Gregore venait de finir sa journée, aussi prit-il le chemin de sa maison pour préparer des cours entre deux leçons de dressages, justement l'une des ses esclaves étaient dans le lycée, une humaine, qu'il avait prit dans la rue. L'éduquer convenablement ne fut pas difficile, la demoiselle était déjà agonisante et dénuée d'un esprit rebelle.
Les femmes dressées par Gregore sont d'un fidélité envers ce dernier à toute épreuve, cela empêchant les clients d'ordonner à sa marchandise de se retourner contre lui.
L'homme prit donc le chemin le plus rapide, prenant le couloir nord pour sortir par le parking, c'est alors que des bruits de pas se firent entendre, l'esclavagiste n'eut qu'à tendre l'oreille pour estimer la personne venant, de petit pas, une personne assez petite, au rythme, cela devait être une femme, oui le pas de l'homme et de la femme possède pas mal de différence.
Il se mit à réfléchir, qui pouvait être cette femme, pas une élève modèle, plutôt une rebelle ou une victime, les victimes il les connaissaient de près, très près pour certaine, et d'autre de loin.
Gregore se planque entre deux casiers et attend que la demoiselle passe à gauche, tournant le dos à l'esclavagiste.
Ce dernier fit bipper le téléphone de son esclave et attendit qu'elle décroche pour dire.
- Oui c'est moi, va près de la salle de biologie, une jeune fille fait un tour de nuit dans les couloirs, cueille là pour moi veux-tu ?
[Deux minutes plus tard.]
Une silhouette apparu devant Makoto, qui eut tôt fait de la reconnaitre.
Il s'agit de
Misato Hiko (fausse identité), une élève studieuse, mais qui semble très fragile, on ne compte plus ses nombres d'heures à l'infirmerie.
- Bonsoir, je vois que je suis pas la seule à vouloir faire peur aux retardataires.(rire)L'esclave, habillée en rouge et noire, jouait la carte de la niaiserie, chose que son maître ne pouvait que complimenter, Misato est toujours utile pour rabattre ses proie. L'homme regardait la scène de plus loin, il devait avant tout savoir si sa proie possédait des pouvoirs et si oui, lesquels.