Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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A force de jouer avec le feu, on s'y brûle le bout des doigts ... ( Pv )

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Nazarod Uloher

Créature

Une phrase, si l'on pouvait appeler cela ainsi. Une seule phrase s'était échappée de sa bouche, une seule phrase trahissant tout, révélant tout ce qu'elle cachait, comme une bourrasque soufflant sur un château de cartes. Il était trop tard. Elle ne l'avait pas terminé, mais Nazarod avait parfaitement compris ce qu'elle aurait souhaité dire à ce moment, car il comprenait parfaitement dans quelle dualité la femme se trouvait à ce moment présent. Sans doute qu'elle n'avait pas pû terminer sa phrase car elle n'avait rien trouver dans son esprit qui soit assez concret pour décrire ce déchaînement de sentiments en elle. Cependant, lorsqu'elle prononça ces mots, l'elfe releva son regard vers son visage, relevant un sourcil, feintant l'interrogation, afin de semmer encore plus le doute chez elle. Elle ne pouvait lutter. Ce baiser intime qu'il lui donnait était bien trop bon pour une vierge pour qu'elle puisse résister. A ce moment là, il se demanda même si, ne serait-ce qu'une seule fois, elle s'était amusée à jouer avec les zones érogènes de son corps, et il en douta, car ses réactions ressemblaient à celles d'une jeune femme totalement inexperimentée, qui ne connaissait même pas les "dangers" de son propre corps. Quelle ironie... Elle connaissait si bien celui des autres, où planter pour tuer, où trancher pour faire saigner, où tirer pour immobiliser, mais le corps dans lequel elle vivait lui était totalement inconnu. L'elfe ne pû s'empêcher de sourire, mais il se garda de ne le faire que mentalement, trop occupé à lécher son entrejambe humide. Lorsqu'elle lui demanda d'arrêtter, il releva sa tête, un filet de cyprine le reliant de sa bouche au clitoris de la jeune femme.

-Et sinon quoi ? Que vas-tu faire ? Rien. Tu ne peux rien faire.

Il recommença à la lécher, utilisant une de ses mains pour débuter la stimulation de la zone s'apprêtant à être pénétrée, mais il n'allait pas utiliser son sexe, dans un premier temps, pour la dépuceler, il allait utiliser ce qui semblait être ce godemichet aux formes étranges, voire iréelles. Après quelques secondes où il la caressa avec ses doigts, n'enfonçant que les bouts de ces derniers, il se saisissa finalement de ce phallus de bois gravé, et passa ses mains dessus, comme pour le préparer. Il le plaça à l'entrée du vagin, la tête contre les lèvres, puis se mit à mordiller très légèrement l'intérieur de la cuisse de Liirzyn. Elle allait sûrement avoir une réaction intéressante lorsque l'objet entrerait en elle, sans doute le moment le plus intense de tout le rituel. Il fit ensuite entrer la tête à l'intérieur du sexe de la jeune femme, et attendit quelques instants. Lorsque les mages virent que le moment de la première pénétration allait arriver, ils arrêtèrent leur chant, puis s'exclamèrent tous en même temps "IO'ZOTH !".
A ce moment là, Nazarod enfonça l'objet dans l'intimité de la jeune fille, et ce, jusqu'à sa moitié, perçant ainsi ce voile fin de pureté pour l'entraîner dans les terres du vice. Il laissa le gode quelques instants en elle, sans bouger, afin de laisser le temps à son sexe de se dilater et d'épouser sa forme. Encore une fois, elle avait probablement ressentit un mélange de plaisir et de douleur, le plaisir procuré par les striures du phallus, mais la douleur de la défloraison. Après quelques secondes d'attente, l'elfe fit quelques courts allers retours en elle, puis, ressortit le sexe de bois de celui de Liirzyn. On pouvait voir à sa surface, une étrange mixture composée de la cyprine de sa partenaire, ainsi que de son sang, le sang de la vierge souillée. Ce mélange coulait le long des striures de l'objet, et l'elfe en profita pour faire couler le liquide dans le bol qui se trouvait près de lui. Une fois cela fait, un des mages dans le cercle s'en approcha et le conserva à l'abri, entre ses mains.


-Bien... La première étape est maintenant, achevée...

