Formulaire de présentation de l'esclave Gabrielle, tout court.
Âge : 19 ans.
Sexe : Féminin.
Race : Cyborg c'est créature, non ?
Orientation sexuelle: Purement hétéro.
Description physique : Avis extérieur :
« Une silhouette tout ce qu'il y a de plus féminine s'approche. Le drap de soie blanc est tendu, et l'ombre s'approche d'un pas chaloupé, avec un déhanché du feu de dieu. La jeune femme est taillée comme une icône de mode. Lorsqu'elle tourne sur elle-même, on remarque que sa poitrine est joliment galbée, haute, généreuse et ferme. Sa taille est si fine qu'on pourrait en faire le tour avec seulement une main... Ou une main et demi plutôt. Et ses hanches... Sa chute de rein... M'est avis qu'elle pourrait faire bander un mort.. Enfin.
Petit à petit, le rideau de soie se lève, et les projecteurs baissent en intensité. La première chose que l'on remarque, c'est son teint doré, et sa chevelure chocolaté. A vrai dire, comme elle est presque nue, c'est assez normal. Sa poitrine est couverte d'une sorte de soutien-gorge censé faire "habillé". Et pour masquer sa féminité, rien de plus qu'une "jupe" rattachée à une sorte de string. A ses poignets et ses chevilles, de nombreux bijoux en or. Et une chaîne, en acier, qui est attachée à un pied et qui la relie à un piquet au mur.
Ce qu'on ne voit pas, physiquement, c'est qu'elle est en partie "modifiée". Son bras gauche est en fait mécanique. Elle l'a perdu, et on le lui a remplacé par un bras imitant le réel. A l'intérieur de sa main, une petite fente s'ouvre et elle peut tirer des projectiles. Ces projectiles, elle les charge grâce à un petit compartiment sur son épaule. C'est souvent des petites flèches bien acérées. Sinon, au centre de son front il s'y cache une sorte de "troisième oeil". C'est en réalité une sorte de laser qui peut se connecter à n'importe quel terminal. Du genre ordinateur, panneau de contrôle, etc.. Tout ce qui est informatisé. Elle peut aussi, à l'image d'un ordinateur, projeter des images sur un autre écran. Ses pensées, sur une télé, par exemple. Ou un souvenir, ou qu'importe. Et enfin, les doigts de sa main droite peuvent servir à crocheter les portes car tout un matériel de cambrioleur est installé sur chaque doigt. »
Caractère : Avis extérieur :
« Gabrielle, c'est quelqu'un d'imprévisible. D'indomptable aussi. D'improbable. On s'attends à ce qu'une frêle (mais attrayante et bien formée) jeune femme soit fragile et docile. Et bien non. Ce petit bout de femme, cyborg, est une sacré furie. Vendue comme esclave dès son plus jeune âge, elle s'est toutefois forgé un caractère en béton. Faisant preuve d'une vive intelligence, elle s'est cultivée en cachette.
Elle n'a jamais été docile, même enfant. Elle ne craignait pas les coups. Elle s'est même échappée un nombre incalculable de fois. Et c'est après une de ces périodes qu'elle s'est retrouvée.. En partie mécanique. Depuis cet instant, elle est encore plus rebelle. Elle répond, elle frappe, mord, griffe, pince... Et elle est devenue insensible à la magie.
Malgré les coups, les punitions, les viols.. Elle n'a pas faibli. Elle s'est même renforcée, devenant impossible à vendre sans de grandes précautions. Comme elle est rétive, il faut lui injecter un tranquillisant pour l'empêcher d'harceler son "maître" ou les possibles acheteurs. Elle fait tout son possible pour contrarier son monde, et elle le réussit très bien. Surtout qu'il est impossible de lui faire changer d'avis quand elle a décidé quelque chose.
Histoire : Je suis sûre et certaine que vous connaissez la Princesse Leia Organa Solo, non ? Et bien je suis sa jumelle...
Comment ça, elle a déjà un frère jumeau ? Mais je sais ! Les triplés, vous connaissez ? Et ouais. Nous sommes triplés, hin hin. Mais le truc, c'est qu'ils n'ont absolument aucune idée de mon existence. J'ai été enlevée à ma mère dès ma naissance, puis vendue comme esclave.
Au début, comme je n'étais qu'un nourrisson, j'étais bien traitée. Nourrice, petits amis pour jouer, jouets, attention et amour... Bref, j'étais une enfant comme une autre. Puis j'ai grandi. Quand j'ai été en âge de travailler, j'ai été la servante. Porter les plateaux, balayer, nettoyer... C'était mon quotidien. Une sorte de Cendrillon. Pourtant, je ne me laissais pas faire. Et malgré les coups, je résistais.
