Les conférences, c'est nul [PV : Mach]

Mach s'attardait sur sa poitrine, pinçant ses seins, suçotant ses tétons avec ses lèvres, sa bouche. La magicienne en lâchait quelques soupirs qui remplissaient son salon. A dire, elle se foutait carrément qu'on puisse l'entendre. Elle n'était pas du genre ... Comme dire ... pudique ... Bon, elle n'était peut-être pas du genre à s'envoyer en public ... Quoi que ... J'suis pas sûre pour ça. Yukiko avait parfois des idées loufoques, même plus que loufoques d'ailleurs. Des idées bizarres, surgrenues. Ouais, ça tournait pas rond, de temps en temps, dans sa petite tête. Mais bon, c'était comme ça.

Quoi qu'il en soit, donc, Mach s'occupait de sa poitrine. Tandis que Yukiko avait fini par lui enlever son ceinture, histoire d'accéder plus facilement à cette bosse qui tait en train de se former petit à petit au niveau de son entrejambe. Bosse qui ne cessait pas de grossir, d'ailleurs, sous les caresses de la jeune femme. Le mercenaire en vint à lui dire que son corps parlait pour lui, que tout ceci lui plaisait fortement et qu'il avait envie de tout cela. Ouais, Yukiko l'avait constaté. Parce que si rien de ceci ne lui plaisait, et bien ... et bien sa bosse ne grossirait, sans aucun doute, pas autant. Et sans aucun doute aussi qu'elle n'en laisserait pas échapper quelques gémissements quand il s'occupait de sa poitrine.

"Mais peut-être que nos corps ont été abusés par quelconques maléfices."

Une pointe de mystère. Parce qu'elle savait très bien que ce n'était pas le cas. Mais quand j'vous disais qu'elle était un peu barrée sur les bords parfois.

M'enfin, quoi qu'il en soit, Mach avait effectivement raison. Son corps, celui du mercenaire, semblait apprécier les caresses qu'elle lui prodiguait depuis quelques instants. Quant à Yukiko, elle appréciait qu'il s'occupe de sa poitrine. Mais il n'en était pas resté là. Ou du moins, il ne s'était pas attaqué qu'à ses seins. Non, l'une de ses mains avait parcouru son fessier, sous sa jupe, passant le morceau de tissu. Elle était donc à même sa peau. Les doigts du mercenaire effleurèrent, rapidement, son anus, avant de venir s'occuper de son intimité. Enfin, d'une manière plutôt sage dans l'immédiat. De simples caresses. Ca viendrait, sans aucun doute, plus tard.

L'embrassant à nouveau, Yukiko vint chercher sa langue, tandis qu'elle poursuivait ses caresses sur son membre qui, elle avait l'impression, grossissait de plus en plus d'ailleurs. Peut-être qu'il était temps de libérer la bête et de commencer les choses sérieuses ? Hmmm ... Ouais ... Oh, encore un petit peu ... Yukiko passa sa main dans son pantalon, et alla tâter la marchandise, en quelque sorte, poursuivant ses caresses à même son membre dans l'immédiat.

Mach ne regrettait finalement pas d’avoir accepté ce travail, puisque bien que pénible, il avait conduit à la situation actuelle bien plus plaisante. En effet, sans ce dernier, le mercenaire ne serait pas là à écouter les gémissements d’une jeune femme assise sur ses genoux, alors qu’il s’occupait de ses seins, et de ses intimités dans de douces caresses buccales et des doigts. Et cela, sans avoir encore dévêtu la demoiselle, qui elle avait déboutonné la ceinture de son compagnon et caressait son membre grossissant à chaque instant.

Et, il y avait de quoi le faire grossir, puisque rester insensible à une si belle femme aurait plus été de l’outrage qu’autre chose. S’est d’ailleurs un peu ce qu’il répondit, avant qu’il ne se voie esquisser un sourire à la réponse de Yukiko.

- Qui sait ! Vous m’auriez lancé un sort pour vous assurez de mon accord à tout cela ?

