Identité : Yukiji Enomoto, Lola pour les intimes
Âge : 20 ans
Sexe : Féminin
Race : Humaine
Sexualité : Pour le bon prix, rien n'est tabou
Physique :
– Quelle est la corpulence de votre personnage ?
Ma corpulence est athlétique, je dirais, pas exceptionnelle mais bien au dessus de la moyenne. Entre le sexe et le fitness, on ne peut pas me reprocher de ne pas pratiquer une activité physique régulière. Ça se remarque assez clairement d'ailleurs, avec mes membres toniques et galbés, mes fesses fermes et rebondies, mon ventre plat aux fins reliefs.
– À quoi ressemble son visage, nez, yeux, bouche, cheveux ?
J'ai un visage aux traits typiquement japonais. Mes lèvres sont pulpeuses, mon nez petit et rond, et mes yeux d'un intense bleu cristallin. J'ai de long cheveux, naturellement noir de jais mais le plus souvent teinté blond platine.
– Possède-t-il des traits particuliers qui le distinguent, des tatouages, des cicatrices ?
Je n'ai pas de tatouages, de piercings, et encore moins de cicatrice, je prends particulièrement soin de mon corps. Ai-je déjà précisé que ma peau était douce, au teint hâlé ? Ça reste un bronzage léger, je suis loin d'être une ganguro.
– Comment a-t-il l'habitude de s'habiller ? Porte-t-il des armes ?
J'ai un style vestimentaire très facile à définir, je m'habille comme une pute. Pour être plus précise, mes vêtements sont presque tous des cadeaux de la part de mes clients, forcément ils les choisissent en fonction de ce qu'ils aiment me voir porter, c'est à dire des vêtements indécents, à la fois court et sexy. Quant à moi, j'adore les porter, et ça facilite grandement mes activités. Je n'ai pas d'arme, et ne saurais de toute façon pas m'en servir. Par contre j'ai toujours un petit taser à portée de main, au cas où je tombe sur un détraqué, c'est indispensable.
Caractère :
– Quelles sont les qualités de votre personnage ? Ses défauts ?
Alors, ça va aller vite. Trois qualités : avenante, honnête, débrouillarde. Trois défauts : superficielle, individualiste, perverse. Ouais, ça me résume plutôt bien.
– De quoi a-t-il peur, ou n'aime-t-il pas ?
Je suis du genre intrépide, et il n'y a pas grand chose qui me fasse peur, ni le noir, ni les araignées, ni les clowns. Il y a quand même une chose que je redoute souvent, c'est de tomber sur la mauvaise personne, d'être kidnappée et de finir comme esclave sexuelle dans la cave d'un taré. Si c'est demandé gentiment, et payé en conséquence, je ne dis pas non, mais pas sans mon consentement.
– Au contraire, quelles sont les choses qu'il apprécie, par quel projet est-il motivé ?
C'est triste à admettre, mais je n'ai pas de projet. J'adore le luxe, j'adore le sexe, et je vis au jour le jour en profitant des deux au maximum. J'évite de trop penser à ce que je ferais plus tard, à ce que je deviendrais dans cinq, dix, vingt ans, c'est un coup à finir dépressive. Je kiff l'instant présent, et c'est tout ce qui m'importe.
– Comment se comporte-t-il avec les autres ? Quelle est sa vision de la société ?
Ca dépend, en faîte. Avec un client, je peux être soumise, affectueuse, indisciplinée, dominatrice, bref, je m'adapte à ses fantasmes et ses désirs. C'est le cas avec les potentiels clients aussi, en plus mielleuse. Sinon, je suis plutôt blasée et distante, et pas la bonne personne pour une discussion sympathique.
Histoire :
– Qui étaient les parents de votre personnage ? Comment et où a-t-il grandi ?
