Retour à la civilisation (PV Don)

Il eut été tellement facile de répondre "Vous souhaitez que je vous étonne ?Que dites vous de ça : Dans environ une heure après que j'en aie fini avec vous vous serez ma propriété et je vous vendrait dans très peu de temps a un tas de nobles libidineux qui feront ce qu'ils veulent avec vous, que je vous ait droguée pour que vous soyez attirée par moi et que vous n'auriez jamais fait ça si vous aviez été un peu sensée et que oh, je suis le premier esclavagiste de tout Nexus et que vous finirez votre vie en temps qu'esclave?". Et la tronche qu'aurait tiré Miya aurait été impayable, malheureusement pour elle il faudrais qu'elle découvre celà d'elle même, après tout Don n'était pas homme a gacher le plaisir de la surprise. Souriant, il la laissa se retourner. Il pouvait très bien voir que cette fille possédait une arrogance déplacée, peut être due au fait qu'elle croyait qu'il en avait JUSTE après son corps maintenant, et qu'elle n'imaginait pas qu'il puisse ensuite le revendre comme on revendrais une voiture d'occasion.

"Mais ne dis t'on pas que c'est dans les vieux pots qu'on fait la meilleure confiture?"

Répondit il avec un ton enigmatique alors qu'il se penchait sur elle et se mettait a commencer de violents va et viens alors que sa bouche caressait sa poitrine, se mettant a sucer, mordiller et lécher ces seins si généreux, ses mains se recallant au niveau de ses fesses, appuyant ses vas et viens avec frénésie

Alors Miya se laissa faire. Qu'aurait-elle pu faire d'autre ? Son corps, solitaire pendant si longtemps, avait besoin de toute cette attention. Elle gémissait - non, elle ne criait pas - à chaque coup de rein que Don s'évertuait à donner de plus en plus puissamment, comme s'il avait besoin de prouver sa virilité. Elle aurait aimé un peu de douceur - elle avait envie d'être étreinte, caressée. Mais cette aventure de quelques minutes - à ce train là, Don n'allait sûrement pas tenir longtemps... - était du sexe pour du sexe, et cela convenait parfaitement à Miya... Du moins pour l'instant. Pas question qu'il croit un instant qu'elle resterait avec lui après cette partie de jambes en l'air.

Pourtant, il fallait reconnaître une chose à l'homme : c'était un sacré bon coup. Miya prenait un plaisir incroyable - mais elle ne l'avouerait jamais à Don, il ne fallait pas non plus qu'il prenne la grosse tête... Miya l'agrippa par les cheveux et se cambra pour rapprocher sa poitrine de la bouche de Don, toujours plus près, pour davantage de plaisir. Elle voulait que ça dure le plus longtemps possible.

Miya avait l'air d'en vouloir et sur le coup le marchand se sentit piqué dans son amour propre. Elle pensait surement qu'il n'était pas capable de satisfaire une femme ? Il n'était pas doux, il n'allait pas a l'encontre de sa nature, les cieux avaient fait de lui un prédateur qui se nourissait de ses proies, il était fait ainsi, tout comme les femmes qu'il capturaient étaient faites pour devenir ses esclaves et tout comme Miya le serait également a son tour. Il n'y avait nulle exception. alors pourquoi se sentait il forcé de rendre cet ébat exceptionnel ? Peut être une question d'estime ? Il était capable après tout d'asservir les femmes dont il faisait la conquête, mais Miya le mettait défi de faire mieux. Soit. Il allait dépasser le niveau habituel et allait la transformer en boule de douleur et de plaisir. Car on ne pouvait attendre de lui qu'il soit "doux", jamais il n'obeirait et jamais il n'irait au rythme imposé par sa partenaire. C'était le sien, et c'était tout ce qui comptait.

Alors qu'il continuait ses attouchements et que Miya se collait a lui pour qu'il s'occupe mieux d'elle Don l'embrassa a pleine bouche, profitant du fait qu'elle ne parlait toujours pas pour pouvoir se repositionner, la mettant de biais sur la paroi et continuant a la prendre. Il se passa alors quelque chose qui pourrait faire reprendre ses esprits a Miya. En effet, Don et elle se trouvait dans un ascenceur panoramique...Néanmoins ce n"était pas le seul ascenceur. En effet deux autres ascenceurs montaient et descendaient a coté d'eux des gens les regardaient faire, avec des yeux ébahis, ils passaient également ou bien demandaient a l'ascenceur de s'arrêter, plus d'une vingtaine de personne les avait vu faire l'amour avec violence dans cette cabine d'ascenceur. La question était : aimait elle ça, ou pas ? Soudain, sans prevenir, il se retira d'elle pour la poser a nouveau en position de levrette tandis que son sexe se positionnait sur son autre entrée. D'accord, elle avait l'air d'avoir expérimenté le sexe...mais ce type de sexe là l'avait elle déjà ressenti ?

