Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Une maladie qui change tout ... un piège qui se referme [PV Don]

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Kimura Kaede

Humain(e)

« Wouh ! », la foule siffle et crie devant moi, « A poil ! A poil ! A poil ! », je ne peux m'empêcher de rougir devant ces garçons que j'ai côtoyé chaque jour jusque là, ce qui les fait rire un peu plus, « Allez ma belle fait pas ta timide ! », étrangement j'ai encore mes sous vêtements mais je me sens déjà nue sous ces regards brillants et emplis de vice, mon katana me manque et la même question revient sans cesse dans mon esprit …

* Comment en suis je arrivée là ? *

Mon réveil sonne, 5h du matin, je me lève sur la pointe des pieds et dans mon léger kimono de nuit je traverse la demeure silencieuse. Le silence m'inquiète, m'angoisse, tant de choses ont changé depuis que … Enfin j'arrivais à la porte de la chambre de mon père, je fais glisser le panneau et regarde par la petite ouverture. Il dort son souffle est calme, mon cœur cesse de battre la chamade et mes angoisses s'apaisent. Une quinte de toux violente se déclenche, mes peurs se ravivent comme un feu de forêt que l'on pense vaincu trop tôt. Je me mord la lèvre au sang jusqu'à ce que la toux ce calme. Le calme revient, j'attends de longues minutes pour être sure que tout va bien puis je ferme la porte, une longue journée commence.

Avant la maladie de papa j'aimais le silence, aujourd'hui je redoute de le trouver mort quand j'ouvrirai la porte. Il n'y a aucun remède connu, maladie rare et inconnue, le docteur a même dit qu'elle semblait venir d'un autre monde. Parfois j'imagine que cela est vrai, alors peut être y aurait il un remède dans cet autre monde. Tout en réfléchissant à ma vie, à la maladie, je me rends derrière la maison, le bruit de la chute d'eau qui coule dans le bassin me rassure, m'apaise. Sans pudeur, ici personne ne peut me voir, je retire mon kimono et m'installe en tailleur nue sous l'eau grondante.

Pppppppppppprrrrrrrrrrrooooooooooooooouuuuuuuuuuuuuuuu

Le bruit est assourdissant et l'eau fouette et vivifie ma peau. Ici je suis coupée de tout, ici je fais le vide dans mon esprit, je me coupe de la réalité et des soucis. Avant il s'agissait d'un entraînement pour améliorer ma concentration maintenant c'est un besoin vitale pour me permettre de garder la raison. Comment pouvais me douter qu'alors j'étais déjà épiée, que des caméras me filmaient depuis des jours, que l’œil d'un homme se délectait avec impatience des images qu'ils récoltaient avec soin, préparant minutieusement la suite.

7h après 1h30 de méditation je sors de mon refuge, je me sèche et enfile une tenue de jour. Comme chaque matin je vais nettoyer le dojo. Plus personne ne vient maintenant, les élèves de papa ont cessé de venir lorsqu'il n'a plus pu donner les cours. C'est triste de penser que dans les temps anciens ils seraient restés pour soigner et pleurer leur maître avec moi, aujourd'hui il n'y a que moi. Peut être suis je juste égoïste d'espérer un peu de soutien de leurs parts. 8H, je commence mon entraînement, je ne peux pas me relâcher pour autant.

Crac !

L'instinct, les réflexes, un bruit inattendu qui me sauve la vie et transforme cette journée habituelle en le début d'une nouvelle vie. Je me lance vers le sol à ce bruit, je roule et me retourne en me relevant.

« Yaaaaaahhhhhh ! »

Déjà l'épée de bambou que je tiens à la main se lève au dessus de ma tête, à l'endroit où je me tenais l'instant d'avant un homme vêtu d'un costume noir, lunettes de soleil noir cachant ses yeux, est déséquilibré de n'avoir pu m'attraper comme il avait pensé le faire, trop confiant de lui même.

Crac !

Mon épée s'abat sur son crane, le bambou craque et ses os alors qu'il s'effondre pour le pays des songes. Je reprends ma position, deux pas en arrière pour ne rester à ses cotés, s'il n'est pas ko il pourrait me saisir un pied. Doucement je commence à regarder tout autour de moi, sens à l'affût et en éveil. Dans l'encadrement de la porte un homme, grand, élançait, cheveux gris, un air noble et strict. Quand il me voit il souris, amusement et moquerie sur ses lèvres alors qu'il applaudit.

« Très impressionnant, il va falloir que je change de chauffeur et garde du corps il semble. », la remarque est prononcée comme si ce n'était qu'un détail.

« Mon … monsieur Tanaka ? », dis je stupéfaite en reconnaissant le père d'un de mes camarades de classe, « Que faites vous ici ? », mon épée est en position de combat devant moi prête à fendre si besoin même si cet homme est désarmé.

