Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

Bonjour et bienvenue.

Ce forum présente des œuvres littéraires au caractère explicite et/ou sensible.
Pour ces raisons, il s'adresse à un public averti et est déconseillé aux moins de 18 ans.

En consultant ce site, vous certifiez ne pas être choqué par la nature de son contenu et vous assumez l'entière responsabilité de votre navigation.

Vous acceptez également le traitement automatisé de données et mentions légales de notre hébergeur.

Stefani Cobhar [Meowlidée]

Nos partenaires :

Planete Sonic Reose Hybride Yuri-Academia L'Empire d'Argos Astrya Hybride Industry Iles Mystérieuses THIRDS Petites indécences entre amis
Inscrivez-vous

Stefani Cobhar

Invité

  • Messages:

Stefani Cobhar [Meowlidée]

dimanche 17 septembre 2023, 21:16:44

Identité : Valpula, connue sous l’identité de Stefani Cobhar.
Âge : Difficile de définir l’âge réel de Valpula. Elle a traversé les décennies là où l’âge de Stefani est estimé à plus d'une vingtaine d'années.
Sexe : Féminin.
Race : Démon.
Sexualité : Bisexuelle.

Physique :
La carrure de la jeune femme est athlétique, élancée. C’est une silhouette façonnée dans le marbre qui fait face aux adversaires. Avec une assurance indéniable, non feinte, elle aime surplomber et faire face du haut de son mètre soixante-dix. Son être est un hymne à la beauté mais qui se méprend à perdre son regard dans le sien peut y lire toute la malveillance qui l’accable et qui danse en son sein. Une longue chevelure noire aux reflets bleutés vient descendre en cascade le long de son dos. Rarement attachée, excepté peut-être en un chignon négligé parfois, sa chevelure danse au gré de ses pas venant caresser la courbe de ses fesses. Valpula s’entretient à maintenir une apparence de jeune femme soignée. Une frange vient barrer son regard mordoré et un nez légèrement aquilin s’implante sur son faciès bien proportionné. Aucune cicatrice ne vient ternir sa peau d’albâtre.

Sa bouche s’étire rarement en un sourire mais lorsque la situation l’amuse, bien souvent au détriment de celui qui lui fait face, deux fossettes malicieuses viennent pourfendre ses joues, dévoilant des dents blanches, acérées, parfaitement alignées.

Valpula est souvent vêtue d’un manteau aux tons violacés surplombant robe et harnais, au décolleté plongeant. A l’aise avec la nudité, elle ne s’entête que très rarement à cacher les courbes du corps qu’elle occupe. Il faut dire que rares sont les personnes qui osent s’opposer à elle tant l’assurance qu’elle dégage fait tourner des regards vers le sol.

Caractère :
Valpula n’est pas avenante. A vrai dire, elle n’est pas spécialement sympathique. Têtue sur les bords, certains se plaisaient à dire que lorsqu’elle a une idée en tête elle ne l’a pas ailleurs. Ces personnes aujourd'hui n'existent plus et Valpula a fait taire cette vérité au sein de son royaume. C'est indéniable : la créature n’aime pas la contradiction. Elle n’aime pas qu’on lui tienne tête, qu’on s’oppose à ses idées et un brin capricieuse dans l’âme elle n’hésitera pas à mettre tout en œuvre pour obtenir ce qu’elle souhaite.

Valpula n’a aucun scrupule à soumettre car elle se contre-fiche des états d’âme d’autrui. Seul son petit plaisir personnel compte. Sans foi ni loi, excepté sa propre loi, la créature a très peu de principes. Elle domine ses quartiers et l’expression avoir une main de fer dans un gant de velours lui sied assurément bien. Lorsqu’elle ne martyrise pas ses pairs, elle apprécie lire, peindre ou encore jouer du piano, parfois même danser. Des privilèges qu’elle s’accorde et qui étrangement résonnent en son sein sans qu’elle n’en explique réellement la provenance après toutes ces années passées à occuper ce corps.

Valpula est assurément une grande manipulatrice. Malgré son apparence de démone détachée, elle sait se rendre mielleuse pour parvenir à ses fins et n’hésitera pas à jouer de ses atouts si la situation se présente à elle.

Enfin, la créature ne se nourrit pas. Elle picole pour le plaisir, pour le goût du vin qui glisse dans son gosier, par vice et sensualité. Pour entretenir son corps, elle se nourrit d’une partie des âmes ou des souvenirs qui accablent ses confrères c’est pourquoi elle tente de se maintenir en bons termes avec eux bien que son royaume commence à dangereusement s’étendre et à se faire dangereusement menaçant.


