Il fallait bien le dire, Reto avait une très belle queue, si épaisse en érection que deux mains pouvaient sans problème la serrer. C’est d’ailleurs ce que les deux filles faisaient, déformant peu à peu le pantalon de l’homme, dont les mains vinrent se crisper sur leurs fesses. Reto était, en quelques secondes, en train de révéler sa nature profonde : son appétit pour les adolescentes, sa passion pour la sodomie, et son amour pour les jeunes femmes qui lui étaient soumises. Il était un vrai mâle, au sens préhistorique du terme. En lui, Doutzen avait toujours trouvé qu’il y avait un fonctionnement primitif, néanderthalien. Reto était vraiment comme le Grand Méchant Loup du conte, aimant les jeunes femmes, un pédéraste en puissance. Doutzen ne pouvait pas savoir que son analyse était partiellement vraie, et que Reto, en réalité, aimait juste la beauté féminine, qui se matérialisait surtout chez des jeunes femmes, plutôt que chez de vieux fossiles desséchés.
Kamiyu, silencieuse, semblait peu à peu se faire à l’idée, et Reto, malgré tout ce qu’il était, n’était pas brutal, dans le sens où il allait les précipiter. L’homme, malgré son côté néanderthalien, aimait bien prendre sont emps, faire doucement monter le plaisir. Il laissa donc les deux femmes le masturber, tout en continuant à l’embrasser, leurs têtes finissant par embrasser ses tétons, une tête sur chacun. Si la poitrine d’un homme était moins érogène qu’une femme, elle l’était quand même un peu, et Doutzen n’hésita pas à mordiller, chose aisée, puisque l’homme n’avait pas le moindre poil. De ce point de vue, il s’entretenait plutôt bien, car Doutzen avait déjà eu des « poilus » avec elle, et elle avait trouvé ça absolument horrible.
« Hmmm...
- Ooohh oui, mes petites salopes, haaaa... Soyez bestiales, j’aime ça... »
Doutzen crispa ses doigts contre sa queue, et, tout en continuant à le masturber, et à croiser la main de Kamiyu, elles finirent par faire tomber le pantalon, révélant la grosse verge de l’homme.
« Hum... T’es douée de ta langue, Kamiyu... Va expertiser ma queue avec ma petite Doutzen... »
Encore une fois, le repousser semblait impensable, et Doutzen fléchit les genoux, se retrouvant séparée du visage de Kamiyu par une verge érigée que son nez frôlait. Sa main se saisit alors de celle de Kamiyu, et elle lui sourit, avant de donner un bisou sur la queue de Reto.
« Ne t’inquiète pas, Kamiyu... Embrasse cette verge, familiarise-toi avec... »
En un sens, Doutzen se sentait un peu coupable. Dès le début, Kamiyu avait été piégée, et, dès le début, Doutzen avait su, sans l’ombre d’un doute, ce que son père allait préparer... Et, pourtant, elle avait tout accepté. Est-ce que ça ne faisait pas d’elle aussi une mauvaise personne ? Elle ne pouvait donc qu’espérer que Kamiyu réussirait à s’y faire...