« Je viens visiter ma nouvelle demeure. », répond il avec de nouveau ce sourire que je n'aime pas.

« Vous devez vous tromper c'est chez moi ici, mon père ... »

« Est un homme malade », dit il en me coupant la parole, « une grave maladie à ce que je sais. Il n'a pas payé son crédit depuis plus de 6 mois alors la banque a mis la maison en vente », j'avale ma salive comprenant ce qu'il va annoncer, « je l'ai donc acquise pour une bouchée de pain. »

« Nous vous paierons un loyer monsieur Tanaka », je répond vite, trop vite, je panique et dans un combat cela peut entraîner la mort.

« Allons vous n'avez pas pu payer le crédit alors un loyer … mais ... », il a de nouveau ce sourire mais cette fois son expression semble sous entendre plus.

« Mais ? », la note d'espoir dans ma voix me trahie, encore une faute de ma part.

« Nous pouvons bien entendu trouver un arrangement … je pourrai me montrer généreux et vous laisser 6 mois de plus pour vous retourner ... »

« Que voulez vous en échange ? », méfiante, c'est trop beau pour être vrai.

« Timothy, mon fils que tu connais, fête ses 18 ans aujourd'hui. Je veux lui offrir un anniversaire inoubliable et pour cela j'ai besoin de toi … ce soir je fais une fête pour lui, sont invités ses copains de classes et certains de ses professeurs, une fête entre homme pour mon fils qui devient un homme ... », le sourire s'agrandit et mon inquiétude avec, « Je pensais payer une professionnelle mais il serai vraiment plus spectaculaire que la plus belle fille de sa classe réalise un strip-tease en cette occasion tu ne trouves pas ? », la question me laisse sans voix un moment ce qui l'amuse.

« Vous n'y songez pas ? Jamais je ne ferai ça ! »

« Alors il ne te reste plus qu'à faire les valises et à trouver un lieu pour ton père », l'homme que j'ai assommé se relève en grognant et en se massant la crane, « Bien nous rentrons Charles à ce soir mademoiselle. »

C'est avec le sourire qu'il quitte la pièce me laissant sous le choc. Désemparée je tombe à genoux et je pleure mon malheur. De longues minutes s'écoulent avant que je me calme et ne relève la tête découvrant une boîte que mes invités ont laissé en parant.

« Wouh ! A poil ! A poil ! », la foule scande de nouveau alors que je danse en petite tenue sur la musique, repoussant encore un peu le moment de l'abandonner.

« J'ai du mal à croire que ce soit Kaede en sous vêtements qui dansent pour nous. Timothy t'es génial ! »

« C'est mon père qu'il faut remercier ! La plus belle fille du lycée qui nous fait un strip ! Intégral en plus les mecs ! Vas y fait voir tes seins salope ! »

Je retiens ma colère, je n'ai jamais aimé ce petit fils à papa prétentieux. Je reporte mon attention sur mon professeur d'histoire. J'ai du mal à croire qu'il soit là, il est arrivé un mois avant la maladie de papa et depuis il m'a beaucoup soutenu. Je le devine dans la foule mais avec la lumière qui m'éclaire j'ai du mal à voir ce qu'il pense de tout ça.

« Mademoiselle vous nous avez assez fait attendre, vous avez entendu mon fils ? Vos seins maintenant ! », l'ordre est sec, d'un coup les garçons se taisent, le silence se fait, tout les regards se portent sur moi.

Je prend mon courage à deux mains, je passe mon bras dans mon dos et dégrafe le soutien gorge qui fait bondir ma poitrine. Mon bras se colle à mon corps dans un réflexe de pudeur et je retire mon dessous en pressant ainsi mes seins, cachant la vue des tétons qu'ils veulent voir, dansant de nouveau.

« J'y crois pas … putain elle est trop bonne ... »

« Les mains ! Les mains ! Les mains ! »

La foule scande, j'en suis étourdie, je tremble alors que je glisse mes mains derrière ma tête offrant à presque tous les garçons de ma classe la vue de mes seins ronds et bien dessinés, de mes tétons roses aux larges mamelons.

« Putain les seins qu'elle a ! Le rêve ! Elle est trop bonne ! Regardez elle pointe la salope ! Elle aime ça ! »

Je suis rouge de honte en entendant cela mais c'est vrai, mes tétons sont durs comme des pierres, leurs regards chauffent mon corps malgré l'humiliation et l'embarras. Je ne me souviens pas vraiment de la fin de la soirée, je suis rentrée à la maison avec un vague souvenir d'avoir fini nue sur scène et des remarques désobligeantes sur ma toison que je n'avais pas rasé. Encore secouée je me suis dirigée vers la chambre de papa pour découvrir le clou de ce cauchemar.