Liirzyn

Créature






Sa réplique eut le mérite de la calmer. C'était vrai, elle ne pouvait rien faire, sinon regretter de ne pas avoir été assez vigilante, et d'être aussi faible. Corporellement parlant. Elle n'avait plus aucun impact sur son propre corps. Et son esprit flanchait. Dés l'instant où il mordit l'intérieur de sa cuisse, la sensation que la suite des événements allait lui faire perdre pied devint étouffante. Et ce fut le cas. Au moment où les personnes encapuchonnées crièrent, dans un choeur qui la fit sursauter, un mot qu'elle ne connaissait pas, elle reçut un véritable coup. Quand la tête de cet objet avait été plaquée contre son sexe, ses yeux, son regard hurlaient " NON !". Elle aurait même été tentée de reculer soudainement, prise de panique à l'idée qu'on introduise quelque chose en elle. Mais alors, quand il fit entrer, soudainement, cette chose entre ses lèvres ... Oui, elle cria.

Un cri, un long gémissement, qui traduisit aussi bien un frisson ardent, qu'une douleur lancinante. Dieu, que la tueuse aurait aimé gesticuler, pour se défendre. Mais elle ne put rien faire, subissant les légers et courts vas et viens. Et, croyez-moi, elle détestait l'idée même de savourer le contact entre son sexe, cet objet, et ces mouvements en elle. Puis il le retira, et parla. Liirzyn ne comprit aucun de ses mots, bien trop sonnée pour cela. Malgré la pointe de plaisir qui était née, là, quelque part dans sa cervelle, elle ne souhaitait que s'enfuir.

- Haa ...

Murmura t'elle encore, comme pour vérifier si sa voix fonctionnait encore. C'était le cas. Bizarrement, cela la rassura.

- Vous avez eu ... ce que vous voulez ? C'est bon ?

Grinça t'elle, le souffle court, le cœur battant. Car, si le plaisir était arrivé, il venait à présent de se faire éclipser par la peur. Oui, Liirzyn savait très bien ce qui allait se passer, par la suite. Le sexe de cet homme, dont elle ignorait complétement le nom, d'ailleurs, était tendu, et elle savait ce que cela impliquait. Dieu, qu'elle aurait aimé avoir la force de refermer ses cuisses ... Ce qui allait suivre était aussi inconnu qu'angoissant, pour la jeune tueuse.
Six petits enfants de cire vivifiés par l'énergie de la lune. Si tu l'ignores, je le sais ... Six plantes médicinales dans le petit chaudron ...  Cinq zones terrestres. Cinq âges dans la durée du temps. Cinq rochers sur notre soeur ... Quatres pierres à aiguiser, qui aiguisent les épées des braves ... Trois parties dans le monde, trois commencements, trois fins, pour l'homme comme pour le chêne ...



Dans sa poitrine est le dard de la fléche; son sang coule à flots ... elle beugle ... tête levée ... La trompe sonne ...
Feu et Tonnerre. Pluie et vent. Tonnerre et feu ... Rien, plus rien. Ni aucune série. Pas de série pour le nombre un; la nécessité unique, le Trépas, père de la douleur; rien avant ... rien de plus ...

Nazarod Uloher

Créature

Lorsqu'elle lui demanda s'il avait terminé, s'il il avait eu ce qu'il voulait, si au fond, ses petits désirs mesquins avaient été satisfaits, l'elfe ne pû s'empêcher de lâcher un ricanement. Comment pouvait-elle penser qu'un tel évènemment, avec une aura aussi solennelle, aussi religieuse, ne puisse être motivé que par des désirs, des envies, des besoins liés à ce qu'il y avait de plus humain ? Car non, il n'y avait plus rien d'humain à ce moment précis. Tous les mages n'était motivés que par une seule chose, le désir de donner, et non recevoir. Une adoration authentique, sincère et altruiste. Il était ridicule de penser qu'un tel rite n'ait pour but que de recueillir le liquide séminal d'un humain, si c'est ce qu'ils avaient voulu, ils auraient prit celui des mages de la secte, tant bien celui des hommes que des femmes.

-Es-tu idiote, ou est-ce la peur qui te fais dire de telles sottises ? dit-il sur un ton moqueur et presque méprisant. Ton tourment ne fait que commencer, même si je pense que tu ne devrais pas prendre cela comme une peine, mais un honneur. Tu vas nourrir quelque chose, grâce à ton plaisir, qui te dépasse, me dépasse, nous dépasse tous largement.