On ne peut pas vraiment dire que mon enfance fasse parti des souvenirs que je souhaite me remémorer. Soit. Je suis née à Seikusu, et ai grandi dans un taudis du quartier de la Toussaint. Mon père était un alcoolique sévère, et incapable de garder un job plus de quelques mois sans se faire licencier. Il a développé une addiction aux jeux d'argent, qui ont davantage contribué à enfler sa dette qu'à l'aider à payer ses factures. Il n'était presque jamais à la maison, mais j'avais énormément de "cousins" et d'"oncles" qui passaient rendre visite à ma mère le soir. J'ai appris plus tard que je n'avais pas de famille aussi large, et plus tard encore qu'il ne s'agissait pas de visites de courtoisie non plus. J'ai perdu mes parents assez jeune, mon père a été assassiné un soir dans une ruelle de la Toussaint, alors que j'avais 8 ans. L'année d'après, les services sociaux m'ont récupéré pour me placer en foyer, surement après l'appel anonyme d'une voisine. Ma mère avait sombré dans l'héroïne, et fatalement elle y passa elle aussi, morte d'une overdose. J'avais 11 ans à ce moment là, mais je ne l'appris que bien plus tard, ayant été forcé de rompre le contact avec elle.
– Quel(s) événement(s) marquant(s) ont fait de votre personnage ce qu'il est aujourd'hui ?
Il n'y a pas eu d'événements aussi marquants que la mort de mes parents, je crois. Ni aussi tragique, et heureusement. J'ai eu une enfance à peu près normal ensuite, autant qu'elle peut l'être pour une orpheline en foyer. J'ai été plus ou moins sérieuse à l'école, suffisamment pour avoir mon bac de justesse, avant de m'orienter vers une licence d'informatique. C'était une voie d'avenir, il paraissait, sauf que j'ai rapidement déchanté. C'était pas faute d'essayer, pourtant, je n'y comprenais rien, même en ayant séduit le premier de la classe pour qu'il m'explique. Finalement, je n'ai pas hésité à coucher avec la plupart de mes professeurs dans l'espoir d'obtenir leur faveur, mais ils ont du se passer le mot, parce qu'aucun n'a été conciliant aux examens. Autant dire que je ne referais pas l'erreur une nouvelle fois, et que la leçon avait été retenu : être payée avant de baiser, toujours. Après ça, ayant quitté le foyer, il fallait bien que je paye mon loyer et mes factures, alors je me suis orientée vers la prostitution. Un choix que je ne regrette vraiment pas.
– A-t-il eu l'occasion de se faire des amis, des ennemis, des connaissances, de lier des relations amoureuses ?
Des relations, oui, amoureuses, pas vraiment. Je tiens pas de compte, mais je dois pas être loin des 300 partenaires sexuelles, je dirais, et aucun que je considérerais comme un petit copain. J'ai vaguement quelques amies dans le milieu de la prostitution, on va boire un verre de temps en temps, discuter, partager des anecdotes, mais ça me saoule rapidement. Les clients ont toujours été satisfaits de mes prestations, plus ou moins, et je n'empiète pas sur ceux de mes collègues, donc je ne crois pas avoir d'ennemi, sauf bien sûr mon ex-mac, mais c'était un connard. Il nous prenait 50% de commission, et réquisitionnait gratuitement nos services parfois. Alors, un soir, je suis venue lui payer mon dû, et m'offrir à lui, avant de filer le lendemain matin après avoir généreusement pioché dans sa trésorerie. Il parait qu'il était furieux contre moi, mais je ne l'ai pas revu depuis.
– Fait-il ou a-t-il fait partie d'une organisation, d'un club, ou d'un corps d'armée ?
Non, je faisais partie d'un réseau avant, mais depuis que je suis partie, je suis indépendante.
Autre :
– Votre personnage possède-t-il des pouvoirs, des connaissances ou des compétences particulières ? Est-il sportif ?
Non, je n'ai pas de pouvoir, mais je suis souple, sportive, et ai une expérience conséquente en matière de sexualité.
– Ses possessions ou son réseau de connaissances sortent-ils de l'ordinaire ? Habite-t-il un lieu spécial ?
J'ai un petit studio à Seikusu, assez minable, mais je n'y dors que très rarement.
Comment avez-vous connu le forum ?
Doublette.
Je reconnais avoir pris connaissance du contenu du topic sur le traitement automatisé des données personnelles qui est fait par l'hébergeur de LGJ.
