse, pas une pute de bas-étage qu’on loge dans un harem à côté d’une porcherie ! »

Erotica

Dieu

Re : Une camarade un peu particulière [Erotica]

Réponse 11 lundi 11 février 2013, 23:58:06

Erotica avait beau prendre son pied – et accessoirement les jambes de la blonde – celle-ci ne vit apparemment pas les choses ainsi. Mais elle était habituée. Alice n'était pas la première à renier avoir aimer ça, et elle ne serra pas la dernière. A elle de prouver à la lycéenne que le fait d'être observée dans ce genre de situation procurait beaucoup de plaisir... Même si il allait falloir retarder un peu l'échéance.

- Ouais, la vache, mate ce boule... Je vise au moins le million de vues sur YouTube dans la journée.

- Arrêtez ça !

- On ne fait rien de mal, on se contente juste d’observer.

- Ouais, ce qu’elle est bandante, cette nana... Putain, cette salope !


Toujours allongée dans l'herbe en se caressant doucement l'intimité, Erotica observa la jeune humaine fouiller rapidement dans ses affaires, avant de mettre un collier qui la calma. Le bijou était imprégné de magie, ce qui intrigua quelque peu la jeune déesse. Vue la magie dégagée, la petite lycéenne devait sans doute venir de Terra, le monde créé par sa tante... voilà qui allait être amusant.

- Hey, fais pas ta timide, ma chérie !

La chérie ne l'entendit pas de cette oreille et lui arracha le portable des mains, avant de lui mettre un violent coup de genou dans les burnes. Le pauvre se roula par terre en, gémissant, tandis que ses comparses prenaient la fuite, le délaissant complétement. Erotica grimaça pour lui, se doutant qu'il devait souffrir le martyr, mais eu une belle idée le concernant. Lui et cette furie de pseudo-lycéenne, qui retourna rapidement sa colère contre elle.

- Utilise encore une fois ta saloperie de magie sur moi, et il en ira de même pour toi. Je suis une Princesse, pas une pute de bas-étage qu’on loge dans un harem à côté d’une porcherie !

Toujours allongée dans l'herbe, Erotica lui sourie... et un clone d'elle enlaça la belle, lui empêchant de bouger, malgré ses tentatives. Une troisième Erotica disparue avec l'élève à terre. La jeune déesse se releva et se dirigea vers l'humaine, lui caressant doucement la joue.

- Pour une princesse ma belle, tu avais plutôt l'air d'êtres aux anges, allongée dans l'herbe... Et sache au passage que mon harem, si l'on y fait beaucoup l'amour, est plutôt de l'ordre du... divin...

Et le décors autour d'elles changea radicalement, laissant place à une sorte de forêt organique. Le sol était fait de chair rose et humide, les arbres ressemblaient à d'épais tentacules, d'où s'échappait une sève blanche, épaisse et paresseuse. L'atmosphère était chaude et humide et, en guise de cris d'oiseaux ou de vent, on pouvait entendre de nombreux cris et soupirs de plaisir. Sans rien dire, Erotica marcha sur un sentier à la fois lise et gluant, suivit de près par une Alice nue et maintenue par le clone. La jeune mortelle pouvait sentir qu'ici, son collier était sans effet, car seule la magie rose avait cours ici. Elles arrivèrent finalement dans une clairière avec en son centre un lac de liquide blanc, fortement reconnaissable à l'odeur, au milieu duquel s'agitaient de nombreux tentacules en formes de phallus, pénétrants et jouissant sans relâches dans les corps de trois jeunes filles, dont l'esprit était depuis longtemps brisé.

- Bienvenue dans le monde de la Luxure, chère Alice. Je suis Erotica, déesse de l'exhibitionnisme, fille de Lust, déesse de la Luxure et elle-même sœur d'Aphrodite, ainsi que de Philotês, dieu de la Fornication. Sache que ce monde est situé sur un Plan à part, dissocié de la Terre et de Terra. Par conséquent, la magie de ton collier est inefficace en ce lieu.

Le clone disparu, presque instantanément remplacé par quelques tentacules phallus, qui entravèrent efficacement ses bras et ses jambes, tout en enserrant au passage sa lourde et confortable poitrine.

- Bien que tu te refuse à l'admettre, tu aime particulièrement faire l'amour en public, ceci pour la bonne raison que, contrairement à ce que tu semble croire, je n'ai à aucun moment usée de magie sur toi. Tout au plus t'ai-je légèrement poussée dans cette voie là. Tu es une jeune fille perverse au fond de toi, Alice. Et je vais t'aider à exprimer cette perversité, en faisant tomber une à une tes barrières... Et on va commencer par se trouver un petit public ♥

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : Une camarade un peu particulière [Erotica]

Réponse 12 jeudi 14 février 2013, 18:09:26

Alice ne plaisantait plus. Cette situation ne l’amusait plus du tout. Elle n’arrivait pas à comprendre comment, par quel maudit sortilège, elle s’était retrouvée nue, sur l’herbe. C’était comme si une force irrépressible s’était emparée de son corps, la dominant, afin de la forcer, dans la plus grande des extases, à s’accoupler avec cette femme. Oh, Erotica, ou quel que soit son foutu nom, était belle, certes, mais elle n’avait aucun goût. Sa lubricité était contreproductive, écœurant la Princesse plus qu’autre chose. Elle allait donc se résoudre à partir, laissant là cette future prostituée et le pervers qui se tenait le sexe, quand quelque chose l’attrapa dans le dos. Une force solide. Elle se débattit, ne comprenant pas, et vit alors un clone d’Erotica s’approcher de l’homme, et le faire disparaître.