Nazarod baissa les yeux vers son sexe en parfaite éréction, gonflé par l'excitation, parcemé de veines dans lesquelles sont sang pulsait à grande vitesse, couvert de tatouages ésotériques qui allaient lui servir, pendant le coït, à faire venir sa partenaire, malgré son effroi, à l'orgasme, et ainsi nourrir de sombres entités vivant au-delà du voile cosmique. Il prit la main de la jeune femme et la serra autour de son sexe, gardant sa main sur la sienne, veillant à ce qu'elle le tienne bien, qu'elle ressente son éréction dans sa paume, et que cette vierge, ai le souvenir, à jamais gravé dans son esprit, de cet étrange jour où ce sexe lui prit sa pureté, lui rappelant par la même occasion son humanité. Il rapprocha son visage du sien, le tenant par le menton, avec sa main libre et lui demanda :

-Que ressens-tu ma jolie ? Sens-tu cette force couler dans mes veines ? Peut-être que cela te dégoûte pour le moment, mais bientôt, toi aussi tu sentiras cette force parcourir ton corps. La pureté n'apporte rien, c'est dans le vice et la douleur que l'on se renforce. Je pensais, qu'en temps que tueuse à gage, tu savais cela...

Le moment était venu. Il allait bientôt entrer en elle, et lui faire ressentir quelque chose d'indescriptible. Les autres mages reprirent leur sinistre chant...

Liirzyn

Créature

( Pardon du retaaaard é.è J'ai un peu trop fêté un peu trop de choses )




Idiote, elle l'était sûrement. Ce genre d'idioties qui servent si bien d’œillères, afin de ne pas avoir à supporter une réalité qu'on prendrait volontiers pour une illusion. Donc, pour ceux qui se posent la question : oui, Liirzyn agissait comme une parfaite petite idiote. Peu glorieux, pour une tueuse à gages de son envergure. Quand il saisit sa main, elle crut que son cœur allait bondir hors de sa poitrine. La jeune femme était à fleur de peau, et ses nerfs étaient aussi agités qu'un adolescent prenant de l'ecstasy pendant un concert de dub-step. C'était quelque chose, donc. Et elle devait bien avouer qu'elle était effrayée. Elle avait croisée du regard quelques bouquins érotiques, des sex-shop, des films de culs, sans jamais s'en préoccuper vraiment. Elle laissait cela aux pauvres humains qui devaient s'ennuyer à mourir, muré dans une condition et un corps déplorable et pitoyable.

... Et voilà qu'elle devenait humaine. Foutrement humaine. Le simple fait qu'il pose sa fine main sur sa verge, la maintenant contre ce membre qu'elle se refusait à imaginer en elle, manqua de la faire tomber dans les pommes. Elle ne put que réfréner un cri, et encaisser ce qu'il lui disait. Si la tueuse s'efforçait de rester calme et de maintenir son regard, son corps était tremblant. Et ces chants, autour d'elle ... Non, elle ne se sentait guère en sécurité, là, actuellement. Et elle peinait à croire que ce moment serait un bon moment à passer. Elle prit une lente inspiration.

- Je ne ressens rien.

Ton monocorde, qui trahissait aisément son mensonge. Mais, au moment, elle lui accordait une réponse. Cependant, elle ne souhaitait pas tant que ça s'enfermer dans un mutisme profond et violent.

- Si je tue, c'est parce que je sers à cela. Le vice et la douleur, c'est bon pour les humains, ce que je ne suis pas.

Deuxième réponse. On progresse. Cette fois-ci, elle ne cachait pas son dédain, en appuyant sur le "pas" comme une forcenée. Liirzyn méprisait les humains autant qu'ils avaient peur d'elle. Au fois, c'était un échange de bon procédés. Mais la tueuse ne souhaitait pas s'abandonner comme une humaine chétive. Oh, mais son corps, si ! Lui, si tristement humain, ne demandait qu'à se laisser aller. L'esprit, par contre, était récalcitrant, et surtout effrayé.

Elle chercha à libérer sa main de sa poigne, mais ne parvint même pas à le faire. Fini, son corps la laissait tomber. Lui, il réclamait du plaisir, et comptait bien s'abandonner.


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Dans sa poitrine est le dard de la fléche; son sang coule à flots ... elle beugle ... tête levée ... La trompe sonne ...
Feu et Tonnerre. Pluie et vent. Tonnerre et feu ... Rien, plus rien. Ni aucune série. Pas de série pour le nombre un; la nécessité unique, le Trépas, père de la douleur; rien avant ... rien de plus ...

