Hinata, cette fille, elle me rend complètement accro. Depuis des mois, on se parle et elle a capté toute mon attention. Sa façon de s'accrocher à moi, c'est comme une drogue. Et son corps... ouais, il m'envoie en l'air, ça c'est sûr. Je suis foutu dans ce jeu, ça me ramène à mes vieux démons, à cette adrénaline de séduction que j'adore. Alors quand on se chauffe par téléphone, c'est comme si j'étais dans un trip. Les sextos, les photos suggestives... ouais, je savoure chaque foutu message. Je sais pas ce que c'est, mais y'a un truc avec Hinata. Peut-être que c'est sa manière de parler, de me dire des trucs qui me font monter la pression. Ou alors c'est son regard, même à travers un écran, il me rend dingue. Et ces photos qu'elle m'envoie, c'est comme si elle m'embrasait de l'intérieur. J'en peux plus d'attendre de la voir en vrai, de sentir sa peau contre la mienne. Le truc avec elle, c'est que je sens qu'on est sur la même longueur d'onde. Comme si on se comprenait sans même se parler. Et ces conversations, elles me font vibrer. Je sais pas où ça va nous mener, mais pour l'instant, je kiffe chaque putain de moment avec elle. Ouais, c'est comme si on était connectés d'une manière que je peux même pas expliquer. Et j'ai hâte de voir où ça va nous mener.
La journée a été longue, à bosser avec les gars du groupe sur notre prochaine tournée. Dans trois jours, on débarque dans la ville où habite Hinata, et ouais, j'ai hâte de la voir. Rien que d'y penser, ça me donne un putain de sourire. Mais ce qui me rend encore plus impatient, c'est d'attendre ce message de sa part ce soir. Ça sera le signal pour une soirée où je pourrai juste me détendre en admirant les photos qu'elle m'envoie. On peut dire qu'elle me rend dingue. Ces conversations, ces échanges, c'est comme une putain de drogue. J'ai jamais ressenti ça avant. !Je suis là, dans ma piaule d'hôtel, le portable collé à la main, en train de scroller sur les réseaux sociaux, quand bam ! Une notif d'Hinata. J'ouvre ça direct et je tombe sur une photo d'elle, accompagnée d'un p'tit message. Putain, je peux dire que mon cœur s'est mis à danser la macarena dans ma poitrine. Cette meuf, elle est juste... ouais, comment dire... bandante à souhait. Elle m'enivre, jamais personne n'a eu cet effet sur moi, qu'il soit physique ou psychologique. Je fixe la photo, et bordel, j'ai l'impression qu'elle est là, juste à côté de moi. Son sourire, ses yeux qui me déshabillent, ouais, ça me fout en émoi. Je sens mon corps réagir, comme s'il voulait la toucher dans son intimité la plus profonde.
«
Hey Babe, tu sais bien que tu m'rends dingue. J'ai presque envie de te mettre en fond d'écran dans cette tenue... »
Je me lève, les lèvres frémissantes d'envie. Putain, j'ai juste envie de l'arracher de cette foutue photo, de révéler ces gros seins que j'imagine, et de les prendre en bouche. Ouais, je veux les sentir, les lécher, baver dessus. Et puis, je veux l'embrasser, la prendre dans mes bras, et enfoncer ma langue de démon dans sa bouche, comme si c'était la dernière chose que je faisais sur cette de Terre. Je pose mon téléphone sur la table de nuit, l'excitation me montant crescendo. Je prends une seconde pour me changer rapidement, choisissant une tenue qui met en valeur mes muscles, une expression sexy sur le visage. Une fois prêt, je mets le minuteur sur mon téléphone, ajustant la lumière et la pose pour obtenir le meilleur cliché possible. uand le temps est écoulé, je récupère mon téléphone, jette un coup d'œil rapide à la photo pour m'assurer que tout est parfait, puis je la lui envoie avec un message taquin, plein de promesses.
«
J'espère que ça te plairas tout autant... »
Je ressens un désir brûlant pour cette femme avec qui j'entretiens cette relation virtuelle. Je me mords la lèvre, un sourire presque sadique naissant sur mon visage, tandis que je caresse ma queue avec envie, mes mains glissant sur mon corps. L'excitation monte en flèche, mon esprit en ébullition, je me laisse emporter par mes fantasmes les plus fous. Je suis complètement absorbé, imaginant chaque détail de la photo d'Hinata, laissant le désir me consumer de l'intérieur. Mes gestes deviennent plus rapides, plus intenses, et je grogne de plaisir, complètement immergé dans l'instant.
«
Plus que trois jours, j'espère que t'as autant hâte que moi, parce que je n'en peux plus d'attendre... ! »