Sans prevenir il entra alors dans son second trou et se mit a continuer ses va et viens.

Bien sûr que Miya avait pensé aux autre ascenseurs, pour en avoir vu un monter derrière Don, lorsqu'ils étaient face à face. Celle qu'elle était avant n'aurait jamais couché avec un homme croisé quelques minutes avant. Pourquoi ne pouvait-elle pas aimer l'exhibitionnisme ? Jetée au sol, sous le regard de quelques hommes, elle leur adressa un clin d'oeil coquin, le bout de la langue passa sur ses lèvres.

Mais son expression changea lorsqu'elle sentit le sexe de Don là où il n'aurait pas du être. Après deux ou trois va-et-viens, elle sut qu'elle détestait la sodomie. On n'aurait pas dit, avec ce corps à peine musclé. Mais Miya avait de la force. Surtout dans les jambes. Elle envoya son pied dans l'aine de Don avec une force qu'il ne devait pas lui soupçonner, l'obligeant à se retirer. D'une pirouette, elle se releva et le domina de toute sa hauteur.

- Pas de douceurs ? Soit. Mais ça, il n'en est pas question, c'est bien compris ?

Elle sentit son oeil gauche commencer à la brûler, légèrement. Elle se mettait trop froidement en colère. Elle inspira profondément pour se reprendre, et son expression fermée redevint un sourire taquin. Malgré sa colère passagère, son corps brulait toujours autant de désir. Et il n'avait pas débandé.

- Bien, nous en étions où ?

Avec une force incroyable elle l'envoya au tapis. Le colosse cligna des yeux une fois, deux fois, et avant qu'il ne comprenne ce qui était en train de se passer, il était dominé. C'était la première fois depuis qu'il avait quitté le temple d'Aphrodite qu'une femme pensait avoir la prétention de dominer leurs ébats, et celà plongeait Don dans un sentiment de colère et d'envie.

Colère d'être a terre aux pieds de cette femme, mais également envie de dominer a son tour une telle femme avant de lui passer les fers au poings. Son coup lui avait indubitablement fait mal mais néanmoins il était toujours excité. Accepter ce que lui disait Miya ? Pour le moment oui, Don n'était pas idiot, si elle commençait a se débattre elle risquait de poser des problèmes avec sa force, il allait sagement attendre de la ramener au hangar après quoi il allait lui faire passer l'envie de lui donner des ordres

Pour le moment Don se contenta d'attraper Miya par les bras et de la tirer vers lui pour s'introduire a nouveau en elle comme une torpille avant de la saisir par les hanches et adopter un rythme plus rapide et plus violent, ce passage l'avait excité d'avantage malgré tout, car il n'aimait rien de plus que de casser un esprit rebelle comme celui de Miya et il ne pouvait attendre le moment où celle ci finirait par lui lécher les pieds comme toutes ses autres esclaves.

Miya se laissa prendre, à nouveau, toute au plaisir que lui procurait le sexe de Don en elle. Elle gémissait de plaisir, eut un petit cri une fois ou deux. Dorian avait prit ses hanches pour la faire bouger sur lui, et sa poitrine pourtant ferme ballotait à chaque mouvement que lui faisait faire son partenaire. Sur son corps à la peau légèrement brune, on pouvait voir quelques gouttes de sueur qui suivaient ses courbes gracieuses et parfaites. Elle n'avait rien à faire dans ces ébats, ce qui lui convenait parfaitement, au vue de ses rares relations. Dorian était un amant exceptionnel - mais ce serait l'unique fois qu'ils se verraient. Malgré elle, Miya gémit :

- C'est bon... Encore...