Histoire :
Stefani Cobhar est née en tant que petite dernière d’une fratrie de trois enfants. Elle a connu une enfance relativement paisible bercée entre père, mère et deux grandes sœurs. C’est au sein d’un petit quartier nommé Downtown Mt Airy en Caroline du nord qu’elle a vécu sa première déception amoureuse. A l’âge de treize ans à peine, en vainquant sa timidité, elle a déclaré sa flamme à un dénommé Caleb. L’estomac noué par le tract, elle s’est approchée à la sortie des cours de sa cible. Pour l’occasion, elle s’était vêtue de sa plus belle robe. Elle avait noué ses cheveux en un chignon soigné et s’était lancée après avoir repris une grande inspiration. Le cœur battant à tout rompre, la jeune femme l’avait abordé et entre deux balbutiements, la jolie lui avait déclaré sa flamme. Elle qui l’observait depuis plusieurs jours espérait que les sentiments soient réciproques. Quelque peu fascinée par lui, elle l’avait scruté, avait fait passer quelques mots à ses copains griffonnés avec maladresse sur un bout de papier. Lui qui trainait dehors avec des amis en sortie de cours s’était contenté de l’ignorer, la laissant en pleine rue, seule, face à ses sentiments confus.

Pour la première fois un fort sentiment d’injustice l'accablait. La contrariété s'était mêlée bien rapidement à la colère, mélange anxiogène et toxique à souhaits. Nouvelle amie, sournoise et vicieuse, la colère lui avait noué vivement la gorge, noué l’estomac. Une main invisible s'était glissée contre son cou et enserrait de ses cinq doigts ses émotions. Un fin tremblement s'était diffusé le long de ses bras agitant délicieusement ses poings hargneux, serrés par la colère. Ses ongles s'étaient plantés au sein de ses paumes alors que son sang commençait à pulser un peu plus vivement au sein de ses veines. Son souffle s’était emporté un peu plus que de raison alors que les larmes avaient commencé à border dangereusement ses yeux. La fierté, l’assurance, s'étaient effacés, noyant de larmes sincères les beaux yeux mordorés de la jeune femme. Elle s’était reculée d’un pas, tentant de reprendre ses esprits alors que la colère s'était accumulée en son être. Au bon milieu du trottoir, seule et isolée, elle a maugréé d’une voix à peine audible quelques jurons. Ramassant son cartable, elle s’en est allée chez elle, lui souhaitant tout le malheur du monde à cause ou grâce à cette petite voix naissante dans sa tête qui lui souffla insidieusement de le faire.

Quelques semaines tout au plus après, elle apprit la nouvelle effroyable : Caleb avait été victime d’un grave accident. Renversé par une voiture, il était miraculé mais grandement atteint.

Avait-elle été dotée d’un quelconque pouvoir surnaturel pour que pareille situation se produise ? Incapable de réagir, incapable de savoir si l’accident avait été de sa faute, la jeune demoiselle laissa la culpabilité prendre d’assaut sa personne. Elle qui était d’un naturel plutôt social et avenant, bascula dans l’isolement le plus pur. Plutôt que de s’en remettre aux petites frappes à l’extérieur, elle s’intéressa au dessin puis par la suite au piano. Ses parents n’avaient pas les moyens de lui en offrir un mais par chance dans l’une des caves du quartier se trouvait un vieux piano. Elle y passa des soirées entières, oscillant entre mensonges nouveaux, prétextes improbables et farfelus pour justifier son absence au sein de la maisonnée.

Six mois passèrent jusque à ce que Caleb puisse sortir de l’hôpital. Dès lors, elle délaissa le piano pour la reprise des cours se jurant de ne plus souhaiter malheur à quiconque. Elle commença la course à pied, trouvant dans ce sport un moyen facile de se défouler. Elle s’inscrivit à ses dix-huit années à des cours de danse, de chant et quitta dans la foulée les études pour se consacrer pleinement à sa passion. A ses vingt-ans elle se produisit pour la première fois au sein d’un cabaret. Le son du piano transporta son âme dans une transe indescriptible, incompréhensible. Déconnectée totalement de la réalité, elle se produisit comme à son habitude excepté qu’à la fin de la prestation elle n’eut aucun souvenir de celle-ci. Les jours suivant, à chaque fois que le piano retentissait, Stefani perdit toute notion du temps. Les moments de perdition s’accentuèrent au fil des jours et petit à petit, Stefani eut de moins en moins conscience des moments/instants présents.

Dans le public qui l’observait régulièrement se trouvait un homme. Il l’observait tous les jours avec une attention toute particulière. Dans ses rares moments de pleine conscience, Stefani l’observait également et lui adressait un sourire poli. L’homme restait stoïque et lui hérissait le poil sur les bras. L’effroi se diffusait en son sein à chaque fois que leurs regards se croisèrent. Sans qu’elle n’explique le pourquoi du comment, la jeune femme craignait tout naturellement l’homme.