Et enfin, j'ai atteints l'adolescence. Là, mes formes se sont développées. Les attentions de mon "maître" se firent plus personnelles. Les punitions aussi. Mais le "maître" avait des enfants. Et son fils aîné, d'un an plus vieux que moi, avec qui j'avais joué quand j'étais encore petite, fut d'ailleurs le premier à inaugurer des punitions d'un autre genre. Forcément, avec un père comme le sien, il a vite été converti au mode de pensée "Les esclaves, on en fait ce qu'on veut".
Mais un viol ou un coup, c'est du pareil au même. Jamais je ne fléchirais. Au contraire, ça a renforcé ma conviction. J'allais m'évader. Je l'avais déjà fait, bien sûr. A chaque fois, j'avais été punie quand on m'avait retrouvée. Mais un jour, j'y arriverais.
Profitant d'un instant d'inattention, quelques jours après mes quinze ans, j'ai pris la poudre d'escampette. Pour une fois, je suis allée plus loin que le village suivant. Je me suis retrouvée en plein affrontement quelque part dans la dictature d'Ashnard. Bien évidemment, j'ai été blessée. Quelque chose a explosé près de moi, et j'ai perdu connaissance.
Quand je me suis réveillée, j'étais dans une chambre pleine d'une technologie inconnue. Tekhos, d'après ce que j'avais glané comme information quand j'étais chez le "maître". Je remarquais que mon bras gauche était... Métallique. J'avais un bras de robot à la place de mon bras. Le choc fut tel que je perdit à nouveau connaissance. Et cette fois-ci, quand je me suis réveillée, j'avais une infirmière près de moi. Elle m'expliqua tout. Ils avaient été obligé de remplacer mon bras, perdu lors de l'explosion. Acceptant cet état de fait, je demandais ce qu'il était possible de modifier autrement. Parmi tout ce qu'ils pouvaient faire, j'ai choisi d'avoir une sorte de cavité dans le front, permettant de télécharger toutes sortes de données dans mon cerveau à partir de n'importe quel terminal informatique. Ainsi que quelque chose permettant de crocheter n'importe quelle serrure. Ils ont donc installé un matériel de cambrioleur au bout de mes doigts. Quand je le désire, le bout de mes ongles se relève et en sors une clé ou n'importe quoi pour forcer une serrure.
Deux ans plus tard, j'étais pleinement rétablie. Mais en sortant de l'hôpital, après avoir quitté le territoire de Tekhos, je pris un verre dans une taverne. Étrangement, je m'endormis rapidement. Trop rapidement. Je ne me souviens pas avoir été me coucher. Et quand je me suis réveillée le lendemain, j'étais à nouveau enchaînée.
Certes, le "maître" était différent. Mais ce fut pire. Découvrant que j'étais insensible à la magie et à toute forme de persuasion, il s'acharna à me frapper. Il découvrit alors que j'avais une sorte de "guérison accélérée". Il découvrit que ça valait également pour mon hymen. Pauvre de moi, dirais-je. Et j'ai eu beau tenté de m'échapper, il monta un commerce d'esclave, avec d'autres pauvre infortunées. Un bordel, plutôt. J'étais l'attraction. Il commença par un prix de 3 000 pièces d'or la nuit, puis ça augmenta. A présent, alors que je viens d'atteindre mes dix-neuf ans, je vaux 15 000 pièces d'or par nuit. Si on m'achète pour la journée, pour des travaux manuels ou pour servir à table, c'est 17 000 pièces d'or. Si on m'achète juste pour une heure ou deux, pour se faire plaisir avec moi, c'est 3 000.
Malgré mon "succès", je ne suis toujours pas docile. Captive, sans doute. Soumise, jamais. Et autant je peux, parfois, prendre un peu de plaisir avec un homme. Autant c'est même pas la peine qu'une femme s'y essaie. Femme jusqu'au bout des ongles, ou bien femme avec un appendice masculin, ça ne change rien.
Situation de départ : Loin d'être vierge.
Autres : Possède un pouvoir étrange qui lui permet de guérir rapidement. S'est fait installer un bras mécanique qui peut servir d'arme, un "troisième oeil" pour télécharger diverses données dans mon cerveau et vice-versa, et un kit de cambrioleur pour m'échapper au bout des doigts de la main droite.
Comment avez vous connu le forum : On m'en a parlé.
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