Nazarod Uloher

Créature

L'elfe se retenait d'éclater de rire à chaque fois qu'il perpétuait sur la jeune femme l'un de ses horribles actes qui n'étaient motivés que par un vice appelé sadisme. Mais cela avait le mérite de faire réagir le corps de sa partenaire, chose extrêmement positive, cela serait toujours du temps de gagné, car en effet, il est bien plus difficile d'ammener à l'orgasme quelqu'un qui, autant physiquement que mentalement, manifestait sa non-soumission. Dans le cas présent, même si l'esprit de la jeune femme ne semblait pas ouvert à ce qui allait lui arriver, sa chair, elle, le désirait profondémment. Si son corps était capable de la trahir aussi facilement, alors l'ammener là où le plaisir règne serait un jeu d'enfant pour le mage noir. Il lâcha son emprise sur la main de sa partenaire, lui permettant de la retirer de sa verge, puis écarta les jambes, de force, de Liirzyn. Son sexe se dressait avec fierté devant lui, prêt à la pénétrer et la faire jouir. Il avança son bassin, puis passa son bras derrière elle afin que sa main puisse tenir sa nuque tout en la pénétrant, chose qu'il ne tarda pas à faire car, après avoir légèrement caressé ses lèvres à l'aide du liquide que le plaisir lui avait donné, il fit entrer son gland, lentemment, mais avec certitude, puis, après avoir attendu quelques secondes le temps que ses paroies vaginales se détendent, il exerça une pression un peu plus forte, ce qui fit entrer en elle ce sexe durçit par l'excitation et le devoir magique qu'il se devait de remplir.
Une fois en elle, Nazarod cessa de bouger quelques instants, afin de la laisser déguster cet instant, instant durant lequel il garda un sourire narquois au coin des lèvres. Les tatouages sur le sexe de Nazarod avaient pour but de décupler le plaisir, chose que quelqu'un d'expérimenté pouvait remarquer, ou du moins supposer, mais il était plus compliqué pour une vierge de comprendre les dimensions du plaisir et à quel point la magie de l'elfe dépassait ces dimensions.


-Tu ne ressens rien ? Ha ha... Maintenant, laisses-moi en douter, dit-il, d'un ton clairement moqueur et dominant.
Lorsqu'il fût à l'aise dans le sexe de la jeune femme, et qu'il pouvait sentir que la cyprine avait enduit le sien afin de faciliter les vas-viens, il s'exécuta, et se mit à en faire. Ils furent courts en lents dans un premier temps, afin de ne pas tout lui dévoiler des plaisirs de la chair pour le moment, mais ils devinrent plus rapides et son sexe se mit à s'enfoncer plus profondément au fur et à mesure que les secondes passaient. Elle pouvait sentir en elle une sorte d'onde, de flux, de vague qui n'avait rien à voir avec son corps, comme si quelque chose la stimulait sexuellement de l'intérieur, dans ses propres entrailles, dans son propre esprit, et cela était dû à la magie maléfique de Samaoth. Ce serpent n'hésitait pas à utiliser la magie pour faire venir ses partenaires jusqu'à l'orgasme et ainsi les vider de leur énergie pour nourrir des entités tout aussi maléfiques que ses sortilèges. Les torturer ? Non, trop classique. Les tuer ? Non, totalement inutile. Il agissait tout simplement comme une sorte de vampire sexuel, un incube, pour ainsi dire, vidant ses proies de toute vitalité, au bord de l'agonie, à la seule différence que, l'énergie sexuelle n'étant pas vitale, il n'était pas possible de franchir les portes de la mort une fois vidé de cette dernière, cependant, une grande fatigue, voire même parfois une perte de conscience s'abattait sur la victime.
Nazarod prennait du plaisir, son souffle s'accélerant, rythmé par les chants des mages l'entourant, lui et Liirzyn, ses doigts se resserant sur sa nuque... Le rite venait réellement de commencer, une orgie d'extase attendait cette jeune vierge que le mage prennait comme un cadeau de la providence...

Liirzyn

Créature





Ce fut aussi atroce que délicieux. A l'instant même où il vint lui tenir la nuque, et où il la pénétra, elle ne ressentit qu'un frisson exquis. C'était une sorte de délivrance, en somme ... L'esprit s'était rendu, il ne lui restais plus que le corps. Un corps chaud, frissonnant, qui réclamait un plaisir qui avait mis tant de temps à venir. Elle ne pouvait plus dire qu'elle ne ressentait rien, au contraire : elle était une boule de nerfs, plus sensible qu'elle n'aurait plus l'imaginer. Chaque vas-et-vient, en elle, lui arrachait de longs gémissements. Certes, elle cherchait à se faire taire, mais n'y parvenait même plus. La pression qu'il exerçait sur sa nuque se renforçait, et elle ne pouvait qu'apprécier cela. Elle s'étonna d'ailleurs que sa nuque soit aussi sensible, et que la poigne d'un homme sur elle, puisse lui faire ressentir tant de choses. Elle n'était plus qu'un frisson, et se perdait dans son propre souffle.

Par réflexe, sa main, posée tantôt sur le sol, s'était plaquée sur la nuque de celui qu'elle considérait encore comme son agresseur - quoique le terme méritait d'être vérifiée - et étreignait sa peau sans relâche. Voilà, elle se perdait dans les méandres d'une humanité qu'elle détestait tant.