Ses parents qui étaient de prime abord perplexes pour la suite de sa carrière clamaient à qui voulait l’entendre que leur petite fille excellait dans son milieu. En fin de soirée, alors qu’elle s’apprêtait à retourner vers les loges, ses parents vinrent la féliciter. Ils lui tendirent un petit présent, une broche soigneusement emballée dans des morceaux d'étoffes déchirées. La jeune femme déballa le présent et dès l’instant où son regard se porta sur la dite broche aux tons rougeâtres, mordorés, elle revit les évènements des derniers mois. Son corps dansant au bon milieu de la scène tel un pantin désarticulé, la mélodie du piano quasi hypnotique, comme une mélodie répétitive, enivrante à souhait. Elle se revit, quelques années auparavant, enfant puis jeune adolescente à souhaiter du mal à autrui. Puis elle revit l’homme, son regard croisant le sien. Le sourire, qu’elle lui adressa et le oui, qu’elle lui souffla, cautionnant, acceptant, approuvant, scellant ainsi un pacte avec le diable en personne.

Au plus haut de sa carrière, il lui arracha sa destinée dorée.

Ce soir-là, tout autour d’elle, elle vit partir ses proches, ses connaissances et ses collègues. Tout le monde tourna les talons, la prestation terminée, à l’exception de l’homme qui était assis jusque alors sur son siège. Avec lenteur, il se releva. Les lumières vacillèrent. L’atmosphère se chargea d’une électricité quelconque, inconnue jusqu’alors. A mesure qu’il s’approchait, elle l’observait, captivée, acceptant tout naturellement sa destinée. Les alentours changèrent, se modélisèrent comme il l’imaginait. Il était tout, elle était rien. Dès qu’elle porta sa petite main dans la sienne, son âme fût projetée en dehors de son propre corps. Instantanément, Stefani n’existait plus.

Valpula prenait la relève dans ce si beau corps, cette offrande rêvée, désirée du plus profond de son âme malsaine. Elle fit tournoyer ce corps nouveau, tournant sur elle-même. L'instant d'après, elle esquissa un franc sourire sous le regard de l’âme de Stefani, rejetée dans les abimes d’un monde invisible aux yeux des humains. Valpula agita les cinq doigts de sa dextre puis les cinq doigts de sa senestre soufflant :
« Qu’il fait bon d’être, d’exister. Enfin. »

Electrochoc. Cette voix, l'âme de Stefani l'a reconnu entre mille. C’était celle qui, quelques années auparavant, lui avait intimé au creux de l’oreille de souffler et souhaiter grand malheur à Caleb. Elle prenait désormais possession de son corps au détriment de son âme.

Autre :
La démone est sensible au piano. Le piano l’apaise et elle n’hésite pas à capturer les âmes des pianiste pour les faire jouer dans son monde éternel. De nombreux sujets, subordonnés, hantent les murs de son palais. Elle ne leur prête aucune attention. Omnipotente, elle sait tout, entend tout, voit tout et se contente de maintenir une apparence humaine pour la bienséance qui lui est demandé par le Diable en personne. Elle peut modéliser son apparence à sa guise mais se plaît bien dans ce corps de pianiste, danseuse aguerrie. Elle peut modéliser, projeter, les alentours comme elle le désire. Parfois, l'âme errante de Stefani essaye de reprendre possession de son corps. Dans ces moments-là, Valpula devient fébrile, à fleur de peau et se montre tout particulièrement exécrable, encore plus qu'à l'accoutumé.

La démone se nourrit des émotions de ses semblables, en les touchant, en les écoutant, en les observant, en les questionnant, en les malmenant. Elle a gardé le goût et parvient à se délecter d'une bonne cigarette ou d'un bon verre de vin néanmoins manger un bon repas ne lui donne pas bonne mine.

Comment avez-vous connu le forum ? Semblerait qu’un démon m’y a conduit.
« Modifié: dimanche 17 septembre 2023, 21:24:58 par Kõya Breathless »

Belphy Mueller

Créature

Re : Stefani Cobhar [Meowlidée]

Réponse 1 dimanche 17 septembre 2023, 21:31:18

Bienvenue par ici Stefani !

Anos

Dieu

Re : Stefani Cobhar [Meowlidée]

Réponse 2 dimanche 17 septembre 2023, 21:32:08

Bienvenue démon! Que les décennies soient longues

Anéa

Administrateur

  • -
  • Messages: 4036


  • FicheChalant

    Description
    Ancienne archange, devenue à moitié démone.
    Adore le sang et faire sauter des têtes.

Re : Stefani Cobhar [Meowlidée]

Réponse 3 dimanche 17 septembre 2023, 22:06:04

Bienvenue o/





-En souvenir du bon vieux temps-

Vittorio Vulcano

Dieu

  • -
  • Messages: 254


  • FicheChalant

    Description
    Demi-Dieu néréide en quête d'excellence.

Re : Stefani Cobhar [Meowlidée]

Réponse 4 dimanche 17 septembre 2023, 22:23:19

Bonsoir, enchanté.  ;)

Merci Tenshi !

Em

Créature

Re : Stefani Cobhar [Meowlidée]

Réponse 5 dimanche 17 septembre 2023, 22:28:02

Je vais mettre cette dame dans ma bouche, et vous ne pouvez pas m'arrêter.

Souta et Janus

Humain(e)

Re : Stefani Cobhar [Meowlidée]

Réponse 6 lundi 25 septembre 2023, 08:22:55

Hello, madame muscle.  :D


Répondre
Tags :