Demanda t il avec un ton d’amusement et un sourire aux lèvres, alors qu’il cessa de jouer avec ses seins pour lever la tète et venir plonger son regard dans celui de sa belle. Mais, dans le fond, il s’en fichait bien de ce qui avait pu les conduire à cette situation. Elle était là, et Mach l’appréciait comme elle était sans se poser de questions. Ainsi, il cessa ses caresses sur les lèvres intimes de Yukiko, ou du moins, celles-ci changèrent quand un doigt s’immisça entre elles, pour s’enfoncer lentement dans l’antre chaud de sa partenaire. Celle-ci était d’ailleurs déjà bien humide, signe qu’elle était aussi, voir plus exciter que lui. Et cela malgré le fait qu’elle prenne son temps pour libérer son sexe à lui, qui commençait à être à l’étroit.

- Chercherait on à me torturer ?

Dit-il toujours sans méchanceté, alors qu’il vint rapidement saisir les lèvres de la jeune femme dans un nouveau baiser fougueux, au miment où le doigt inquisiteur se mit à faire du vas et viens dans la vulve de son amante. L’autre main remonta des fesses dans le dos de celle-ci, passant sous le chemisier de Yukiko pour caresser son dos à même la peau. Il remonta assez haut, passant sur l’éventuelle attache du soutien gorge, qu’il n toucha pas si elle y était

Dans cette position il ne pouvait que se laisser mener par la belle, même si changer de position ou d’endroit en se dégageant, voir la portant, n’aurait pas été difficile pour lui. Mais, Yukiko voulait prendre son temps, ou jouait à le faire patienter, et il se pliait à cela pour le moment.

Un sort ? Aurait-elle pu lui lancer un sort ? Bien évidemment que Yukiko aurait pu le faire, histoire d'être sûre d'avoir son consentement. Oui, elle aurait pu le faire. Mais dans ce cas là, sans aucun doute qu'elle lui aurait donné à boire, ou à manger. Non pas qu'elle n'était pas capable de faire un envoûtement comme ça, sans rien, juste en claquant des doigts. Mais ... avec une quelconque boisson ou nourriture, et bien, c'était plus rapide, plus efficace en quelque sorte. Et aujourd'hui, elle était dans un bon jour, pour ainsi dire, donc, elle n'irait pas à l'encontre du mercenaire. Pour une fois que la magicienne laissait le choix à son partenaire du moment de se rétracter s'il le voulait. C'était ... pas souvent. C'était même rare, super rare d'ailleurs.

"Un sort ? Hmmm ... En aurais-je eu réellement besoin ?"

Sûrement que non. Aujourd'hui, pour changer, elle n'allait pas d'user d'artifice. Non, à la place, pour changer, ça serait au naturel, tout simplement, pour ainsi dire. Mach s'occupait de la demoiselle. Un de ses doigts finit par passer la barrière de son intimité, histoire d'aller prendre la température, pour ainsi dire. Oui, si on peut dire ça comme ça. Il en vint à lui demander ... Si elle cherchait à le torturer. Elle leva un sourcil interrogateur. Parlait-il de sa bosse qui se formait, petit à petit, dans son pantalon ? Son pauvre membre qui commençait, sans aucun doute, à être à l'étroit et qui ne demandait qu'une chose, être libéré et pointer fièrement vers le plafond ?

"Te torturer ? Hmmm ... Non ... Je ne crois pas ... Mais ..."

Yukiko n'eut pas le temps de terminer sa phrase. Mach l'avait surprise en l'embrassant une nouvelle fois. Un baiser rempli de fougue, de passion. Un baiser langoureux dans lequel la langue de la magicienne vint chercher celle du marcenaire. La surprenant à nouveau, son doigt, celui qui l'avait pénétré, commençait quelques va-et-vients. Si elle avait laissé échapper quelques gémissements, ces derniers avaient, sans aucun doute, fini dans la gorge du mercenaire, la faisant vibrer quelque peu. Elle apprécia le baiser durant quelques instants, sans rien faire, sans bouger.

