- C’est toi qui as voulu joué au chat et à la souris. Je t’ai attrapé, je te garde maintenant…
Un long sourire parcourait mon visage. Comme si j’allais la laisser partir parce qu’elle me le demande ! Faut pas rêver, mam’zelle. En tout cas, ma langue sur ses seins juste quelques instants lui firent l’effet d’un électrochoc. C’est normal après tout, je suis bel homme, et doué de ma langue. Gnéhéhé…Je remonte mon visage pour venir coller ses lèvres tout contre les miennes, ma langue forçant cette barrière que la jeune fille veut impénétrable. Pour ne pas qu’elle se débatte, je lui tiens son menton, me permettant d’intensifier mon baiser. Enfin, je m’arrête, pourléchant mes lèvres à l’aide de ma langue.
- Je ne vais pas te faire du mal…Que du bien…
C’était pour la rassurer ? Non, pas vraiment. Mais si elle arrêtait de se débattre avec les racines, ou bien de me dire de cesser ce que je faisais, elle prendrait un peu plus de plaisir à la chose. Toujours au-dessus d’elle, je me défais de cette chemise qui m’embête un peu, et finit par replonger mon visage dans sa poitrine. Mes yeux valsent sur ses monts de chair, avant que ma bouche vienne goûter à ces fruits bien mûrs au goût de miel. Peu de choses avaient été faites, mais déjà, je sentais mon membre prisonnier du tissu, bien à l’étroit, enfermé. Les tétons de la blondinette commencent à se dresser, attaqués par ma langue gourmande. J’en fais le tour pour mieux les dessiner, les mordille, les suçote. Il n’y avait rien de meilleur pour mon palet que la peau d’une femme. Sa peau semblait plus sucrée qu’un pain au chocolat.
Si un de ses seins était occupé par ma bouche, l’autre subissait tout autant un massage mais de ma paluche. Elle pouvait prendre aisément ce melon en pleine poignée, le pressant comme pour en sortir du jus. Entre mes doigts, je roulais son téton pour qu’il ne cesse de pointer. Mon autre main ? Elle avait filé le long de son ventre, tournoyant autour de son nombril quelques secondes, finissant sa course sur le seul tissu qui lui restait, et qui cachait pardi, le meilleur fruit au monde. Deux de mes doigts parcouraient ce jardin défendu à travers la culotte, pressant légèrement au niveau du clitoris et de sa vulve, toujours masqués.
- Je continue ?
Question stupide ! J’ai pas l’intention de m’arrêter, mais qui sait, peut-être qu’elle en voulait déjà plus, mh ?