« Qui êtes vous ? Où est mon père ? »

Dans la pièce, a demi caché dans l'ombre un homme attend. Pas une trace de mon père, impossible qu'il soit parti de lui même, c'est tout juste s'il peut encore ouvrir les yeux. L'homme avance d'un pas et mon cœur se fige, rien ne m'avait préparé à la vérité ...

Don

Avatar d'Aphrodite

20h30

Le poing s'abbat rageusement contre la carlingue de la voiture, les yeux de l'homme étaient furibond alors que la petite frappe tremblait sous le regard de l'homme qui grognait de rage. Le moyen de locomotion avait pris cher alors que les petits yeux noirs de l'esclavagistes se tournaient vers le Yakuza qui déglutit, montrant qu'il serait peut être le prochain objet de sa furreur


"Pourquoi est ce que je n'ai pas été prévenu a temps?!"

Avant que l'homme n'aie pu répondre il le saisit par le col et le souleva de vingt centimètres au dessus du sol, c'était un Colosse, une montagne de muscles et de nerfs qui le fixait avec un regard rempli d'une furreur sans précédent. Il étranglait littéralement le japonais sous sa poigne de fer. Il avait la peau cuivrée et des cheveux noirs, de toute évidence un étranger, celà ressortait par sa grande taille.

"J'avais pourtant été clair ! Il faut m'avertir de tout changement dans les conditions banquaires de cette sale gamine, et maintenant tu me dis qu'un vieux pervers veut l'utiliser avant que je ne le puisse?!"

Il balança l'homme dans la table de réunion, renversant les cafés et regardant les yakuza qu'il embauchait a son service, des petits frappes déférées par leurs boss pour qu'ils apprennent le métier et dont il pouvait disposer a volonté. Don avait froncé les sourcils et sérré le poing. Si il y avait une chose, une seule qu'il détestait par dessus tout c'était être un numéro 2, ça le méttait hors de lui. En effet ça faisait plusieurs mois qu'il entrenait une filature discrète de Kaede, une jeune femme qui selon lui valait son pesant d'or, il avait mené personnellement des assauts pour ruiner son père et s'était occupé de miner sa santée pour que celui ci finisse par mourir, mais la laisse hériter de la maison. Malheureusement il semblerais que, parce que ses hommes n'ont pas fait leur boulot, celà n'allait pas se passer comme prévu. Et il détestait que ça ne se passe pas comme prévu. Les Yakuza s'inclinèrent respectueusement montrant a quel point ils étaient désolés et Don se calma, regardant celui qui était a moitié explosé dans la table, recouvert de café brulant. Il n'était pas efficace quand il était énervé, et surtout il avait tendance a être brutal. Très brutal.

"Je vais vous pardonner. Pour cette fois. Sachez néanmoins qu'a l'avenir je tuerais l'un d'entre vous si vous me décevez, n'importe lequel, même un méritant. Alors vous avez interêt a vous défoncer."

L'esclavagiste se rassit a la table de réunion et regarda les papiers, bon sang il lui fallait cette petite conne. Il la vendrait a un prix effarant a Nexus, et vu ses talents a l'épée, elle pourrait même lui être agréable a lui même avant tout. C'était pire que de l'obsession, c'était...

Il y avait quelque fois dans la carrière de Don ou celà s'était passé, une femme qu'il désirait plus que tout au monde avoir a ses pieds, une femme qu'il aurait a ses pieds, on pouvait parler de coup de foudre, si ça avait été réciproque, ici Kaede avait fait l'erreur d'interesser de trop près le Don. Au point qu'il laisse ses chasses de coté et ne veuille se reposer avant de l'avoir mis en cage.

Au point de devenir possessif.


"Vous allez me quadriller le lieu de la fête. Je veux que dès que la cible rentre chez elle, vous me butez tout le monde, si y'a des nana plutôt jolies vous les foutez dans la camionette mais je veux que vous les fassier se chier de peur dessus et que vous les creviez. Si ils tentent e l'emmener dans une chambre a part pour profiter d'elle vous intervenez tout de suite."

Les Yakuza se regardèrent, un tel massacre c'était a coup sur soulever des questions, mais là ils avaient plus peur de Don que de quoi que ce soit d'autre. Ils hochèrent la tête et s'exécutèrent, prêt a quitter la salle lorsque Don lança

"Ah. Sauf pour le père et le fils. Je les veux vivant."

Un sourrire acéré se dessina sur le visage de l'Ogre. Il n'avait pas fini. Loin de là.

Les yakuza et le Don assistaient a la fête depuis leur camionette et les petits frappes se taisaient, se contentant de se préparer pour l'assaut. Don exultait de rage. Lui qui aimait être le premier en tout se sentait frustré dans son désir a un point inomable. Mais pas assez pour être completement idiots.


-Aniki ! Les policiers vont faire un tour ailleurs.

