La Chair de mon Sperme (pv Laëlia)

Je suis en train de boire mon thé tout en regardant mon réalisateur. Un jeune japonais qui adore qu’on lui embrasse dans le cou quand on l’encule. Il semble deviner la nature de mes pensées parce qu’il se met soudainement à rougir. Je me reconcentre alors sur la table et les documents poser dessus. Nous sommes en train de discuter du film et de la prochaine scène que je vais tourner avec une femme mure.

Le jeune japonais pose de nouveaux papiers sur la table :

-   Monsieur, nous avons préparés le script.

Je me penche dessus, tout en demandant :

-   De quoi s’agit-il ?

Le réalisateur s’éclaircit la gorge et explique :
 
-   Une femme qui veut absolument que vous lui fassiez un enfant.

-   C’est plutôt fade non ?

-   Bouarf, c’est pas si mal

Ce n’était pas le genre de réalisateur qui s’embarrasse des détails. Après tout ce sont des films de cul, mais moi j’aime bien donner plus de vie à tout ça. Cela dit, pour une scène comme celle-ci, j’ai peu d’espoir. Autant la faire, quitte à retourner ça ensuite. Je pose le papier et je lève la main pour le congédier.

-   Ok on fera ça, maintenant laissez moi ou vous aurez ma bite dans le cul.

Je suis certain que cela ne l’aurait pas dérangé, mais il a du travail à faire, alors il s’incline comme tout le monde au japon et disparait. Moi de mon côté je me rapproche de la fenêtre. Nous sommes dans les grands studios de cinéma, les miens, dans le secteur industriel de la ville. L’endroit est vaste avec plusieurs hangars, des bâtiments administratifs, dédiés aux tournages, à tout un tas de techniques, les chambres des acteurs et personnels dormants sur place etc. Moi j’ai un très luxueux appartement ainsi que mes bureaux, ici même.

Je vais à la douche, finissant mon thé puis vais me laver. Cela ne dure pas longtemps, je ressors seché avec une simple serviette de bain autour de la taille. Mais seulement voilà, dans la grande pièce qui me sert de salon, il y a une jeune femme magnifique.

-   Tiens tiens, qui est-vous ? Une nouvelle stagiaire ?

Je m’approche et je lui fais un baise main, sans lâcher celle-ci après cela.

-   Hum vous me faîtes penser à quelqu’un, qui êtes-vous ? 

J’ai sous les yeux une créature magnifique. Alors que je lui fais mon baise main, je lui jette un regard charmeur et je lui souris.

-   Wouaw, extraordinaire … viens par-là, je ne mords pas.

Je glisse mes mains derrière son dos, l’attirant à moi de plus près jusqu’à ce que ses seins soient plaqués contre mon torse et que mon envie naissante lui chatouille l’entrejambe au travers de ma serviette. Je viens glisser une main douce le long de sa joue, tout en demandant :

-   Tu es superbe, dis-moi tu as un travail ? Tu es célibataire ? Est-ce que tu veux bien travailler avec moi ?

Je pose mes questions rapidement, impatient de connaitre sa vie. Je ressens quelque chose à son encontre, ce n’est pas une humaine normale. Elle est autre chose, une démone ?  Un esprit ? Une sorcière ? Je ne sais pas mais elle est jolie et elle me donne envie … même si ce genre de chose à arrive constamment avec tous le monde, là c’est plus fort.

-   Figure-toi que maintenant moi aussi je m’intéresse à toi. Je t’en pris tu peux me tutoyer. Tu veux boire quelque chose ?

Alors que je dis ces mots, je laisse ma main vagabonder sur elle jusqu’à me rendre compte qu’elle ne porte aucun sous vêtement dissimulant son intimité. Ma surprise est mêlée de satisfaction manifeste, je lui adresse alors d’un ton pervers :

-   Tu peux te mettre à l’aise, j’aimerais faire connaissance avec toi, quel est ton nom ? 

Je la relâche, m’éloignant d’elle pour venir m’asseoir sur le lit, qui est fait avec des draps propres. Je lui fais signe de s’assoir près de moi. Une fois fait, je viens immédiatement caller une main entre ses cuisses pour lui palper ces dernières sans trop remonter.

J’ai du mal à me contenir, je la dévore des yeux alors qu’elle se déshabille quasiment entièrement. Je continue de caresser ses cuisses tout en remontant doucement vers son entrejambe.

-   Laëlia ? C’est un joli prénom ...

