Prénom: Yûna
Nom: Okamiya
Sexe: Féminin
Age: 16 ans
Race: ESPer
Orientation: Bisexuelle
Expérience: Quelque unes, quand elle a de la chance.
Physique:
Physiquement, il n'y a pas grand chose à dire sur Yûna, tant elle est dans la norme. mesurant un peu moins d'un mètre soixante, ses cheveux bruns et courts encadrent un joli petit minois ainsi qu'un regard chocolaté très expressif, joueur et espiègle, ce qui la rend plutôt mignonne. Petite et svelte, elle a un corps également des plus agréables, aux formes peu prononcées néanmoins. Sa poitrine comme ses fesses sont petites et fermes. Bien qu'elle porte son maillot de bain réglementaire directement sous son uniforme les jours où elle a piscine, le reste du temps, elle ne porte rien en dessous. En effet, elle n'aime pas le contact de ces derniers.
Pour ce qui est de ses tenues vestimentaires, elle aime bien varier les style de temps en temps, n'aimant pas trop la monotonie. Du reste, chaque fois qu'elle en a occasion, elle se déshabille et profite de sa nudité, car il n'y a rien qu'elle aime plus au monde qu'être nue, en extérieur comme en intérieur. Par ailleurs, lorsqu'elle est excitée, ses tétons comme son clitoris, deviennent très vite gros et durs.
Caractère:
Au quotidien, Yûna est une fille qui passe plutôt inaperçue, quasiment banale pourrait-on dire. Elle suis en cours, aime bien discuter et s'amuser avec son groupe d'amis, passer du temps en famille, bref, rien qui la distingue vraiment des autres et la sort du lot. En peut donc dire qu'elle est sérieuse en cours, mais montre un petit coté joueur et espiègle en dehors de ceux-ci. Du moins, c'est l'image qu'elle se donne en public.
Car chaque fois qu'elle en a l'occasion, Yûna laisse son coté pervers refaire surface, et pas des moindres. La lycéenne est une exhibitionniste. Néanmoins, son kif, ce n'est pas de se foutre à poil en public et exposer son corps à la vue de tous. C'est même plutôt l'inverse. Certes, elle aime être nue dans des endroits où elle ne devrait pas l'être, se caresser et jouir là où la chose est taboue. Mais elle fait tout cela en essayant de se cacher à la vue des autres. Derrière un bâtiment fréquenté, un arbre dans un parc ou une simple voiture dans la rue. Souvent, elle sort la nuit pour faire tout un parcours, nue, en essayant de faire en sorte que personne ne la prenne sur le fait. Ce qui l'excite ? Le risque de se faire prendre et d'en subir les conséquence. Plus le risque est grand, plus elle prend son pied. Et en général, elle a un orgasme lorsqu'elle est sur le point d'être découverte et que finalement non. Et si ça arrive ? Et bien elle se fait généralement sauter sur place.
Après tout, à quoi bon pratiquer l’exhibitionnisme, si l'on retire cette part de risque pour s'exposer directement ? Cela en retire tout le plaisir.
Histoire:
L'histoire de Yûna n'est qu'une histoire des plus banales parmi tant d'autres, les débuts en tout cas. Un père et une mère aimante qui ont éduqués convenablement leur fille, afin qu'elle puisse s'insérer sereinement dans la société. C'est ce qui était prévu tout du moins.
Comme beaucoup d'ESPer, son pouvoir se manifesta vers ses 12 ans. Ce qu'il faut savoir, c'est qu'au Japon, il est normal de prendre son bain en famille, comme c'est le cas avec les Onsen, tout comme le fait que les maillots de bains y sont interdit. Ce qui signifie donc que Yûna était habituée, depuis sa naissance, à voir régulièrement ses parents dans leur plus simple appareil et inversement. Pourtant, ce n'est que vers ses 12 ans que les parents se mirent à ressentir du désir pour leur fille. Pas simplement envie de caresser son corps plus intimement, mais de la souiller profondément. De tels pensées les choquèrent, bien évidement. Ils étaient ses parents, ressentir ce genre de chose, surtout envers une enfant de cet âge, ce n'était pas normal.