- Haa, vous ... Mmh !

Elle n'était même plus capable de parler. Dans l'idée, elle voulait l'insulter, encore, histoire que son esprit reprenne le dessus. Mais elle ne pouvait même pas si résoudre. Chaque mouvement qu'il faisait en elle était si bon ... Je ne peux que l'avouer. Elle ressentait des choses, des sensations, qui étaient bien plus fortes qu'elle n'aurait pu l'imaginer. Cela atteignait cœur, corps, esprit. Des frissons, des gémissements ... Liirzyn savait que cela aurait un aboutissement. Son corps s'électrisait, s'essoufflait, mais lui procurait tellement de choses. Elle en perdait la tête. Et, par la même occasion, elle lui offrait son corps, qu'elle ne contrôlait plus depuis un moment. Un corps ardent, doucement cambré, qui venait même offrir plus d'intensité aux vas-et-vient de cet homme si étrange et si doué en elle.
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Dans sa poitrine est le dard de la fléche; son sang coule à flots ... elle beugle ... tête levée ... La trompe sonne ...
Feu et Tonnerre. Pluie et vent. Tonnerre et feu ... Rien, plus rien. Ni aucune série. Pas de série pour le nombre un; la nécessité unique, le Trépas, père de la douleur; rien avant ... rien de plus ...

Nazarod Uloher

Créature

Cette fois, malgré toute sa volonté de résister à l'emprise du mage, elle ne pût retenir ce qu'elle ressentait, ce que Nazarod provoquait en elle, ce dernier ricanant en écoutant attentivement les gémissements de la femme. C'était toujours un véritable délice de voir un mortel sous l'emprise de la luxure, qui plus est un mortel qui y prenait également du plaisir ce qui était clairement le cas ici. Le mage, lui non plus, ne pouvait pas cacher son plaisir qui était à la fois physique mais également psychologique, la personnalité de la jeune femme et les circonstances du coït jouant un énorme rôle quant à son excitation. Il laissait volontier ses mains se ballader sur son corps, prenant le temps d'embrasser ses courbes élégantes et désirables, sentant la chaleur sous ses doigts, chaleur qui n'allait cesser d'augmenter au fur et à mesure que le mage lui procurerait du plaisir, ce qu'il comptait évidemment bien faire. Il la ferait hurler jusqu'à ce que son corps soit trempé de sueur, et qu'il se retire d'elle en lui provoquant un sourire de satisfaction sur son visage. Si sa peau n'était pas encore moite, on ne pouvait pas dire la même chose de l'entrejambe de sa victime, dans laquelle son pelvis venait taper à chaque vas-et-viens, dans un bruit humide et bref. Son sexe était entièrement lubrifié et la pénétration était devenue très facile. On pouvait d'ailleurs noter, lorsque le pénis ressortait de façon très brève avant de replonger, qu'un très léger filet de sang s'était répandu sur la peau tendue du mage, le tout mélangé à la cyprine de Liirzyn.
Son souffle était devenu plus rapide, et il n'avait plus de sourire sur le visage, son esprit était entièrement concentré sur sa partenaire et son plaisir. Son front commençait à devenir humide, tout comme son torse, notament dans les creux de ses muscles. Il plongea son visage dans le cou de la femme afin de l'embrasser et de le lécher, et même parfois, le mordiller très légèrement. Elle était vierge, et ne connaissait donc pas très bien son corps et ce qui pouvait l'exciter, et Nazarod, malgré sa grande assurance, ne voulait pas prendre le risque de lui couper l'envie en la mordant trop fort, et ainsi gâcher ses chances de la faire venir jusqu'à l'orgasme. Même si cela ne lui plaisait pas particulièrement, il devait se résoudre à se maîtriser, et à ne lui donner qu'une simple partie de jambes en l'air, sauf si, dans un moment inespéré, elle décidait d'elle même d'aller plus loin que ce que le mage noir lui donnait. Ses coups de reins se faisaient de plus en plus rapides, et tout et la pénétrant, Nazarod n'hésitait pas à laisser une de ses mains pétrir tour à tout ses seins, et également, ses tétons.
Il approcha sa bouche de l'oreille de sa partenaire, et vint lui chuchotter dans un souffle chaud, tout en donnant de rapides coups de langues à chaque fin de phrase :


-Vas-y, oses le dire. Oses dire que tu n'aimes pas ça. N'est-ce pas bon ? N'est-ce pas délicieux ce que tu ressens là ? Je vais te faire jouir ma belle.


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