Elle leva la tête et poussa un long gémissement. Les mots qu'elle venait de prononcer, elle les regrettait, car Don pouvait soudain croire qu'il avait une certaine emprise sur elle - qu'il n'avait pas, même si Miya se laissait faire. Elle croisa les bras derrière la tête, et le souffle saccadé, elle fixa Don droit dans les yeux :

- Et bien... Dorian... *ha* Vous avez une sacrée endurance... *haaa* Avez-vous quelque chose à prouver en *hannn* étant aussi violent ? Un *haaaa* problème de virilité, peut-être ?

Elle le provoquait - elle avait remarqué, par le passé, que les hommes n'aimaient pas qu'on remette leur virilité en doute. Mais elle espérant qu'en l'énervant un peu, ça durerait encore, pour assouvir le feu qui lui brûlait le bas du ventre.

Don s'introduisait en elle avec frénésie alors qu'il commençait vraiment a sentir le bon coup se profiler. Il se ferait de l'or sur le dos de Miya, enormement d'argent. Des mensurations de rêve, aucun défaut apparent et un carractère de tigresse qu'il aura bientôt fait disparaître au fil de sa thérapie des plus spéciales. Don allait la briser et en faire une poupée qu'il n'aurait par la suite aucun mal a utiliser pour satisfaire ses clients. Il allait donc devoir la briser. Et elle qui en demandais encore ? Don lança avec un sarcasme absolu

"Vous en aurez autant que vous en voudrez."

Oui, il avait une endurance démentielle, en même temps il était né dans ce but, et il avait passé les 10 dernières années a pratiquer, il avait eu le temps de faire ça : Il ne s'était pas passé un jour sans qu'il aie honnoré une femme au minimum, voire même dix au minimum, quand il était en petite forme. Il ne faisait QUE ça, et gagnait sa vie de cette façon en même temps. Raison de plus pour être un amant profitable. Don se vit après celà questionné sur sa virilité. Comme si on ne lui avait jamais faite celle là...Miya n'était pas très originale, il répondit sans même avoir a reprendre son souffle

"Je sais simplement ce que tu veux."

Vu comment elle criait elle allait avoir du mal a le contredire. Alors qu'il la ramenait contre lui il empoigna ses seins fermes et larges qu'il se mit a pétrir comme un boulanger pétris son pain, saisissant ceux ci par le bout et se mettant a les tordre parfois.

Trop occupée à prendre son pied, Miya ne releva pas quand il dit savoir ce qu'elle voulait. Comment le pouvait-il ? Elle-même ignorait ce qu'elle désirait. Tout ce qu'elle savait, c'est que Dorian lui rappelait un homme qu'elle avait vraiment aimé, et que ses mains sur son corps, quand il avait arrêté l'ascenseur, avaient réveillé un feu jusque là inconnu en elle - ou du moins, une chaleur comme elle n'en avait pas ressenti depuis trop longtemps. Jhun, son frère jumeau décédé, aurait eu honte d'elle, et cette simple pensée, malgré l'extase dans laquelle elle était, lui arracha une larme.

Mais Don mit court à ses pensées en la reprenant contre lui, lui malaxant les seins de façon assez désagréable - mais après tout, ce n'est pas ce qui allait lui couper l'envie : le sexe de Dorian, en elle, faisait des merveilles. Comme il avait les mains occupées avec ses seins, elle avait du commencer à se mouvoir sur lui. Elle était accroupie et ses jambes d'acrobate ne risquaient pas les crampes, malgré le mouvement répétitif qu'elle faisait pour sentir l'énorme sexe de Don en elle, pour qu'il lui fasse le plus de bien possible. Dans cette position, Miya arrêta de faire la fière, et arrêta de gémir pour pousser des cris (pas trop forts, non plus )qui ponctuaient chacun de ses mouvements de hanches. Si elle n'avait pas été droguée à son insu, elle serait déjà sans doute lasse malgré la performance de Don. Mais à cause de la poudre qu'elle avait ingéré, Miya avait l'impression qu'elle ne serait jamais satisfaite. Entre deux cris, deux mouvements de hanche de plus en plus violents pour se satisfaire, elle réussit à dire à Don :

- Alors vas-y ! Donne moi ce que je veux. Satisfais-moi comme je ne l'ai jamais été !

