J’ai du mal à me contenir, je la dévore des yeux alors qu’elle se déshabille quasiment entièrement. Je continue de caresser ses cuisses tout en remontant doucement vers son entrejambe.
- Laëlia ? C’est un joli prénom ...
Je viens embrasser son cou délicat, le couvrant de baisers tout en inspirant son parfum que je reconnais … c’est ma fille en réalité. Je suis encore plus excité soudainement. Je te regarde différemment, avec un désir bien plus ardent.
- On n’a pas besoin de bosser ensemble pour baiser, ne t’inquiète pas.
Ce ne serait pas la première fois que je baise avec quelqu’un que j’aurais aimé avoir comme partenaire de scène. Je viens poser mes doigts sur sa fentes humide, je commence à la caresser tout doucement, délicatement. Je retire par la même occasion ma serviette, dévoilant un pénis gorgé et déjà bien gonflé ainsi que mes imposantes testicules. Si je ne bande pas entièrement, ça ne va pas tarder. Je me saisis de sa main et le porte sur mon engin bien chaud.
- Tu es déjà toute prête, j’en déduis que tu es prête à assumer les conséquences de ton intrusion.
Conséquence qui se feront dans le sperme et les cris de plaisirs. Sans cesser de la doigter, je l’allonge sur le dos et je viens me positionner au-dessus. Dans un premier temps j’embrasse ses seins, je mordille ses tétons et je les prends dans ma main pour les masser doucement, sans violence.
- Tu as de très jolis seins … ils sont délicieux.
Je l’embrasse enfin. Glissant ma langue en elle et jouant avec sa bouche, je goûte à ce plaisir intense.
- Tu vis en ville ? Une belle plante comme toi, tu dois avoir beaucoup de succès …
Tout contre elle, je viens frotter mon sexe maintenant durcie contre le siens, glissant aisément dans sa fente sans la pénétrer. Je m’amuse à donner des coups de bassin, bien installés entre ses cuisses. Je prends ses jambes que je relève à mon niveau et je commence à embrasser ses chevilles et ses mollets.
- Maintenant on a le choix … soit on discute sagement … ce qui n’est pas ton genre, tu a l’air d’être un sacrée chienne en chaleur.
Pendant un court instant je semble être sur le point de la pénétrer, mais là aussi c’est une feinte, je glisse à nouveau de haut en bas.
- Tu peux aussi me pomper, il y a de quoi faire comme tu peux le voir. Sinon je peux également te bouffer la chatte.
Je domine cette jeune damoiselle de toute ma taille, dressé au-dessus d’elle.
- Ou alors je rentre directement.
Tout en parlant je caresse son corps, je glisse mes mains sur ses hanches, ses seins, sa peau si douce. Je la sens je la lèche et je l’embrasse sur tout le corps.