"Parfait. Vous avez prévenu les voisins ?"

-Oui ! Ils s'attendent a des cris, on leur a annoncé qu'il y aurait une murder party ce soir pour un anniversaire.

Don hocha la tête. Guettant le départ de Kaede, ceux ci se mettent a marcher dans la rue, et la dépassent, encore choquée, celle ci ne remarque pas le commando de la mort qui va s'occuper de ses camarades de classe.

Les Yakuza défoncent les grilles du jardin et sortent des pistolets.


-Tout le monde dans la maison !Et que ça saute !

Fit il en tirant en l'air une rafalle, obligeant les gens a entrer a la suite du Don, il les firent alors s'agenouiller et l'esclavagiste alla trouver "Timothy" ainsi que Monsieur "Tanaka. Le grand étranger leur fit un grand sourire.

"Ah Monsieur Tanaka"

Fit il alors qu'il sortait un pistolet massif et le foutait dans la bouche de son fils, le tenant par les cheveux, le doigt sur la gachette.

"Je crois que vous avez fait l'acquisition d'une propriétée appartenant a une de vos étudiantes. J'aimerais en toute modestie que vous me l'offriez bien sur."

Lança l'homme massif avec un faux air amical, montrant qu'il n'hésiterais pas a faire sauter la cervelle de son fils adoré.

"Je vous passe un crayon pour me signer l'acte de propriété?"

lança Don en souriant. Après tout Kaede vivait dans une maison, il n'était pas impossible qu'elle soit dans la mafia et que quelqu'un de sa famille veuille se venger. Histoire d'appliquer ses arguments, Don fit un signe de tête a un Yakuza qui sortit un couteau et trancha la gorge d'un garçon de la fête. Lentement.

"Dépéchez vous, il ne restera bientôt plus d'invités."

Don n'avait de toute façon aucune intention de tenir sa promesse. Une fois l'acte de propriété signée il sourit.

"Merci. Emmenez les dans la voiture, tous les deux."

Il se les réservait pour plus tard. Les Yakuza les firent sortir pour les faire monter dans la voiture. Don fit craquer ses doigts et lança aux hommes.

"Tuez tous les garçons, attachez toutes les filles"

Si Mr Tanaka avait une fille plus jeune elle y passerait, en revanche il tuerais personnellement sa femme, si cet enfoiré en avait une. Après quoi il prendrais des photos. En peu de temps on fit sortir les filles dans la rue avec ordre de se taire pour les monter dans la camionette. Don alluma le gaz et quitta la maison avant de s'allumer un cigare et de le balancer derrière lui. Brulant toute la propriétée de Tanaka sous ses yeux. avant de se mettre a coté du Yakuza qui se trouvait dans la voiture.

"Dispatchez les dans le réseau des Escort de nos bons amis les Yakuza, qu'ils passent leur temps a sucer les noeuds des clients qui viendront se décharger dans leur corps. Je sais qu'ils sont franchement laids, mais considérez ça comme un cadeau."

Et sans en dire plus il demanda a ses hommes de diriger le camion vers son local ou il s'occuperais des jeunes femmes lui même.

Don dégraffa sa cravatte et se mit alors a courir. Avec un peu de chance il rattraperais Kaede qui rentrait a pieds. Il avait après tout reçu un entrainement de marathonien. La course a pied n'avait aucun secret pour elle, combinant celà avec un peu de saut d'obstacle, il finit par rejoindre la résidence Kimura en deux temps trois mouvements. Il allait se rendre chez son père. Ils commençaient a tous l'agacer ces enfoirés.

Tirant la porte de la maison il trouva le vieux en train de dormir dans son lit, il s'avança près de celui ci et saisit son magnum pour le pointer vers son front. Aucun sentiment dans ce regard de marbre avant de froncer les sourcils et de ranger son arme.

Non.

Il avait mieux a faire.

Un peu plus tard Kaede rentra dans les appartements de son père pour y trouver un homme de type européen assis sur un fauteuil d'un air décontracté, il portait un costume et une cravate et avait croisé les jambes sur le canapé. Faisant comme chez lui, il avait la peau sombre et ses yeux étaient noirs. Il lança un regard souriant a Kaede et allait ouvrir la bouche quand quelqu'un lui répondit.


-Je suis là Kaede

Derrière la jeune fille se trouvait son père, un plateau entre les mains avec deux tasses de thé sur celui ci. Il la regarda d'un air étrange, la dévisageant. Don ne trouva le spectacle que plus savoureux.

Le temps de s'installer, le père de la jeune japonaise lui présenta l'inconnu.


-Monsieur Dorian Garan ici présent a racheté notre maison. Il a accepté gentiment notre situation et nous a permis de rester vivre ici a condition que nous lui payons un loyer. Ca veut aussi dire qu'il vivra sous notre toit. Monsieur Garan voici ma fille Kaede.

