[ PV : Don ] Héhé...je me suis échappée

- ah d'accord quand j'écris mes thrillers, je ne mets pas beaucoup de hentai  -

Don avait sûrement oublié l'inexpérience de la petite Ludmilla. Tout simplement dépassée, la petite ne comprenait pas ce qu'il voulait qu'ellle fasse, ce qu'il attendait d'elle. Elle resta silencieuse un instant, déçue qu'il ne la laisse pas partir. Puis son regard se jeta sur la porte. Ouverte. " Un échappatoire ? " Les cellules grises de la petite se mirent en marche. Non...ce n'était pas possible, sûrement pas... Tout devait être fermé...

" Tant pis, je prends le risque " Elle bondit sur l'homme, le repoussant de toutes ses forces médiocres, et sauta du lit. Elle courut à travers la pièce, ferma la porte, la bloquant rapidement avec une chaise -elle avait eu ce réflexe quand son père saoul voulait lui mettre une claque - et regarda autour d'elle. Qu'importe le fait qu'elle soit nue, il fallait qu'elle ...sorte ! La petite attrapa rapidement un tissu qui traînait par là et appuya de toute ses forces sur la poignée.

- Noon...gémit -elle en tambourinant contre le fenêtre.

-Hj-Moi non plus d'habitude  mais bon ça détend entre deux trucs -Hj-

Don prit son temps, il se leva calmement tout nu qu'il était et inspecta la porte, elle avait pris la peine de la fermer avec une chaise. Il pourrait la défoncer mais il n'avait pas envie d'abimer son appartement si il n'était pas forcé a le faire. L'homme se tourna dos a la porte et s'y appuya avant de lancer avec sadisme

"Tu sais, tu ne va pas t'en tirer comme ça, tu sais que résister rendra ça plus pénible pour toi, ne me force pas a venir te chercher..."

Il lui donnait encore une chance de s'en sortir, a elle de la saisir, après quoi il sortirait quoi qu'il se passe

"Et crois moi ça ne sera pas joli a voir. tu n'aimera vraiment pas ça."

Fit Don avec un ton inquiétant.

- Effectivement  -

La jeune fille sentit sa poitrine se serrer. Il voulait qu'elle revienne, qu'elle rentre prés de lui. Mais elle ne pouvait, elle ne voulait surtout pas. Quitte à tout perdre ? Elle eut un instant de réflexion. Et la pièce retomba dans le silence. Et une idée lui agrippa l'esprit. " Je sais ce que je dois faire !! " Elle se dirigea vers la cuisine, sans bruit, plus silencieuse qu'un chat, et alla attrapa un couteau. Toute tremblante, elle enleva la chaise, entra.

Dés qu'elle vit Don, elle pointa le couteau vers lui avant de lui lancer au visage. En espérant qu'il en meurt.

[ ouhla désolé c'est trés court ><' ]

Ce n'était pas le genre de choses que Ludmilla pouvair réussir a faire, déjà, Don était appuyé contre la porte, ainsi il sentait bien que la jeune fille enlevait la chaise et qu'elle allait surement tenter une attaque désespérée, il se recula et la laissa venir. Aucune chance qu'elle arrive a faire quoi que ce soit dans son état de panique et avec ses petits muscles, c'était du tout cuit.

Lorsque le couteau arriva il l'esquiva simplement et celui ci tomba dans un coin de la piece, Ludmilla n'ayant pas assez de force pour le ficher dans le mur. Après quoi Don esquissa un large sourire et sa main fondit sur celle de Ludmilla pour l'attirer a lui et la coller contre son membre

"Qu'est ce que c'est?De la révolte?"

Il la gifla, d'une seule et unique gifle assez puissante pour l'envoyer sur le lit

"Je n'ai pas été gentil avec toi jusque là?C'est comme ça que tu me remercie?"

Fit Don tandis qu'il souriait. Toute cette petite course poursuite avait réussi a l'exciter assez pour qu'il passe au plat principal.

"Tu n'aura plus l'occasion de résister."

Il avança et écarta les jambes de Ludmilla, collant son extremitée contre elle et levant les yeux, il voulait voir dans ses yeux la peur avant d'entrer en elle

Encore raté... cela l'aurait fait rire dans d'autres circonstances, bien moins violentes et terrifiantes. Elle n'arrivait plus a parler, et avait l'impression que sa mâchoire venait de se faire la malle dix mètres plus loin. Très douloureux...vraiment très douloureux.. mais avant qu'elle n'ait eu le temps de réagir, elle se mangeait le lit. Légèrement étourdie, elle ne reconnaissait plus rien autour d'elle.

"Tu n'aura plus l'occasion de résister." Glups... " Il va me tuer ? " Elle remua de plus belle, morte de peur jusqu'aux sang, glacée... Elle venait tout juste de comprendre.Alors tandis que tout bougeait dans sa tête, tout cogitait, la petite eut une immense satisfaction... comme un instinct de survie. Certes elle avait peur, mais elle ne voulait pas, ne devait pas, lui montrer. Elle eut un sourire forcé, ferma les yeux et...lui cracha au visage, sachant trés bien que cela serait trés dangereux pour elle.