Et dire qu'ils n'en était qu'a une faible dose ! Si il la droguait avec une dose habituelle voire une forte dose elle deviendrais aussi docile qu'une chienne. C'était d'ailleurs le but de Don, qu'elle ne puisse plus se passer de lui et qu'elle devienne une sorte de Junkie completement dépendante incapable de survivre si elle n'était pas régulièrement prise. Un peu comme ses propres esclaves, c'était le but de tout esclavagiste qui se respecte : les terranides de Don étaient entièrement soumises a leur nouveau style de vie et passaient leur temps a chercher entre elle le plaisir et a se le procurer. Il entretenait ce manque de plaisir régulièrement via la drogue et des séances ponctuelles...Don avait de toute manière était entrainé pour maitriser les arts de la chair et si il n'était pas si égoiste et si ancré dans sa philosophie de toujours profiter il aurait pu faire monter sa partenaire au plafond. Néanmoins Don, comme tous les hommes avait sa fierté, stupide et déplacée, mais c'était bien pour ça qu'il en était un après tout. C'était comme ça qu'il avait toujours fait et qu'il ferait toujours, quoi qu'en puisse lui dire Miya.

Mais pour le moment il avait besoin de la rendre completement dépendante. Lorsqu'elle lui demanda de la satisfaire il se souleva brusquement pour la faire passer a quatre pattes et se mit a la prendre en levrette, posant ses mains sur ses hanches pour accélérer et approfondir la pénétration alors qu'il donnait de violent coup de reins. Reprenant le dessus sur cette lutte pour savoir lequel serait le dominé. L'esclavagiste avait encore de la vigueur a revendre, peut être pas assez pour satisfaire une déesse, mais il était en tout cas bien plus capable qu'un mortel puisse l'être. Il remarqua la larme sur le coin de sa joue et il crut qu'il y allait tellement fort qu'elle en pleurait. Don sourit et fit donc son possible pour accélerer le rythme et aller encore plus vite

"Oh ne t'inquiète pas ! Tu sera satisfaite je te le promet."

*Tu consacrera d'ailleurs toute ta vie a l'être !*

Lança t'il alors qu'il continuait sa progression et lançait avec une voix goguenarde

"Regarde toi, tu en bave presque ! Tu ne veux vraiment que ça n'est ce pas ? Je suis capable de te la procurer...L'extase absolue !"

Miya gémissait de plus en plus fort à chaque va et viens puissant en elle. C'était bon - terriblement bon. En levrette, sa poitrine ballotait à chaque mouvement, et c'était plutôt gênant en réalité. La sueur couvrait son corps légèrement brun. Et bien que son esprit ait essayé quelques fois de divaguer, il finissait toujours par se concentrer sur le sexe de Don, énorme, puissant, en elle, ses mains, grandes, sur son corps. Oui, elle était en son pouvoir en ce moment. Elle refusera de l'admettre, mais Miya aime être soumise ; elle est hélas tombé sur le mauvais personnage qui ne souhaite que cela, la soumettre, encore et toujours. Mais elle ne se laisserait pas faire. Parce qu'elle a aussi un sale caractère, et que contrairement aux autres esclaves de Don, Miya sait qu'elle est belle et désirable : pas moyen pour elle de finir esclave ! En acceptant de s'envoyer en l'air avec Dorian dans cet ascenseur, elle comble juste la terrible solitude dont elle sort à peine.

- Baver ? Seules les chiennes bavent, et je n'*haannn* suis pas une.

Ca ne l'empêcha pas de lui répondre :

- Mais je ne suis pas contre *haaa* un voyage au-delà du 7e ciel !

Mais Don était rusé et avait un tableau de chasse considérable a son actif, il savait exactement comment férer un poisson et comment le tirer sur le rivage...dans tous les sens du terme, la pèche n'avait aucun secret pour lui, c'était même son métier. Et une fois le poisson ferré, il allait le remonter bien sagement sur la berge et le mettre dans son panier avec les autres poissons. Ce n'était pas que du sport de chambre qu'ils pratiquaient ici, mais bel et bien une bataille d'intellect, bataille dont seule une des deux parties était au courrant, et Don malgré qu'il s'appliquait pour profiter un maximum de la situation en cours, n'en reflechissait pas moins, Miya était capable de se défendre, de toutes celles qu'il abordait, c'était les plus dures a dominer, il fallait trouver un moyen pour que celle ci n'utilise pas sa force contre lui jusqu'au moment où il pourrait la maitriser. Et Don savait exactement ce qu'il allait faire pour celà. Lorsqu'elle lui dit qu'elle n'était pas une chienne il fallait le lui confirmer et se retint au dernier moment, c'était qu'il avait l'habitude de dominer...