Dorian avait presque la trentaine, il pourait être le père de la jeune femme si lui même, il la salua d'un hochement de tête

"Ravi de vous rencontrer miss Kimura, votre père ne taris plus d'éloges sur vous."

-Hj-Je vais donc habiter sous le même toit que Kaede :) je vais te laisser faire les arrangement des chambres et tout le reste. Que porte Kaede alors elle n'est pas rentrée en sous vetements ^^-Hj-
« Modifié: mercredi 11 mai 2011, 23:17:54 par Don »
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Kimura Kaede

Humain(e)

 « Monsieur Dorian Garan ici présent a racheté notre maison. Il a accepté gentiment notre situation et nous a permis de rester vivre ici a condition que nous lui payons un loyer. Ça veut aussi dire qu'il vivra sous notre toit. Monsieur Garan voici ma fille Kaede. »

 Père ! », je me retourne prise de panique, juste à temps pour le rattrapper alors qu'il est sur le point de s'écrouler.

Ssssssssshhhhhhhhhhhhhh !

 Aaaaahhhhhhh ! »

L'eau du thé se renverse un grande partie sur le sol, le reste sur mon uniforme de classe, sifflant alors que mon chemisier blanc colle à ma peau et m'arrache un cri de douleur. Le plateau tombe au sol, les tasses rebondissent et roulent. Je serre les dents et dépose mon père avec douceur avant de me retourner.

 Comment avez vous osé le faire se lever pour vous préparer du thé ! Il n'a pas le droit de bouger, il a à peine la force d'ouvrir la bouche quand je lui donne à manger ! »

La colère me submerge et je hurle sur cet homme que je ne connais pas.  Je hurle comme s'il était responsable de tous mes malheurs, comme si c'était lui qui m'avait fait vivre la pire humiliation de ma vie cette nuit et non Tanaka. Face à ce colosse je ne suis qu'une petite fille dont le chemisier colle à la peau et dévoile des seins de lait presque avec autant de détails que si je ne portais rien. Ce soir je ne le réalise pas, je ne fais plus attention à l'image que je donne, l’inquiétude qui m'a submergé lorsque je n'ai pas vu père dans son lit à laisser libre cour à ma colère.

 Sortez de chez nous ! Je me suis arrangée avec monsieur Tanaka qui a racheté la maison, nous avons encore 6 mois devant nous ! »

Je venais de faire tant d'efforts, j'avais vécu juste quelques heures plus tôt le moment le plus dur de ma vie et voilà qu'il m'annonçait que c'était pour rien ! Dire que j'avais même du rentrer sans mes sous vêtements Timothy les ayant gardé en souvenir en plus d'une photo de moi nue sur ses genoux.  J'inspecte la chambre du regard, à priori il est seul … ce soir je ne suis plus d'humeur à discuter, même plus d'humeur à l'écouter parler. J'avise le katana de père sur le mur et je souris. Une erreur ! Encore une ! Je vois bien que mon sourire l'a intrigué, il remonte le chemin de mes yeux et découvre l'arme.

Il s'apprête à dire quelque chose, je le vois ouvrir la bouche mais je ne l'écoute pas. Je me précipite vers le mur de droite, ma jupe se soulève laissant voir mes jambes et mes fesses, confirmant l'absence de petite culotte, la première fois que je porte une jupe sans. Mes mains se referment sur le katana et je pousse une exclamation de triomphe. Par prudence je roule sur ma droite en me retournant pour être de biais face à la pièce, pas question de le laisser m'attraper s'il a tenté de prendre l'arme en même temps que moi.

 N'allez pas croire que je ne sais pas m'en servir … comme vous devez le savoir père est un grand maître d'arme, il a développé son propre style et je suis son héritière ... », s'il est vrai que père à développé sa propre technique secrète à l'épée il n'a malheureusement pas encore eu le temps de me la transmettre,  Partez de chez nous maintenant et il ne vous arrivera rien … sinon ! »

Je porte mon arme a ma taille, la main gauche sur d'elle, proche du début du fourreau, ma main droite reste sure d'elle sur la garde du katana de père. Un expert peut reconnaître l'iaido ou la technique du sabre au fourreau, une technique basé sur la fluidité du mouvement et l'harmonie avec le sabre. Le principe est de trancher en un seul mouvement, augmentant la vitesse de l'attaque par la sortie de l'arme de son fourreau. Une technique qui a plus pour base de laisser venir l'adversaire et pour l'instant j'espère surtout l'intimider et le voir sortir simplement ...

