Ce qu’il peut faire chaud…
Le rouge plus que jamais monté aux joues, j’ai le comme le souffle coupé par tout ça. La plantureuse Mariko, à laquelle j’avais si souvent pensé en me faisant du bien, venait de m’offrir, en retour de toute cette attention qu’elle devait me savoir lui porter, un cadeau des plus inestimables selon moi.
La voir se tenir à poil devant moi, et se masturber en susurrant mon nom, voilà une vision du paradis qui aurait sans doute pu occuper mon esprit et mes nuits pour les années à venir… mais, ça ne s’arrêtait pas là.
Encore bien trop raide et paniqué, j’ai fini par flanquer mon large dos tout contre la porte, comme pour fuir alors que la belle blonde n’a de cesse d’approcher. La voir me mater m’excite, me flatte… mais me terrifie encore plus. J’étais déjà disons… « bien formé », la dernière fois que Mariko avait pu me voir nu, toutefois, je n’étais encore à l’époque qu’un gamin à qui la vue de son bikini avait flanqué une bien belle trique… Cela n’avait tellement rien de comparable à aujourd’hui.
Alors que je fais qu’acquiescer très nerveusement à ses mots, je lâche un grand souffle, comme pour faire ce qu’elle me demande : lâcher prise. Ses doigts, fins mais pourtant longs, me paraissent incroyablement petits alors qu’ils se serrent sur mon vît par le dessous. Je souffle et souffle encore tandis qu’elle s’active, qu’elle frôle mes bourses enflées, dont la circonférence n’a de comparable, à l’échelle, que l’absurde diamètre de ce mandrin vigoureux, que ses doigts ne parviennent même pas à pleinement encercler.
Ma respiration retenue un léger instant, j’expire fort pour reprendre mon souffle, lorsqu’à mon regret finalement, Mariko s’écarte.
Ses doigts laissent aller mon chibre qui tressaute d’un sens à l’autre et j’ai soudain l’impression de me sentir vide, seul, trop désireux que je suis désormais.
Mais aussitôt ce vide creusé, aussitôt ce même vient se remplir.
À peine mes yeux s’accrochent-ils à l’énorme poitrine de ma merveilleuse amie que ces gigantesques mamelles s’approchent pour se presser à mon buste, pour le réchauffer et le masser. De toute sa longueur, ma massive trique s’écrase et s’étale contre elle, de son ventre nu à ses seins. De surprise, je lâche comme un petit hoquet, que je masque au mieux d’un petit marmonnement tout autre.
Ses mots finissent de m’achever, de me surprendre alors que je peine encore à comprendre ce qui m’arrive. Je l’avais parfois vue m’adresser quelques petits clins d’œil, quand elle se savait épiée, mais quand bien même, j’étais bien loin d’imaginer que s’exhiber devant moi était pour elle source d’excitation…
« Hin hin… o-okay… »
Encore bien trop honteux de me montrer ainsi devant elle, armé de ce chibre aussi large et épais que celui d’un cheval -que toute autre aurait sans doute trouvé effrayant et bien trop gros-, quand bien même Mariko semblait se complaire à le mater, comme à le toucher, je peinais à retrouver ses yeux. Ces parfaites petites billes d’un bleu profond, pleines de malice m’intimidaient encore…
Au garde-à-vous comme un bon petit soldat, je n’osais pas, n’osais rien.
La buée se dispersant, s’échappant du miroir, je posais alors mon regard dans sa direction, pour ne pas avoir à directement regarder cette sulfureuse tentatrice qui se jouait si bien de moi. Soufflant tel un buffle, j’expirais bruyamment, tout en matant le reflet de son dos, de ses hanches si larges qui donnaient à ses grosses fesses charnues la forme d’une lune parfaitement ronde et musclée, très joliment bombée.
Je soufflais tout bas :
« Waw… le cul de Mariko… »
Sans poser directement mes yeux sur elle, je nous observais alors par ce prisme détourné quand je la sentis glisser contre chacune des bosses formées par ma musculature saillante. Je frémis en sentant les petites pointes de ses seins se tordre et tracer de longues lignes le long de mes abdominaux, et finis même par me crisper, sur la pointe des pieds, quand je sentis l’épaisse pointe de ma queue se redécouvrir, sur la pression de ces gigantesques poids moelleux, que je devinais être ses seins.
Électrisé par le plaisir fou de cette sensation jusque-là encore inconnue, j’ouvrais les yeux bien grands, pour enfin revenir les poser vers le contrebas. Accroupie devant moi, Mariko soulevait ses seins, les remuaient pour masser mon gros pénis.
Plus impressionnante en vrai qu’en rêves, cette vue fit d’un coup battre mon coeur plus vivement.
« Aaaah… ! »
J’eus une fois encore l’impression de voir flou, alors que mes yeux hésitaient à se fixer aux siens, ou bien à mater le parcours arpenté par mon vît dans son si large sillon intermammaire.
Ses gargantuesques loches étaient si douces… Je pouvais, quand bien même j’en restais tout crispé, sentir comme leur chaleur envahissait ma queue tout en la faisant bouger dans tous les sens. Mes énormes veines roulaient, au rythme de ses douces, mais lourdes et écrasantes palpations. C’était… terriblement plaisant.
« M-Mariko… c-c’est… c’est tout chaud… »
Il ne lui fallut pas bouger beaucoup plus pour que mes sens ne viennent à nouveau s’emballer de plus belle. Le seul fait de l’imaginer me faire un truc pareil n’aurait déjà pas mis deux minutes à me faire jouir, seul dans la nuit, alors là…
Désemparé à l’idée de venir si vite, mes muscles se serraient, se bandaient fort tandis que j’essayais de me contenir. J’avais envie de perdre mon pucelage et ne voulais pas manquer cette formidable occasion -si toutefois Mariko était d’accord- en giclant avant même d’avoir pu essayer.
Une main agrippant fort la poignée de porte derrière moi, je gesticulais, agitait mes fesses de bas en haut contre la porte. Je tremblais.
« Aaah… hAa.. HA… Ma-… att-attends… Mariko ! S’il te plaît… j’aimerais essayer de la mettre dans ta… ta… dans mon lit… toi et moi… »
Je ne pus en dire ni en articuler plus, que ma tête bascula d’un coup d’un seul vers l’arrière pour frapper la porte d’un grand coup.
Me raidissant encore, s’il était possible d’en faire plus, tout le bas de mon corps se mit à trembler et je ne pus rien retenir lorsque mon urètre gonfla, palpitant.
Me mordant les lèvres comme pour contenir, ne pas m’avouer ce qui était en train de m’arriver, j’assourdissais les hurlements de plaisir que cet orgasme ravageur vint faire monter à ma gorge.
De l’épais conduit de chair vint jaillir un premier jet, long et violent, de foutre blanc. Et, aussi bien que mes proportions étaient absurdes, la quantité de semence qui jaillit le fut tout autant. Les sept ou huit jets qui suivirent furent tout aussi puissants et épais, crépissant le visage de la belle avec ce qui aurait tout aussi bien pu remplir un petit verre d’eau.
« HMMM… MMM-MMMHMMMHHHMMHHHMMMMMM !!! »