*Et merde !*

Il semblerait que la magicienne ait plusieurs atouts dans sa manche que simplement influer sur le système hormonal. Tournant la tête, la Princesse comprit que l’individu qui la maintenait était un autre clone d’Erotica. Nullement choquée par le florilège d’insultes auxquels la femme avait eu droit, Erotica se rapprocha de la Princesse, lui caressant la joue. Alice était rouge, furieuse.

« Pour une princesse ma belle, tu avais plutôt l'air d'êtres aux anges, allongée dans l'herbe... Et sache au passage que mon harem, si l'on y fait beaucoup l'amour, est plutôt de l'ordre du... divin...
 -  Lâche-moi, salope ! » répliqua-t-elle simplement.

Ce fut tout ce qu’elle arriva à dire, avant de voir le décor changer. C’était une illusion trop crédible pour en être une, et Alice comprit qu’elle avait été téléportée... Dans une espèce de forêt rose tentaculaire semblant sortir tout droit d’un fantasme tekhan. La terre était une sorte de matière organique chaude et gluante, qui semblait remuer, comme si on était dans le corps d’une espèce de géant abyssal. Les arbres étaient de longs tentacules, les branches remuant toutes seules, et les bruits de cette « forêt » se résumaient à des gémissements et à des soupirs. Dans quel Enfer Alice avait débarqué ? On aurait dit le cercle de la Luxure dans les poètes infernaux. Le ciel était teinté de rose et de rouge. Et il y avait, dans l’air, une espèce d’odeur doucement aphrodisiaque. Alice se sentit rougir, et réalisa aussi qu’elle était toute nue, et qu’elle mouillait, son collier n’étant clairement pas assez puissant pour contrer une telle magie.

*Mais... Mais qu’est-ce que ça veut dire ? Mais où je suis ?!*

La clone d’Erotica maintenait ses bras en équerre dans son dos, contraignant ainsi Alice à avancer le long des sentiers de cette étrange forêt, jusqu’à arriver devant une espèce de lac remplie de sperme. Alice ignorait ce qui était le plus ahurissant dans cette image : ce lac de sperme, les tentacules trempés qui en ressortaient, ou les femmes piégées à l’intérieur, dont le visage semblait figé en une expression catatonique de plaisir. Elle cligna des yeux, indécise, et tourna sa tête vers Erotica, qui lui donna quelques explications supplémentaires, se présentant comme une Déesse. Une Déesse ?

*C’est une Olympienne... Ça explique tout.*

Les Olympiens étaient des Dieux très proches des mortels, jouant avec eux. Alice était tombée dans un autre jeu, et sentit le clone disparaître. Elle n’eut cependant pas le temps de faire grand-chose, car des tentacules vinrent alors s’agripper autour de ses bras et de ses jambes, l’immobilisant, tandis que, gracieusement, ils s’enroulaient autour de son corps, notamment sur ses seins, l’immobilisant, tout en serrant sa poitrine, compressant cette dernière. Elle essaya vainement de se débattre, gémissant, alors qu’Erotica, de son côté, poursuivait son petit discours :

« Bien que tu te refuse à l'admettre, tu aime particulièrement faire l'amour en public, ceci pour la bonne raison que, contrairement à ce que tu semble croire, je n'ai à aucun moment usée de magie sur toi. Tout au plus t'ai-je légèrement poussée dans cette voie là. »

Les Dieux et leur sens de la contradiction... Elle aurait pu répliquer, si elle ne se sentait pas aussi perturbée.

« Tu es une jeune fille perverse au fond de toi, Alice, poursuivit la Déesse. Et je vais t'aider à exprimer cette perversité, en faisant tomber une à une tes barrières... Et on va commencer par se trouver un petit public. »

Alice secoua la tête.

« Je... Je crois, chère Déesse, que tu confonds les notions. J’aime le sexe, comme tout un chacun. Ceux qui ne l’aiment pas sont, à mon sens, des pervers. Mais ce n’est pas pour autant que je suis une exhibitionniste. Toute ta séduction n’est que tromperie et magie. Tu auras beau me faire subir ce que tu veux, le désir est quelque chose de plus noble que ta passion bestiale. Haaaa... J’aurais du plaisir, oui, mais corrompre mon esprit à l’aide d’artifices ne changera pas ce que je suis. »

De ça, elle en était sûre.


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