Don

Avatar d'Aphrodite

Dorian regarda le père s'effondrer avec une fausse inquiétude et se fit réprimender avec colère par Kaede, réaction atypique, vu la soirée de merde qu'elle venait d'avoir, celle ci lui offra un joli petit spectacle néanmoins mais Don ne se rinça pas l'oeil il se contenta de regarder d'un oeil critique la jeune femme, la façon dont elle bougeait et se battait. En effet pour ce qui était de regarder son corps il aurait tout le temps du monde quand il la "posséderait" et qu'il la trainerais au bout d'une laisse, qui plus est provoquer une errection a ce moment là serait un moyen sur de le trahir, les années d'experiences lui avait appris a garder sa concentration tant que sa cible n'était pas acquise. Il la regarde faire son chemin vers le Katana.

Holà serieusement?

Pendant tout l'échange avec Kaede, Don a été entièrement silencieux, assis a sa place, les jambes croisées, il la laisse faire son chemin vers le sabre pour le décrocher du mur et se placer en position pour le frapper. Le Iado, il connaissait très bien ce style de combat, quand on a une longue experience dans le domaine de la capture on finit par se renseigner sur toutes les formes de combat. Et pas mal des filles épéistes qu'il avait capturé affectionnaient ce style. Néanmoins la lame est vulnérable une fois dégainée, le principe est qu'il ne faut pas laisser l'utilisateur rengainer la lame une fois celle ci hors de son foureau, ce que les utilisateurs du Iaijutsu étaient particulièrement doués a faire.

Don ne bougea pas et regarda Kaede dans les yeux d'un ton neutre. Le fait d'avoir été menacé d'une arme et insulté par une femme a moitiée nue en colère ne provoqua chez lui qu'un froid et une indifférence tactique. Si Kaede voulait le tuer ici et maintenant il suffirait qu'elle dégaine et lui tranche la gorge. Néanmoins...

Il savait que la petite n'était pas une tueuse. Ca se voyait dans ses yeux, ça se voyait dans sa façon de se comporter et sa façon de se mouvoir, elle était une experte au sabre, mais n'avais jamais tué de sa vie. Ce qui lui donnait un avantage indéniable car il savait parfaitement le bruit que faisait des os qui craquaient. Il la tiendrait en respect de par son regard, sachant parfaitement qu'elle n'aurait jamais le cran. Elle lui intima de partir. Don se leva et d'un coup Kaede put voir que l'homme avait trois tête de plus qu'elle et des muscles plus gros que ses cuisses. Il lui suffirait d'un coup bien placé pour la casser en deux...Néanmoins Don dépassa Kaede.

Il ne sortit néanmoins pas, et se pencha sur le corps du père de Kaede, il était trop massif pour qu'elle puisse le porter elle même, et le souleva avant de l'emmener vers le lit et de le coucher et border, il lui pris sa tension avant de reposer sa compresse sur son front et de se relever. Elle pouvait l'attaquer a tout instant pendant cette scène, néanmoins elle aurait risqué de blesser son père pendant qu'il le portait. Il procéda avec une extrème lenteur et une fois celà fait il commença a parler.


"Maintenant que vous êtes parlé je vous prie d'accepter mes excuses, j'ignorais que votre père était souffrant, et comme il a proposé d'aller faire du thé je n'ai pas objecté car l'étiquette japonaise veut que le maître de maison offre le thé et je n'ai pas voulu le froisser. Croyez bien que si j'avais su je me serais chargé moi même de le faire."

Il se retourna vers Kaede et sortit d'une de ses poches le contrat en bonne et due forme, il gardait pour lui la reconnaissance de Tanaka pour le moment, lui montrant simplement qu'il possédait le titre de propriété de la maison.

"Je ne sais pas qui est ce Mr Tanaka mais voici la preuve que je suis le propriétaire légal de cette villa, si celà peut vous rassurer je suis un homme plutôt aisé, je peux mettre une infirmière au service de votre père. Celà vous permettrais de vous soucier uniquement de vos études, comme il m'en a formulé le souhait."

Là il improvisait mais il était évident que le père de Kaede souhaitait que sa fille poursuive ses études plutôt que de devoir se sacrifier pour qu'il aille mieux. Il l'observa de cet air toujours neutre.
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Kimura Kaede

Humain(e)

Par les dieux cet homme est immense … Jamais je n'ai rencontré d'hommes aussi grand, pas moins de trois de têtes de plus que moi. Alors qu'il se déplace je peux deviner des muscles puissants sous sa chemise. Je le menace de mon katana et pourtant il dégage une sérénité et un calme qui sont des plus troublant. Oh n'allez pas croire qu'il ne me prend pas au sérieux, bien au contraire, mais à ses gestes je peux sentir un guerrier, un combattant … Je me mordille la lèvre nerveusement alors qu'il s'approche de moi.