Au début, ils préférèrent faire comme si de rien était, n'osant pas en parler à cause du "qu'en dira t-on". Et puis au bout de quelques jours, ils mirent également fin à ces bains en famille, en constatant que ce désir ce faisait de plus en plus fort, prétextant à une Yûna perplexe qu'elle était désormais trop grande pour partager avec eux ce genre de moment. Toutefois, cette envie ne disparu pas pour autant. Finalement, sa mère fini par prendre rendez-vous chez une psy, pour lui parler de ses problèmes et ceux de son mari. Pour le bien de leur fille, ils consentirent à se séparer d'elle un moment et à l'envoyer en internat, pensant qu'un peu d'éloignement finirait par leur faire du bien à tous, mais une fois encore en mentant à leur fille en prétextant cette fois-ci que c'était pour le bien de ses propres études.
Ce qu'il ignoraient, c'est que le désir qu'ils ressentait envers leur fille, d'autres pourraient également le ressentir.
Deux années s'écoulèrent sans incidents. Entre temps, Yûna réalisa, après être entrée dans un Osen en plein air pour la première fois, qu'elle aimait la sensation du vent sur sa peau nue et qu'elle aimerait bien expérimenter la chose bien plus souvent. C'est ainsi qu'elle se lança dans l’exhibitionnisme, bien que ce soit au début pour le simple plaisir d'être nue en extérieur, elle fut de plus en plus excitée par la chose au fil des semaines. Ce n'est qu'à ses 14 ans qu'elle se fit prendre pour la première fois sur le fait, par un simple passant qui, lorsqu'il la vit, eu la vision d'une jeune fille, nue et en extase accroupie derrière son arbre, une large flaque de cyprine entre ses jambes écartées. Avant qu'il ne le réalise lui même, il était déjà en train de la baiser sèchement contre ce même arbre.
Depuis ce jour, Yûna continue ses petites excursions nocturne, prenant son pied comme jamais et avec l'espoir d'y faire de nouvelle connaissances à chaque fois. Et l'entrée au Lycée n'a pas arrangé les choses...
Pouvoir:
En tant qu'ESPer, Yûna possède un pouvoir assez particulier, dont elle même n'a pas vraiment conscience. Lorsqu'une tierce personne pose son regard sur elle alors que ses parties intimes sont exposées, celle-ci ressent le besoin irrépressible de la baiser passionnément. C'est un pouvoir qui, étonnamment, agit également sur la jeune fille. Lorsqu'elle prend conscience qu'elle est observée dans ce genre de situation, elle même ressent le besoin vital de se faire sauter. Ainsi, il est difficile de parler de viol, quand bien même on lui sauterait dessus en la plaquant au sol.
Autre particularité étonnante, c'est un pouvoir qui prend en compte l'orientation sexuelle. Ainsi, si c'est une femme hétéro ou un homme homo qui se retrouvent sous l'emprise de ce pouvoir, ils ressentiront d’avantage le désir de pratiquer cette activité à ses cotés. C'est d'ailleurs ainsi qu'elle s'est fait de nombreux amis "nocturnes".
Car la dernière caractéristique de ce pouvoir, c'est qu'il est persistant dans le temps. Si Yûna s'est fait des camarade de jeux ou des partenaires sexuels durant ses excursions, ceux-ci continueront de ressentir ce genre de désir même en journée, dans une situation tout à fait banale, mais de moindre intensité. Il n'est donc pas rare que l'élève se retrouve dans des toilettes à sucer un ancien amant nocturne, entre deux cours, ou qu'elle fasse plusieurs petites séances exhibitionnistes avec la même camarade de jeux, pendant ces mêmes cours, dans les couloirs du lycée.
Pour la petite anecdote, elle a même fini par constituer une sorte de club clandestin où, une fois par mois, elle s'organise une petite virée nocturne avec ses amis.