Et puis, sa main vint s'approcher, une nouvelle fois, de son pantalon. La deuxième vint la rejoindre d'ailleurs. Toutes deux s'immiscèrent dans son pantalon. La tâche la plus ardue, ou presque, était déjà passée puisqu'elle lui avait déjà ôté sa ceinture. Ses petits doigts se faufilaient dans son pantalon, s'approchant de son membre. Tout en continuant le baiser, la magicienne passait ses doigts sur son membre. Dur ... il durcissait, petit à petit. Yukiko rompit finalement le baiser, se reculant quelque peu.

"Hmmm ... Oui ... Je crois ... qu'il est temps ... que je te libère ..."

Enfin, pas lui, mais plutôt son membre qui devait être serré, vraiment serré à présent. C'qui est bien avec la magie, c'est que tu peux faire tout et n'importe quoi, ou presque. Un claquement de doigt, et hop, exit le pantalon. Mais il lui restait encore son sous-vêtement. Et ses doigts passaient à loisir sur son membre, malgré le bout de tissu.

"Mieux comme ça ?"

Yukiko avait un sourire malicieux sur le visage, l'air coquin, quelque peu enjoué.

Toujours dans leurs préliminaires, Yukiko et Mach se titillaient plus ou moins verbalement. Ou du moins, s’était le cas lorsqu’ils n’avaient pas leurs bouches occupaient à s’embrasser. De plus, alors que le membre en érection était toujours prisonnier de sa prison de tissu, l’une des mains du mercenaire n’avait pas tardé à franchir les barrières similaires sur l’intimité de sa partenaire. A présent, il avait un doigt qui faisait du va et vient dans son antre chaud et visiblement déjà humide, montrant l’état d’excitation de sa belle.

Celle-ci disait ne pas user de sorts mais, elle ne tarderait pourtant pas à en user d’un. Certes, ce dernier ne fut que pour faire disparaître le pantalon de son compagnon, qui hormis de se sentir plus léger, ne s’en préoccupa pas plus pour le moment. Mais, cela serait peut être une autre chose quand il serait temps de se rhabiller.

- Oui, beaucoup mieux…

Répondit-il avant d’embrasser de nouveau fougueusement Yukiko, accroissant son rythme de vas et vient dans sa vulve, y insérant même un second doigt. Mais, la demoiselle aurait aussi pu sentir davantage cette libération sur Mach, puisque le sexe durci, bien que toujours dans le caleçon, commença à prendre plus de place sur son bas ventre. Mais, elle le libéra davantage pour pouvoir revenir jouer des doigts sur le membre de son compagnon. Ce dernier frissonnait de plaisir quand le plaisir s’intensifiait par moment, selon les zones qu’elle stimulait

- Mais, je ne dois pas être le seul à être oppressé !

Dit-il dans un sourire, avant de baisser le regard sur lea poitrine de Yukiko, qui se trouvait toujours prisonnière du chemisier de la demoiselle. Mach cessa alors ses caresses et sa pénétration, pour remonter ses mains sur les hanches, puis vers l’avant pour commencer à déboutonner le dit vêtement. Bientôt, il put librement écarter les deux pans pour se retrouver face à la poitrine protégée par un soutien gorge. Mais, cela n’empêcha pas le jeune homme de venir gratifier celle-ci de baiser et coups de langues, sur les zones où le tissu n’était pas, voir même au dessus. Ses mains étaient venues caresser le ventre chaud avant de remonter pour venir soulever cette voluptueuse poitrine, qu’il se mit à masser.

- On se sent un peu mieux aussi hein !

Dit-il dans un nouveau sourire alors que sa bouche revenait jouer sur le coup de Yukiko, alors que ses mains jouaient sur les seins de celle-ci. Et même s’il avait prit une initiative, la jeune femme avait encore la main mise sur le jeu qu’ils étaient en train de faire, ne serait de part sa position dominante. Et elle avait beau dire ne pas le torturer, le fait qu’elle prenne son temps dans la chose semblait démontrer le contraire. Mais, cette façon de faire ne déplaisait pas non plus au jeune homme qui s’y prêtait volontiers Après tout, ils avaient tout leurs temps pour atteindre l’orgasme.