Je viens embrasser son cou délicat, le couvrant de baisers tout en inspirant son parfum que je reconnais … c’est ma fille en réalité. Je suis encore plus excité soudainement. Je te regarde différemment, avec un désir bien plus ardent.

-   On n’a pas besoin de bosser ensemble pour baiser, ne t’inquiète pas.

Ce ne serait pas la première fois que je baise avec quelqu’un que j’aurais aimé avoir comme partenaire de scène. Je viens poser mes doigts sur sa fentes humide, je commence à la caresser tout doucement, délicatement. Je retire par la même occasion ma serviette, dévoilant un pénis gorgé et déjà bien gonflé ainsi que mes imposantes testicules. Si je ne bande pas entièrement, ça ne va pas tarder. Je me saisis de sa main et le porte sur mon engin bien chaud.

-   Tu es déjà toute prête, j’en déduis que tu es prête à assumer les conséquences de ton intrusion.

Conséquence qui se feront dans le sperme et les cris de plaisirs. Sans cesser de la doigter, je l’allonge sur le dos et je viens me positionner au-dessus. Dans un premier temps j’embrasse ses seins, je mordille ses tétons et je les prends dans ma main pour les masser doucement, sans violence.

-   Tu as de très jolis seins … ils sont délicieux.

Je l’embrasse enfin. Glissant ma langue en elle et jouant avec sa bouche, je goûte à ce plaisir intense.

-   Tu vis en ville ? Une belle plante comme toi, tu dois avoir beaucoup de succès …

Tout contre elle, je viens frotter mon sexe maintenant durcie contre le siens, glissant aisément dans sa fente sans la pénétrer. Je m’amuse à donner des coups de bassin, bien installés entre ses cuisses. Je prends ses jambes que je relève à mon niveau et je commence à embrasser ses chevilles et ses mollets.

-   Maintenant on a le choix … soit on discute sagement … ce qui n’est pas ton genre, tu a l’air d’être un sacrée chienne en chaleur.

Pendant un court instant je semble être sur le point de la pénétrer, mais là aussi c’est une feinte, je glisse à nouveau de haut en bas.

-   Tu peux aussi me pomper, il y a de quoi faire comme tu peux le voir. Sinon je peux également te bouffer la chatte.

Je domine cette jeune damoiselle de toute ma taille, dressé au-dessus d’elle.

-   Ou alors je rentre directement.

Tout en parlant je caresse son corps, je glisse mes mains sur ses hanches, ses seins, sa peau si douce. Je la sens je la lèche et je l’embrasse sur tout le corps.

Je cesse un moment de mordiller les tétons, pour venir lui lécher le cou et l’embrasser à pleine bouche. Ma bite est toute contre la fente de la jeune femme. Je fais glisser le bout de mon gland légèrement mais je le retire après coup. Je m’amuse à ce manège sans la quitter des yeux.

-   Les petites chiennes dans ton genre, j’adore.

Je me redresse alors, je viens me mettre bien droit, positionné entre ses jambes que je saisis et que je pose sur mes épaules. J’ai ses chevilles de chaque côté de ma tête. J’en embrasse une alors que ma bite continue son manège. J’ai une main qui vient caresser son bas ventre alors que l’autre se porte à ma bite que je positionne. Je tends mes muscles, ce qui laisse présager de ma future action.

-   Ne t’inquiète pas trésor, je vais te remplir à raz bord.

Je fais alors entrer mon gros engin, une bite qui n’a rien d’humaine de par la sensation qu’elle procure à la pénétration. Ce côté surnaturel qui le vient de ma nature divine. Je glisse en elle lentement au début, jusqu’au fond. J’occupe tout en elle, il n’y a pas de place pour autre chose que mon chibre. Lentement, j’entame un va et vient langoureux et puissant tout en augmentant progressivement le rythme.

-   Mhmm … on est bien là-dedans ! Tu permets, je fais comme chez moi.

Cette chatte n’est pas normale, bien sûr et c’est parfait. Je suis bien décider à tout gicler en elle et à la faire couiner. Je commence à donner des coups ce buttoirs, m’amusant à la vue des seins qui gigottent dans tous les sens.

-   Ah ouais … Tu es vraiment en chaleur toi hein ?

Je prends un de ses seins en main, tandis que l’autre vient récupérer son portable posé plus loin et le lui rapprocher.

-   Tu peux prendre des photos si tu veux, ou une vidéo. J’aime faire plaisir à mes fans.

Sur ces dernières paroles, j’accélère encore les coups de bites et je me penche un peu plus sur elle tandis qu’elle commence à se faire secouer.