"Dans ce cas celui ci arrive !"

Lança t'il alors qu'il rentrait dans sa vitesse de course, les coups de reins se firent de plus en plus puissants, montrant que Don allait surement bientôt jouir...Et celui ci en mêm temps qu'il faisait celà s'accrochait aux hanches de Miya les tirant vers lui de plus en plus fort et finalement il s'enfonça en elle une dernière fois et se deversa en elle tandis qu'un grand craquement se fit entendre. En effet Don avait profiter de la violence de l'ébat pour tirer sur les vetements de Miya et les déchirer, rendant sa tenue plus que légère impraticable. Don se retira et lança

"Oh je suis désolé. Je ne controle plus ma force."

Fit il alors qu'il lui tendait sa veste et réactivait l'ascenceur

"Allons chez moi, je pourrais vous donner des vetements."

En effet sur le toit du building ou l'ascenceur s'arrêta se trouvait un hélicoptère, hélicoptère qui faisait partie de son plan initial...

Il n'y avait plus qu'a la ramener chez lui et là tout serait facile...Il n'y avait aucune raison pour ne pas accepter de faire celà...Mais il se mefiait toujours

(hj : techniquement, elle avait déjà enlevé ses vêtements :p )

Miya hurla lorsqu'elle jouit, un tout petit peu avant Dorian. Dieux ! Elle avait oublié à quel point c'était extraordinaire. Elle resta quelques instants abasourdie, la tête lui tournait légèrement. Lorsqu'elle se releva, un détail la fit tiquer : une goutte de sang qui coulait le long de sa cuisse depuis son intimité en feu. Elle accepta le long manteau de Dorian, qu'elle ferma dans un geste bêtement pudique. Ce sang n'était pas normal. Elle n'avait plus ses règles depuis longtemps - depuis que son immortalité n'était plus bloquée par de la magie gitane, en fait. Et certes, leurs ébats avaient été violents, mais elle aurait du guérir aussitôt.

Quelque chose clochait. Elle ne se douta pas un instant du pouvoir de Dorian, mais prit conscience d'autre chose qui la paralysa : mortelle. Elle était redevenue mortelle. Et cette pensée l'obséda. L'hélicoptère, en face d'elle, lui faisait déjà une peur bleue. L'idée de ne plus être éternelle et de vieillir la paralysa. Mais elle n'allait rien montrer à Dorian, et Miya se composa un visage radieux et un grand sourire.

- C'est vraiment adorable à vous, Dorian, mais je n'en ferai rien.

Il ne fallait pas oublier qu'elle n'avait pas l'intention de le suivre dès le début. Elle lui déposa un baiser sur la joue - vola son portefeuille dans la poche de son pantalon et retourna vers l'ascenseur :

- Ce fut une expérience inoubliable. Merci pour tout, Dorian. Peut-être nos chemins se rencontreront-ils de nouveau, ce que j'espère bien, finit-elle avec un clin d'oeil.

Elle appuya sur le bouton pour faire redescendre l'ascenseur et en profita pour refermer le manteau sur son corps nu. Il commençait à faire frais, et elle n'allait pas se priver pour se servir dans le portefeuille pour faire quelques emplettes avant la fermeture du centre commercial.

Comme si il allait la laisser faire bien sur...Lorsque Miya vola le portefeuille de don elle put sentir une sorte de petit boitier qu'elle n'eut pas le temps d'identifier avant de partir vers l'ascenceur, elle allait arriver vers celui ci lorsque Don la rejoignit a grande enjambées en lançant

"Ah! Attendez mademoiselle ! Vous avez oublié quelque chose!"

Fit l'esclavagiste alors qu'il arrivait sur elle et que contre toute attente il la saisissait par les cheveux et la tirait en arrière avant de lui assener un coup de poing en plein ventre pour la laisser tomber au sol.

Don sourit et lança a la jeune fille.

"Peut être nos chemins se rencontreront ils de nouveau?"

Il éclata de rire avant de saisir Miya par les cheveux et la tirer vers l'hélicoptère

"Je ne crois pas non. "

Miya n'avait techniquement pas besoin de respirer - ça, c'était en temps normal. Elle ne comprit pas lorsque le souffle lui manqua pour de bon lorsque Don la frappa. Et au passage, il avait du lui casser une côte. La douleur était insupportable, et confirma la pire crainte qu'elle avait eue quelques instants auparavant : elle était à nouveau mortelle. Ces années, siècles, voire même millénaires dans le néant avaient épuisé son immortalité. Elle avait voulu fêter son retour par un agréable moment, et voilà qu'elle se faisait embarquer par cet espèce de cinglé.

