Tout en poursuivant fermement ses caresses sur sa poitrine, la vampire laissa son amante glisser ses mains sur elle et la caresser sous sa robe... Oui, elle adorait sentir des mains coquines et expertes passer sous sa robe pour la caresser à même la peau, surtout des mains aussi fines et aussi douces... Les mains des femmes étaient bien les meilleures à ce sujet et celles de Calliope parvenaient à se hisser au sommet de son classement personnel tant la Muse était incroyable. Elles étaient douces quand il le fallait, fermes au bon moment et au bon endroit, comme quand elle l'avait attirée contre elle en pétrissant ses fesses. On sentait une grande expérience qui ravissait la vampire et stimulait son excitation et son désir. Oui, elle avait de plus en plus envie d'elle...
Aussi, quand son amante avoua qu'elle avait envie d'elle, la vampire ne se fit pas prier et, sans un mot, elle descendit doucement, très lentement même, le long du corps de son amante, collée à elle, sa poitrine descendant sur son ventre, puis son bas-ventre... Enfin, une fois à genoux, elle sourit et entreprit d'ouvrir le pantalon de la jeune femme et de le descendre avec avidité et empressement, presque sauvagement, bestialement même.
Elle tira aussitôt sur son sous-vêtement, si elle en avait un, passa un rapide coup de langue sur son bouton d'amour et déposa doucement sa bouche sur l'entrejambe de son amante, les lèvres plaquées contre celles de son intimité, sa langue venant les écarter et les explorer, d'abord tendrement, surtout sur la surface, puis plus rapidement, pénétrant à l'intérieur. Tout en faisant cela, elle levait les yeux vers elle et la regardait sensuellement. Ses deux mains avaient attrapé les jambes de la Muse et les tenait, soulevant la femme sans peine.
Ainsi, la vampire montrait son envie et sa gourmandise. À défaut d'avoir son sang, elle comptait goûter son plaisir...