« Qu'est ce que ? »

Surprise de le voir se saisir de mon père il m'est impossible d'attaquer, maintenant je ne pourrais que blesser également l'homme qui compte le plus à mes yeux. Ma main se crispe sur la garde de mon arme, mon regard s’affûte. La tension que l'on peut y lire est bien vite remplacé par la surprise de voir ce colosse, ce guerrier, maintenant médecin auprès d'un malade. Ses gestes sont devenus délicats pour border le souffrant et replacer la compresse froide, après un tel effort il est évident que mon père doit de nouveau souffrir de la fièvre et il l'a bien compris.

« Maintenant que vous êtes parlé je vous prie d'accepter mes excuses, j'ignorais que votre père était souffrant, et comme il a proposé d'aller faire du thé je n'ai pas objecté car l'étiquette japonaise veut que le maître de maison offre le thé et je n'ai pas voulu le froisser. Croyez bien que si j'avais su je me serais chargé moi même de le faire. »

Le climat a changé … voilà que l'arme que je tiens ne me semble plus justifiée … voilà que j'ai l'impression d'avoir paniquée et menacée celui que je n'aurai pas du … Je baisse légèrement la tête, honteuse et je lui répond en le regardant par dessous mes cheveux, comme un chien qui a fait une bêtise, sans avoir conscience de l'image que je donne.

« Je vous prie de m'excuser … je viens de vivre la pire soirée de ma vie … papa me dit souvent que je m'emporte trop facilement », il se retourne et me tend un papier, je me sens si petite sous le regarde de ce colosse.

« Je ne sais pas qui est ce Mr Tanaka mais voici la preuve que je suis le propriétaire légal de cette villa, si cela peut vous rassurer je suis un homme plutôt aisé, je peux mettre une infirmière au service de votre père. Cela vous permettrais de vous soucier uniquement de vos études, comme il m'en a formulé le souhait. », après l'humiliation que l'ignoble monsieur Tanaka m'a fait subir voilà qu'un parfait inconnu se montre bon avec moi et mon père sans raison, je réponds de nouveau, toujours en le regardant par dessous mes cheveux et en devant cette fois également lever la tête.

« J'ai honte … je … j'ai cru monsieur Tanaka … sans même demander à voir l'acte de propriété ... », j'ai du mal à le croire mais j'étais si choquée que j'ai été stupide une fois de plus, « J'ai été manipulé et ce n'est en rien votre faute … visiblement vous êtres vraiment le propriétaire des lieux … je vous prie de bien vouloir me pardonner ... », je raccroche le katana au mur et me dirige vers la porte.

« Si vous voulez bien me suivre, je vais vous faire visiter les lieux et répondrais à vos questions, laissons père se reposer. », je referme la porte derrière nous avec un regard tendre sur père qui a repris un souffle court, lui aussi semble apaisé.

« Par ici ... »

Je passe devant mon hôte et je corrige dans la tête, le maître des lieux, je rougis et le regarde par dessus mon épaule, le maître lui va étonnamment bien. La chambre de père est en bout de l'habitation, un peu isolé et à l'écart. On pourrait croire que cela a été choisi pour que je puisse faire tranquillement le mur mais il n'en est rien, en fait c'est une ancienne salle d'entraînement qui a été converti en lieu de convalescence depuis le début de la maladie. Le couloir débouche sur un grand salon, le salon est ouverte sur une jolie cuisine carrelée. J'ai l'habitude de préparer le petit déjeuner et les repas de père alors sans vraiment me poser la question je demande à l'homme qui me suis.

« A la maison je m'occupe depuis toute petite des repas, souhaitez vous que je prépare les vôtres également ? », je réalise alors qu'il n'a pas eu droit au thé comme toute bonne convive dans la tradition, « Je suis navrée d'avoir gâcher votre thé, permettez moi de vous en préparer une tasse maître … monsieur ... »

Je suis encore dans cette stupide idée de maître, je rougis d'un coup et sans attendre commence à chercher dans les placards. J'ai toujours été attirée par les hommes forts, la vérité c'est que je ne suis attirée par les hommes plus fort que moi, et là il est évident que c'est le cas. Avec les années de drôle de fantasmes de soumission et d'obéissance sont apparus chez moi sans jamais oser l'avouer ou en parler à qui que ce soit et voilà qu'avec mes nerfs à vifs ce soir je laisse échapper des mots que je ne devrais pas.

Dans la placard je trouve enfin le thé. J'ouvre alors une petite commode et y cherche un nouveau set à thé. Ce n'est pas ici qu'il se range habituellement, mais là je suis venue chercher celui de remplacement qui est tout en bas. Ma jupe se relève sans que j'y fasse attention et l'homme peut voir apparaître mes fesses laiteuses, si rondes, à la peau qui semble si douce. Entre mes cuisses se devine mes lèvres intimes, une fente délicate qui semble briller légèrement. Je trouve enfin le service et me relève, je vais jusqu'à l'évier pour le laver, il a pris un peu la poussière.

