Donc, il fallait une Futa de base pour rejoindre le club ? Voilà qui réduisait sensiblement les possibilités... Myumi aurait cru, pourtant, que Sumika offrait ce don aux filles rejoignant le club. Mais peut-être était-ce une éventualité qu’elle envisageait ? Myumi n’avait en réalité
jamais rencontré de filles qui soient naturellement dotées d’une verge. Pour avoir un sexe, il fallait que, tôt ou tard dans la croissance, intervienne un élément magique, soit à hauteur de la naissance, soit... Plus tard, par le biais de filtres, de sortilèges, ou d’élixirs.
«
Hmmm... Tu as conscience qu’une femme avec un pénis, ça n’est pas naturel, si... ? » demanda-t-elle tout de même, un peu interloquée par la réponse de la femme.
Surtout un membre d’une telle taille... Myumi ne put s’empêcher d’écarquiller légèrement les yeux en voyant Sumika retirer son uniforme scolaire, dévoilant, outre un bikini blanc, une longue tige de chair qui remontait le long de sa peau, formant un véritable barreau veineux et puissant, qui termina sa course entre ses seins. Sumika expliqua qu’elle voulait pérenniser l’avenir du club, en refusant qu’il soit fermé, et en pouvant bénéficier de financements du lycée pour organiser des sorties.
«
Je vois... Mais, tu sais, s’il est publiquement révélé que ton club sert à s’envoyer en l’air... Qu’il soit officiel ou pas n’y changera rien, il devra être fermé. »
Elle avait toujours un peu de mal à comprendre l’intérêt que Sumika avait en voulant que le club ait une existence officielle. Pour elle, c’était... Très contradictoire. Si elle voulait éviter que l’administration ne ferme le club, alors il était préférable qu’il n’existe pas publiquement. Lui offrir une vitrine, c’était surtout prendre le risque d’attirer l’attention dessus. Si Myumi présentait le Futabu Club, elle ne dirait jamais qu’il s’agissait d’un regroupement de Futanaris destinés à s’envoyer en l’air. Un tel club était contraire aux bonnes mœurs, mais aussi à l’esprit éducatif national. La demande était donc étonnante, oui...
...Mais Myumi cessa d’y réfléchir quand Sumika dégrafa son soutien-gorge. Sa queue, coincée contre tissu, s’en extirpa alors, formant comme une sorte de mât, qui oscilla d’avant en arrière. Visiblement, porter une telle verge ne semblait guère gêner Sumika plus que ça. La jeune lycéenne se mit ensuite à lui parler, et Myumi sourit.
«
Eh bien... Vu la description qu’Ai m’a faite du club, je savais un peu à quoi m’attendre, alors... »
Elle ouvrit alors sa mallette, et sortit une longue paire de gants noirs en latex, qu’elle enfila sur ses bras, tout en retirant son tailleur. Sous ce dernier, elle ne portait pas un simple sous-vêtement, non, mais
un délicieux harnais en cuir.
«
Voilà, je me sens mieux comme ça ! soupira Myumi de plaisir.
Bon, alors... »
Myumi se rapprocha de la femme, et commença à caresser le haut de sa queue, tout en regardant Aya et Ai,
la première étant en train de butiner le derrière de la seconde, qui couinait et hurlait de plaisir. Un léger sourire se dessina sur les lèvres de Myu’, qui se retourna ensuite de nouveau vers Sumika.
«
Tu me fais une visite du propriétaire, alors ? »