Dans cette cabine privée d’un bar bien connu de Lisbeth, cette dernière n’avait pas attendu longtemps pour chauffer son sauveur. En effet, elle avait rapidement glissé entre ses jambes pour libérer le membre de l’homme, et se faire un devoir de l’exciter. Et bien sur, lorsqu’elle le prit en bouche, Mach ne put s’empêcher de l’être, en laissant entendre son plaisir. D’ailleurs, dans cette position, il ne pouvait pas faire grand-chose, hormis poser ses mains dans la chevelure de la belle femme, et lui imposer un rythme, lorsqu’elle le lui demanda. Mais, il finit par la relever, au grand dam de la demoiselle, mais, il fallait bien varier les plaisirs.
Ainsi, le mercenaire l’enlaça, collant donc leur corps l’un à l’autre. Par contre, il n’avait pas prévu que son membre se glisse entre les cuisses serrées de Lisbeth pour venir se frotter contre l’intimité humide de la jeune femme. Mais, il ne chercha pas à le retirer, puisque s’était agréable de sentir cette légère pression, des jambes, sur son membres qui se lubrifiait de la cyprine de son amante, et gonflait davantage. Pendant ce temps, il l’avait enlacé et embrassé fougueusement, alors que ses mains parcouraient son dos. Mais, il n’était pas le seul à bouger, puisqu’il sentait le bassin de sa compagne ondulait sur son sexe, comme une invitation à l’y faire rentrer, ce qu’il ne comptait pas faire tout de suite.
- Je pourrai donc te remettre tes barres, et te les retirer qu’une fois que nous serions tous les deux alors ?
Bien sur, s’était une plaisanterie, comme le ton et le sourire taquin qui s’afficha sur son visage, alors que ses mains étaient à présent venues malaxés ses fesses, comme pour imager ses propos. En plus, il ne les avait pas ces barres, puisqu’il les avait jeté au fond du lac, preuve supplémentaire qu’il taquinait Lis. Il revint d’ailleurs l’embrasser fougueusement, alors que sa main droite vint jouer avec l’un des seins de la jeune femme. Et on pouvait aussi voir sur celui-ci l’excitation qu’elle avait, puisque son téton avait durcit. Il lui fit moult caresses et jeux sur ce dernier avant qu’il ne plonge son regard dans celui de la ravissante jeune femme.
Il sembla y déceler un peu d’inquiétude, de doutes et de désarroi, qu’il voulut tout de suite faire disparaitre en l’embrassant fougueusement une nouvelle fois, jouant de la langue avec vitesse ou lenteur selon les moments. Enfin, jusqu’au moment, où Lisbeth se libéra de son étreinte et se releva. Il la vit alors lentement appuyer sur un bouton, se demandant tout de même ce qu’elle comptait faire. En tout cas, il comprit bien vite quand il la vit se mettre à danser au rythme de la musique. Une danse sensuelle, envoutante durant laquelle elle se caressait et ôtait une partie de ses vêtements. Ce qui avait fait son effet, puisque le membre de Mach était plus dur que jamais.
-…Pfff qu’elle beauté…
Siffla t il alors qu’il s’installait confortablement sur le canapé, s’y adossant totalement profitant du spectacle. Cela dura quelques minutes, où le jeune homme posa son regard sur chaque parcelle du corps de sa belle, qui ne tarda pas à venir se mettre de nouveau à genou devant lui, et s’emparer avec avidité de son membre qu’elle enfourna complètement dans sa bouche. Elle commença à le sucer avec une envie telle, que Mach ne put s’empêcher de gémir.
- On dirait que tu aimes çà ?
Ne put il s’empêcher de dire en baissant le regard pour la regarder faire. Puis, elle s’arrêta et le regarda lui demandant, presque en le suppliant, comment elle devait l’appeler. Mach se pencha alors en avant, reculant un peu son postérieur sur le siège, pour pouvoir baisser son visage presque à hauteur de celui de Lis, qui avait du un peu lutter pour garder le sexe du jeune homme en main, en le masturbant toujours.
- Mais, comme tu en as envie. Je ne vais pas t’imposer cela, puisque je ne suis pas ton maître, mais ton amant.
Dit-il simplement, une man sur la joue de son amante, a caressant tendrement, avant de venir l’embrasser de nouveau à pleine bouche. Il profita aussi de cette position, pour glisser son autre main sur la poitrine de la jeune femme, et commencer à lui malaxer, toujours avec douceur, l’un des seins. Que se soit d’ailleurs à pleine mains, du bout des doigts, ou simplement deux doigts jouant avec son téton de diverses façons. En plus, la peau ici était encore plus douce et plus chaude que le reste de son corps, ce qui la rendait sans doute aussi plus sensible