* ça serai bien mieux nue ...*

« Vous avez dit quelque chose ? », dis je en sursautant, j'ai eu l'impression d'entendre … mais je me suis déjà si souvent trompée cette nuit ...

Don

Avatar d'Aphrodite

Oh bien sur, il la faisait passer pour une idiote complète en lui disant qu'elle avait fait tout ça pour rien. Néanmoins c'était toujours mieux que de lui dire la vérité. Kaede avait ressenti en lui un guerrier, néanmoins elle était loin de la vérité. Il n'était pas un guerrier, il ne savait pas combattre, il savait simplement être efficace, et il était un expert de la nature humaine. Il savait que même si il avait été un "méchant" et que Kaede l'aurait attaqué, elle n'aurait surement pas eu le cran de le finir. Aussi ne s'était il pas inquiété. Ce n'était pas parce qu'un homme avait des muscles qu'il était un guerrier, dans le cas de Don par exemple ses muscles lui venaient d'un entrainement physique constant de marathonien, en effet la course était son premier atout, que ça soit pour rattraper quelqu'un ou pour s'enfuir, courir vite était une prioritée absolue. Il hocha la tête a sa constatation. Lui montrant qu'il ne lui en voulait pas. Bien. Elle allait reposer son katana a présent. Parfait. Tout se déroulait exactement comme il l'avait prévu. Le colosse se leva et décida de la suivre pour la visite des lieux, les mains dans les poches. Oh cette maison était sympathique bien sur, mais il attendait avec impatience un AUTRE type d'inspection des lieux, dont il eu néanmoins un avant-gout grace aux vetements mouillés de Kaede et son manque de sous vetements par ailleurs.

La gamine a l'air complètement troublée par sa présence, plus que la soirée il y avait quelque chose de mieux là dedans...Serais ce possible que...Ce coup de foudre soit réciproque ? Don sourit comme un carnassier. Peut être n'aurait il même pas a forcer la chose. Si il s'écoutait il l'allongerais tout de suite avant de la prendre dans son uniforme scolaire, néanmoins ce ne serais pas drôle. Il voulait tacher de l'humilier un maximum. Il aurait aimé faire du chantage a Kaede de la façon que Tanaka avait fait, mais après le coup de ce soir celà aurait paru quelque peut évident. Il fut surpris qu'elle l'appelle si vite maître, il n'allait pas lui dire de se retenir hein, ça serait une erreur a ce niveau là.


"Maître fera l'affaire"

Lança t'il sur un ton affable. Il ne lui expliquerais pas pourquoi. Peut être était il un avocat, peut être était il un professeur, toujours était il qu'il allait laisser planer le suspens sur cette question et voir comment elle réagirais. Il s'assit a une table alors qu'il devait se retenir devant le spectacle qu'elle lui offrait. Il restait silencieux, calculateur, essayant de prévoir ce qui allait se passer pour la suite...

"Je disais que ce serait mieux pour vous de prendre vos aises dans des vetements secs. Mais merci pour le thé"

Lança t'il. Il allait la forcer a changer de garde robe pour voir ce qu'elle ferait...Il lança

"Je veux bien que vous vous occupiez de mes repas Kaede. Y'a t'il d'autres services que tu souhaiterais faire pour moi ?"

Lança t'il innocement. En prennant le thé en main, il le touilla un peu. Il détestait le thé en vérité. Mais pour la petite comédie il n'hésiterais pas a le boire comme si il s'agissait de bierre. Il lança une petite pensée a ses Yakuza qui seraient très occupés. Il attendit qu'elle revienne vers lui après ça et l'invita a s'asseoir a sa table

"Je souhaite vous connaître un peu plus Kaede, puisque nous allons vivre sous le même toit. Que faites vous comme études ? Avez vous une ambition dans la vie ? Un petit ami ?"

Comme elle semblait naturellement en besoin de parler...Voire d'en faire plus...Il allait appuyer sur cette corde. Il sentait qu'avec elle il allait pouvoir y aller vite. Il posa un coude en arrière et la laissa parler, le but était de la laisser continuer sur cette voie sans vraiment la pousser puis il lança a Kaede.

"Tes problèmes d'argents sont ils si importants ? J'ai cru comprendre vu ta...Tenue que tu avais du en venir a certaines extrémitées pour payer le loyer. Tu as connu beaucoup d'hommes ?"

Il lui parlait ainsi avec une facilité déconcertante. Il se sentait en confiance suite a son petit génocide du début de soirée, quoi qu'elle réponde, il pourrait rebondir.
« Modifié: lundi 16 mai 2011, 21:42:14 par Don »
Oh mon dieu vous avez vu l'heure?

Nombre de victimes : 37
Le plus chouette c'est Don!
Thème de Don
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Artwork par Louis Cyphre (Cliquez pour voir l'art complet)


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