Sa phobie commençait tout juste à se calmer que Rosalie sentit la main massive et puissante de Don s'accaparer ces cheveux pour s'en servir de laisse improvisée. La demoiselle tenta de se débattre, mais dès qu'elle sentait le contact de l'eau, elle devenait beaucoup plus calme et tremblait comme une feuille, plus les deux personnes s'approchèrent de la douche, plus elle se mettait à trembler. Rient de plus normal, car elle s'était entrainée à savoir où était les zone à risque, les douches entrant en compte jusqu'aux robinet et tuyaux d'arrosage. Elle se mit à crier d'un coup utilisant toute ces force pour ce concentrer sur les paroles qu'elle voulut formuler et repousser avec son esprit sa phobie l'espace d'un instant, ce qui montrait que malgré sa faiblesse face à cet élément liquide, elle possédait une esprit très résistant.
- Laissez moi tranquille !
Une fois que le colosse laissa les cheveux de la demoiselle tranquille, elle continuait à trembler, elle se savait prise au piège et que son bourreau ne voulait que l'infliger les pires souffrances que son cerveau détraqué peut créer. Elle se concentra pour essayer de se relever, mais pile à ce moment une main ferme la saisi au cou, la laissant pousser un léger gémissement car la prise était puissante et Rosalie ne pouvait pas se défendre et tenter de calmer son corps qui présentait les action que Don allait faire.
Elle se mit vraiment à gigoter en pleurant quand son geôlier, voyant au dessus de sa tête le danger qui allait s'abattre sur elle à tous moment, à ce moment elle dit d'une petite voix.
- Ayez pitié de moi, ne me faites pas ...
S'en suivit le déversement de l'eau glaciale, la température de l'eau fit l'effet d'un fouet sur la peau de Rosalie, elle n'avait jamais prit de douche depuis la naissance de sa phobie, utilisant des sorte de lingette contenant un agent nettoyant. L'eau réactiva sa phobie et en plus puissant car à ce moment précis l'eau s'infiltrait partout, sous son corset et sa culotte, tout son corps fut donc inondé d'eau.
La peur phobique qui l'a prit à ce moment la fit crier, un cris de terreur avec des larmes qui coulaient sur ces joue et étaient emportées par le jet d'eau, ces yeux était grand ouvert, la tête vers le bas, la bouche ouverte, la respiration était haletante et le corps dans une état de faiblesse tels que c'était Don qui maintenait Rosalie debout.