Et elle était mortelle, merde ! Sa côte brisée l'empêchait de respirer convenablement, et elle restait recroquevillée pour essayer, en vain, d'atténuer la douleur. Miya se laissa faire - elle n'avait pas vraiment le choix... - et Don la balança sans ménagement dans l'hélicoptère, ce grand tas de ferraille qui faisait un boucan insupportable dont elle ignorait tout. Elle avait peur, ce serait mentir que de prétendre le contraire. Ce n'est pas pour autant qu'elle lui faciliterait la tâche. Quels que soient les projets de Don pour elle...

- N'est-ce pas une façon un peu brusque de m'emmener chez vous pour des vêtements de rechange ?

Mais le regard de l'homme avait tant changé que Miya frissonna de dégoût et de peur. Oh non, il n'avait pas l'intention de lui donner de nouvelles fringues avec des courbettes pour s'excuser. Miya s'assit, gardant une main plaquée à l'endroit de sa côte brisée.

- Qu'allez vous faire de moi...

Sa voix était froide, son regard noir. Dans quoi s'était-elle encore embarquée...

Qu'allait il faire d'elle ?Elle allait bientôt le découvrir. Tant pis pour sa proie, il reviendrais la chercher plus tard, il avait fait une bien meilleure affaire avec Miya, il en était convaincu. Maintenant il n'y avait plus qu'a couvrir un peu le kidnapping et il pourrait l'éduquer de la même manière qu'il avait éduqué les autres filles avant elle: de façon brutale et elle y perdrait tout amour propre. Elle allait bientôt expérimenter la véritable peur de mourir? l'envoyant dans l'hélicoptère il vit qu'elle se tordait de douleur, Don n'avait pas frappé pourtant au point de casser quelque chose, si c'était le cas il lui aurait tiré une balle dans la tête directement puisqu'il ne pouvait plus se permettre de l'emmener a l'hopital pour être soignée. De toute façon, il n'avait rien entendu ou ressenti. Refermant la porte de l'hélicoptère il se contenta de sourire avant de balancer Miya a l'arrière et de refermer la porte derrière lui, si elle voulait sortir, il lui faudrait sauter...Et comme il s'agissait d'un hélico avec un compartiment privé dépourvu de parachutes, elle n'avait pas beaucoup de chances de s'en tirer

"Que vais je faire de toi ?"

Répéta t'il avec sarcasme alors que les pales de l'hélico s'activaient

"Je t'emmene a ta nouvelle vie ma chère Miya, et tu verra comme tu va l'aimer."

Fit il alors qu'il faisait décoller l'engin, a peine dix minutes plus tard il ouvrait la porte et saisissait Miya par la taille, la prenant sur son dos comme un sac a patates alors qu'il la portait vers le camion stationné près du terrain vague où se trouvait son hélicoptère. Il la posa a l'arrière et ce fut encore un peu de route. Sauf que cette fois ci Don la plaqua sur le sol et lui injecta dans la nuque un liquide étrange qui la fit perdre connaissance.

La lumière d'un néon la reveilla, elle se trouvait dans une chambre dépourvue de mobillier et dont le plafond faisait a peine un mètre 20 de haut, la porte était fermée par un large paneau de metal, a coté d'elle se trouvait deux gamelles, l'une remplie de nourriture, l'autre d'eau. Miya était entièrement nue et portait uniquement un lourd collier de fer qui était relié a un mur a coté d'elle. Sur les deux cotés il semblait y avoir des fenètres. Pour le moment elle allait rester ici quelques temps...La nourriture et l'eau ne manqueraient pas. Dans les deux fenètres d'a coté elle pouvait contempler d'étranges femmes portant des attributs animaux qui semblaient également piégées et nues, attendant qu'on vienne les chercher, elles n'hésitaient pas a parfois se faire plaisir de manière prononcée...La nourriture et l'eau de Miya par ailleurs étaient droguées par de puissants aphrodisiaques...

Quelle serait la suite?

-Hj-Création d'un nouveau sujet dans le quartier de la toussain ^^ je te laisse le faire-hj-