Le crachat percuta la joue de Don qui ferma les yeux et eut un sourire, bien, au moins il n'allait pas avoir a justifier le mal que Ludmilla allait ressentir. Comme ça elle se dirait que si elle avait mal lors de ce rapport et que celà la traumatisait, c'était de sa faute, et que c'était parce qu'elle s'était opposée a son maître. Don aimait bien que les enfants conservent toutes leurs croyances. Le Marchand d'esclave la regarda d'un air cruel

"Bien, on y va"

D'un coup il la pénétra de toute ses forces dans un râle, s'enfonçant le plus profond possible mais bien entendu l'orifice trop étroit ne le lui permit pas, mais il fit ce qu'il put pour entrer un maximum, a partir de ce moment là il enchaina des mouvements pour agrandir les parois, se penchant sur Ludmilla et lui léchant le cou

"Alors?On regrette maintenant?

- Ha !

Et merde...encore raté... a cet instant, ses yeux avaient étaient comme éjectés de leurs orbites, tant la douleur était grande, immense, intense et violente. Elle connaissait ce regard cruel, qui vous disaient que vous alliez souffrir, avoir mal et morfler. Son corps s'était raidit violemment, et son souffle était resté coincé dans sa gorge. Ce n'est que quand il s'approcha de son cou qu'elle recouvra ses esprit, lâchant une immense bouffée d'oxygène.

Elle voulut bouger le cou, murmurant quelques insultes, mais ne réussit à rien. Elle voulait le frapper, mais elle restait définitivement "bloquée", à cran... son corps ne répondait plus. Elle n'avait que ses yeux et cette douleur en elle, sentant le sang coller sur sa jambe.

- Sa..salaud !

Regard plein de haine, les sourcils froncés.

Enfin le râle d'agonie de souffrance qu'il attendait, prenant la fillette entre ses mains il la plaqua contre lui pour qu'elle s'enfonce d'elle même sur son membre, exultant, il raffermit sa prise et utilisa ses hanches pour entrer encore plus profondement, il lui sussura alors dans un soupir

"On dit maître"

Fit il avant de la retourner sur le lit et de commencer a la prendre en levrette, quelques goutes de sang tombaient sur le lit, ça ne serait pas les premières et pas les dernières. Continuant ses mouvements de bassin il la tenait ainsi contre lui et remonta ses main sur sa poitrine avant de la coller a lui, et de forcer un baiser entre ses lèvres

"Ose me dire que celà ne te plait pas?"

Sussura Don

La jeune fille avait tellement mal...une douleur atroce, inexplicable, même si une petite lumiére s'allumait en elle. Un soupçon de ... comment dire. Il y a avait eu la douleur, la peur, puis maintenant venait, même si il restait cette souffrance, un petit morceau de plaisir qui lui fit lâcher un minuscule gémissement, infime. Même si elle voulait repousse le baiser, l'éloigner d'elle, elle trouva en cet instant un réel plaisir.

Mais elle avait un amour propre, comme chaque personne. Et jamais au grand jamais elle n'avouerait qu'elle aimait ça. Jamais elle n'avouerait qu'elle aimait qu'il touche ainsi sa poitrine, qu'il fasse ses vas et viens.

- Va crever... enflure !

Bien, elle était a point, bientôt elle allait comprendre qu'il n'y avait pas de justice tel qu'on l'entendait en ce monde, seulement lui. Alors qu'il la prenait il pouvait la sentir trembler, et résister comme ça jusqu'au bout ne lui donnait que plus envie de continuer, la plaquant contre le lit il força comme une brute et se créa un chemin de plus en plus profond et de plus en plus fort dans l'intimité de Ludmilla.

"Eh bien?Tu n'a pas dit que tu n'aimait pas je me trompe?Il reste un peu de dressage a faire, mais je pense que tu es mure."

Il accellera alors le mouvement, aggripant les hanches de Ludmilla avec force pour accelerer la pulsion avant de finalement pousser un râle libérateur et se répendre en elle, l'imbibant pour la première fois...Dieu, qu'il aimait cette sensation, cette sensation d'avoir pris toute l'innocence de cette jeune fille...Il se retira d'elle et la laissa sur le lit sans se soucier de si elle s'échaperait ou non, puis il partit dans le salon et la laissa là.

Dix minutes plus tard, il revint et la plaqua sur le ventre. Il avait un objet dans les mains qu'il utilisa. Appliquant un fer rouge sur la fesse droite de Ludmilla, il appliqua son sceau sur celle ci, comme sur du betail

"Tu es a présent ma propriété...Dis merci..."

( enfin un topic que j'arrive à boucler  )

Le fer rouge faisait effectivement très mal. Tout autant que cette "première fois" douloureuse. Elle n'était pas là de l'oublier. Ah non... sûrement pas. La jeune fille enleva une larme de sa joue. Elle était dans un état second, elle avait mal... mais mal... Elle passa sa main sur la cicatrice, et faillit se brûler la main " bin je vais pas pouvoir m'assoir pendant plusieurs jours ".

- Merci.

lança t'elle d'un ton ironique.Elle voulut se relever mais la fatigue l'habitait tellement profondément qu'elle s'affala sur le sol. Endormie. La belle au bois dormant...

( dans la vraie histoire de la belle au bois dormant, un roi la trouve, il abuse d'elle pendant qu'elle dort et elle accouche.et ce n'est que quand son enfant tente de téter le sein qu'il lui arrache l'épine du doigt et qu'elle se réveille...c'est glauque... )

TOPIC BOUCLE POUR MOI ^^